L’industrie du logiciel est étrange, parce qu’un programme informatique est un produit bizarre. Le client y est invité à payer une redevance de maintenance périodique pour que l’éditeur corrige – entre autres – les erreurs qu’il n’aurait pas dû commettre dans la conception et la réalisation de son produit. La métaphore animale est sans doute probante : un logiciel est en constante métamorphose, au point que l’on y numérote les versions. Parfois, le code est changé pour corriger ses petits insectes (traduction littérale de l’américain « bug »), d’autres fois pour ajouter de nouvelles fonctionnalités, comme les ailes qui permettent le vol à la chenille devenue papillon.
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L’ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE : CHOIX DE CIVILISATION OU MOMENT D’ILLUSION ?
L’élection présidentielle est l’acte politique essentiel de la Ve République. A l’origine, elle avait été conçue par le Général de Gaulle comme la rencontre d’un homme avec le Peuple français. Choisi en dehors du jeu des partis, cet homme ( qui pouvait être une femme) devait dominer la politique du court terme en maintenant le cap de la nation sur la longue distance, en voyant les choses de plus haut, d’où son rôle dans la représentation du pays sur la scène internationale et dans les grands choix du pays. Cela justifiait un mandat de sept ans, la possibilité de dissoudre l’Assemblée et sa majorité nécessaire au gouvernement, et l’usage du référendum pour en appeler directement au Peuple.
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Pourquoi il faudrait annuler la COP26
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Au cœur des forces spéciales avec un ex commando marine : Louis Saillans
Louis Saillans est entré dans les commandos marine en 2011. Pendant près de 10 ans, en tant que chef de groupe dans les forces spéciales, il a traqué des djihadistes, libéré des otages, capturé des ennemis de la France. Dans « chef de Guerre », Louis Saillans raconte ses missions, et pour Livre Noir, il dévoile son parcours dans les forces spéciales, son engagement pour la France et ses propositions lutter contre l’islamisme.
https://www.lesalonbeige.fr/au-coeur-des-forces-speciales-avec-un-ex-commando-marine-louis-saillans/
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Macron : vote utile de la gauche pour faire barrage à l’« extrême droite » dès le premier tour ?
Les élections présidentielles pourraient ne pas avoir lieu à gauche. En cause ? L’idée qui s’installe dans l’électorat, selon laquelle aucun candidat de gauche ne pourra atteindre le second tour. Le président sortant Emmanuel Macron serait donc le seul capable d’empêcher une victoire de Marine le Pen ou d’Éric Zemmour. Selon une étude publiée par la fondation Jean Jaurès ce jeudi 28 octobre, plus de la moitié des potentiels électeurs de Yannick Jadot (EELV) et Anne Hidalgo (PS) et 41 % des sympathisants LFI envisagent de voter Emmanuel Macron au premier tour pour « faire barrage à l’extrême droite« .
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Le Sénat polonais approuve la construction d’un mur de 5 m de haut et jusqu’à 300 km de long à la frontière avec le Bélarus contre les migrants
Avec 52 voix pour, 46 contre et 1 abstention, le Sénat polonais vient d’adopter la loi sur le renforcement de la sécurité des frontières de l’État.
Le futur mur à la frontière biélorusse-polonaise fera 5 mètres de haut et jusqu’à 300 kilomètres de long pour un coût jusqu’à 350 millions d’euros. Il protègera par la même occasion tous les autres pays de l’UE. En attendant la construction du mur, ce sont des barbelés qui protègent la frontière.
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Le journal des cercles : la Savoie !
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Le droit de propriété dans la doctrine catholique face à l’abolition de la propriété théorisée par le Foum de Davos
Vu sur MPI par Francesca de Villasmundo
Build back better, Reconstruire mieux, est le cri de ralliement trompeur des « messianistes apocalyptiques » de Davos, théoriciens du Great Reset, cette soviétisation soft du monde. Sans scrupules, ces milliardaires et propriétaires, ces capitalistes thuriféraires du libre-échange sans contrainte et du village global planétaire, désireux de construire un monde où la vie privée elle-même sera obsolète, partent à l’assaut de la maison individuelle, celle des autres, afin de répondre à une sacro-sainte injonction environnementale qu’ils ont eux-mêmes échafaudée et aux besoins sociaux de l’humanité.
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Sykelgaite de Salerne (1040 ? – 1090)
« Cette rumeur concerne directement Sykelgaite, l’épouse de Robert (qui chevauchait à ses côtés et était à ses yeux une seconde Pallas, si ce n’est une Athéna). Lorsqu’elle vit les soldats s’enfuir, elle s’en prit à eux avec férocité et d’une voix très puissante leur cria, dans sa langue natale, ces paroles dignes d’Homère : « Jusqu’où fuirez-vous ? Résistez, et battez-vous comme des hommes ! » Lorsqu’elle vit qu’ils continuaient de s’enfuir, elle s’empara d’une lance et poursuivit les fuyards au grand galop ; voyant-cela, ces hommes se reprirent et retournèrent au combat. »Extraite de l’Alexiade, chronique rédigée entre 1137 et 1143 par Anne Comnène, fille de l’empereur Alexis Comnène, cette citation révèle la fascination exercée par la duchesse Sykelgaite sur l’auteur… À juste titre !
Probablement née vers 1040, Sykelgaite (prénom parfois orthographié “Sichelgaite” ou “Sichelgaita”), est d’illustre naissance : par son père Guaimar IV, elle appartient à la lignée des princes lombards de Salerne.
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Visite présidentiable – Orbán et Marine Le Pen sur la même ligne
La dirigeante du Rassemblement national a été reçue en grande pompe mardi par le Premier ministre hongrois Viktor Orbán. Comme on aime à le souligner dans l’entourage de Marine Le Pen, si sa nièce Marion Maréchal et le polémiste et candidat non déclaré Eric Zemmour avaient été reçus par Orbán il y a un mois à l’occasion du 4e Sommet démographique auquel ils avaient participé, « ils ont été reçus en tant qu’intellectuels, en marge d’un colloque ; Marine Le Pen ne va pas rencontrer Viktor Orbán dans sa bibliothèque mais dans ses bureaux! » (dixit l’eurodéputé Philippe Olivier). Mais comme l’a déclaré le Hongrois, répondant à la question d’un journaliste français lors de la conférence de presse commune avec Marine Le Pen, il n’est pas question d’apporter un soutien à l’un ou l’autre des candidats à la présidentielle française car « il faut être respectueux de ses hôtes » et le gouvernement magyar ne peut « pas prendre de position sur ce qui ne regarde que le peuple français ».