culture et histoire - Page 127
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Les Ninjas : les guerriers de l'ombre - Histoire du Japon
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Christophe Colomb, les Indiens et le progrès de l’humanité (Howard Zinn)
Au commencement étaient la conquête, l’esclavage et la mort.
Les premiers contacts entre Européens et Indigènes
FRAPPÉS D’ÉTONNEMENT, les Arawaks, femmes et hommes aux corps hâlés et nus abandonnèrent leurs villages pour se rendre sur le rivage, puis nagèrent jusqu’à cet étrange et imposant navire afin de mieux l’observer. Lorsque finalement Christophe Colomb et son équipage se rendirent à terre, avec leurs épées et leur drôle de parler, les Arawaks s’empressèrent de les accueillir en leur offrant eau, nourriture et présents. Colomb écrit plus tard dans son journal de bord: « Ils [ . . . ] nous ont apporté des perroquets, des pelotes de coton, des lances et bien d’autres choses qu’ils échangeaient contre des perles de verre et des grelots. Ils échangeaient volontiers tout ce qu’ils possédaient. [ . . . ] Ils étaient bien charpentés, le corps solide et les traits agréables. [ . . . ] Ils ne portent pas d’armes et ne semblent pas les connaître car, comme je leur montrai une épée, ils la saisirent en toute innocence par la lame et se coupèrent. Ils ne connaissent pas l’acier. Leurs lances sont en bambou. [ . . . ] Ils feraient d’excellents domestiques. [ . . . ] Avec seulement cinquante hommes, nous pourrions les soumettre tous et leur faire faire tout ce que nous voulons. »
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Mathieu Bock-Côté contre le totalitarisme à visage humain
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Esprit de la race et race de l’esprit
Chaque race a sa tradition et celle-ci est d’origine sacrée. Cela signifie qu’elle représente un ensemble de principes et de normes qui s’appliquent hiérarchiquement sur tous les plans, procédant des plans les plus élevés aux plans inférieurs, de manière à embrasser tout le développement de l'activité humaine, dirigée toujours plus vers une seule vérité. Il n'y a pas de vie vraiment digne de ce nom en dehors de la Tradition, comprise au sens éminent du terme et non comme celui que l’Occident, depuis la fin du Moyen Âge, s'efforce d'affirmer en obéissant à une impulsion anarchique qui le pousse dans des cercles vicieux, dont chacun constitue un domaine séparé auquel on donne le nom de philosophie, art, science, norme politique et ainsi de suite.
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En arrivant au pouvoir en 1933, Hitler hérite de l'armée la plus moderne du monde
On croit à tort que le régime socialiste né en Allemagne en 1919 était pacifiste et que c’est Hitler qui réarma l’Allemagne et donna à celle-ci une armée moderne conçue pour un conflit éclair. Les faits sont tout autres.
Lorsque nait la Wehrmacht en 1935, elle hérite de la République de Weimar de son effort de réarmement et de modernisation : Quinze années d’expériences, d’expérimentations et d’entraînements. L’essentiel de ses futurs généraux et de ses officiers sont déjà en place. Ses soldats maîtrisent les concepts les plus innovants de la guerre moderne. De très nombreux civils connaissent le rudiment du soldat. Quant aux matériels, il est déjà construit ou prêt à être construit de façon industrielle dès 1933. Cette république de Weimar dirigée par des socialistes livre à Hitler une armée ayant un très fort potentiel que ce dernier va réellement exploiter contre la France en 1940. Ce sera la « Guerre éclair ».
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La plus ancienne empreinte à forme humaine retrouvée en Europe ?
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Solstice d'hiver - Alain, les Juifs, Hitler et l'Occupation
Plus d’un demi-siècle après la mort d’Alain paraît son Journal inédit. On y découvrira un philosophe lui aussi inédit : ce qu’il y dit de Mon combat et d’Adolf Hitler ; son antisémitisme viscéral que n’ébranle pas la politique antisémite de Vichy ; sa légitimation du renoncement à toute Résistance, donc sa condamnation de l’entreprise du général de Gaulle et son souhait de voir les Allemands gagner ; son analyse de l’occupation comme d’une situation pas si déshonorante que cela ; son consentement donné aux analyses raciales de Gobineau ; sa fascination pour la force brutale des soldats nazis fanatisés et motorisés ; la préface qu’il écrit deux ans après la fin de la guerre pour le livre d’un ancien collaborateur ; son silence sur tout cela une fois la guerre terminée laissera le lecteur pantois. Ce Journal va changer du tout au tout l’image qu’on avait jusqu’alors d’Alain.
Michel Onfray en a fait une critique paru aux Editions de l’Observatoire sous le titre de « Solstice d’hiver – Alain, les juifs, Hitler et l’Occupation »
Le philosophe Alain est une grande figure de Gauche connu avant-guerre comme un fervent radical-socialiste, comme un penseur de l’antimilitarisme et comme un pacifiste intégral qui forma une génération d’intellectuels que l’on retrouvera tous à Vichy.
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Des JEUX HISTORIQUES pour NOEL 2/3
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La Turquie, son identité, son histoire et ses origines – Entretien avec Richard Bec (Partie I)
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La Turquie, d'Atatürk à Erdoğan – Entretien avec Richard Bec (Partie II)