Par Isidore Rouvier
L’information est un peu passée entre les mailles du filet de la réalité médiatique, toute occupée, et bien légitimement, à traiter la révolte en cours de nos agriculteurs. Elle n’en demeure pourtant pas moins d’intérêt. Le 20 janvier dernier, c’est au terme d’un grand plaidoyer sur la volonté gouvernementale de « garder notre identité française », que Gabriel Attal, en catimini, annonçait que des séances d’éducation « à la vie affective, relationnelle et sexuelle » seraient dispensées dès l’école primaire, à partir de la rentrée prochaine.