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culture et histoire - Page 448
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Maurras le damné !
La pléiade d’auteurs marquée au fer rouge de l’épuration entre 1944 et 1946 a connu, par la suite, des destins pour le moins divers et ce en dépit des idées réelles et des actions réalisées durant la guerre. Céline, créateur d’une nouvelle phrase française qui, en définitive, n’appartient qu’à lui, est toujours publié, lu, commenté et apprécié d’un vaste public en dépit de sa haine vociférée contre le genre humain, à commencer par les juifs. Le talent, ici, a dépassé les errements politiques. Brasillach, auteur d’une incomparable Anthologie de la poésie grecque, est tombé dans l’oubli. La délicatesse de sa plume est à jamais oubliée, enterrée sous les lignes pro-allemandes de ses articles dans « Je suis partout », et de son soutien au Reich de mille ans. Fusillé en 1945 sans avoir regretté une ligne, il est oublié en dépit de son talent.
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QU'EST-CE QUE LE PAGANISME ?
« La religion de l’Europe est d’essence cosmique. Elle voit l’univers comme éternel, soumis à des cycles. Cet univers n’est pas regardé comme vide de forces ni comme “absurde” comme le prétendent les nihilistes. Tout fait sens, tout est forces et puissances impersonnelles régies par un ordre inviolable, que les Indiens appellent Dharma (concept récupéré plus tard par les Bouddhistes), terme qui peut sembler exotique, mais que les Grecs traduisent par Kosmos : Ordre. Depuis des millénaires, notre religion, reflet de la tradition primordiale, pousse l’homme à s’insérer dans cet ordre, à en connaître les lois implacables, à comprendre le monde dans sa double dimension visible et invisible. Le païen d’aujourd’hui, comme il y a trois mille ans, fait siennes les devises du Temple d’Apollon à Delphes : connais-toi toi-même et rien de trop. » (Christopher Gérard, La Source pérenne, L'Âge d'Homme, 2007).
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La fortune des Médicis – Le siècle d’or de Florence (Jean-Yves Boriaud)
Jean-Yves Boriaud, professeur émérite de langue et littérature latines à l’université de Nantes, est un spécialiste de la Rome de la Renaissance. Chez Perrin, il publie un livre consacré à la mythique fortune des Médicis.
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Hommage à Dominique Venner - Une Archive Radio Exceptionnelle - Le Gallou, Lugan, Henry de Lesquen
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Ernst Jünger entre les dieux et les titans
Implexe, foisonnante, parfois cryptique, l’œuvre d’Ernst Jünger (1895 – 1998) est de celles qui, par la profondeur des « idées » qu’elles mobilisent et auxquelles elles donnent naissance, nécessitent une introduction. Le livre d’Alain de Benoist remplit parfaitement ce rôle ; il est loin de s’en contenter. S’il définit d’emblée et avec beaucoup de clarté l’espace de la réflexion jüngerienne et les « notions » qui la traversent, c’est pour entamer une passionnante narration philosophique, abondamment ponctuée d’éléments bio-bibliographiques.
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Sur la page FB de nos amis du GAR : pourquoi la Monarchie ? Partie 6 : un régime d'abord humain.
Joël Blanchard, professeur émérite au Mans Université, spécialiste des XIVe et XVe siècles, est l’auteur de nombreuses traductions de textes médiévaux ainsi que de biographies. Son nouveau livre ses propose de revenir sur ce Moyen Âge tardif si singulier.
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Aux origines de l’Europe
Aussi loin que nous remontions dans le passé, nous baignons dans une culture commune à tous les Européens. Dénommée “Religion cosmique”, son axe principal est un système de trois cycles, de trois couleurs puis de trois fonctions. Cette religion est à la base d’une conception globale de la société qui s’est transmise d’âge en âge au moyen de mythes, légendes et contes, voire de données historico-légendaires.
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POUR UN NOUVEAU MATIN FRANÇAIS, AVEC LA ROYAUTÉ !
Hier, avec ces quarante Rois qui ont fait la France, et qui en ont fait la première puissance du monde sous Louis XVI, nous possédions, avec la Royauté, "le régime le plus souple qui soit" (Léon Daudet), "la flèche du progrès" (Pierre Debray)...
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Sur la page FB de nos amis du GAR : pourquoi la Monarchie ? Partie 6 : un régime d'abord humain.
La Monarchie n’est pas « le régime parfait » et elle ne revendique pas l’être, consciente qu’elle est avant toute une institution faite par des hommes, pour des hommes, pour tous les êtres de sang et de chair dotés d’une conscience qui se rattachent, d’une façon ou d’une autre, à la France, et non une simple abstraction logique et froide :
son caractère profondément, intimement même (ne serait-ce que par son mode de transmission), humain l’entraîne à prendre les personnes telles qu’elles sont et à « faire de la politique », fondée sur les réalités plus que sur les seules idées ou idéologies, ce qui ne l’empêche évidemment pas d’avoir des idées ou de débattre de celles-ci sans préjugés et au-delà des conformismes.Comme le souligne Charles Maurras, la Monarchie ne constitue que « le moindre mal et la possibilité du bien » : elle n’est pas un remède miracle et n'a pas de sceptre magique, et les monarchistes conséquents ne sont pas non plus les charlatans d’une monarchie dont les rois seraient les gourous… Mais elle est cette nécessité pour faire vivre la France, pour en poursuivre l’œuvre dans un monde qui a besoin d’elle comme le soulignait en son temps l'écrivain Georges Bernanos, pour assurer la défense des « petits » face à « l’économie sauvage », pour donner à notre pays mieux qu’un homme, une famille ! Nécessaire, et au plus vite, faut-il souhaiter, possible…Sources : http://www.actionroyaliste.fr/