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culture et histoire - Page 1065

  • Pour Alain de Benoist, le « moment populiste » remplace le clivage droite/gauche

    Moment-populiste-226x350.jpgLe Moment populiste – Droite/Gauche c’est fini ! : tel est le titre du fort essai que publie le 26 janvier Alain de Benoist, le directeur de la revue Krisis, aux éditions Pierre-Guillaume de Roux, qui en diffusent cette présentation :

    « L’extraordinaire défiance de couches de population toujours plus larges envers les “partis de gouvernement“ et la classe politique en général, au profit de mouvements d’un type nouveau, qu’on appelle “populistes“, est sans nul doute le fait le plus marquant des transformations du paysage politique intervenues depuis au moins deux décennies.

    Le phénomène tend même à s’accélérer, comme l’a montré l’élection de Donald Trump, survenant quelques mois après le Brexit britannique. Partout se confirme l’ampleur du fossé séparant le peuple de la Nouvelle Classe dominante. Partout émergent de nouveaux clivages qui rendent obsolète le vieux clivage droite-gauche.

    Mais que faut-il exactement entendre par populisme ? S’agit-il d’un simple symptôme d’une crise générale de la représentation ? D’une idéologie ? D’un style ? Ou bien le populisme traduit-il une demande fondamentalement démocratique face à des élites accusées de ne plus faire de politique et de vouloir gouverner sans le peuple ? C’est à ces questions que répond ce livre, qui part de l’actualité la plus immédiate pour situer les enjeux politiques, sociologiques et philosophiques du débat.

    A quelques mois d’une élection présidentielle où le thème du populisme ne va pas manquer d’être discuté avec vigueur, Alain de Benoist publie un véritable manuel de la question. »

    Alain de Benoist, Le Moment populiste, Pierre-Guillaume de Roux, 352 p., 23,90 € 
(en librairie le 26 janvier).

    http://fr.novopress.info/

  • Réservez votre emplacement à la 1ère Fête du Pays Réel

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    Aux éditeurs, associations, congrégations, médias alternatifs, artisans, artistes, viticulteurs, brasseurs et petits producteurs

    Réservez votre emplacement à la 1ère Fête du Pays Réel

    Madame, Monsieur,

    J’ai le plaisir de vous convier à participer à la 1ère Fête du Pays Réel qui se déroulera le 11 mars 2017 sur un vaste espace couvert à Rungis, en bordure de Paris (800 places gratuites de parking et nombreux transports en commun).

    Une fête du Pays réel ? Qu’est-ce donc ? C’est la volonté, durant toute une journée, de mettre à l’honneur la France des terroirs et des clochers dans une ambiance unitaire, conviviale, joyeuse et familiale. 

    D’une part, de nombreux stands illustreront l’histoire, la foi, les coutumes, le patrimoine, la culture, le savoir-faire, la gastronomie et le dynamisme de ce Pays réel : éditeurs, associations, congrégations, médias alternatifs, artisans, artistes, viticulteurs, brasseurs et petits producteurs rivaliseront de talents et de richesses à vous faire découvrir. Sans oublier, bien sûr, la longue liste d’auteurs pour petits et grands qui viendront dédicacer leurs livres ou bandes dessinées. 

    D’autre part, tout au long de la journée, des intervenants de qualité se succèderont à la tribune dans une salle réservée à cet usage. 

    Des délégations étrangères patriotes, pro-vie et pro-famille seront également présentes. 

    Réservez dès à présent votre emplacement, en prenant contact avec notre secrétariat pour connaître les conditions tarifaires

    Dès la semaine prochaine, nous commencerons à publier la liste des premiers inscrits. 

    Avec l’assurance de mon dévouement. 

    Alain Escada président de Civitas  en partenariat avec la Coalition pour la Vie et la Famille

  • Conflits: Comprendre le monde tel qu’il est…

    Conflits_11.jpgPlus que jamais, l’histoire, la géographie et la géopolitique sont indispensables pour appréhender l’actualité. Elles nous préservent des lunettes roses et des bons sentiments, des réactions à chaud et des jugements à l’emporte-pièce qui envahissent l’espace médiatique et politique.

    « Conflits » est la revue qui s’intéresse aux conflits qui émaillent notre monde et aux rapports de force qui les sous-tendent.

    Avec une seule ambition : comprendre le monde tel qu’il est, et non comme nous voudrions qu’il soit.
    2017 s’annonce comme une année particulièrement incertaine : Arrivée au pouvoir de Trump – Élections à risques en Europe – Affrontement Arabie/Iran – Conflits dans les mers de Chine – Troubles dans le Sahel, au Maghreb, au Venezuela, en Turquie, en Ukraine… – Nouveaux flux migratoires – Inquiétudes sur les taux d’intérêt…

    Nous ne prétendons pas vous annoncer ce qui va se passer, mais vous aider à prendre conscience de ce qui peut se passer. »

    Pascal Gauchon
    Directeur de la revue

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/conflits-comprendre-le-monde-tel-quil-est_175459.html#more-175459

  • Nouvelle Ecole N°66 : Charles Maurras

    nouvelle-ecole-66_charles-maurras-203x300.jpgCharles Maurras (1868-1952) fut pendant des décennies à la fois un écrivain, un poète, un théoricien, un chef d’école et l’animateur d’un mouvement politique dont l’influence s’est révélée remarquablement durable. C’est là un cas extrêmement rare. Les chefs politiques ont rarement été de véritables théoriciens, et les idéologues ont rarement eu la capacité (ou le désir) d’animer des mouvements politiques. S’y ajoute un magistère intellectuel qui, avec des fortunes diverses, et non sans avoir suscité bien des dissidences, s’exerce encore aujourd’hui sur bon nombre de ceux qui veulent « penser clair et marcher droit ». Maurras et l’Action française, enfin, sont indissociables, et c’est pourquoi le parcours individuel de l’auteur d’Anthinéa ne peut être séparé d’une aventure collective. Toutes ces caractéristiques justifient à elles seules l’intérêt qu’on doit lui porter. (…) À partir d’une vision assez idéalisée de l’Ancien Régime, Maurras, convaincu que la monarchie se démontre à la façon d’un théorème, tendait à tout ramener au problème des institutions. Ce faisant, il ne voyait pas que des institutions différentes peuvent aller de pair avec un état social identique, et qu’à l’inverse, d’une époque à l’autre, ou d’un pays à l’autre, des institutions identiques peuvent fonctionner de manière toute différente – surtout quand ce sont les mœurs qui déterminent les lois (et non l’inverse). Les paradoxes de la pensée de cet apologiste de la culture catholique qui fut de 1926 à 1939 condamné par le Vatican, de ce royaliste finalement désavoué par le prétendant au trône, ont été maintes fois relevés. (…) Il fait gloire à la France d’avoir constamment lutté contre l’Empire mais fait en même temps l’éloge de la romanité, dont le principe impérial était exactement le contraire de celui de l’État national. Il affirme hautement son souci de l’« universel », mais ne conçoit d’application de ses principes qu’au niveau hexagonal. Sa conception même du politique est pour le moins équivoque, ce dont témoignent les contresens dont n’a cessé de faire l’objet le fameux « politique d’abord ! » (…) Quoi que l’on pense de sa doctrine, on ne peut avoir que de l’admiration pour ce vieux lutteur qui a consacré toute son existence à ses idées, et qui a su les servir avec autant de courage, de passion et de désintéressement. Au-delà de ses erreurs et de ses jugements parfois si injustes, ce courage, ce désintéressement, cette exigeante passion, sa sincérité extrême, sa ténacité et la somme incroyable d’efforts qu’il a su déployer au cours de sa vie, commandent le respect. Il y a chez Maurras, ce Don Quichotte dont Léon Daudet fut le Sancho Pança, quelque chose de très proprement héroïque. Il n’y a pas beaucoup d’hommes publics dont on puisse en dire autant.

     Au sommaire du n°66 de Nouvelle Ecole :

    • Un portrait de Charles Maurras (Olivier Dard)
    • Le jeune Maurras, félibre et fédéraliste (Rémi Soulié)
    • Maurras et l’abbé Penon (Axel Tisserand)
    • Heidegger et Maurras à Athènes (Baptiste Rappin)
    • La République, la bourgeoisie et la question ouvrière (Charles Maurras)
    • Kiel et Tanger ou la géopolitique maurrassienne (Martin Motte)
    • Entretien avec Gérard Leclerc
    • Maurras et le romantisme (Alain de Benoist)
    • Charles Maurras et le positivisme d’Auguste Comte (Francis Moury)
    • Maurras en Amérique latine (Michel Lhomme)
    • Antigone (Charles Maurras)
    • Pierre Boutang ex cathedra (Francis Moury)
    • Bibliographie maurrassienne : 2004-2016 (Alain de Benoist)

    Et aussi :

    • Le slavophilisme, une utopie conservatrice russe (Vassily Leskov)
    • Siva et Dionysos (Jean Haudry)
    • Dépendance des États et globalisation (Teodoro Klitsche de la Grange)

    25 euros TTC.

    http://www.voxnr.com/7447/nouvelle-ecole-n66-charles-maurras