Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

culture et histoire - Page 1501

  • L’époque d’AFU (1965-1971)

    Après la deuxième guerre mondiale, le journal "AF Université" a joué un rôle important de 1965 à 1971. Il a contribué à la formation intellectuelle et politique de nombreux lycéens et étudiants de l’époque. Il a été un instrument de militantisme et de présence royaliste dans les facultés et lycées. Le diaporama "L’époque d’AFU" qui vient d’être publié sur Dailymotion reprend les principales étapes de l’existence de ce mensuel avec la reproduction de ses "unes" et les noms de ses principaux rédacteurs. Il dure 6 minutes. Pour mieux connaître ce moment de l’histoire de l’Action Française,


    L’époque d’AFU (1965-1971)

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-epoque-d-AFU-1965-1971

  • « Le protestantisme et les États-Unis dans les plans de la « synagogue de Satan » » – Par Laurent Glauzy


    Le huitième livre du mathématicien russe Igor Safarevic, The Socialist Phenomenon (Le socialisme mondial), publié en 1980, est un excellent support pour comprendre les rapprochements des origines hérétiques de la « Synagogue de Satan » des mouvements socialistes, communistes et libertaires.

    L’anarchisme, le libéralisme et le social-communisme sont substantiellement similaires (autonomie de l’homme) et accidentellement différents (dictature de la ploutocratie pour le libéralisme et dictature du prolétariat pour le communisme). L’anarchisme est, quant à lui, un mélange de libéralisme libertaire et de communisme, dont l’objectif est de parvenir à une société sans classe comme le communisme, immédiatement et individuellement, sans passer par la révolution scientifiquement et collectivement organisée par les dirigeants marxistes.

    Origines religieuses et hérétiques du socialisme

     

    Safarevic montre avec pertinence les origines religieuses et hérétiques du socialisme dès l’antiquité païenne, au Moyen-âge, avec la réforme protestante et lors de la révolution anglaise. Pour ce faire, il remonte au gnosticisme et au manichéisme du IVe siècle av. J.-C. jusqu’au IIe siècle ap. J.-C. ; aux périodes médiévales avec le catharisme ; et postmédiévales avec le paupérisme, le millénarisme, l’anabaptisme et le puritanisme britannique de la Première révolution anglaise de 1648.

    La nature communautaire des sectes chrétiennes et de l’idéologie socialiste, du manichéisme à la révolution anglaise, est le caractère commun de ces mouvements hérétiques qui prennent leur source déjà dans le manichéisme, la Kabbale et le gnosticisme « chrétien », du IIe siècle ap. J. -C. jusqu’à la révolution anglaise des XVIIe et XVIIIe siècles, où naissent les néo-conservatismes britannique et américain. Les hérétiques prétendent que l’homme a une dignité infinie et le monde une perfection absolue, glissant ainsi dans le panthéisme. Le gnosticisme ancien est la matrice de toutes les hérésies socialistes et le paganisme en est leur dénominateur commun. En outre, ils font semblant de prôner le renversement violent de la société par la masse (marxisme) ou par un changement utopique de l’individu (anarchisme). En fait, ils voudraient construire déjà dans ce bas-monde un « nouveau paradis terrestre » dans lequel règneraient le bonheur et la justice absolue, niant ainsi l’au-delà.

    L’abolition de la famille, avec la communauté des épouses et la rupture du lien parents ou géniteurs/enfants (société du libre esprit et du libre amour), l’abolition de la propriété privée (le marxisme) et le bien-être matériel au plus haut point (le libéralisme), sont les objectifs de ces mouvements.

    Dans l’Antiquité classique grecque, Aristophane (†385 av. J.-C.) et Platon (†347 av. J.-C.) et, les hérésies chrétiennes comme les Nicolaïtes, au Ier siècle ap. J.-C., prêchaient la communauté des biens et des épouses. De manière semblable, au IIe siècle, les Carpocratiens, se considérant au-delà du bien et mal, défendaient le libre amour et le salut par le péché.

    Les hérésies médiévales

    Au Moyen-âge, explique Igor Safarevic, les pères du social/communisme moderne, furent les Cathares et les Albigeois, qui apparurent au XIe siècle, en Europe occidentale (France, Espagne et Italie), remplis de haine à l’égard de l’Église et du pape. Ils enseignaient l’incompatibilité entre la matière (intrinsèquement mauvaise) et l’esprit (totalement bon), parce que la première était la créature du Dieu méchant (le mal absolu, c’est-à-dire le Dieu personnel et transcendant de la révélation mosaïque et chrétienne), tandis que le second était la créature du Dieu bon de la kabbale (le pneuma, l’En-sof le plérôme, qui est indéterminé et infini).

    Lire la suite

  • Succès d'un forum international à Moscou sur la famille

    Lu sur Nouvelles de France :

    "Les 10 et 11 septembre à Moscou, plus de 1 000 personnes venues de 45 pays se sont réunies pour travailler autour du thème « Famille nombreuse et avenir de l’humanité ». Ce forum international était co-organisé par Natalia Yakunina (fondation Saint André Le-Premier-Appelé) et Konstantin Malofeev (fondation Saint Basile-le-Grand). [...]

    En effet de très nombreux militants, leaders, et responsables d’associations et d’ONG étaient présents durant ces deux jours, et de nombreuses personnalités aussi bien religieuses que politiques du pays ont pu s’exprimer à la tribune. C’est ainsi que le 10 septembre, au Kremlin, le Patriarche Kirill, Talgat Tadzhuddin(représentant des musulmans de Russie), et Berel Lazar(représentant des rabbins de Russie), assis à la même table, ont pu chacun leur tour expliquer leur point de vue convergeant sur la nécessité de défendre la famille traditionnelle. Le métropoliteHilarion, responsable pour les relations extérieures de l’Eglise Orthodoxe Russe a quant à lui noté la répression qui s’abat contre ceux qui défendent la famille en Europe, prenant comme triste exemple la France. Il a ensuite souligné la « crise démographique profonde » que traverse l’Europe aujourd’hui, fustigeant « l’assassinat légal, que représente l’avortement, permis en masse, sans que personne ne dise rien ». Le président du conseil pontifical pour la famille, Monseigneur Vincenzo Paglia, s’est quant à lui adressé à la foule par vidéo, rappelant que la famille est la « pierre angulaire » de toute société, nous mettant en garde contre les différentes susceptibles de l’affaiblir.

    Sur un registre plus politique, Vladimir Poutine lui-même, par la voix d’un fonctionnaire de son administration, a tenu à envoyer un message d’accueil aux participants du forum, s’exprimant sur « la crise démographique à grande échelle » et sur « l’érosion des valeurs morales ». Vladimir Medinskiy, le ministre de la culture, Lyudmila Shvetsova, vice-présidente de la Douma et Madame Mizulina, la député qui avait fait voter l’année dernière, on s’en rappelle, une loi interdisant la promotion de l’homosexualité devant mineurs, aujourd’hui sur la liste noire des sanctions américaines et européennes suite au conflit ukrainien (cherchez le rapport…) ont aussi pris la parole, défendant la position de la Russie sur la défense de la famille. [...]"

    Michel Janva

  • Rentrée conférence Dextra !!!

     
    Dextra reprend son cercle de conférences annuel traditionnel,
    cette fois-ci Solange Bied-Charreton
    auteur de : « Nous sommes jeunes et fiers »
    Ouvrira les « hostilités » en intervenant sur le thème de la littérature, rébellion contre le monde moderne.
    Nous vous attendons nombreux au El Siete, 283 rue Saint Jacques à 19 h 30 !
    Pour être sûr de ne pas manquer la conférence, inscrivez-vous à l’évènement sur Facebook.

  • Comment prendre le contrôle d’une nation

    Méthode trouvée ici.

    1. Demandez a un banquier (Pompicsou- Rothschild) de devenir copain avec le gars intelligent qui gouverne le pays (De Gaulle), pour qu’il devienne premier ministre (1962)
    2. Faites tomber le gars intelligent qui gouverne (De Gaulle) avec une revolution (mai 1968)
    3. Faites élire le banquier (Pompicsou) à la tête du pays (1969)
    4. Faites lui voter une loi privant le pays du droit de créer sa propre monnaie (1973)
    5. Cela oblige ainsi l’Etat à emprunter auprès des banques et des investisseurs internationaux
    6. Attendez patiemment que les politiques dépensent plus que l’Etat n’encaisse (1973 – 1998)
    7. Créez une banque supranationale indépendante (BCE) battant sa propre monnaie (1998). S’il le faut appuyez vous sur un bel idéal (l’Europe) pour faire passer la pilule.
    8. Attendez patiemment que les politiques dépensent plus que l’Etat n’encaisse (1998 – 2012). Si ca ne va pas assez vite créez une bonne crise (Subprime 2008) pour qu’ils s’endettent plus vite
    9. Enfin mettez un ancien banquier (Mario Le Dragon – Goldman Sachs) à la tête de cette banque supranationale (2011)
    10. Attendez patiemment que les Etats soient en faillite pour leur imposer ce que vous avez decidé. Si ca ne va pas assez vite créez une crise, voire quelques guerres par ci par là.

    Résultats:

    La BCE tient desormais l’ensemble des pays de l’Union Europeenne par les « cojones ».

    Quand vous devez x milliards à la banque, et que vous ne pouvez plus payer les y milliards d’interets, ce n’est plus vous qui decidez de votre vie, c’est la banque.

    • Les gagnants: Les proprietaires de Rothschild, Goldman Sachs & Cie
    • Les perdants: Le peuple
    • Les complices: Les politiques et les medias

    Lire la suite "Comment prendre le contrôle d’une nation"

    Paula Corbulon

  • Comment aider des organismes existants dans l’action ?

    L’actualité de la mobilisation nous invite à aider des groupes existants et à revitaliser de l’intérieur des institutions, associations, écoles etc… Comment faire ?

    Jean Ousset dans son livre l’Action au chapitre IV de la cinquième partie, « Notes pour une action plus organique » (p. 265 à 269), propose 7 notes dont nous pouvons mesurer la pertinence ces derniers mois. A relire en préparant les prochaines actions. Extraits des notes 41 à 43 : 

    « Disons, pour être clair : notes pour une action moins exclusivement fondée sur la seule impulsion personnelle de quelques-uns. Ou, si l’on préfère, notes s’appliquant davantage à une action intergroupe, à une action aux structures plus institutionnalisés.

    • Aide à des organismes existant déjà (ou que l’on peut susciter).
    • Aide tendant au meilleur rendement de ces organismes.
    • Revitalisation de corps intermédiaires par l’influx d’éléments plus dynamiques en interventions éducatrices. Interventions qui peuvent prendre maintes formes (carrefours, commissions, groupes de réflexion...).

    Que chacun s’attache à faire le compte, en chaque pays, des hommes de caractère ou de talent, des groupes, mouvements, syndicats, clubs, bureaux, périodiques ou cercles qui, même si quelque brouille ou rivalité les oppose, n’en sont pas moins d’accord avec l’essentiel. Et dont un élémentaire travail de synchronisation pourrait décupler la fécondité, sans démarche indiscrète ou contraignante

    41. Atteindre les élites 

    Il sera toujours nécessaire de rappeler ce devoir essentiel d’aider les corps intermédiaires, naturels ou légitimes, mettant le plus grand soin à respecter l’intimité, la psychologie de chacun. La société est composée de corps sociaux (juridiques, militaires, culturels, économiques, etc.). La vie de ces corps est assurée par le rayonnement de leurs élites. Ce sont ces élites qu’il faut atteindre.

    Pour rayonnantes que soient la formation personnelle, l’action individuelle, ce sont là formules rudimentaires. Il est très important de chercher à procurer un champ plus vaste et surtout plus fertile à ces rayonnements personnels.

    Selon qu’elle tombe sur les pierres du chemin, sous les ronces ou dans la bonne terre, la même graine peut ne rien produire ou porter cent pour un.

    A ceux qui militent dans un organisme politique, syndical, etc. (pour peu que ces organismes soient acceptables) il importe de fournir ce surcroît décisif nécessaire à la rectitude idéologique et à l’efficacité dans l’actionNe rien négliger pour persuader les éventuels « leaders » de ces organismes qu’une bonne formation théorique et pratique décuplera nécessairement la valeur de leurs militants

    42. Diffusion par capillarité 

    L’action devra toujours se diversifier au gré des multiples réseaux sociaux. Pas de planification intempestive sous prétexte d’unité. L’unité est dans l’esprit qui doit être commun à tous. Elle n’est pas dans les recettes concrètes de l’action. Elle se manifestera progressivement. A l’imposer trop vite, on risque de tout briser.

    Prendre soin de laisser aux membres de ces groupes ou associations la juste initiative de leur spécialité.

    Eviter, par-dessus tout, de paraître vouloir les « coiffer » ou, à plus forte raison, de paraître vouloir les « annexer ».

    Sans oublier qu’une précieuse réciprocité ne peut manquer de se produire.

    Au militant trop absorbé par l’action quotidienne, il est certain qu’un apport plus général des notions plus élevées sont indispensables.

    Les plus sûrs théoriciens, à leur tour, devenant odieux et parfaitement inefficaces s’ils n’ont aucun contact avec la base ; autant dire, avec les réalités concrètes de l’action journalière.

    43. Etre concret

    Eviter l’esprit verbeux et livresque qui surabonde en vues abstraites, incapables de s’attacher au réel concret...

    Il ne suffit plus de « dire la vérité ». Le climat matérialiste, le fléchissement intellectuel, l’esprit de compromission ou d’abdication sont tels que la simple affirmation du vrai n’atteint plus guère les intelligences, ne touche plus les cœurs. Plus encore que d’exposer des vérités, nous devons les porter à des effets pratiques.

    On peut professer rigoureusement le vrai, en tout académisme sans livrer le moindre combat pour la vérité.

    En conséquence, il importe de s’attacher au soutien, à l’aide, à la meilleure formation, au réconfort de ceux qui mènent déjà « le bon combat ». »

    A suivre …la semaine prochaine…

    Lire et télécharger dans son intégralité  l’Action au chapitre IV de la cinquième partie, « Notes pour une action plus organique » dans l’Action de Jean Ousset. Pour rejoindre une initiative qui corresponde à vos « talents » contacter le service d’information d’IchtusPour se concerter et rencontrer de multiples initiatives, participer au Colloque Catholiques en Action le 12 octobre à Paris.S'inscrire.

    Le Salon Beige

  • Le site de Politique Magazine fait peau neuve

    C'est réussi, et c'est par ici.

    Rappelons que le directeur du magazine, Hilaire de Crémiers, animera avec François-Xavier Bellamy, philosophe et maire adjoint de Versailles, la prochaine veillée des Veilleurs à Versailles, autour du thème "culture et nation: les déshérités", le 18 septembre à 21h, place du marché.

    Paula Corbulon

  • Bande annonce : « La France Big Brother »