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Gueye : ils étudient quoi, ces étudiants ?

Quelques leaders politiques avaient dénoncé la venue des « étudiants » étrangers comme étant assimilable à une filière d’immigration illégale, arguant que certains de ces élèves, pas tous heureusement, ce qui permet de nier la réalité, ne venaient pas en cours, encaissaient les aides et disparaissaient dans la nature, voire passaient dans la délinquance. La neutralisation de Mouhamed Gueye, titulaire d’un visa étudiant, en Corse, alors qu’il menaçait les passants, corrobore la thèse de la filière de l’immigration illégale et encore une fois, la réalité rattrape le « bon » discours humaniste. Gueye, 26 ans, arrivant du Sénégal via la Belgique… il étudiait quoi ? A 26 ans, normalement on est à bac+8, une paille. Ou alors on a repris des études après un premier diplôme. Il avait quel bagage ce garçon ?

Pour menacer les gens dans la rue avec un couteau, certainement pas bac+5. Le procureur local a diligenté deux enquête, l’une pour savoir si le tir du policier était vraiment justifié, l’autre pour connaître les motivations de Gueye. Il a cependant écarté d’emblée, avant tout résultat d’enquête, la piste terroriste… Et pourquoi donc ? Il s’agit d’une obligation venue d’en haut, ou d’une « conviction » personnelle ? On imagine qu’en Corse, avec le profil de l’intéressé, le Ministre a dû donner quelques consignes : attention à l’amalgame, attention à la récupération par l’extrême drouâââte, débrouillez vous pour qu’on ne parle pas de la religion de paix et d’amour, on est en période de Noël et déjà sur les dents avec ces marchés qu’on voulait faire appeler marchés d’hiver, mais que tout le monde appelle quand même marchés de Noël et qui sont des cibles privilégiées pour les attentats.

Second épisode : la famille de Mouhamed Gueye a décidé d’engager des poursuites, suite au décès de ce dernier. Me Alija Fazaï-Codaccioni, conseil de la famille, a confirmé sa volonté de déposer une plainte pour homicide volontaire aggravé. « Homicide volontaire aggravé », incroyable, si on ne peut plus menacer les gens tranquillement avec son couteau, où va-t-on ? Mais d’un point de vue narratif, il y a bien quelque chose qui ne tourne pas rond. « La famille » : il a de la famille sur place ou c’est sa famille au Sénégal qui porte plainte et avec quel argent ? Celui de l’aide juridictionnelle, c’est à dire nos impôts ? Il s’agit d’une avocate basée en Corse, on peut donc supposer que l’homme a de la famille déjà présente en France et on n’est pas « conseil de famille » pour une famille du Sénégal, depuis la Corse.

Beaucoup de questions en suspens donc, sur l’itinéraire de Gueye, ses études réelles ou supposées, son passage en Belgique et au bout, une seule certitude, ces pseudo-étudiants sont bien pour partie une filière d’immigration illégale et l’intérêt de la France serait de savoir qui vient étudier et qui fait semblant. Au RPF, outre les statistiques ethnico-religieuses, nous demandons un suivi de ces étudiants, leur fréquentation des cours, leurs notes aux examens, l’obtention ou pas de leurs diplômes et de conditionner le versement de leurs bourses à leurs résultats scolaires et de veiller également qu’ils n’en rentre pas trop chaque année et qu’ils repartent à l’issue de leurs études. Avec en option, l’interdiction du port du voile dans l’ensemble du système éducatif, y compris à l’université. A noter que depuis Gueye, les deux jours suivants, deux autres attaques au couteau ont eu lieu, avec encore un tir des policiers… tout cela n’est que pur sentiment d’insécurité, comme dirait l’autre.

https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com/2025/12/21/gueye-ils-etudient-quoi-ces-etudiants/

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