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  • Hommage du 7 octobre : LFI a été conspuée. D’autres le méritaient aussi

    À l’hommage aux victimes du 7 octobre, des députés de La France insoumise ont été accueillis par la foule attroupée par des huées et des sifflets. On la comprend. Certains, dans la presse, comparent leurs larmes de crocodile à celles de Jonathan Daval le jour de la marche blanche en l’honneur de son épouse Alexia qu’il venait de tuer. De fait, qui ne chasserait pas à coups de taloche de l’enterrement de son enfant assassiné un individu ayant qualifié le meurtrier de résistant ? Comment ne pas interpréter cette présence comme une cynique provocation ?

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  • Les pirates barbaresques – Partie 3 : La Lingua Franca des esclaves et du Bourgeois Gentilhomme

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    La Lingua Franca (ou Langue Franque, ou Franco)  est la langue véhiculaire utilisée jusqu’au XIX ème siècle dans les contacts entre le nord et le sud de la Méditerrannée, entre marchands chrétiens et marchands musulmans ou juifs, entre maîtres et esclaves.

    La langue de personne, parlée par tout le monde

    La Lingua Franca  présente cette caractéristique étonnante : elle est très largement répandue, mais ce n’est la langue de personne. Dakhlia parle de “no man’s langue“, de “langue-sas“, de “langue de l’entre-deux“. C’est une pure langue de contact, et de contact contraint. Les maîtres musulmans n’acceptent pas que leurs esclaves parlent les langues européennes normales : ils veulent comprendre ce qui se dit. Ils n’acceptent pas non plus qu’ils parlent arabe, soit par refus que  leur langue “sacrée” soit souillée par des infidèles impurs, soit pour des raisons plus pragmatiques, comme le souligne Dakhlia :  “Thévenot explique qu’à Tunis, au XVII ème siècle, il faut cacher que l’on entend l’arabe. Sans doute voulait-on éviter les fuites d’esclaves ou de captifs si trop d’entre eux s’initiaient à la langue du pays. L’argument de la sacralité de l’arabe ne doit pas être trop systématiquement invoqué.”

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  • Energie, immigration reprendre le contrôle I Charles-Henri Gallois

  • Le réalisateur de « Ma part de Gaulois » trouve “abjecte la préférence nationale” et tacle les “chaines d’opinions, du miel pour les fachos” (MàJ : 6.000 entrées en 1 semaine, scores désastreux aussi dans des banlieues)

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    08/02/2024

    (…) Cédric Lépine, journaliste : Votre décision de vous consacrer pour le cinéma trouve-t-elle des similitudes dans l’histoire du protagoniste de votre film ?

    Malik Chibane : Oui, la musique, le cinéma, être un artiste, avoir une démarche singulière et surtout avoir l’immense privilège de s’exprimer revêt pour moi un caractère vital. Maintenant j’aimerai faire des comédies ou des films déconnectés du climat politique de notre Douce France, mais faut croire que cela reste difficile pour ne pas dire impossible. M’exprimer est vital et faire ce film c’est aussi un peu d’oxygène dans une France médiatique souvent irrespirable où on crache sur la tombe de nos parents, souille de contre-vérités nos albums de famille. L’immigration maghrébine, de la première à la quatrième génération, n’a pas la place qu’elle mérite dans le fameux roman national (…)

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  • Le ministre russe de l'économie Maxim Rechetnikov, annonce que le PIB de son pays enregistre sa plus forte croissance depuis dix ans, hors 2021, l’année post-Covid

    Le ministre russe de l'économie Maxim Rechetnikov, annonce que le PIB de son pays enregistre sa plus forte croissance depuis dix ans, hors 2021, l’année post-Covid

    Selon la première estimation de Rosstat, la croissance du PIB en 2023 était de 3,6%, ce qui est « au-dessus de la plupart des attentes », déclare le ministère de l’Économie, ajoutant que ce chiffre « s’est avéré être le plus élevé de la dernière décennie (la seule exception est la reprise post-Covid en 2021). Ainsi, les attentes du chef du ministère Maxim Rechetnikov, selon lesquelles l’estimation finale pourrait rapprocher le taux de croissance du PIB de 4% en 2023, se sont révélées tout à fait réalistes. (Stratpol)

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