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  • Les trois populations ancestrales des Européens

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    La population européenne actuelle était jusqu'à présent considérée comme l'héritière de deux grandes populations ancestrales d'une part : une population de chasseurs-cueilleurs répandue très tôt dans toute l'Europe occidentale, il y a environ 45 000 ans, et d'autre part une population de « fermiers » arrivés du Proche-Orient il y a environ 8 000 ou 9000 ans (les Européens du Nord ayant davantage d'ancêtres chasseurs-cueilleurs, les Européens du Sud davantage d'ancêtres agriculteurs). Mais voici qu'en séquençant les génomes d'un agriculteur ayant vécu il y a 7 000 ans dans l'Allemagne actuelle et de huit chasseurs-cueilleurs qui vivaient il y a 8 000 ans en Suède et au Luxembourg, une équipe internationale dirigée par Iosif Lazardis, de l’École de médecine de l'Université de Harvard, vient de découvrir une troisième population ancestrale des Européens. La comparaison de ces génomes avec ceux de 2 345 hommes contemporains a en effet révélé l'existence d'une troisième branche, nord-eurasiatique, apparentée aux Sibériens du paléolithique supérieur. Cette population aurait également apporté sa contribution au patrimoine génétique des tribus qui ont traversé le détroit de Behring pour rejoindre le continent américain il y a environ 15 000 ans. La proportion d'ancêtres nord-eurasiens ne dépasserait pas 20 % dans toute l'Europe, mais on la retrouve un peu partout, y compris en Angleterre et chez certaines populations du Caucase et du Proche-Orient. Ce que l'on ignore encore, c'est quand ces Nord-Eurasiens sont arrivés en Europe, et d'où ils provenaient exactement.

    Source : Nature, 18 septembre 2014.

    via éléments N°156

  • Sous les fallacieux prétextes de combattre l’épidémie, des mesures de racisme anticatholique

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    L’AGRIF réagit aux propos du ministre de l’Intérieur :

    En digne continuateur de Manuel Valls faisant jadis gazer les paisibles manifestants contre la dénaturation du mariage, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, se campe dans une sublime posture d’Artaban pour annoncer son héroïque détermination à faire disperser les dangereux catholiques qui, manifestant devant les églises pour exiger le respect de la fondamentale liberté du culte, menaceraient la République.

    Ce méchant ouistiti rejoint ainsi son prédécesseur le blaireau Castaner et tous les autres de cette ribambelle ministérielle, plus aptes à persécuter les catholiques qu’à empêcher en France les massacres de l’islam jihadiste.

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  • Professeur Raoult : ces curieuses plaintes sans victimes

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    Le dossier du professeur Raoult est lourd. Rappeler les attaques et bâtons dans les roues dont il fut la cible emmènerait le lecteur jusqu’à une heure avancée de la nuit. Quelques minutes après la dernière phrase de sa première apparition médiatique marquante, des spécialistes arrivaient essoufflés sur les plateaux de BFM TV. Son protocole ne marchait pas. Ils l’avaient essayé en route, ça ne donnait rien.

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  • Notre héritage néandertalien

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    On pensait jusqu'ici que l'homme de Néandertal avait disparu il y a environ 30 000 ans, et que c'est dans le sud de la péninsule ibérique qu'il s'était maintenu le plus longtemps. Après avoir examiné près de 200 restes de Néandertaliens, ainsi que des outils utilisés par eux provenant de 40 sites archéologiques dispersés dans toute l'Europe, depuis le Caucase jusqu'au Portugal, et les avoir soumis à de nouvelles méthodes de datation (des techniques d'ultrafiltration qui purifient le collagène extrait des os pour éviter sa contamination par des particules modernes), Tom Higham, Ron Pinhasi et leurs collègues de l'Université d'Oxford et du Collège universitaire de Dublin estiment maintenant que l'extinction de l'homme de Néandertal a eu lieu plus tôt qu'on ne le croyait, plus précisément entre il y a 41 030 et 39 260 ans.

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