
Pendant qu’on nous rebat les oreilles de Jubilard, coupable présumé politiquement correct, la reconstitution du meurtre de Thomas, à Crépol, se joue à l’arrière plan et montre les limites de notre droit, conçu à une époque où la délinquance était tout autre et à laquelle il y a avait une forme d’adhésion tacite à la loi, condition indispensable dans une démocratie où on l’on ne peut pas mettre un policier derrière chaque citoyen, comme cela a pu se faire dans la Roumanie de Ceaucescu. Quasiment la moitié de la population y était payée pour surveiller l’autre moitié. Et elle met en évidence une technique largement utilisée par les racailles d’importation qui mènent leurs expéditions punitives à l’extérieur de leurs cités : la stratégie du nombre. Cela consiste à cogner à plusieurs et à pratiquer l’avalanche de coups. De cette manière, on ne sait pas qui donne le coup mortel, ni même quel coup est mortel puisque qu’un coup qui pourrait être encaissé s’il était le seul, devient mortel quand la victime a déjà pris précédemment une série de coups violents.
Et notre justice, qui respecte en premier lieu les droits des mis en examens, en lieu et place de ceux des victimes, cherche dans cette reconstitution qui est l’auteur du coup ayant entraîné la mort et à quel moment il y a eu coup ayant entraîné la mort et par qui. Et évidemment, cela est inextricable et ça l’est encore plus quand on a à faire à une bande de gens sous emprise religieuse, pour qui nos lois ne sont pas recevables et pour qui également, le meurtre du mécréant n’est pas répréhensible, selon leur propre loi. Le tout face à une bande de « jeunes » qui se serre les coudes devant la loi de l’ennemi. Là où précédemment, même le pire délinquant du terroir reconnaissait au moins le droit à la justice de le juger.
Et les avocats des « jeunes » de s’en donner à coeur joie, d’expliquer que ce n’est pas parce qu’on est du quartier de la Monnaie à Romans-sur-Isère et qu’on est présent à Crépol, dans une fête privée, que l’on est coupable de quoi que ce soit de manière automatique. Et même, des commentateurs de gauche avaient expliqué, au moment des faits, que si ces « jeunes » avaient été invités au lieu d’être refusés par des gens racistes, rien de fâcheux ne serait arrivé. On marche sur la tête : alors à partir du moment où des « jeunes » de cités se pointent quelque part, il faut obligatoirement les inviter sinon cela est raciste et leur donne le droit de tuer ? Et leur livrer femmes et filles en pâture pendant qu’on y est, puisque c’est cela qu’ils viennent aussi chercher ? En réalité, ces « jeunes » venaient en découdre, en expédition punitive, régler leurs comptes à eux et n’en déplaise à leurs avocats, les villageois ne sont pas coupables de leur avoir refuser l’invitation qui n’est pas obligatoire et la présence de ces racailles, loin de leur cité, signe la notion d’intentionnalité, sinon du meurtre, mais au moins de leur présence inamicale.
Et à travers cet effet de groupe la finalité est claire dans notre droit : on ne peut pas identifier ni le coup mortel, ni l’auteur du coup mortel et donc il y a doute et le doute bénéficie à l’accusé et tout le monde est relaxé. Chaque avocat va donc transformer l’effet évident de groupe en non responsabilité individuelle sur le thème : « mon client n’est pas l’auteur du coup mortel » et ainsi tout le monde risque d’être relaxé au bénéfice d’un doute qui équivaudra à la garantie d’une forme d’impunité, si ce n’est au permis de tuer, à condition d’avoir une origine extra-européenne et d’agir en bande, évidemment…
Il y a urgence à remettre la législation sur le métier, tant on fait le constat de peines relativement modiques pour des actes graves, concernant évidemment les gens issus de l’importation, notamment les viols, très peu punis et des meurtres, pour lesquels les condamnés ne passent parfois pas plus de quatre années en prison. Cela et l’excuse de la minorité, à revoir, puisqu’on trouve maintenant des gaillards âgés de 14 à 17 ans, taillés comme des déménageurs, au volant de puissantes voitures, ou impliqués dans des fusillades mortelles.