
Elle aimait ces femmes de la Bible qu’elle citait abondamment, elle aimait leur courage, leur force et leur Foi, elle aimait la Vierge Marie, Mère de « notre Sauveur et Seigneur ». Aujourd’hui, Erika Lane Frantzve, veuve de Charlie Kirk, nous donne à son tour une leçon de courage et de sainte virilité au milieu de la tourmente qui agite si vivement son foyer et son pays.
Le 12 septembre au soir, Erika Kirk a pris la parole, brisant le silence maintenu depuis l’assassinat par balle de son époux survenu le 10 septembre dernier. Bien plus qu’un hommage à « ce père [… et] ce mari parfait » qu’il fut, c’est une promesse qu’elle lui fait de continuer son combat contre le wokisme et les funestes erreurs de notre siècle, ainsi pour le triomphe de la Vérité. C’est enfin, et surtout, une profession de foi qu’elle renouvelle devant des millions de personnes.
Elle remercie tous ceux qui ont aimé et aidé son mari, pendant des années et à l’heure de sa mort
Debout, près de la chaise depuis laquelle Charlie Kirk animait son show quotidien, Erika, émue mais forte, adresse ses premiers mots. Depuis déjà 15 minutes, le direct est lancé, laissés au recueillement et à la prière. Et la jeune veuve de s’exprimer enfin, témoignant d’emblée sa gratitude envers ceux qui ont protégé, aidé, soutenu son mari durant ces années et particulièrement au moment du drame.
Des mots personnels sont ensuite réservés à JD Vance et son épouse Usha, qu’elle remercie d’avoir « si bien honoré [son] mari en le ramenant » chez lui, en Arizona, ainsi qu’au président Donald Trump lui-même, dont elle qualifie la relation avec son défunt mari d’« exceptionnelle ».
Charlie Kirk inspirait par « sa foi et son courage »
Les remerciements n’étaient qu’un préambule à l’hommage qu’elle réserve à Charlie. « Sa foi et son courage » sont ce pour quoi il demeurera dans les mémoires. Jusqu’à sa mort encore, il « témoignait […] de Jésus Christ ». Par ailleurs, elle n’hésite pas à qualifier son époux de « martyr » parce qu’à ses yeux, mort pour ce qui était le moteur de sa vie : « le patriotisme, la foi et l’Amour miséricordieux de Dieu ».
Les témoignages « de [toutes ces ] personnes inspirées par [son] mari à se marier, à fonder des familles, [ou encore] à chercher Dieu » atteste de la portée civilisatrice de son mouvement.
« Les pleurs de sa veuve résonneront dans le monde entier comme un cri de guerre »
Cette œuvre politique résumée avec tant d’émotion et de sincérité par Erika Kirk apparaît comme la cause de sa mort. L’épouse et principal soutien laisse alors place à la veuve dont « les pleurs […] résonneront dans le monde entier comme un cri de guerre ». A ceux qui n’ont « aucune idée de ce qu’ils viennent de déclencher dans tout le pays » en assassinant son mari, elle fait le serment que « personne n’oubliera le nom [de ce dernier] » et que « sa mission […] ne s’arrêtera pas un seul instant ». Cette guerre qu’il menait quotidiennement contre un monde gangréné par le wokisme et la décadence, elle entend la poursuivre et faire résonner l’écho de cette voix, « plus forte et plus claire que jamais ».
Et déjà le combat continue. Elle exhorte, à la suite de son mari, les Américains à rejoindre le mouvement tpusa, mais surtout les « supplie » d’investir leurs églises. Car, ils l’avaient tous deux bien compris, paraphrasant saint Paul, « notre combat n’est pas simplement politique. Il est, par-dessus tout, spirituel ».
Prions !
Prions pour Erika Kirk, afin qu’elle honore avec force la mission de son mari. Prions pour leurs deux enfants, dont le père « est parti en voyage d’affaire avec Jésus ». Prions pour le repos de l’âme de Charlie Kirk, qui, tout protestant évangélique qu’il fut, semblait depuis peu se rapprocher de la foi catholique, honorant entre autres la Vierge Marie.
Enfin, prions pour nos nations, pour la conversion de ceux qui, servant le Mal, les détruisent, et pour la persévérance de ceux qui, animés de l’amour de Dieu, se donnent pour les sauver.
Suzi Feufollet
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