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  • De l’urgence de changer de logiciel

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    Voici notre quatrième intervenant, l'écrivain, chroniqueur et éditeur Philippe Randa que l'on ne présente plus aux lecteurs de Synthèse nationale...

    S.N.

    Philippe Randa

    Le terme « mondialisme » prête souvent à confusion à notre époque où la circulation à travers le vaste monde, en durée comme en moyens, est aussi simple qu’ancrée désormais dans les habitudes des plus riches comme dans les rêves des plus pauvres. À moins d’être fou ou particulièrement mauvais de nature, on ne saurait, à l’évidence, le déplorer… et encore moins vouloir l’empêcher.

    Définissons donc d’emblée le « mondialisme » : une idéologie politique visant à instaurer un État mondial, ayant aboli toutes notions de frontières, appelé parfois « village mondial » et sensé représenter un Eldorado de prospérité économique, de concorde entre tous les humains, d’accès à la consommation pour tous et surtout, béatitude suprême ! de surconsommation… Bref, une sorte de retour de l’Homme, de la femme et du transgenre si affinité au Jardin d’Eden, terrestre celui-là, mais sans l’interdit de manger les fruits de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, puisqu’ils seront génétiquement modifiés aux normes de la Pensée unique.

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  • Le professeur Raoult règle leur compte aux médias

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    Le dernier épisode des aventures du professeur Raoult vient de sortir. Assez peu d’effets spéciaux, aucune cascade. Blouse blanche, allure de mousquetaire, une machine à café en arrière-plan. La production persiste à limiter le budget alors que le look du personnage semble tout indiqué pour un film de cape et d’épée. Pas même un seul cheval à l’horizon. De qui se moque-ton ?

    Les dialogues, en revanche, méritent le détour. Notre héros s’aventure, cette fois-ci, sur des terrains jusqu’alors inexplorés lors de ses dernières interventions. Le téléspectateur frémit. « Mais que fait-il ? Non ! Il ne va pas oser ? » Eh bien, si ! Après avoir constaté la révolution du droit à la parole engendré par l’apparition des réseaux sociaux, le professeur se lance, tête la première, contre la grande méchante collusion médiatique avec cette phrase qui pourrait le voir banni à jamais des plateaux de BFM TV et de ses semblables (âmes sensibles s’abstenir) : « C’est pour ça que les médias traditionnels peuvent éventuellement qualifier de “fake news” ce qui ne sont pas les news que eux propagent. »

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