Dans la continuité de la chronique publiée dans notre précédent numéro, nous revenons sur l'œuvre de Maurice Barrès (1962-1923), et plus particulièrement sur l'influence qu'il exerça sur Charles Maurras.
Bon et mauvais tons
Maurras admirait Barrés, qui le lui rendait bien. Leur amitié fut profonde. Nous en sommes les bénéficiaires. On peut aller jusqu'à dire que nous restons débiteurs de Barrés en ce qu'il contribua à ramener notre principal maître politique des égarements anarchiques de sa prime jeunesse parisienne.