« C’était il y a soixante ans, au premier jour de l’Algérie indépendante. À Oran, la fête a tourné à la chasse à l’Européen. L’armée française savait mais n’est pas intervenue. Aujourd’hui, les rescapés se battent pour que la mémoire de ce drame ne disparaisse pas avec eux » ose Le Figaro, quotidien pourtant si historiquement correct.
culture et histoire - Page 233
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5 juillet 1962 : naissance par un massacre sanglant de l’indépendance de l’Algérie
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Pourquoi « Vaincre ou mourir » rend fous les bien-pensants !
Bernard Germain
« Vaincre ou mourir » est un film historique sur la guerre de Vendée tiré de la vie du général royaliste François Athanase Charette de la Contrie, dit « Charette ».
Il est produit par le Puy du Fou, et co-produit par Canal+... du groupe Bolloré ajouteront certains.
Toujours est-il que ce film rend complètement fous les bien-pensants.
Le Monde, Libération (dont la une du 24 janvier est en photo en haut de cet article), l’Obs, France Inter, France Infos, Télérama… bref tous les médias bien-pensants ont dit tout le mal qu’ils en pensaient avec un zèle remarquable.
Ce faisant, il ont contribué au succès du film en lui faisant une publicité remarquable qui a suscité la curiosité des spectateurs.
A l’origine, ses réalisateurs espéraient 100.000 entrées. Peu de salles avaient en effet accepté de le mettre à l’affiche. En fin de deuxième semaine, il atteignait déjà les 200.000 entrées. De nouvelles salles décidèrent de le mettre à leur programme, de sorte que l’espoir de réaliser 300.000 entrées est très réaliste. Voire plus.
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Regards sur Jeanne d’Arc
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L'invention du travail, avec Olivier Grenouilleau
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Ottoman : la défense des domaines (1574-1699) [3/3]
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Biographie de George Orwell dans la collection « Qui suis-je ? »
Journaliste et critique littéraire, Thomas Renaud contribue ou a contribué à une dizaine de titres de presse. Il se consacre depuis près de dix ans aux penseurs critiques de la modernité et de l’emprise technicienne. A ce titre, il avait déjà signé pour la collection Qui suis-je ? des éditions Pardès une biographie de Georges Bernanos. Et le voilà qui publie ces jours-ci, dans la même collection, une biographie de George Orwell.
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Les Saintes Patronnes de France (E. Vesco de Kéréven)
Les Editions Voxgallia ont réédité avec soin le livre Les Saintes Patronnes de France publié pour la première fois en 1928 et qui valut à son auteur Mademoiselle Edmée Vesco de Kéréven (1871-1945) le prix Sobrier-Arnould en 1930. Cette femme de lettres tenait à faire connaître à la jeunesse de France ces Saintes Patronnes qui doivent lui servir de modèles. Il y a là les biographies de Sainte Anne, patronne des Bretons, Sainte Marie-Madeleine et Sainte Marthe, si chères à la Provence, Sainte Geneviève, patronne de Paris, Sainte Clotilde, reine de France, Sainte Radegonde, reine de France, Sainte Odile, patronne de l’Alsace, Sainte Solange, patronne du Berry, Sainte Jeanne d’Arc, patronne de la France, Sainte Chantal, fondatrice de la Visitation, Sainte Marguerite-Marie, humble religieuse de Paray-le-Monial dont le nom est inséparable du culte du Sacré-Cœur institué pour établir la royauté de Jésus-Christ sur la terre, Sainte Madeleine-Sophie Barat, fondatrice de la Communauté du Sacré-Cœur et Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus.
Un cadeau idéal pour élever les âmes de nos jeunes filles et les inspirer dans leurs actes.
Les Saintes Patronnes de France, E. Vesco de Kéréven, éditions Voxgallia, 250 pages, 20 euros
A commander en ligne sur le site de l’éditeur
https://www.medias-presse.info/les-saintes-patronnes-de-france-e-vesco-de-kereven/159630/
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Savoir et pouvoir en Al-Andalus au XIe siècle, avec Emmanuelle Tixier du Mesnil
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Psychopathologie de l'antifascisme. Entre le complexe de culpabilité et la frustration
Ernesto Milà
Source: http://info-krisis.blogspot.com/2023/02/psicopatologia-del-antifascismo-entre.html?m=1
Ce que "je suis" - intolérant, dictatorial, dégénéré, violent, frustré, dépravé - je le projette sur "l'autre" et me "libère" ainsi du poids de la culpabilité. Ainsi naît l'"antifascisme" (et, par extension, tous les "antis"). Derrière toute forme d'irrationalité (et l'antifascisme en porte l'empreinte), ce qui existe est une maladie de l'âme. Il n'est pas rare que la gauche pro-verte, dans ses différentes variétés, soit unie par l'"antifascisme", précisément pour cacher l'échec de ses politiques et son orphelinat doctrinal. Lisez ci-dessous pourquoi un "antifa" devrait avoir sa propre salle dans le "musée des horreurs politiques"...
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Amadeo Bordiga, secrétaire général du parti communiste italien dans les années 1920 et dissident du stalinisme, a littéralement dit: "Le pire du fascisme sera l'antifascisme". Cette phrase est confirmée par le suivi des pages "antifascistes" sur le web et par la vie quotidienne du pédrosanchisme (ndt: l'actuel socialisme en Espagne). Jusqu'à l'apparition d'Internet, l'antifascisme était un résidu impénétrable auquel seuls ses derniers Mohicans prêtaient attention. L'Internet en a fait la fenêtre ouverte d'une pathologie sociale, relativement complexe dans certains cas et plus simple que le mécanisme d'un pot à encastrer dans d'autres.
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Mammon, démon de l'argent et du matérialisme - Démonologie