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Mon article sur le refus de Marine Le Pen de se séparer des fonctionnaires « car c’est une mesure de droite » a attiré l’attention d’un ami qui m’a adressé des informations de première main, toutes publiques, que je vous livre ici.
Ces informations confirment que c’est une question ultra sensible pour tous les politiques. Ça n’en reste pas moins un problème.
Les États européens restent profondément divisés sur le possible déploiement à grande échelle de forces terrestres en Ukraine, qui a reçu un soutien croissant de la part des pays de tout le continent au cours de l'année écoulée. Selon un rapport du Times, bien qu'ayant adopté une des rhétoriques les plus hostiles à l'égard de la Russie, les États baltes et la Pologne ont néanmoins montré des appréhensions à l'égard d'une telle escalade en raison du risque que les retombées puissent les exposer. L'Allemagne, qui a également été parmi les plus proactives dans l'armement de l'Ukraine, a évité d'apporter son soutien en raison des élections imminentes en février, car l'effort de guerre est devenu de plus en plus impopulaire au niveau national. La France, le Royaume-Uni et les États nordiques ont quant à eux été les plus favorables à une telle escalade, même si certains craignent que de telles opérations ne soient pas possibles sans un soutien américain important.
Le 1er février 2025, la Russie a lancé une attaque de missile de précision sur l’hôtel Bristol de la ville d’Odessa en Ukraine, annihilant un QG du renseignement de l’OTAN. La destruction de la cible a éliminé des agents du renseignement français de la DGSE, des membres des forces spéciales et des agents alignés avec l’OTAN engagés dans des opérations secrètes le tout sous couvert de la fonction de «conseillers militaires». Cet évènement a pulvérisé le rôle secret joué par la France en Ukraine, exposant par là même l’étendue de son implication secrète et clandestine.
Nos services publics s’effondrent et ce n’est pas la faute de fonctionnaires. Certes certains ne font pas bien leur travail comme dans toute collectivité humaine, tel n’est pas le problème. Le problème n’est pas les gens.
Le problème c’est le système qui devient fou, et nos fonctionnaires qui vivent dans cette maison des fous, deviennent eux aussi totalement fous.
La France, ce grand corps malade, n’en finit plus de sombrer économiquement, financièrement, moralement, politiquement. Il faut une sacrée dose d’optimisme ou une imagination frôlant la démence pour trouver des sujets de satisfaction dans notre pays aujourd’hui. Bayrou déclenche le 49.3 pour faire passer un budget qui n’apportera que le pâle contentement d’avoir un budget. Les peureux, ceux, comme Jospin, qui pensent que voter la censure « ce ne serait pas responsable », évitent cependant de nous expliquer en quoi cela le serait. Bien entendu les craintifs, ceux qui vont se réjouir d’avoir enfin ce fameux budget, oublieront dans quelques mois qu’ils ont pleuré pour l’avoir et seront vent debout face aux excès et dérapages qu’il engendrera, nécessitant de nouvelles hausses d’impôts et l’établissement de taxes supplémentaires. Car c’est bien ce qui se passe factuellement : ils votent les uns derrière les autres, des budgets qui engendrent de nouveaux déficits qu’il faut combler en levant de nouveaux impôts, dans le pays déjà le plus imposé.
Le bureau de presse du Service des renseignements extérieurs (SRE) de la Fédération russienne rapporte que, selon des informations collectées par le SRE, dans le quartier général de l’OTAN on envisage de plus en plus un changement de pouvoir en Ukraine. L’hypothèse de Bruxelles est que les forces armées ukrainiennes seront très bientôt incapables de contenir l’assaut croissant de l’armée russienne. Après l’arrivée au pouvoir de D. Trump aux États-Unis, l’incertitude grandit quant à la poursuite de l’assistance militaire que l’Occident sera en mesure de fournir à Kiev.
Il y a exactement quatre-vingts ans, le 4 février 1945, s’ouvrait, dans une station balnéaire de la Crimée soviétique, la conférence interalliée de Yalta. Elle dura une semaine, réunissant les leaders des trois grandes puissances qui étaient en train de gagner la Seconde Guerre mondiale : l’Américain Roosevelt, le Britannique Churchill, le Soviétique Staline. Son but était de coordonner les dernières opérations militaires contre les agresseurs allemand et japonais, ainsi que d’organiser la paix mondiale, notamment en Europe. Charles de Gaulle n’avait pas été invité.
Trois policiers de la brigade des réseaux franciliens (BRF) ont été agressés ce mardi en milieu de journée, à Paris près de la préfecture de police. L’agresseur s’est dirigé vers le groupe, a tenté de s’emparer de l’arme de l’un d’eux, puis, armé d’un morceau de verre, en a blessé deux en criant « Allah Akbar », selon les déclarations des policiers rapportées par le préfet de police, Laurent Nuñez.
Elle a fini par être retrouvée au bout de six jours, à 500 kilomètres de chez elle, dans un état second. Lilou, 16 ans, a disparu le 23 octobre 2024 de Metz, alors qu’elle devait aller faire une course au pressing dans le cadre d’un stage. Après une énorme mobilisation de sa mère sur les réseaux sociaux, l’adolescente a réapparu le 29 octobre dans un train en gare de Voiron (Isère). “Saine et sauve” comme le veut la formule. Mais la mise en examen pour proxénétisme aggravé d’un homme, quelques jours plus tard, laisse imaginer ce qu’il s’est passé.
Le nouveau slogan de Valeurs Actuelles « La droite mérite le meilleur » est déclinable à l’envi. Il porte en lui une double aspiration fondamentale, à la fois intime au cœur de l’homme et en même temps passablement étouffée par la postmodernité : la fierté et l’ambition. Chronique du père Danziec :