La bonne ville de Saint-Denis semble s’être à nouveau distinguée, sans doute bien malgré elle.
La faute, cette fois, non pas à 40.000 faussaires anglais sortis de l’imagination bananière d’un responsable politique, mais sans doute au hasard et à la canicule, ainsi qu’au degré de compétence de l’entreprise impliquée.
La manière dont l’événement est relaté (ou non...) dans la presse de ce jour, au lendemain des faits, éclaire cependant la pente savonneuse sur laquelle semble se trouver la « 5e puissance mondiale », avec cette impression diffuse que l’ère Macron pourrait ne pas être étrangère à l’accroissement du phénomène.