Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 3

  • « Je trouve ton adresse, j’te bute ». Un dessinateur menacé de mort pour avoir critiqué l’islam

    Voir l'image sur Twitter

     
    Après les menaces sur la jeune Mila suite à sa virulente critique de l’islam, c’est au tour d’un jeune caricaturiste, Cédu, de subir les foudres de nombreux internautes suite à un dessin sur l’Islam qu’il a publié sur le réseau social Twitter.

    Il reçoit des menaces directes « Je trouve ton adresse, jte bute », « vient pas pleurer si tu reçois des menaces de mort », « attentat dans vos mères » ou encore « Si Charlie hebdo subit un nouvel attentat, ça me ferait plaisir ».
     Parfois, il s’agit d’illustrations postées sous le dessin du caricaturiste, comme cette vidéo d’un homme tenant un couteau et proférant des menaces de mort ou cette photo des frères Kouachi.
    Voici ce que reçoit le dessinateur Cédu depuis plusieurs heures, sans discontinuer pour avoir usé de son droit au blasphème, de son droit à la caricature.
    Mais surtout pour avoir critiqué l’islam.

    Lire la suite sur Ma France

  • George Steiner, maître à lire, par Gérard Leclerc.

    La mort du grand universitaire George Steiner nous invite à revisiter une œuvre critique d’une extrême importance. C’est la culture qui donne son âme à une civilisation qui est faite de richesses patrimoniales et d’échanges. Sans compter cette richesse commune qu’est la Bible.

    En apprenant lundi soir la mort de George Steiner, d’instinct j’ai recherché ses livres dans ma bibliothèque. N’était-ce pas avant tout l’homme des livres, lui le lecteur insatiable et le transmetteur ? Malheureusement, ma bibliothèque étant en dérangement et en instance de rangement, je n’ai pu retrouver le carton où ils sont provisoirement emballés. J’aurais aimé relire quelques pages d’Après Babel que j’ai lues à peu près à sa parution, sous le conseil pressant de Pierre Boutang au milieu des années soixante-dix. Steiner m’avait ouvert tout un monde, qui est celui de la parole et de l’écrit avec la polyphonie des langues, ce trésor merveilleux.

    Universitaire de réputation mondiale, Georges Steiner est d’abord connu comme critique, un métier qu’il considérait avec la plus grande humilité. À Stéphane Barsacq qui l’interrogeait là-dessus, il répondait : « J’aimerais, si on se souvient de moi, oui j’aimerais que ce soit en tant que maître à lire. Maître à penser, je n’ose pas y aspirer, maître à lire, oui. » Et pour se mieux faire comprendre il empruntait une métaphore à Pouchkine : « C’est moi qui écrit les lettres, vous vous contentez de les mettre à la boîte. » La richesse de sa vie, notre professeur estimait que ça avait été de mettre les lettres à la boîte. Et encore : « Quand on a passé sa journée à enseigner Le roi Lear ou Phèdre ou Partage de midi, l’on se dit : “À quoi bon ?” Parce que la richesse de ces textes, de ces hommes est d’un ordre tout à fait différent du nôtre… » Mais, cher maître, pour pouvoir transmettre, il faut savoir se pénétrer du génie d’autrui et savoir aussi traduire, qui est bien une des plus belles facultés de l’esprit humain !

    Steiner avait une hantise qu’il exprimait à Barsacq dans les termes les plus directs : « Les temps vont être très difficiles, il n’y a pas de doute… Et il y a une forme de populisme, plein de vengeance, qui dit : on en a assez de votre culture, vous nous emmerdez avec votre culture. » Les pop stars n’ont-ils pas remplacé les écrivains ? Et pas seulement pour la jeunesse. À l’Élysée, pourtant sous François Mitterrand, Régis Debray était en concurrence sévère avec Jack Lang pour donner la prééminence aux écrivains par rapport aux vedettes du showbiz. Mais Steiner demeurera comme un témoin, gardien des vraies richesses de l’esprit et du cœur. Je pense à son appartenance juive, souvent compliquée, mais qui tenait d’abord à son attachement au livre des livres, la Bible. Ce livre dont il savait mieux que quiconque qu’il avait irrigué toute la grande littérature occidentale !

    Chronique diffusée sur Radio Notre-Dame le 5 février 2020.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2020/02/06/george-steiner-maitre-a-lire-par-gerard-leclerc-6210597.html#more
  • La France française a dit "ADIEU" à Roger Holeindre

    85009995_2923521961001149_1086777861492178944_n.jpg

    Grand moment de peine, de recueillement, d'émotion et, aussi, d'unité nationale jeudi 6 février lors des obsèques de Roger Holeindre célébrées en l'église St Roch à Paris.

    Une foule immense de patriotes s'est retrouvée pour dire un dernier adieu à celui qui a tout donné pour le combat national. En présence du Président Jean-Marie Le Pen et de nombreuses personnalités du mouvement national, la messe d'enterrement de celui qui, plus d'un demi siècle durant, a fait vibrer les salles était dite avec la conviction que nous lui connaissons par le Père Jean-Paul Argouac'h.  

    84503036_2641409346094810_2794114613912797184_n.jpg

    84459917_10213208220879581_3722979962588758016_n.jpg

    Texte de l'éloge magnifique prononcé par Bruno Gollnisch :

    2020-02-06-roger-holeindre-gollnisch.jpg

    Monsieur le Curé, qui accueillez notre peine ; M. l’abbé ;
    M. le Président d’honneur ;
    Mesdames et Messieurs les porte-drapeaux et représentants des autorités religieuses ; civiles, militaires, et associatives ; 
    Bien chers amis ;

    Roger Holeindre nous a quittés dans la nuit du 29 au 30 janvier 2020 dans sa 91e année. Cet homme qui a mené de front plusieurs vies est né le 21 mars 1929 à Corrano (Corse), dans un milieu très modeste, de mère corse et de père vosgien. Adolescent, il est pendant la guerre en région parisienne à Rosny, dans la pension de M. Marcel Clerbois, fidèle au Maréchal, qui y héberge aussi de nombreux enfants juifs, et dont Roger chérira toujours la mémoire. L’été 1944, à l’âge de 15 ans, échappé de l’internat dans l’euphorie de la Libération prochaine, il réussit au péril de sa vie et sous le feu à s’emparer, dans un train de munitions en gare de Rosny, de deux mitrailleuses allemandes, que le patriote M. Clerbois, non sans l’avoir sermonné, ira ensuite remettre aux libérateurs… 

    Lire la suite sur Synthèse nationale

  • Marie d’Armagnac : « L’objectif du congrès des conservateurs : se réapproprier la mémoire collective de la civilisation face à l’islam et au mondialisme ! »

    marie-darmagnac.png

    Lundi et mardi avait lieu, à Rome, le congrès des conservateurs sous l’égide des Américains. Des personnalités comme Marion Maréchal, Viktor Orbán, Édouard Husson et Giorgia Meloni, la présidente de Fratelli d’Italia, et d’autres y ont fait des discours marquants. Tous rassemblés sous les couleurs du conservatisme.

    Marie d’Armagnac, qui a suivi le congrès, répond aux questions de Boulevard Voltaire.


    Hier, vous étiez au congrès des conservateurs à Rome. Une alliance entre l’ultra libéralisme et le fascisme pour certains et un congrès des conservateurs pour d’autres.
    Que s’est-il passé à Rome ?

    C’était évidemment bien plus qu’un congrès des conservateurs internationaux qu’autre chose.

    Lire la suite