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Immigration organisée : STOP !

L’Observatoire de l’immigration et de la démographie révèle que l’immigration coûte 3,4 % du PIB français. Au-delà de cette révélation récente, fracassante, il faut analyser les choses avec lucidité. Les gens de terrain n’ont pas eu besoin de ce chiffre de l’OID pour se rendre compte que quelque chose n’allait pas. L’immigration ne financerait que 86% de ses coûts, le reste est à la charge des contribuables, aggravant les difficultés économiques. Et encore, l’estimation est basse, on va voir pourquoi. Il ne s’agit pas, bien entendu, de l’immigration en générale, ce que tout le monde a bien compris, mais d’une certaine immigration, essentiellement masculine, qu’il n’est pas besoin de détailler. Personne ne se plaignant des Hollandais qui viennent ouvrir des commerces artisanaux dans le Morvan.

Les dirigeants, très probablement corrompus, nous vendent cette immigration spécifique comme un remède miracle pour sauver nos retraites et notre modèle social… foutaise, puisque l’on s’apprête à gratter chez les retraités pour pouvoir continuer à payer cette gabegie immigrationniste qui nous coûte effectivement bien plus qu’elle ne rapporte. Et si elle se mettait vraiment au travail, nous n’aurions aucun problème de recrutement, avec tous ceux qui sont déjà là. En France, seuls 62,4 % des immigrés en âge de travailler ont un emploi en France, contre 69,5 % des natifs, en 2023. Et encore, une enquête similaire, menée en Grande-Bretagne a donné des chiffres encore moins encourageants, il n’y a pas de raison que ce soit différent en France. Il y a deux mythes dont il faut se défaire : ce n’est pas une demande des grands groupes qui veulent du personnel compétent et qualifié. Ce n’est pas non plus une catégorie de gens qui font les sales boulots que les Français ne veulent pas faire. Ils font, quand ils travaillent, les boulots en rapport avec leurs qualifications.

En réalité, les coûts sont bien supérieurs à ceux annoncés qui ne prennent pas en compte tous les coûts induits. En Ile-de-France par exemple, on a plus de 50 000 nuitées d’hôtels, payées tous les jours, soit environ 1,2 milliard pas an, rien que pour l’Ile-de-France, alors qu’on sait que le même dispositif existe aussi dans de grandes capitales régionales. Il y a le business des associatifs, avec les associations d’accueil qui gèrent les nuits, les repas, les transports, les papiers, avec des salaires de cadres parfois à plus de 10 000 euros par mois et des avantages qui dérapent, dont l’un passé récemment en jugement. On ajoute l’aide juridictionnelle qui permet à un migrant demandeur de papiers, d’épuiser tous les recours juridiques en cas de refus, aux frais du contribuable évidemment. Mais encore, ces procédures encombrent les tribunaux, occupent les fonctionnaires du Ministère de la Justice et permettent de rétribuer des cohortes d’avocats. Ajoutons le coût de la délinquance, sur lequel on a moins de données objectives, mais on sait que la seule délinquance des mineurs non-accompagnés arrive à pourrir les centres de certaines grandes villes.

Impossible non plus de chiffrer les mutations profondes de la société française qui s’est adaptée à ce phénomène de l’immigration, on va dire « non européenne » qui n’existait pas jusqu’à la fin des années 70. Depuis l’arrivée de cette population exogène, on a, dans l’ordre, la fuite des autochtones de certains quartiers, devant l’impossibilité de « vivre ensemble » sans adopter leurs mœurs et encore. L’apparition de vigiles, dans les supermarchés et autres commerces. Le naissance du concept d’établissement scolaire sensible qui n’est pas lié comme on le pense au manque de mixité sociale, puisque la mixité sociale est partout. Dans les villages, tous les parents mettent leurs enfants dans la même école communale, où il y a donc mixité sociale. C’est bien de mixité ethnique dont on parle sans dire le mot. Puis les phénomènes de go-fast, de drogue, de deal, de quartiers de Reconquête Républicaine, de violences en réunion. Puis la nécessité de barricader toutes les fêtes, tous les événements, de peur d’attentats sanglants. Et sur les quarante dernières années, la nécessité pour les entreprises et les particuliers d’investir dans des systèmes de protection, alarmes, video-surveillance, autant d’argent qui n’est pas consacré à la production. Puis les changements de comportements. S’habiller moins court pour les femmes, dans certains quartiers, à certaines heures. Ne plus sortir seul le soir, voire ne plus sortir du tout. User de stratagèmes pour ne pas mettre ses enfants avec les leurs. Choisir des lieux de vacances où ils ne sont pas… et ainsi de suite. On peut ajouter les coûts psycho-sociaux, arrêts de travail, dépressions, traumatismes, insécurité psychique, des victimes et des gens qui vivent au contact des faits-divers. Les chiffres de l’OID sont une estimation très basse, dans une société en état de sidération permanente, face en plus à un appareil étatique n’ayant pas la moindre compassion pour les victimes, qui n’est soucieux que d’empêcher les gens de dire la réalité qu’ils vivent et qui prend fait et cause pour les pires crapules issues de cette immigration.

Plus largement en Europe, Viktor Orban ne le cache pas, puisque ce n’est même pas caché, il y a le plan Soros, soit un million d’arabo-musulmans par an, pour l’Europe, afin de mettre en place une société mixte sur le vieux continent, c’est à dire, rayer les histoires et les cultures européennes, noyées dans un fatras multiculturel présenté comme « heureux », mais qui ne n’existe nulle part avec bonheur. En réalité, il s’agit bien d’un plan programmé de destruction du Vieux Continent. Bateaux gonflables à usage unique achetés en Chine, bateaux subventionnés pour aller à la recherche d’embarcations de migrants, rémunérations de passeurs, accords opaques avec les pays d’origine et ainsi de suite. Le plan est bien machiavélique et ceux qui oseraient en parler sont d’office des gens racistes.

Berlin va mettre fin à son soutien financier aux ONG de sauvetage civil en mer Méditerranée. Mais plus loin, il faudrait désarmer ces bateaux, prononcer des saisies des embarcations et des équipages, que soient entamées des actions en justice contre les tenants de ce plan de destruction par le financement de filières de ce qu’il faut bien appeler de la traite humaine, en forme de velléité de déstabilisation majeure de l’Occident, avec des complices en très haut lieu qui n’ont eu de cesse de favoriser ce processus. Mettre en place des statistiques ethnico-religieuses afin de mieux évaluer l’ampleur des dégâts et les manières d’y remédier. Quelques voix, en France, commencent à expliquer qu’il faut arrêter tout cela, il serait temps.

https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com/2025/06/26/immigration-organisee-stop/

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