
L’assaillant de Marseille, auteur d’une attaque au couteau et à la barre de fer, était un Tunisien. Il a été abattu à Marseille et la Tunisie, qui aurait dû avoir honte de voir l’un des siens perpétrer ce genre de fait-divers, s’est au contraire montrée particulièrement virulente quant au sort réservé à l’assaillant. Le ministère tunisien des Affaires étrangères a convoqué le chargé d’affaires de l’ambassade de France à Tunis en signe de protestation et a expliqué qu’il considérait la neutralisation du forcené comme un « meurtre injustifié ». Ils veulent quoi en Tunisie, qu’on laisse leurs ressortissants tuer les Français sans rien dire ? Si le pays ne veut pas que la Police les abatte en cas de flagrant délit de meurtre, elle n’a qu’à les reprendre, ce sera plus simple.
Et le pays de réaffirmer son engagement total à la protection des intérêts de tous les Tunisiens et à leur défense partout où ils se trouvent à l’étranger… Evidement, ce ressortissant tunisien de 35 ans, Abdelkader D n’apparaissait pas comme radicalisé, mais souffrant de troubles psychiatriques, selon le procureur de la deuxième ville de France, Nicolas Bessone, selon la chansonnette habituelle qui fait que finalement, ce doit être un hasard, seuls les musulmans souffrent de troubles psychiatriques en matière de justice, on presque. La réalité est qu’il était connu pour sa violence et ses problèmes d’addiction à la cocaïne et à l’alcool, coupable de violences avec arme commises sur un neveu, des faits qui l’ont conduit à quatre ans de prison ferme, récemment. La raison de son passage à l’acte ? Les gérants de l’hôtel le virait pour non paiement de ses dettes. Mais la Tunisie ne s’embarrasse pas du parcours délictueux de son ressortissant, elle cible la France, comme souvent les autres pays du Maghreb, en toutes circonstances.
Au RPF, nous avions publié une série de mesures à mettre en œuvre contre ces pays du Maghreb qui ont tous, à divers degrés, pris de très sales habitudes de faire la leçon à une France qui aurait pourtant largement les moyens de hausser le ton : fin des soins dans les hôpitaux français pour ces ressortissants qui y ont déjà de belles ardoises, fin des transferts d’argent vers le Maghreb, fin des visas touristiques, déchéance de la nationalité française pour les binationaux délinquants et s’il le faut, fin des échanges économiques avec ces pays qui ne sont pas vitaux pour nous. Et plus loin, la fin des prestations sociales aux étrangers, la fin du droit du sol, un moratoire sur les naturalisations et les régularisations et application sans faille des OQTF dont le gros du contingent est originaire du Maghreb. Mais voilà, la France sans pitié avec ses propres habitants, se révèle incapable de se protéger contre des étrangers issus de cette zone et très souvent impliqués dans les affaires de violences sur la voie publique. On peine à comprendre de quoi il retourne, mais la France, si c’est son problème, doit se sortir de la culpabilité de colonisation. Les pays européens n’ayant pas colonisé le Maghreb ont les mêmes problèmes que nous, avec les mêmes gens.