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culture et histoire - Page 210

  • L'entretien avec Didier Lecerf, auteur de "François de La Rocque, des tranchées au Parti social français", publié dans le dernier numéro de Lectures françaises

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    Source Lectures françaises cliquez ici

    Vous venez de publier, aux éditions Synthèse nationale, dirigées par Roland Hélie, un livre consacré à François de La Rocque. Pourquoi avoir choisi de travailler sur cette grande figure de la droite nationale antimarxiste, sociale et populaire des années 1930 dont beaucoup, aujourd’hui, ont oublié l’existence et dont les autres, notamment dans nos milieux au sens large, ont souvent l’image négative d’un velléitaire pusillanime qui aurait entraîné la foule de ses partisans dans une aventure politique stérile ?

    Roland Hélie et moi-même avons fait ce choix pour tout un ensemble d’excellentes raisons parmi lesquelles, pour ne pas faire trop long, je n’en retiendrai que trois.

    D’abord, le colonel de La Rocque, comme son grade nous le rappelle, c’est un militaire de carrière, un officier de l’armée française aux brillants états de service, toujours très bien noté, qui, de 1908 à 1928, a servi – au sens le plus noble du terme – la patrie avec dévouement et abnégation. Ce qui lui a valu, entre autres, la légion d’honneur et la croix de guerre avec cinq palmes et deux étoiles… Successivement, il a été affecté en Algérie, au Maroc (durant les premières années de la "pacification", sous le général Lyautey, de 1913 à 1916 - avec une blessure fortement incapacitante reçue au combat en août 1916 - puis pendant la guerre du Rif, sous le maréchal Pétain, en 1925-1926), en France, notamment sur le front, entre janvier 1917 et octobre 1918, puis à l’état-major du maréchal Foch, au côté de Maxime Weygand, entre 1919 et 1928, et enfin en Pologne, au sein de la Mission militaire française, de 1921 à 1923.

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  • Gueule Cassée. Un livre d’Yvon Ollivier sur la Grande guerre des Bretons.

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    09/08/2014 – 07H00 Fouesnant (Breizh-info.com) – A l’occasion du centenaire du déclenchement de la Première Guerre Mondiale, les éditions Yoran Embanner publient” Gueule Cassée “, qui retrace la vie d’un Breton défiguré durant le conflit.

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  • Tervuren, quel est le rôle d’un musée ?

    Depuis des années lecteur assidu du magazine gratuit Science Connection publié cinq fois par an par la Politique scientifique fédéralei, j’ai pour la première fois chiffonné et jeté au panier cette excellente publication, non qu’elle ait démérité mais à cause des propos ahurissants et inacceptables repris dans l’article du directeur général actuel du nouveau AfricaMuseumii Monsieur Guido Grysels dans le numéro 59 de janvier – février 2019.

    Ce musée, monstrueuse mutation de l’anciennement dénommé Musée Colonial de Tervuren, vient de rouvrir après cinq ans de fermeture pour rénovation.

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  • José Antonio Primo de Rivera, le politicien-poète du XXe siècle

    José Antonio Primo de Rivera, le politicien-poète du XXe siècle

    Ceux-là mêmes qui, au début de la guerre civile espagnole, ont assassiné José Antonio Primo de Rivera (1903-1936), le fondateur de la Phalange, ont eu la folle idée de le tuer symboliquement une deuxième fois quatre-vingt-sept ans plus tard. C’est ainsi qu’après avoir retiré la dépouille de Franco du mausolée du Valle de los Caídos, l’actuel gouvernement socialo-communiste, qui n’entend rien au respect dû aux morts, vient de refaire le coup avec José Antonio. Ayant exhumé sa dépouille du tombeau où elle reposait dans l’imposante Basilique du mausolée, ils l’ont déposée dans un cimetière quelconque de Madrid. À cette occasion, notre collaborateur Javier Portella évoque, depuis l’Espagne, la figure de José Antonio Primo de Rivera et retrace les grandes lignes de la pensée de ce « politicien-poète ».

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  • 21 juin 1973 : Ordre nouveau introduisait le problème de l'immigration dans le débat politique français

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    Au début des années 1970, la droite nationale française n'était pas, c'est le moins que l'on puisse dire, au top de sa splendeur. Cependant, avec courage et panache, un jeune mouvement maintenait en vie l'idéal nationaliste. Ce mouvement, c'était Ordre nouveau... Durant son existence éphémère (1969-1973), Ordre nouveau suscita tout ce qui, dans les décennies qui suivirent, devait amener la droite nationale aux portes du pouvoir, à savoir le Front national et le combat contre l'immigration incontrôlée. 

    C'est justement la dénonciation de cette immigration, si juteuse à la fois pour le grand patronat et pour les organisations marxistes, qui attira sur Ordre nouveau les foudres du Système. En effet, le 21 juin 1973, au Palais de la Mutualité à Paris, ON organisait la première grande réunion publique sur le thème "Halte à l'immigration sauvage !". La soirée fut épique cliquez ici. et cliquez là... Une semaine plus tard, le 28 juin, le gouvernement prononçait sa dissolution. C'était il y a 50 ans... Et, depuis, la situation n'a pas cessé d'empirer.

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  • Léopold II : “une popularité que j’achèterais en trompant le pays sur ses vrais intérêts pèserait sur ma conscience d’un poids que je ne veux pas supporter”

    La stature majestueuse et l’air imposant et sûr de lui donnaient au Souverain une allure vraiment royale. Louis de Lichtervelde, pour le décrire, s’en réfère à une première impression de jeunesse et nous dit :

    Vêtu d’une tunique sombre que relevaient les tresses d’or aux épaules, Léopold II attirait d’emblée tous les yeux. Il promenait sur la foule un regard perçant qui se détendait dès que l’ovation populaire montait autour de son carrosse superbement attelé. Malgré tout le mal qu’on disait de lui dans les journaux et ailleurs, sa présence déchaînait toujours des scènes d’enthousiasme.”

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  • Les premiers peuples des Plaines de la période ancienne à l’arrivée des Européens (George E. Hyde)

    George E. Hyde (1882-1968) fut longtemps un emblématique doyen des historiens américains spécialistes des Indiens des Plaines. Sa trilogie sur l’histoire des Sioux, ainsi que son travail sur l’histoire des Cheyennes sont des références en la matière.

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  • « Trangression » : Jean-Yves Le Gallou fait l’éloge de deux trotskystes !

    Transgression

    Transgression est le titre du livre que viennent de publier Pierre Cassen et Bernard Germain, deux anciens trotskystes, pour expliquer leur passage du « camp du bien » au « camp du mal ». Un livre à lire pour comprendre. Jean-Yves Le Gallou – qui n’est évidemment pas trotskyste – a préfacé l’ouvrage des deux vainqueurs de la bataille de Callac où les immigrationnistes ont été mis en échec. Nous mettons ce texte à la disposition de nos lecteurs.

    J’ai croisé bien des trotskystes dans ma vie politique.

    Ce ne fut pas toujours sympathique.

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