
Le club des perdants dont le taux d'approbation combiné est inférieur à 50 %
On a l'impression que la situation a brusquement empiré dans le dénouement de l'histoire tragique des « amants maudits » ukrainiens et de sa jeune épouse européenne un peu éméchée.
Les options s'épuisent rapidement : avec l'échec de la tentative de piraterie de Bruxelles à midi, et les réunions de plus en plus spasmodiques et humiliantes du cirque itinérant européen, il ne reste pratiquement plus d'options au-delà des affres d'autoflagellation et de désespoir auxquelles nous sommes désormais douloureusement témoins.
Le plus triste, c'est que ce cirque n'a presque plus de public – à qui, précisément, s'adresse encore cette mascarade interminable ?
Il est clair qu'il n'y a plus de vision d'avenir, plus de solutions de repli viables, et que les derniers bastions mondialistes, ces marionnettes inébranlables que sont Macron, Merz et Starmer, ne sont que des poulets décapités qui jouent la comédie en passant d'une capitale européenne en déclin à l'autre pour leur interminable procession de rituels d'humiliation.