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L’Europe d’une guerre à l’autre (XVII-2) – Grande-Bretagne – l’amant maudit d’Adolf Hitler
Par Nikolay STARIKOV
Deux semaines après l’attaque déloyale de la Grande-Bretagne sur la Marine Française, le monde discutait déjà d’un événement très différent. Le 19 juillet 1940, Adolf Hitler monta à la tribune du Reichstag allemand. Dans ce hall étaient assis non seulement les membres du Parlement allemand, mais aussi des généraux, les chefs des SS , et des diplomates – la crème du troisième Reich. Tous ont ardemment écouté leur Führer. Et de quoi parlait-il ? Du brillant succès de l’armée allemande qui avait écrasé la France à une vitesse incroyable. Mais ensuite Hitler continua de parler… de paix. Pas de l’idée abstraite qu’est « la paix dans le monde, » mais d’une paix particulière entre les puissances mondiales qui incarnaient cet idéal. Hitler, un anglophile, était au sommet de sa gloire quand il fit son appel à la paix à la Grande-Bretagne. Le vainqueur offrait la paix au vaincu. Le discours de Hitler, qui était traduit en anglais par un interprète pendant qu’il parlait, a fait le tour du monde.
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Bourg-lès-Valence (26) : la cour d’assises de la Drôme juge Karim Soua, un migrant tunisien, pour le meurtre de son voisin Thierry Dubois. Il était énervé car son vélo était dégonflé.
Après avoir nié, Karim Soua va avouer son geste meurtrier, détaillé par la présidente de la cour : « Il est 22 h 30, l’accusé descend à la cave récupérer un vélo, mais le pneu est dégonflé. Alors qu’il remonte, il croise son voisin qui lui dit : “Tu m’emmerdes, tu ne fermes pas la cave, tu fais chier.” »
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Marion Maréchal, parfaite, à TPMP (C-8)
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Centenaire de Barrès : messages posthumes à une jeunesse française déracinée
Un poète de génie, jeté aux oubliettes
Oublié depuis, il a eu depuis, parmi d’innombrables titres de noblesse celui d’avoir suscité la jalousie d’un Gide, ne supportant pas que Barrès puisse être le « prince de la jeunesse » française, à la fois enracinée dans son terroir ainsi que dans sa patrie, et férocement libre, voyageur ouvert au monde, les pieds dans sa terre, la tête dans les étoiles...
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Le Samedi Politique avec Xavier Raufer - Jeffrey Epstein : totem de l'élite pédocriminelle ?
Qui est vraiment Jeffrey Epstein ? Avant de finir suicidé dans une prison surprotégée de New York, l’énigmatique millionnaire a vécu des décennies en totale impunité. Intégré au cœur de l’élite mondialiste, des présidents Clinton, Biden ou Trump, à la reine d’Angleterre en passant par le pape et tout le gratin hollywoodien, Jeffrey Epstein s’est adonné à sa passion criminelle pour les très jeunes filles en corrompant des mineures tirées de leur milieu pauvre pour assouvir ses besoins compulsifs et ceux de ses "amis". Accompagnée de son double féminin, Ghislaine Maxwell et probablement d’un complice français Jean-Luc Brunel, Epstein avait ainsi organisé un véritable réseau de pédocriminalité et probablement de corruption, en compromettant tous ceux qui participaient à ses soirées orgiaques grâce à des photographies et des vidéos capturées aux quatre coins du monde. Financier douteux, il faisait transiter des sommes pharamineuses sur ses comptes en banque de la JP Morgan sans jamais être inquiété sérieusement.
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La souveraineté expliquée, dans les belles histoires de l'oncle Charles.
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Insécurité, déni médiatique, immigration…
Le meurtre du jeune Thomas à Crépol, les règlements de comptes dans les cités faisant des morts collatéraux, l’attentat islamiste à deux pas de la tour Eiffel samedi dernier : la France semble s’enfoncer dans une insécurité ordinaire. Peut-on atteindre un consensus sur le constat ? Y a-t-il encore un déni médiatique sur le lien entre immigration et délinquance ?
Lien permanent Catégories : France et politique française, immigration, insécurité, lobby 0 commentaire -
Les Lucs-sur-Boulogne : l'Oradour-sur-Glane de Vendée
Il y a 220 ans, le 28 février 1794, aux Lucs-sur-Boulogne…Ce jour là, 564 vieillards, femmes et enfants dont 110 âgés de moins de 7 ans périrent enfermés dans l’église du village des Lucs-sur-Boulogne (Vendée), massacrés à coups de mitraille par les soldats « républicains » envoyés par la Convention.
Les Lucs-sur-Boulogne, contrairement à ce que l’on dit habituellement, n’est pas l’Oradour-sur-Glane de la Vendée, c’est bien Oradour-sur-Glane qui est Les Lucs-sur-Boulogne du Limousin. Malheureuse République qui, dans son obsession de la repentance, préfère encore la copie à l’original ! Car inutile de demander à mes compatriotes s’ils connaissent cet épisode monstrueux de notre histoire, l’immense majorité d’entre eux n’en ont jamais entendu parler, pas plus d’ailleurs que la terrible répression de Fouché et Collot d’Herbois sur la ville de Lyon – 1.876 exécutions du 4 au 27 décembre 1793 à coups de canon chargés à mitraille –, pas plus que les 4.800 noyés à Nantes, dont 2.000 la seule semaine de Noël, pas plus que… etc.
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L’infirmière du pont de Bir Hakeim se confie à BV