La violence des pro-palestiniens, en Italie, face à Meloni qui ne veut pas reconnaître un état palestinien, signe la réalité des choses. La vie des Palestiniens n’a aucune importance, ce qui compte, c’est de faire tomber Israël, ce petit pays entouré de pays arabes qui ne veulent pas accueillir de Palestiniens, mais qui ne supportent pas cet Israël au milieu de leurs terres. Et plus loin, il s’agira de se servir des diasporas arabo-musulmanes déjà présentes sur nos sols européens, déjà actives par le biais de délinquances violentes et galopantes et des attentats, pour soumettre toute l’Europe à la charia, le rêve d’une planète islamique n’étant d’ailleurs pas caché par de nombreux radicaux. Et visiblement, ces diasporas font très peur à nos gouvernants qui ne cessent de lâcher du lest pour leur « plaire », quitte à sacrifier la population locale.
Macron comme les autres, on ne sait trop si c’est pas naïveté, idéologie ou corruption, ou un peu tout à la fois, au lieu de résister comme nous devrions tous le faire, choisit d’engager la France et l’Europe dans un processus d’islamisation accéléré, avec comme levier la question palestinienne et comme collaborateur une extrême gauche zélée, devenue aussi violente que les gens qu’elle défend bec et ongles, au point d’en faire son unique combat visible. Elle a d’ailleurs abandonné toute forme de rhétorique et pratique la violence comme argument, contre tout ce qu’elle désigne comme étant l’extrême droite.
Plus étonnants sont ces journalistes propagandistes du service public qui semblent aussi avoir pris fait et cause pour une soumission à terme à la charia. Ils devraient comme beaucoup d’autres, se pencher sur l’histoire de cette Oumma de 1400 ans, pour s’apercevoir qu’elle n’a jamais réussi à vivre en paix avec personne et que le fondement permanent de son action est la conquête, ce qu’elle a toujours pratiqué. 1400 ans de batailles, de flux et de reflux en direction de l’Occident et des tentatives successives d’imposition de la charia par la guerre. La méthode a changé avec le choix d’une bataille démographique sur notre sol, à nos frais et l’inexplicable assentiment de nos dirigeants, mais le fond de la conquête reste.
Toujours dans l’histoire, récente cette fois ci, figure à l’arrière plan la Résolution de Strasbourg en 1975, dans laquelle certains voient un pacte pour l’islamisation de l’Europe, à la demande des pays arabes producteurs de pétrole qui exercent un chantage sur l’Europe, via le prix du pétrole pendant cette période de crise. La Belgique, la France et le Luxembourg ont accepté de signer, pour le bénéfice des pétrolières et ainsi basculer dans le camp pro-arabe. S’en est suivi le regroupement familial signé en 1976, traduit par un afflux de maghrébins en France, une main d’œuvre musulmane bon marché, destinée à tirer vers le bas les salaires et les lois sociales européennes, assorti d’une islamisation de l’Europe, avec déjà les frères musulmans à la manœuvre. Puis des lois favorables aux clandestins, des droits pour les réfugiés politiques, la construction de mosquées, l’islamisation de l’Histoire de France et des accommodements déraisonnables en faveur de la religion musulmane, qui impose des pans de la charia dans la vie européenne.
La question palestinienne sert aujourd’hui de levier dans ce processus général d’islamisation, avec toujours à l’arrière plan, des pays comme le Qatar, entretenant des relations opaques, financières et diplomatiques, avec certains dirigeants européens et sans doute pas que ce pays. Il y a donc in fine, derrière la reconnaissance prématurés et quasiment sans condition, de l’état palestinien par Macron et quelques autres, une traîtrise aggravée de la part des dirigeants européens qui s’y sont livrés.