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culture et histoire - Page 357

  • Il a tué Lincoln ! J.W. Booth, le Brutus des Sudistes (Alain Sanders)

    Alain Sanders, journaliste et écrivain, est l’auteur de nombreux écrits consacrés aux Etats-Unis et un spécialiste passionné de l’histoire confédérée, communément appelée sudiste.

    Quelques jours après la capitulation le 3 avril 1865 de Richmond, capitale de la Confédération, suivie de la reddition du général Robert Lee, le président Lincoln est assassiné alors qu’il célèbre sa victoire à Washington. L’homme qui, le 14 avril 1865, tue d’un seul coup de feu Abraham Lincoln assis dans sa loge au théâtre se nomme John Wilkes Booth. Ce n’est pas un ancien militaire confédéré. Non, c’est un célèbre comédien de l’époque ! Et il parvient à s’échapper.

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  • L’Inquisition et la chasse aux sorcières sur Radio Maria

    Combien l’Inquisition a-t-elle brûlé de sorcières au Moyen âge ?

    •  Un million ?
    • Dix-mille ?
    • Zéro ?

    La bonne réponse est zéro.

  • Le bon Roi René (1409-1480)

    Le bon Roi René (1409-1480)

    Quel étrange personnage que ce duc d’Anjou, de Bar et de Lorraine, comte de Provence, roi effectif de Naples mais seulement titulaire du trône de Sicile, et souverain nominal de Jérusalem ! Prince aventureux, expert en tournois, à un moment où les chevaliers ne sont plus les maîtres des champs de bataille, il paraît tour à tour courageux, inconséquent ou débonnaire.

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  • Quand le Maréchal Pétain était honoré par les Etats-Unis

    Le Maréchal Pétain et le Général US Pershing.

    Petit rappel historique en images pour répondre aux propos grotesques et anachroniques du Maire de New York qui a l’intention d’effacer la plaque en l’honneur du Maréchal Pétain fixée à Broadway.

    En 1931, le Maréchal Pétain fut invité aux Etats-Unis et reçu avec tous les honneurs.

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  • Le connétable des Lansquenets 4/4

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    C’est seulement auprès des troupes impériales que s’épanouit encore le Connétable. Il envahit en juillet 1524 la Provence avec le marquis de Pescara. Le siège de Marseille tourne cependant au désastre. Les Impériaux doivent battre en retraite. Leur reculade permet la reconquête rapide du Milanais par les Français. Mais leur avancée se termine par la monumentale défaite de Pavie en 1525. François Premier est fait prisonnier à Madrid. Le Connétable cherche à peser sur le cours des négociations.

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  • Macron semble découvrir la rue d’Isly, les massacres d’Oran

    Soixante ans après la tuerie de la rue d’Isly, Macron a fait à la communauté des pieds-noirs – campagne électorale oblige – un cadeau inattendu : il a évoqué ce drame, ces quatre-vingts (ou plus) partisans de l’Algérie française massacrés, ainsi que les centaines de français assassinés à Oran, le 5 juillet 1962. Il aura donc fallu attendre soixante ans pour que ces crimes soient officiellement reconnus.

    Pendant soixante ans, seule « l’extrême droite » se souvenait. Pour une fois, le « en même temps » a du bon. Après avoir fait l’apologie des tueurs du FLN, présenté les colons d’Algérie (et d’ailleurs) comme des monstres ayant commis des crimes contre l’humanité (imprescriptibles, selon la loi), Macron s’est attaqué à l’autre versant du « en même temps », d’abord en faisant mémoire, le 20 septembre dernier, de l’extermination des harkis et de leurs familles, puis en recevant des associations de pieds-noirs à l’Elysée, et en reconnaissant le crime de la rue d’Isly et le massacre d’Oran, de juillet 1962.

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  • Le connétable des Lansquenets 3/4

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    Chef suprême de l’armée royale en l’absence du souverain, le connétable « porte l’épée royale et la présente, nue, à l’assistance » le jour du sacre à Reims. Il « possède sa propre juridiction – la connétablie et maréchaussée de France – qui lui donne des pouvoirs disciplinaires, sans appel, pour juger les délits et crimes des gens de guerre ». Fidèle à sa sévère réputation, le nouveau connétable interdit les pillages; il exige que ses troupes paient au juste prix les denrées prises aux paysans; il impose une réelle discipline à ses hommes d’armes; il punit le défaut de tenues particulières, reconnaissables et attribuées à chaque régiment royal. Cette dureté s’impose tant les mœurs sont rudes.

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