À l’occasion du dixième anniversaire de la mort volontaire de Dominique Venner survenue le 21 mai 2013, Solenn Marty, cadre de l’Institut Iliade, lui rend hommage en recueillant des textes rédigés par des amis, des camarades, des proches et des admirateurs. Le livre Dominique Venner – À l’aube de nos destins (Éditions La Nouvelle Librairie, 352 pages, 26 euros) propose également un rappel de la vie et l’œuvre de celui qui fut un activiste engagé en faveur du combat pour l’Algérie française, un militant politique radical et un historien méditatif dont la production prolifique a mis en exergue la « longue mémoire » des Européens. Les contributions, graves et ferventes, émanent d’une trentaine de personnalités. En voici un bref échantillon destiné à donner une idée générale de cet ouvrage de grande qualité.
culture et histoire - Page 207
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Dominique Venner, dix ans après, vu par Le Pen, de Benoist, Le Gallou…
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Pétain. Une nouvelle biographie de Bénédicte Vergez-Chaignon
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Konrad Lorenz a trouvé le chaînon manquant : c’est vous !
L’historien José Javier Esparza, membre fondateur de l’Institut Charles Quint pour la longue mémoire européenne, revient sur l’importance de l’œuvre du biologiste Konrad Lorenz.
On m’a demandé mille fois quels auteurs il fallait lire pour se construire une vision du monde alternative à la décomposition contemporaine. Je manque de science et de savoir pour répondre à cette question, mais je peux citer les auteurs qui m’ont marqué et dire pourquoi. Parmi eux, aujourd’hui, il y a Konrad Lorenz.
On disait de Konrad Lorenz qu’il avait appris à parler aux animaux. Certains ont de lui le souvenir d’une image : grand, longiligne, cheveux et barbe blancs, marchant dans la campagne suivi d’une cohorte de canards qui l’avaient adopté comme “mère”. Cet éminent biologiste, lauréat du prix Nobel de médecine en 1973, fut l’un des grands scientifiques du XXe siècle. Mais si Konrad Lorenz nous intéresse ici, ce n’est pas seulement pour ses recherches scientifiques, mais aussi parce que, dans le sillage de son travail de biologiste, il a développé une philosophie morale d’un immense intérêt, une anthropologie toujours d’actualité.
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2ème entretien avec Alice Tertrais : NEDERLAND, le dernier bijou de Guillaume Faye - Roman français
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Insubmersible Japon. Le 3ème numéro de la revue Conflits
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Clotilde Venner : « Dominique Venner disait qu’il se battait pour que chaque peuple puisse défendre son identité » [Interview]
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La loi salique : une mystification (redif)
Si la parité peine à progresser, c'est parce que la France a toujours refusé le pouvoir aux femmes ? En raison d'une loi du Ve siècle, léguée par les Francs saliens, qui a écarté la gent féminine de la succession au trône ? Élire une femme à la présidence de la République mettrait donc fin à 1500 ans d'ostracisme ? Faux, faux et faux ! Des vérités sont à rétablir d'urgence.
Une femme au pouvoir, ce serait nouveau, prometteur ou renversant. Et ce serait justice après des siècles d'obscurantisme et de patriarcat misogyne... Et bien non, car invoquer la loi salique pour expliquer la faible représentation féminine dans le corps politique aujourd'hui revient à accréditer un mensonge colossal. Et à effacer d'un trait reines et régentes qui exercèrent réellement le pouvoir sur nos terres, sans craindre la comparaison avec leurs homologues masculins. -
Enseignement de l’ignorance : comment l’Éducation nationale sape l’histoire nationale
C’est une histoire de plus en plus décentrée, globalisée et plurielle que les professeurs d’histoire-géographie dispensent à leurs élèves. Au roman national a succédé la fiction d’une histoire tournée vers l’international, résolument thématique et volontiers édifiante, qui occulte des pans entiers de notre histoire (ce qu’une histoire chronologique ne pourrait faire). Difficile de faire nation avec cela.
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Université d'été 2023 du Cercle Richelieu : Un rendez-vous à ne pas manquer !
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LA FEMME GAULOISE (CELTE) (redif)
La femme celte n'était ni effacée ni passive, elle ne jouait pas un rôle secondaire, comme à Rome ou en Grèce. Cet aspect des choses est inhérent à la nature de la culture celtique, dans la spiritualité qui servait jadis de ciment à celle-ci, le principe divin supérieur n'était pas masculin mais bien féminin. Les Celtes avaient un grand respect de la femme qu'ils ont toujours considérée comme un être moralement supérieur, tandis que les Germains et les Romains en ont fait un être hypocrite et mensonger.