
culture et histoire - Page 128
-
Orange (84), samedi 20 janvier : conférence de Reynald Secher
-
Comprendre cette impardonnable défaite du 22 juin 1940
Cet article didactique recense les principales causes de la défaite de juin 1940. Que de fautes commises depuis novembre 1918 !
Le 22 juin 1940 à 18h50 (Heure allemande), la France signe une réédition déshonorante qui se dissimule sous le nom d'armistice. En six semaines, elle vient de perdre ce que De Gaulle s'emploiera à qualifier depuis Londres de bataille. Mais, c'est belle et bien une guerre que la France vient de perdre contre l'Allemagne revancharde de la Grande Guerre de 1914 -1918.
L'Histoire officielle actuelle fait toujours état d'une sorte de fatalité attribuant la débâcle au destin de la France, aux "circonstances". Pour se dédouaner de ses responsabilités, la classe politique d'avant-guerre, très majoritairement de Gauche, ira même à considérer cette honteuse défaite de juin 1940 comme "inévitable" ou même "excusable" ! Elle ira même jusqu'à reporter l'exclusivité de la responsabilité sur l'Armée française qui s'est pourtant bien défendue avec les maigres moyens mis à sa disposition durant deux décennies de pacifisme et dix ans de démoralisation orchestrée par le Parti communiste aux ordres de Moscou.
-
Quand la gauche française collaborait avec l’Allemagne nazie

Un reportage qui vient perturber le narratif officiel sur la collaboration en France durant la Seconde Guerre mondiale et démontre comment la gauche s’est engouffrée dans la collaboration avec les Allemands.
-
L’effondrement de Rome : le trou noir de 6500 Milliards de dollars de Washington.

Les étudiants en histoire trouveront des parallèles étranges mais assez prévisibles entre l’effondrement de l’empire romain au Ve siècle, et l’effondrement de l’hégémonie globale américaine aujourd’hui. Pas uniquement à travers le choix des soi-disant élites dirigeantes politiques devenant le domaine quasiment exclusif des riches patriarches et de leurs intérêts privés “corporate“. Pas uniquement en ce que le choix des politiciens élus proposés au vote ne soit plus devenu que le domaine réservé quasi exclusif des grands argentiers [big money] patriarches et de leurs intérêts privés [corporate]. Le choix de politiciens que les votants se voient offrir est pire qu’abyssal. Mais tandis que le Président Barack Obama essaye chaque coup en douce possible pour pousser toujours plus avant le Partenariat Trans-Pacifique très largement impopulaire, une énième escroquerie au libre-échange, un rapport a émergé selon lequel une somme stupéfiante de 6,5 billions (6500 milliards) de dollars des contribuables américains, ne pourrait être correctement justifiée d’un point de vue comptable, selon les normes comptables en vigueur. Nous parlons bien de billion[1], pas de milliard ni de millions : des billions ! Cela représente presque 40 % du PIB annuel des États-Unis… portés manquants !
-
VOTEZ pour votre LIVRE préféré [Editions Voxgallia 2024]
-
Septennats Armand Fallières et Raymond Poincaré (1906 – 1920)

Ce document aborde les élections législatives et leurs enjeux, les conditions de nomination des gouvernements successifs, les causes de leur chute, la désignation du Président de la République par les parlementaires. En dehors des longues listes des ministres de chaque gouvernement que l’on trouve largement par ailleurs, il permet de comprendre ce qu’a été l’instabilité gouvernementale de la troisième République et le jeu stérile des partis politiques pour placer leurs chefs. Le grand tombeur de gouvernement de ces deux septennats sera l’impitoyable Georges Clemenceau.
Élection du Président de la République (17 janvier 1906)
Le 17 janvier 1906, les deux chambres se réunissent à Versailles en Assemblée nationale afin de nommer un successeur au président Emile Loubet dont les pouvoirs doivent expirer un mois plus tard et qui ne souhaite pas se représenter.
Deux candidats sont en présence : Paul Doumer (Président de la chambre des députés) et Armand Fallières (Président du Sénat).
-
Il y a 400 ans, les prémices du Grand remplacement des Amérindiens
-
Aux origines des Lumières, avec Monique Cottret [1/3]
-
5 décembre 1870 : mort d’Alexandre Dumas
Alexandre Dumas est probablement l’un des écrivains français du XIXème siècle les plus populaires. Son œuvre littéraire comporte plus de 130 ouvrages.
Né à Villers-Cotterêts le 24 juillet 1802, il est le fils d’un général républicain, lui-même fils d’une esclave noire. Son père meurt en 1806. Le manque de ressources le contraindra vite à gagner d’abord sa vie comme clerc de notaire, puis, à Paris, où l’attire son ambition de conquérir la gloire littéraire, comme employé dans les bureaux de Louis-Philippe, duc d’Orléans.
-
La révolution alphabétique chez les Indiens, avec Serge Gruzinski
