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La fable climatique fait froid dans le dos !

La Fable Climatique

Quand la Science démolit les mensonges des profiteurs Écolos-Bourgeois

la vérité n'a pas de maître et la science n'est pas une affaire de sondages ou de subventions vertes. C'est du brut, du vérifiable, du reproductible.

 Et quand on gratte sous la couche de propagande "climat-alarme", on trouve une fable monstrueuse : celle du réchauffement anthropique, ce mythe qui justifie la fermeture d'usines, la hausse des factures d'électricité et l'enrichissement d'une élite écolo-bourgeoise.

Aujourd'hui, on démonte ça :

Avec des faits, pas des fadaises. Pas de 97 % bidon, pas de consensus truqué. Juste les données qui piquent, les repentis qui claquent la porte, et les profiteurs qui rigolent en comptant leurs millions.

 Et oui, on va s'attarder sur ce Jancovici, ce polytechnicien qui nous vend du décroissance comme si c'était du pain quotidien, pendant que les centrales au thorium – cette bombe nucléaire propre et abondante – font exploser son baratin en mille morceaux.

Les Bases Scientifiques :

 La vérité brute contre la machine à lavages de cerveau.

Oubliez les courbes trafiquées du GIEC, ces graphiques lissés pour faire peur aux smicards. La vraie science, c'est les satellites, les isotopes et les modèles qui craquent comme du verre.

D'abord, les données satellites UAH et RSS, les seules mesures globales non manipulées depuis 1979. Elles montrent un réchauffement linéaire de +0,14 °C par décennie – soit +1,4 °C par siècle. Pas d'accélération, pas de catastrophe. Juste une petite pente, comme après chaque petit âge glaciaire (fin XVIIIe, XIVe, Xe siècle). Roy Spencer et John Christy, de la NASA, publient ça tous les mois : en 45 ans, +1,13 °C.

Point barre.

Si c'était anthropique, on verrait une explosion exponentielle. On voit une ligne droite. Fin de l'histoire.

Ensuite, les isotopes du carbone (C12/C13). Le GIEC fanfaronne : "On sait que le CO2 est humain grâce au ratio isotopique !" Foutaises. Le ratio baisse depuis 1850, avant la révolution industrielle massive.

 Les carottes de glace de Law Dome (Etheridge et al., 1996) le prouvent : c'est naturel, dû au dégazage océanique et à la végétation. Le CO2 fossile n'arrive qu'après 1950. Donc, impossible de coller l'étiquette "humain" sur l'essentiel du CO2 en hausse. C'est du cycle naturel, pas du crime industriel.

Et les modèles climatiques ?

Une arnaque à 100 milliards de dollars. Les 102 simulations CMIP5 du GIEC surestiment le réchauffement de 140 % : observations à +0,14 °C/décennie, modèles à +0,34 °C. François Gervais, physicien pur jus, le démontre dans L'innocence du carbone (2013) : aucun modèle ne colle aux faits. C'est de la falsification ! Pas une "erreur honnête".

Enfin, les repentis, ces insiders qui claquent la porte comme on balance un patron véreux. Carlo Ripa di Meana, ex-commissaire européen à l'Environnement, a écrit : "Je ne crois plus dans le dogme du réchauffement causé par l'homme.

Le GIEC propage une théorie erronée."

Patrick Moore, cofondateur de Greenpeace :

"Le CO2 est l'ami de la Terre."

Judith Curry, ex-chef du climat à Georgia Tech : "Le GIEC est corrompu."

Richard Lindzen (MIT) :

sensibilité au CO2 ≤ 1 °C. Nir Shaviv : 70 % du réchauffement = rayons cosmiques + Soleil.

Des milliers signent la World Climate Declaration :

 "No climate emergency." Ces gens ont vu l'envers du décor. Eux, ils savent.

Ces bases scientifiques ne sont pas des opinions : ce sont des données brutes, reproductibles, qui explosent la fable.

 Mais qui propage ce mensonge ? Et qui s'en gave ?

Les Promoteurs de la Fable : Une Cabale Bureaucratique et Médiatique

Les promoteurs ?

 Une bande de bureaucrates onusiens, d'ONG subventionnées et de médias vendus au vert-business.

 Le GIEC, ce club d'intergouvernementaux, n'est pas une "science pure" : c'est un outil politique, financé à coups de milliards par les États pour justifier taxes et régulations.

 Ses rapports ?

Écrémés pour enlever les nuances, gonflés pour l'alarmisme. Les COP ? Trente ans d'illusions, comme le titre Samuel Furfari dans son brûlot La vérité sur les COP (2025) : émissions +65 % depuis Rio, zéro réduction réelle.

Les ONG comme Greenpeace ou WWF ?

 Payées par des fondations Rockefeller ou Soros pour verdir l'image des multinationales.

Les médias ? France Inter, Le Monde, qui passent en boucle les "points de bascule" (Gulf Stream, Amazonie) qui n'arrivent jamais aux dates promises.

C'est de la propagande de classe : faire peur aux ouvriers pour qu'ils acceptent la précarité "verte", pendant que les jets privés des COP crachent 100 000 tonnes de CO2 par sommet.

Les Bénéficiaires : Les profiteurs qui rigolent au nez des travailleurs.

 Une élite qui se goinfre sur le dos des smicards.

Al Gore, d'abord :

son film Une vérité qui dérange (2006) lui a valu un Nobel et des milliards via Generation Investment Management, un fonds vert qui parie sur la "transition" qu'il prône. Il critique la capture de CO2 comme "fraude", mais son portefeuille adore les subventions éoliennes bidon.

Et Jancovici ?

Ah, ce polytechnicien qui nous vend du décroissance comme un remède miracle ! Cofondateur du Shift Project, il lève 3,3 millions d'euros en un mois pour sa campagne "Décarbonons la France !" – 26 000 donateurs, dont des chèques de 5 000 € pour "imposer la décarbonation dans le débat de 2027".

Pendant que les salariers galèrent avec des factures d'électricité gonflées par les intermittents, lui conférencie à 10 000 € la pièce, promeut la sobriété énergétique et critique le PIB comme "salissant". Mais son baratin sur l'énergie ? Il nous fait rire aux éclats quand on regarde les centrales au thorium.

Jancovici, pro-nucléaire sélectif, adore l'uranium français mais ferme les yeux sur le thorium – cette technologie qui rend son discours obsolète.

Le thorium ? Un réacteur qui utilise un métal abondant (3 fois plus que l'uranium), produit 200 fois moins de déchets, zéro plutonium pour les bombes, et une énergie propre à bas coût. Des prototypes chinois et indiens tournent déjà ; en France, on pourrait en avoir des dizaines pour peanuts.

Mais non : Jancovici préfère nous vendre une "transition" low-tech, décroissante, où on rationne l'énergie pour "sauver la planète".

Pourquoi ? Parce que le thorium casserait son business model : pas besoin de taxes carbone massives, pas de subventions folles aux ENR intermittentes (éolien à 100 €/MWh, contre thorium à 20 €  !!! ). Son Shift Project ? Une machine à cash pour consultants verts, pendant qu’on ferme des usines au nom du "climat".

Critiques ? Il reçoit des torrents de haine en DM quand on le pointe du doigt – mais c'est lui qui hait la vérité prolétarienne.

Ces profiteurs – Gore, Jancovici et consorts – transforment une petite variation naturelle en jackpot : marchés carbone (1 000 milliards $/an), fonds verts (BlackRock en tête), conférences payantes.

Pendant ce temps, le salarier français paie la taxe, l'ouvrier africain voit ses rêves d'industrie verte s'évaporer.

Appel à la Révolte : La Vérité pour les travailleurs, pas pour les Écolos-Bourgeois.

Cette fable climatique n'est pas qu'une erreur scientifique : c'est une arme de classe contre les esclaves salariés (Marx) . Elle ferme Renault, taxe l'essence du camionneur, fait payer l'éolien bidon au mineur. Mais la science vraie – satellites, isotopes, thorium – nous arme pour riposter.

Exigeons des réacteurs au thorium, pas des moulins à vent subventionnés. Brûlons les rapports du GIEC, lisons Gervais et Furfari.

Et pour la COP30 à Belém ? Deux millions de barils/jour approuvés par Lula en Amazonie (c’est le bouquet et le comble de l’hypocrisie ; il est payé par qui, pour ce forfait, ce brave homme de gôche ?), pendant qu'il prône la "décroissance".

La vérité n'a pas besoin de millions : elle a besoin de mobilisation des masses réveillées !

par politzer (son site)

https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/la-fable-climatique-fait-froid-264386

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