
Cette vidéo présente les frontières et les populations de chaque pays en Europe, année par année depuis 400 avant Jésus-Christ. Les populations des états vassaux et colonies ne sont pas incluses dans cette vidéo.
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Le château de Fontainebleau a été l’une des demeures des souverains français depuis François Ier. Inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco, il peinait à attirer plus de 300 000 visiteurs par an (Versailles en accueille 3 millions). Après d’importants travaux, il retrouve sa splendeur passée.
Doté d’un nouveau statut d’établissement public, le château bénéficie du concours des Emirats arabes unis (10 millions d’euros sur cinq ans) et du Crédit agricole (1,4 million d’euros sur trois ans). Avec la réouverture, coup sur coup, de deux de ses plus beaux espaces comme l’appartement du Pape et l’appartement des Chasses, avec la restauration du boudoir de Marie-Antoinette et de l’exceptionnel théâtre Napoléon III, Fontainebleau connaît une deuxième renaissance.
On nous invite à commémorer, cette année, trois anniversaires en 7 : 1917 et la Déclaration Balfour, 1947 et le plan de partage de la Palestine, 1967 et la guerre des Six-Jours.
C’est oublier une quatrième date dont tout découle : 1897.
Cette année-là, Herzl fonde le mouvement sioniste. Puis, sa vie durant, il cherchera des appuis internationaux pour son projet : il rencontrera le Sultan turc, les ministres du Tsar, le Kaiser allemand, le Pape… Mais sa préférence va au Royaume-Uni. Il mourra en 1904 sans avoir obtenu le soutien britannique dont il rêvait : « Avec l’Angleterre en guise de point de départ, écrira-t-il peu avant son décès, nous pouvons être assurés que l’idée sioniste s’élancera plus avant et plus haut que jamais auparavant. » Son successeur, Haïm Weizmann, réussira treize ans plus tard.
Louis Malvy, député radical-socialiste du Lot, est choisi en 1914 comme ministre de l'Intérieur, poste qu'il conserve dans les ministères Briand et Ribot jusqu'en 1917. Cette année-là, Léon Daudet, directeur du journal royaliste L'Action française, adresse au Président de la République Raymond Poincaré une lettre accusant Malvy de trahison. A la demande de ce dernier, la lettre est lue devant les députés par Paul Painlevé, président du Conseil et ministre de la Guerre, le 4 octobre 1917.
Charles IV de France, dit Charles le Bel, né le 15 juin 1294 au château de Creil (Oise), fut roi de France de 1322 à 1328. Dernier fils de Philippe le Bel, et n’ayant pas eu de descendant mâle, il fut le quinzième et dernier roi de la dynastie dite des Capétiens directs.
Sa succession engendra une grave crise dynastique et fut un élément déterminant dans le déclenchement de la guerre de Cent Ans.
Le 13 février 1820, Charles Ferdinand de Bourbon, duc de Berry et second fils de Charles X, âgé de 42 ans, s’écroule sur les marches de l’Opéra, rue de Richelieu, à Paris. Il vient d’être frappé d’un coup de couteau par un ouvrier républicain, Louis Louvel. Par son geste, il espérait mettre fin à la dynastie des Bourbons.
Le prince mortellement blessé expira le lendemain à six heures du matin, en ayant pardonné à son assassin qui sera guillotiné le 7 juin 1820.
Cette affaire de trafic d’influence est la première d'une longue liste d'affaires politico-financières qui toucha le personnel de la troisième République et qui conduisit aux émeutes du six février 1934 durant lesquelles les parisiens, exaspéraient par la corruption du personnel politique, crieront « A bas les voleurs ! ». Connue au début sous le nom d’Affaire Caffarel, elle deviendra au fil des investigations le Scandale des décorations qui coutera sa place au Président de la République, Jules Grévy.