
Par Garance de Hauteville
Samedi 22 février dernier, une attaque au couteau avait lieu à Mulhouse perpétrée par Brahim Abdessemed, un Algérien sous OQTF également connu pour apologie du terrorisme. L’attaque fera un mort et sept blessés. Cet homme n’aurait jamais dû être sur le sol français. Son pays d’origine a refusé « dix fois » de le reprendre selon le ministre de l’Intérieur de l’époque, Bruno Retailleau.
Le défunt, Lino Sousa Loureiro, un homme âgé de 69 ans, marié et père de famille, a été frappé au thorax avant de succomber à ses blessures dans l’ambulance des pompiers. Apprécié de sa communauté, il est mort en voulant stopper l’agresseur.
C’est dans ce contexte que lundi 24 février suivant un hommage a été rendu dans la ville de Mulhouse, organisé par la mairie. Deux militants d’Action française – Brice, responsable de la fédération d’Alsace, et Anthony, de Mulhouse – participaient à l’événement lorsqu’ils furent arrêtés, soupçonnés d’avoir tenu des propos controversés (« Stop aux francocides » et « Expulsez les OQTF, bande de lâches »).
Cette interpellation musclée, et totalement hors sol, s’est poursuivie par la mise en garde-à-vue des deux militants d’AF, avant que ne soit ouverte une enquête ayant pour chefs d’accusation « haine raciale », « injures », ainsi qu’« outrage ». Leur procès se tiendra le 26 novembre prochain au tribunal de Mulhouse.
Tout cela aurait pu être évité si cette république laxiste avait appliqué ses lois, et avec la plus grande fermeté, face à une Algérie rancunière de son passé ; une vie aurait pu être épargnée si cette république avait expulsé l’individu dangereux, qui avait déjà appelé, et ce à plusieurs reprises, à commettre des actes terroristes à l’encontre des non-musulmans.
Encore une fois la question se pose face à la montée grandissante de l’insécurité – générée trop souvent par une immigration incontrôlée – : que fait la République ? Rien ! L’État, qui est censé protéger les plus « faibles », ferme les yeux au nom du « vivre ensemble » et préfère laisser massacrer ses concitoyens dans une démarche de « politiquement correct ». La république, représentée par nos dirigeants actuels, est la seule responsable de ce drame et de ses conséquences.
Dans le même temps, nous apprenons que le procureur de Montauban n’engagera aucune poursuite pour l’agression d’une nonne dans l’abbaye de Moissac. Cette agression filmée montre un homme – dont nous tairons les origines – en train de hurler des cris d’animaux puis menacer de son poing une religieuse. Il quittera les lieux en donnant un violent coup de pied dans une porte. Cette agression n’a pas été très relayée dans les médias, comme vous avez pu le constater. Hélas, sous prétexte d’un déséquilibre mental, l’agresseur, est présenté comme « chef d’entreprise » à Moissac, échappera à la justice ; et, en même temps, les militants d’AF, Brice et Anthony, parfaitement insérés dans la société, risquent d’être condamnés pour des faits bien moins graves. Bien sûr, ceux-ci étant considérés comme des individus « d’extrême-droite », il est plus judicieux pour la république de les faire condamner pour cause de « bien-pensance ».
Le « deux poids, deux mesures » s’affiche une fois encore aux yeux de qui veut bien prendre la peine de ne pas les fermer !