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culture et histoire - Page 451

  • Sur la page FB de nos amis du GAR : Pourquoi la Monarchie ? Partie 2 : D'un roi à un autre, la continuité.

    Le mode de succession au trône en France épargne au pays une vacance de l’État (d’où la formule évoquée jadis : « le roi ne meurt jamais », « le roi » qu’il faut comprendre comme l’État…) ou une bataille violente et forcément destructrice des amitiés, voire des équilibres politiques du pays, pour la conquête de celui-ci :

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  • MERCREDI 26 MAI, L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR TV LIBERTÉS CONSACRÉE AUX HARKIS AVEC PHILIPPE DE PARSEVAL

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  • L’Union sacrée

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    S’il est une attitude de Maurras qui a fait couler beaucoup d’encre, et cela continue, c’est bien son adhésion à l’Union sacrée. On se souvient en particulier de la thèse sans concession de Jean de Viguerie dans ses Deux Patries : 1914 marque l’adhésion définitive des forces de droite, au premier rang desquelles l’A. F., au patriotisme révolutionnaire, piège dont ni l’A. F. ni la droite ne sont depuis sorties, scellant la mort de la France, ou plutôt sa survie comme une ombre et un mot creux, dans un patriotisme de malentendus et de faux-semblants. Une danse autour du cadavre de la France, conclut l’auteur.

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  • Sur la page FB de nos amis du GAR : Pourquoi la Monarchie ? Partie 3 : la liberté du roi.

    Autres avantages du mode de transmission héréditaire de la Monarchie : l’indépendance de la magistrature suprême de l’État mais aussi l’autonomie du politique à l’égard des féodalités de l’économique.

    Le roi ne doit rien à personne, n’étant l’élu de personne et n’ayant pas été obligé de se construire une clientèle et de faire appel à des puissances financières pour accéder au pouvoir.

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  • À la rencontre des dieux maudits

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    Les archives d’Éléments recèlent des trésors comme ce plaidoyer de Jean Mabire en faveur des dieux du Nord de l'Europe, paru a occasion de ja sortie de son livre Les dieux maudits, aux éditions Copernic.

    Pourquoi ne pas l’avouer ? Je me que j’avais grande envie de le lire.

    Il n’existait rien de tel en langue française : une sorte de Que sais-je ? de la mythologie nordique. Guère plus de deux cents pages et un peu d’ordre dans ces récits décousus et parfois contradictoires. Cet ouvrage a donc été d’abord composé comme mon propre « pense-dieux ». Je voulais faire une sorte d’aide-mémoire élémentaire pour éclairer tant de ténèbres.

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  • Le grand retour de Proudhon

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    Entretien avec Thibault Isabel, Propos recueillis par Pascal Eysseric

    Le grand retour de Proudhon 1.jpegRédacteur en chef de la revue Krisis et collaborateur régulier d’Éléments, Thibault Isabel publie un ouvrage intitulé Pierre-Joseph Proudhon. L’anarchie sans le désordre, préfacé par Michel Onfray. Un livre qui ne dépoussière pas tant le « père de l'anarchisme » qu'il ne l’inscrit dans les grandes problématiques contemporaines : enracinement, localisme, autonomie individuelle.

    Éléments : Proudhon est sans aucun doute l’un des auteurs les plus inclassables de la pensée politique française. Peu de grands éditeurs se risquent a publier des livres sur ce genre de personnage. Pourquoi Michel Onfray a-t-il choisi de vous accorder une préface et de faire paraitre votre ouvrage dans la collection qu’il dirige aux éditions Autrement ?

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  • Romuald Hazoumé : « Nous, Africains, devons aussi assumer notre responsabilité dans l’esclavage »

    Avec « Expression(s) décoloniale(s) », le château des ducs de Bretagne invite l’artiste béninois Romuald Hazoumé et l’historien ivoirien Gildas Bi Kakou à poser un nouveau regard sur ses collections et la traite transatlantique. (…)

    Un autre invité, Gildas Bi Kakou, historien ivoirien qui a consacré sa thèse de doctorat à la traite négrière ivoirienne au XVIIIe siècle, intervient dans les collections. À côté des cartels habituels, on peut lire ses commentaires, qui ajoutent un éclairage pertinent, « de l’intérieur ».

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  • Sur les traces d’Ulysse

     
    Sur les traces d’Ulysse

    Ulysse, pour ceux qui ont grandi dans les années soixante, c’est d’abord l’extraordinaire série franco-germano-italo-yougoslave de Franco Rossi et Dino de Laurentiis, avec Irène Papas dans le rôle de Pénélope et Bekim Fehmiu dans celui d’Ulysse. Avec un minimum d’effets spéciaux (ceux de l’époque), elle nous transportait en huit épisodes de cinquante minutes dans le sillage d’Ulysse. Pour le petit garçon que j’étais encore, ce fut la découverte émerveillée de l’un des récits fondateurs de notre vieille Europe et de la Méditerranée ensoleillée. Et l’une ne va pas sans l’autre.

    Nous avions encore la chance de recevoir une éducation « classique » fondée sur les textes historiques qui mettaient en avant les valeurs de courage, de sacrifice, d’honneur… Nos héros s’appelaient Hector, Léonidas, Ulysse… Et nous étions prêts à échanger une vie courte et intense contre une gloire éternelle.

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  • Bertrand Du Guesclin, un Breton au service de la France (v.1320- 1380)

     
    Bertrand Du Guesclin, un Breton au service de la France (v.1320- 1380)

    D’une laideur légendaire, le modeste seigneur de la Motte-Broons, aux pratiques guerrières peu conventionnelles au regard des canons chevaleresques, est une figure incontournable de la Guerre de Cent Ans, rivalisant d’honneur et de préséance avec les plus grands seigneurs du royaume. Au service de Charles V le Sage, dont il est l’un des bras armés, il a fourni la matière de toute une littérature qui, pour défendre la cause royale, a largement créé la légende, aux relents de chanson de geste. Ce dixième preux aux cinquante batailles et aux mille châteaux pris, cette « fleur de la chevalerie », véritable « estoc d’honneur et arbre de vaillance », aurait-il usurpé la gloire qui est toujours la sienne dans la mémoire nationale ?

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