J’ai toujours préféré l’île d’Oléron à l’île de Ré, moins dévastée que la seconde par la gaucho-bobo-gentrification qui veut du migrant partout sauf dans ses réserves protégées de riches. La première fois que j’ai mis le pied sur ce petit coin de Charente-Maritime, je devais avoir neuf ans. À l’époque, on regardait Goldorak et l’autre île… aux enfants, avec François et Julie, qui ne nous farcissaient pas la tête de concepts sexuels détraqués et d’antiracisme. Puis le rêve français s’est transformé en cauchemar, par l’action conjointe de traîtres intérieurs pro-diversité et de cette même diversité qui, une fois en nombre assez important sur notre sol, imposa ses us et coutumes exclusifs et tyranniques.
Le cauchemar, c’est exactement ce qui vient de se produire sur l’île d’Oléron, où un fidèle coranique a volontairement renversé des passants avec sa voiture en hurlant « Allahu akbar ! » – au moment de son interpellation très difficile –, ce qui a été confirmé par le parquet. Placé en garde à vue, connu des services de police pour des faits de droit commun, le conducteur terroriste – osons le mot envers et contre tous les « prudents » lâches ! – a accompli son périple terroriste pendant 35 minutes.
Beaucoup d’entre vous le pensent, il aurait dû recevoir une balle dans la tête pour tout jugement, mais dans un pays obsédé par l’État de droit pour la diversité, c’est inconcevable. Ah si seulement le terroriste islamique de l’île d’Oléron avait plutôt appartenu à la mouvance catholique intégriste, c’eût été du pain bénit, si je puis dire ! Pour preuve de cette veulerie idéologique, le parquet national antiterroriste n’était toujours pas saisi dans la soirée. Au journal télévisé de 13 heures sur TF1 on parlait d’un simple… « chauffard » ! Quant à Laurent Nuñez arrivé sur place dans l’après-midi, sa prudence qui confinait au déni était tout juste honteuse, parce que ça lui écorche la bouche de nommer l’islam dans cette affaire, lui qui avait moins de scrupules à faire crever les yeux des Gilets jaunes. La palme revient au Service audiovisuel public, bien plus préoccupé par la « récupération » du Rassemblement national que des victimes de la rage islamique qui vient encore de s’exprimer. Et ils insistaient tous bien lourdement sur le « déséquilibre » possible de l’islamisé !
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Avec un peu de chance, puisque cette immondice était régulièrement sous l’emprise de l’alcool et des stupéfiants – ce qui a fait dire à certains gauchos qu’il ne pouvait pas être musulman, ignorant sans doute ce que signifie la taqîya –, il sera déclaré irresponsable de ses actes et ce, malgré la présence de bonbonnes de gaz dans sa tire à laquelle il a mis le feu pour provoquer une explosion, heureusement empêchée par les gendarmes. Si ça vous rappelle Sarah Halimi, c’est normal ; cette femme massacrée par l’islamique Kobili Traoré qui, du fait de sa prise de dope au moment de la tuer, avait été reconnu irresponsable de ses actes par de braves juges, confirmé en appel et en cassation. Et imaginez un instant qu’un passant ait fracassé l’islamo-racaille de l’île d’Oléron, il dormirait en prison, parce qu’il ne faut pas se faire justice soi-même, quitte à en crever, disent ces gens-là.
Évidemment, cet attentat répond aux prescription de Daech qui, pour mémoire, expliquait à ses fidèles : « Si vous pouvez tuer un incroyant américain ou européen – en particulier les méchants et sales Français – ou un Australien ou un Canadien, ou tout citoyen des pays qui sont entrés dans une coalition contre l’État islamique, alors comptez sur Allah et tuez-le de n’importe quelle manière. »
Partout, nous sommes exposés en France, et même si les Limousins profonds, tour à tour indifférents et pro-migrants, à qui je dis cela, balaient mes propos d’un revers de la main, eux aussi, au fin fond du plateau de Millevaches, comme dans les rues de Limoges – très islamisée, il suffit de s’y rendre pour le constater –, sont des proies potentielles de cette religion qui n’a ni amour ni paix au cœur mais seulement le désir fanatique de soumettre par le sang et la destruction, et ça dure depuis le VIIe siècle.
Enfin, pour ceux qui auraient des doutes sur les motivations djihadistes du terroriste, il faisait beau, même très beau, ce mercredi sur l’île d’Oléron et c’était le jour des enfants, donc la possibilité de provoquer un maximum de victimes. Notons que parmi ces dernières se trouvait la jeune Emma Vallain en train de faire son jogging et en urgence absolue au moment où j’écris ces lignes, assistante parlementaire du député Rassemblement national Pascal Markowsky. Ce qui occasionnera un pot de victoire place de la République à Paris et réunissant tout le gratin ultragauchiste, qui sait ?
Maintenant, ce que l’on sait sur le tueur : il s’agit d’un autochtone radicalisé – ce qui prouve la dangerosité de l’islam car je ne connais pas d’autre religion aujourd’hui qui donne des envies de massacre à ses nouveaux fidèles –, il s’appellerait Jean Guillot, 35 ans, ayant grandi dans le village de Mayac, à 25 kilomètres de Périgueux (Dordogne). Il vivait seul sur l’île d’Oléron depuis un peu moins de dix ans, dans un mobile home, sur un terrain appartenant à sa famille. Je connais un marginal qui vit dans sa caravane mais c’est marrant, lui il n’a envie de tuer personne. Faut dire qu’il n’est pas musulman !
Toutes mes pensées vont aux victimes de ce jour et qui viennent s’ajouter à la longue liste des victimes de l’islam…
Charles Demassieux
https://ripostelaique.com/djihad-sur-lile-doleron-mais-chut-faut-pas-le-dire.html