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La lutte des tribuns révolutionnaire contre les femmes avait commencée bien avant la Révolution de 1789. Dans son ouvrage écrit entre 1782 et 1788 « Notes scientifiques et anecdotes », Gilbert Romme donne le ton : « Je ne veux pas qu’une femme soit savante, mais je désire qu’elle en sache assez pour se plaire à la conversation des gens instruits ». Cet homme politique qui fut à l’origine du Calendrier républicain était dans le ton général de l’Esprit des Lumières au sujet des femmes. Nous ne reviendrons pas sur les écrits misogynes d’un Voltaire, d’un Diderot et de tous les médecins-philosophes qui ont fondé la pensée misogyne des Lumières qui conduira à l’exclusion des femmes de la vie politique, puis au Code Napoléon qui les privera de tout statut social jusque dans la décennie 1960.
Le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin se déploie en communication, mais la Macronie lutte tant contre l’immigration que nos structures d’accueil explosent.
Ainsi, ce mercredi 29 novembre, le département de l’Ain (Bourg-en-Bresse) a tranché dans le vif. Il suspend « temporairement » pour au moins trois mois la prise en charge des fameux « mineurs non accompagnés », dits MNA, qui arrivent directement sur son territoire. Le département a publié en ce sens un communiqué dont nous avons confirmé la validité auprès du service de communication. « Confronté depuis des mois à une augmentation massive d’arrivées de mineurs non accompagnés, le département de l’Ain n’est actuellement plus en capacité d’en accueillir », tranche officiellement le département. Ce n’est pas faute de bonne volonté. En 2023, le département a créé 150 places d’hébergement. Mais voilà, « le dispositif explose », explique le département qui « ne dispose plus de solutions, ni temporaires, ni pérennes ».
Le tribunal administratif a suspendu vendredi soir l’arrêté d’interdiction de rassemblement à Paris d’un groupuscule de l’ultradroite en hommage au jeune Thomas tué lors d’une fête de village dans la Drôme, estimant qu’il s’agissait d’une «atteinte grave à la liberté de manifester». (…)
J’étais l’invitée d’Amandine Bégot pour la Matinale de RTL.
J’ai refusé de participer à cette grossière tentative de diversion qui consiste à condamner des manifestations de « l’ultra-droite ».
Je le refuse, car je ne supporte plus que l’assassinat dramatique du jeune Thomas à Crépol soit minimisé, alors qu’il est un fait de société ; que le racisme anti-blanc et la haine anti-française soient dissimulés par les juges et par les journalistes, alors qu’il tue des Français !