
Doit-on encore présenter le jeune Élias, massacré à coups de machette par des « anges » pas partis trop tôt – hélas –, le 24 janvier 2025 dans le 14e arrondissement de Paris ? Ces mêmes « anges » ont été mis en examen pour « extorsion avec violences ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». Il est vrai que frapper quelqu’un avec une machette baptisée par ses fabricants « Zombie Killer – tout un programme ! – ne relève d’aucune intention meurtrière, tout comme l’assassin de Sarah Halimi n’en était pas un puisqu’il avait pris de la drogue avant de rouer de coups sa victime et la défenestrer, ce qui le rendait de fait irresponsable de ses actes !
Contrairement à la famille de la jeune Lola – quant à elle massacrée par une Algérienne sous OQTF –, la famille d’Élias, et surtout sa maman, ont décidé d’en finir avec la soumission à un état de fait qui voudrait que les enfants et les adolescents blancs soient des victimes expiatoires de crimes souvent imaginaires, énoncés par une diversité haineuse qui ne peut toutefois se passer de la civilisation occidentale blanche pour vivre. Un paradoxe qui mérite d’être souligné car, sans la médecine occidentale, par exemple, l’Afrique ne serait peut-être pas aussi peuplée qu’elle l’est aujourd’hui.
Donc, la mère d’Élias, qui a livré un témoignage bouleversant sur CNews, lundi matin, ne compte pas en rester là et demande des explications à la justice. Ce qui lui vaudra sans doute de figurer sur le nouveau mur des cons du Syndicat de la magistrature, qui sait ? Et que dit-elle, cette maman inconsolable ? Une simple vérité, à savoir que la justice n’a pas protégé son enfant car les auteurs de son meurtre étaient déjà très connus de ladite justice.
Mais comme ces « jeunes » appartiennent à la diversité sacrée – ceci n’est pas une remarque de la maman d’Élias, précisons-le afin qu’elle ne soit pas accusée à tort –, ils n’ont pas connu le sort de Robin Cotta, placé en détention provisoire et, dans les faits, purement et simplement condamné à mort puis exécuté par un psychopathe de la pire espèce et en toute indifférence. Tout ça pour avoir produit une fausse ordonnance en vue de se procurer des opioïdes. Ce qui laisse songeur lorsque l’on sait que des djihadistes se promènent tranquillement en France ! La famille de Robin a décidé depuis de poursuivre en justice l’État. Mais il faudrait aussi poursuivre le juge qui a pris cette décision totalement disproportionnée. Malheureusement, comme l’a si justement dit un jour Georges Fenech, lui-même ancien magistrat mais un peu plus lucide que la moyenne de ses collègues, ce sont les juges qui jugent les juges.
Ainsi, en France, et ce depuis des décennies, nous subissons la toute-puissance de magistrats qui n’ont que faire de la France et exercent plus volontiers un pouvoir idéologique qui a conduit à la mort d’Élias, sa maman a entièrement raison. Une pauvre maman qui s’est littéralement faite injurier par les magistrats qu’elle a souhaité rencontrer, traitée de « victime écervelée » et du qualificatif fourre-tout « populiste ». Aussi, l’actuel garde des Sceaux, le très évitable Gerald Darmanin, peut tant qu’il veut diligenter une enquête à ce propos, elle ne donnera rien car les juges sont les nouveaux dieux de l’Olympe, indéboulonnables et inattaquables.
L’un d’entre eux, Oliver Bailly, peut peut même décider de prostituer sa fille de douze ans, avec moult sévices proposés, il n’effectue pas une seule journée en prison : « Condamné en appel à Besançon à deux ans de prison avec sursis. En première instance, Olivier Bailly avait été jugé en son absence, le 18 février, pour « instigation, non suivie d’effet, à commettre des violences sexuelles » sur sa fille, alors âgée de 12 ans. Condamné à deux ans de prison, dont un avec sursis, il avait purgé la « partie ferme de l’emprisonnement sous la forme d’une détention à domicile sous surveillance électronique. […] Son épouse, également juge à Dijon, n’avait pas été poursuivie, et leur fille ne leur avait pas été retirée pour être confiée à un foyer de l’Aide sociale à l’enfance, comme c’est le cas tous les jours pour ce genre de délits sexuels. » Une décision qui a fait hurler, à juste titre, la comédienne Alexandra Lamy.
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Alors quand les juges pleurnichent sur le désamour dont ils sont victimes de la part du peuple réel, soit ils sont complètement naïfs, soit ils sont d’un cynisme écœurant, et nous opterons tous plus volontiers pour la seconde option. Il est donc temps d’en finir avec l’indépendance de la justice, qui ne représente absolument pas le peuple mais seulement une caste nuisible à la Nation.
Par ailleurs, il faut en finir avec cet adage tacite de l’in-justice en France qui frappe quasi exclusivement les autochtones, car ainsi que le disait Joseph Joubert : « Il y a des indulgences qui sont un déni de justice. »
Pour finir, dans son entretien sur CNews, la mère d’Élias a nié l’humanité des créatures effectivement inhumaines qui ont tué son fils. Et comme ces créatures appartiennent à la diversité intouchable, on peut très raisonnablement craindre qu’elle soit attaquée en justice pour… racisme ! Tout est en effet possible dans cet enfer judiciaire français…