
Non seulement Macron a bradé nos pépites industrielles aux prédateurs étrangers, non seulement il met à mort nos agriculteurs en acceptant l’inique traité du Mercosur qui va les livrer à une concurrence déloyale sans précédent, mais le déclassement économique de la France, la fiscalité confiscatoire et l’insécurité exponentielle poussent nos jeunes surdiplômés à fuir vers des cieux plus cléments. Des dizaines de milliers d’entreprises fuient également cet enfer fiscal que nous impose une démentielle politique de gauche qui ne dit pas son nom. Même au RN, c’est un esprit davantage socialo-communiste que libéral qui domine sur les sujets économiques. La France en faillite et de plus en plus soviétisée ne fait plus rêver.
À contrecœur, créateurs de richesses et surdiplômés l’abandonnent. Place à l’assistanat et aux « bac moins 10 ». « Le mérite et la réussite ne passeront pas », telle est la devise des mondialistes et des ayatollahs de la diversité heureuse.
La France a perdu l’essentiel de son outil industriel, alors que l’Allemagne et l’Italie l’ont préservé. L’industrie ne pèse plus que 10 % du PIB, condamnée par une perte de compétitivité aux causes multiples, dont une fiscalité écrasante qui tue l’investissement et l’emploi. Pour ce pouvoir prédateur insatiable, doubler les impôts serait encore insuffisant. Non seulement il nous écrase d’impôts, non seulement il emprunte à tout va, mais les caisses sont vides et plus rien ne fonctionne. Où va l’argent ?
Notre agriculture, longtemps référence mondiale, bascule dans le rouge
En se disant « plutôt positif » sur le traité du Mercosur, après l’avoir jugé « inacceptable » l’an dernier, Macron poignarde nos paysans dans le dos et les livre à la concurrence du Brésil, de l’Argentine, du Paraguay et de l’Uruguay, qui ne respectent aucune de nos normes sanitaires et environnementales imposées par Bruxelles, voire par Paris, qui adore faire du zèle et de la surenchère réglementaire sur le dos des producteurs.
La France a perdu 100 000 exploitations en 15 ans. Il en reste 400 000 qui peinent à survivre face à la concurrence mondiale et au déluge réglementaire incessant.
Après des années de balance commerciale excédentaire de 10 milliards, les exportations se sont effondrées et 2025 pourrait afficher un déficit pour la première fois en près de 50 ans. C’est donc un pilier de notre économie et de notre identité que Macron va achever avec le Mercosur.
L’exil des cerveaux et des entrepreneurs s’accélère.
20 % de nos polytechniciens quittent la France chaque année. La réputation de nos grandes écoles n’étant plus à faire, nos jeunes diplômés n’ont aucune peine à s’expatrier vers des pays dynamiques qui leur offrent des perspectives de carrière et une liberté d’entreprendre que la France leur interdit. Pour 15 000 diplômés de haut niveau, l’avenir se joue ailleurs qu’en France et l’exil est la seule solution.
Notre pays, phare de l’Europe en 1975, a réussi l’exploit de devenir à la fois le champion de l’assistanat, le pays le plus fiscalisé des 38 membres de l’OCDE et l’ennemi de la réussite sociale.
Avec sa mentalité socialo-communiste gravée dans son ADN, la France n’aime ni les riches, ni les patrons, ni les propriétaires, ni les investisseurs, ni les actionnaires, ni les héritiers, tous bons à être saignés pour financer les milliards de l’assistanat sans limite.
Elle chasse ses cerveaux sans regret mais elle accueille 500 000 immigrés chaque année, issus pour l’essentiel des pays les plus analphabètes du monde, donc les plus pauvres.
“20 pays ont le triste honneur de compter plus de 50 % d’analphabètes dans leur population : l’Afghanistan, le Bénin, le Burkina Faso, la Centrafrique, le Tchad, les Comores, la Côte d’Ivoire, l’Ethiopie, la Gambie, la Guinée Bissau, Haïti, l’Irak, le Liberia, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal, la Sierra Leone et le Sud Soudan.”
Avec ses 1000 milliards de budget social, record mondial, la France est la championne de l’assistanat et l’Eldorado pour toute la misère du monde. Il va de soi que tout cela a un coût et que nos 3 500 milliards de dettes sont en grande partie la conséquence d’une immigration de masse sous qualifiée, donc peu productive, inadaptée à une économie moderne. Mais n’attendez pas des élus la vérité sur le coût de l’immigration, première cause de notre déclassement.
« Le moindre taux d’emploi des immigrés et descendants d’immigrés représente une perte de PIB de 3,4 % et une perte de recettes fiscales et sociales de 1,5 point de PIB ».
https://observatoire-immigration.fr/limpact-de-limmigration-sur-leconomie-francaise/
La France est donc devenue une terre d’émigration pour ses éléments les plus dynamiques, les plus diplômés, les plus entreprenants, ceux qui veulent réussir et préfèrent fuir un pays qui ne reconnait plus le mérite, l’effort et la réussite.
Un tel pays ne peut que décliner, alors qu’il était un modèle du monde occidental il y a un demi-siècle. Et rares sont les politiciens conscients de l’ampleur du désastre, qui va s’amplifier si personne ne s’oppose à la dictature mondialiste et ne libéralise l’économie. N’attendons rien de Marine, dans le domaine économique et fiscal, elle vient de prouver qu’elle est sur la même longueur d’onde que Mélenchon.
Jacques Guillemain