
Les vampires ont des sourires d’ange (et “qui veut faire l’ange…”) alors qu’ils sont des morts-vivants idéologiques (tous leurs modèles ont fini sont en train de finir – Venezuela, néo Régence d’Alger – dans les poubelles sans fond de l’Histoire) pérennisant pourtant leur dernière emprise sur les vivants en suçant leur sang : ici le pain gagné à la sueur de leur front et aussi parce que certains ont su dénicher le bon filon, trouver la bonne idée, la réaliser, et, au fil des travaux et des jours, cela leur apporté en effet des biens, tout un confort par la suite confié aux descendants…
C’est ce que les vampires convoitent précisément tant ils sont envieux, acariâtres, manipulant les impondérables comme l’inégalité des compétences que l’on ne peut ni empêcher ni réduire par l’appauvrissement de tous, recrutant alors la canaille matricée de fils à papa ayant mal tourné et de petits-fils de migrants crachant sur leur pays d’accueil tout en insultant les années de sacrifice de leurs parents, pour en faire de la chair à canon “antifa” dont ils se débarrassent dès le meeting fini et les affiches collées “nous ne faisons pas partie du même monde”…
Et en plus ces vampires suçant le sang du peuple savent bien que leurs revenus issus des impôts pour l’essentiel ne seront jamais suffisants ou alors sont bien trop importants pour d’un côté briller dans la cour des “grands”, de l’autre côté faire croire qu’ils font partie du peuple…
Ce qui fait que dans la division élite/peuple/canaille, les vampires qui nous gouvernent et détiennent tous les rouages du pouvoir, malgré leur impopularité désormais absolue, font partie des rangs de la canaille. C’est du plus en plus évident maintenant.
Quand un mentor du PS se met au même niveau qu’une sorcière de LFI en disant qu’il faut faire les poches de riches alors que les quelques milliards volés n’iront jamais recouvrir les 150 milliards annuels de déficit, sans compter les 340 milliards à trouver pour combler les échéances à moyen et long termes qui tombent également en alternance, cela prouve bien que le “populisme” et autre “complotisme” ne sont pas là où on le croit (à l’extrême droite, vous dis-je) mais surtout bien ancrés parmi ces gens hurlant au loup fasciste alors qu’ils sont devenus eux-mêmes ce qu’ils dénoncent : intolérants, partisans de la pensée unique qui nécessite un parti unique, celui précisément de cette vaste alliance allant de l’extrême-centre à l’extrême-gauche tout en passant par la case djihad le tout en vue de rafler plus encore des milliards d’euros offerts par les “mesures indispensables” s’abattant sous formes de taxes et d’impôts ou les sept plaies d’Égypte revisitées.
Car au lieu de s’interroger sur le fait qu’il faudrait peut-être prendre le problème de l’effondrement à la source (“la France qui tombe” disait l’autre) c’est-à-dire en se demandant déjà comment faire redémarrer la croissance afin que les intérêts de la dette restent contenus aux 2 % du PIB, puis ensuite comment réorganiser tout le fonctionnement de l’ensemble France de telle sorte que la dette ne fasse pas boule de neige alors que les défis et les questions non résolues s’amoncellent, ces deux impératifs semblent être hors de portée pour une “élite” qui prend pour acquis ce qui au contraire a failli, mais ne voulant pas l’admettre préférant la fuite en avant …
Lucien Samir Oulahbib