Le nombre d’or (1,618) divise le cercle en deux arcs de 138 et 222 degrés, inégaux mais unis par la « divine proportion » chère aux pythagoriciens.
La première partie du livre de Pierre Delmas se situe dans le droit fil de la grande arithmosophie antique. Dans la seconde partie de son ouvrage, l’astrologue reprend le dessus au détriment de l’historien et du chercheur. Comme la plupart de ses confrères, il sème la confusion en voulant séduire plutôt que démontrer.
Au lieu d’aligner une série probante de liens entre l’angle de 138 degrés et la naissance d’un certain nombre de célébrités, Pierre Delmas recourt à des angles d’or « dérivés » dont l’un (69 degrés) fait double emploi avec le quintile (72 degrés) ou l’autre (42 degrés) marche sur les plates-bandes du semi-carré (45 degrés).