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Corruption de « basse intensité » à Marseille… ben voyons

Depuis l’installation d’une cellule anti-corruption à Marseille et dans le cadre des enquêtes liées à la DZ mafia, on fait semblant de découvrir ce que tout le monde savait, c’est à dire, des collusions entre voyous et fonctionnaires, de police, de justice, de la pénitentiaire. Pas forcément des gens haut placés, mais des greffiers, des gardiens de prison, des agents de police de base, qui donnent des renseignements, préviennent les voyous des descentes de police, des gens sur écoute ou dans le collimateur, ou donnent des adresses personnelles, de magistrats, ou font passer des téléphones aux détenus… Il se dit aussi qu’il est possible de faire introduire des vices de forme dans les dossiers, de manière à rendre des procédures caduques et à libérer… tout un tas de petits arrangements que les spécialistes du secteur appellent désormais de la corruption de « basse intensité ». Quelques centaines d’Euros, des menaces, de l’intimidation, des liens d’époux ou familiaux et il est possible d’obtenir des passe droits.

En résumé, certains fonctionnaires, consentants, ou sous la menace, ne respectent pas leurs engagements déontologiques. Cela commence à se dire et c’est une bonne chose, à se combattre également, avec quelques arrestations retentissantes. Manque encore un cran à cette prise de conscience, à savoir, montrer la dimension communautariste de cette engeance, avec des fonctionnaires « frères » ou soeurs », français de naissance, par le droit du sol et qui n’oublient pas, encore une fois de manière consentante ou sous la menace, de rester au service de la communauté, sachant que le milieu carcéral, celui de la délinquance, sont constitués de gens qui partagent la même religion d’importation. Il a ainsi été donné de voir gardiens et prisonniers unis dans le même moment de prière, par exemple. Cette dimension communautariste, même si elle est bien connue, personne n’en parle trop et surtout, personne n’en connaît vraiment l’ampleur, sauf quelques spécialistes bien implantés dans ce milieu et aptes à en avoir une vision assez précise, même si elle n’est pas mesurable.

Au RPF, nous avons des propositions dans ce sens, à commencer par la fin du droit du sol. Mais également, l’instauration des dimensions ethnique et religieuse dans les statistiques d’un peu tout et en particulier celles de la délinquance. Curieusement, la gauche n’en veut pas alors qu’elles prouveraient sans ambages ce qu’elle raconte depuis des décennies en matière d’enrichissement dû à l’immigration. Ou alors, elle nous bonimente depuis des décennies. Mais également, nous proposons que les juges soient comptables de leurs décisions, si par exemple ils libèrent des multi-récidivistes qui repassent à l’acte dès leur libération. Et dans ce cas précis de « corruption de basse intensité », nous proposons un état des lieux, pour définir aussi bien ceux qui ont été corruptibles de leur plein gré, ou ceux qui y ont été contraints par la menace. Afin de savoir aussi, si cette intensité est si basse que cela ou si elle devenue un système généralisé.

https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com/2025/12/11/corruption-de-basse-intensite-a-marseille-ben-voyons/

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