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  • La mère de Vincent Lambert ouvrira la Marche pour la vie

    Communiqué de La Marche pour la vie :

    "A l'heure où le débat sur la fin de vie s'ouvre à l'Assemblée Nationale à l'initiative du Président de la République François Hollande, la Marche pour la Vie entend dénoncer la menace qui pèse sur les plus vulnérables (personnes âgées, malades et handicapées) : la légalisation de gestes euthanasiques.

    Préoccupée par le destin du jeune Vincent Lambert dont la vie dépend d'une décision de la CEDH, la Marche s'ouvrira avec Madame Viviane Lambert, mère de Vincent, Maitre Jérôme Triomphe, avocat de ses parents, Professeur Xavier Ducrocq, neurologue, membre du comité d'experts qui a examiné Vincent Lambert.

    Cette présence de proches de Vincent Lambert vise à rappeller à la conscience collective la valeur de la vie humaine et l'urgence de la protéger d'une culture de mort. C'est pourquoi, la grande mobilisation nationale Marche pour la Vie appelle les citoyens à manifester ce dimanche 25 janvier à 13h30 place de la Bastille."

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Valls et son “apartheid” (Présent 8277)

    Présentant mardi ses vœux aux journalistes, le Premier ministre n’a pas hésité à employer l’expression « d’apartheid territorial, social et ethnique » pour évoquer la situation catastrophique des banlieues françaises. Une expression à la fois anachronique et géographiquement inappropriée qui, non contente de montrer l’inculture de ceux qui nous gouvernent, abonde dans le sens de la culpabilisation de notre pays.

    Valls et son “apartheid” (Présent 8277)« Les mots ont un sens »

    Ce n’est pas la première fois que Valls se hasarde à cette comparaison. En 2005 déjà, au lendemain des émeutes qui avaient mis à feu et à sang les banlieues, celui qui était alors maire d’Evry établissait ce parallèle douteux dans son livreLa Laïcité en face. Depuis, il nous le ressert régulièrement, expliquant notamment en 2009, sur la chaîne Direct 8« qu’un véritable apartheid s’est construit, que les gens bien-pensants voient de temps en temps leur éclater à la figure, comme ça a été le cas en 2005, à l’occasion des émeutes de banlieues ». Mardi, le Premier ministre est donc revenu à la charge en déclarant que « ces derniers jours ont souligné beaucoup des maux qui rongent notre pays » et « qu’à cela, il faut ajouter toutes les fractures, les tensions qui couvent depuis trop longtemps et dont on parle peu, (…) la relégation périurbaine, les ghettos, (…) un apartheid territorial, social, ethnique, qui s’est imposé à notre pays ».

     

    Des mots qui ont, bien sûr, suscité de vives réactions dans la classe politique. Ainsi le député UMP Philippe Gosselin, jugeant ces propos « vraiment excessifs », a-t-il rappelé que « les mots ont un sens » et que « la France aujourd’hui ne connaît pas l’apartheid que pratiquaient les dirigeants de l’Afrique du Sud ». Et de son côté, Florian Philippot a estimé pour le FN que le Premier ministre « a tenu des propos aussi irresponsables qu’insultants pour notre pays », ajoutant que Valls « ne peut ignorer que ses propos ne feront que jeter de l’huile sur le feu ».

    « Renforcer les processus de victimisation »

    En fait, comme le rappelait très justement le géographe Laurent Chalard, cité par leFigarovox, ces propos « sont particulièrement maladroits », parce que le Premier ministre « fait référence à un contexte historique et géographique très particulier (…) qui n’a strictement rien à voir avec la France et qui, si l’on suit sa définition stricto sensu, laisserait entendre que l’Etat français est responsable de cette situation, ayant volontairement “parqué” certaines populations dans des territoires réservés (nos grands ensembles étant nos bantoustans) et les empêchant de participer au reste de la vie de la société à travers une législation spécifique suivant l’origine ethnique des individus ». Une « interprétation erronée », ajoutait-il, qui « risque de renforcer les processus de victimisation et de déresponsabilisation déjà à l’œuvre parmi les personnes censées subir ce soi-disant apartheid ».

    Franck Delétraz

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  • Genre : les Blancs et les hommes doivent parler les derniers !

    C’est la dernière trouvaille d’une équipe d’activistes féministes de l’université Dalhousie de Halifax au Canada : pour en finir avec le racisme et la misogynie, il faut imposer de nouveaux rites dans l’enseignement. Les Blancs et les hommes doivent s’exprimer les derniers ! Dans les discussions en classe, en d’autres termes, les femmes et les Noirs doivent avoir la parole en premier.

    Une « règle consciente » pour contraindre les hommes à parler les derniers !

    Sans surprise, ce nouvel avatar du politiquement correct nous vient d’un programme d’études de genre. Il paraîtrait que les femmes et les filles sont éduquées – « socialisées » – dans notre monde pour ne pas parler les premières. « Fabriquer une règle consciente, délibérée, qui soit explicite, selon laquelle “non, les hommes n’ont pas le droit de s’exprimer les premiers”, est certainement une manière forte d’agir sur ce problème », assure Jacqueline Warwick, professeur de musicologie et ancienne coordinatrice du programme d’études de genre de Dalhousie.

    Les hommes, grands perdants du genre

     

    Et tant pis pour les réalités. Les hommes parlent certes moins au cours de la journée, mais se lancent plus facilement que les femmes, ils ont moins peur de se tromper. Dans le même temps on leur reproche de ne pas assez communiquer. Les femmes parlent davantage, nous disent encore les sociologues.

    Vrai ou pas, ce qui se joue dans le cadre des études de genre est bien de l’ingénierie sociale : modifier ce qui existe pour obtenir un résultat différent, quitte à perdre l’identité (et même pour perdre l’identité). Les femmes n’ont-elles aucune envie de répondre les premières, préférant prendre la mesure de ce qui se dit ? Elles n’en auraient plus le droit.

    Les hommes et les Blancs seraient-ils supérieurs ?

    Le plus drôle, c’est que de tout temps, dans les assemblées de réflexion civilisées, c’est au plus jeunes, aux moins instruits, aux petits nouveaux qu’on donne la parole en premier, afin qu’ils ne soient pas intimidés ou influencés par les prises de positions de ceux qui ont plus de sagesse et d’expérience : question de sincérité et de réel intérêt pour ce que les plus inexpérimentés diront. En réclamant que les hommes parlent après les femmes, ces féministes canadiennes à la petite semaine affirment tacitement une préséance des hommes sur les femmes, des Blancs sur les Noirs.

    Pour ce qui est de parler le premier ou le dernier, tous les couples savent l’avantage de celui – ou celle ! – qui a le dernier mot. On pourrait peut-être faire une loi ?

    Source : Reinformation.tv

    http://www.contre-info.com/genre-les-blancs-et-les-hommes-doivent-parler-les-derniers#more-36407