Jean-Yves Boriaud, professeur émérite de langue et littérature latines à l’université de Nantes, est un spécialiste de la Rome de la Renaissance. Chez Perrin, il publie un livre consacré à la mythique fortune des Médicis.
culture et histoire - Page 451
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La fortune des Médicis – Le siècle d’or de Florence (Jean-Yves Boriaud)
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Hommage à Dominique Venner - Une Archive Radio Exceptionnelle - Le Gallou, Lugan, Henry de Lesquen
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Ernst Jünger entre les dieux et les titans
Implexe, foisonnante, parfois cryptique, l’œuvre d’Ernst Jünger (1895 – 1998) est de celles qui, par la profondeur des « idées » qu’elles mobilisent et auxquelles elles donnent naissance, nécessitent une introduction. Le livre d’Alain de Benoist remplit parfaitement ce rôle ; il est loin de s’en contenter. S’il définit d’emblée et avec beaucoup de clarté l’espace de la réflexion jüngerienne et les « notions » qui la traversent, c’est pour entamer une passionnante narration philosophique, abondamment ponctuée d’éléments bio-bibliographiques.
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Sur la page FB de nos amis du GAR : pourquoi la Monarchie ? Partie 6 : un régime d'abord humain.
Joël Blanchard, professeur émérite au Mans Université, spécialiste des XIVe et XVe siècles, est l’auteur de nombreuses traductions de textes médiévaux ainsi que de biographies. Son nouveau livre ses propose de revenir sur ce Moyen Âge tardif si singulier.
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Aux origines de l’Europe
Aussi loin que nous remontions dans le passé, nous baignons dans une culture commune à tous les Européens. Dénommée “Religion cosmique”, son axe principal est un système de trois cycles, de trois couleurs puis de trois fonctions. Cette religion est à la base d’une conception globale de la société qui s’est transmise d’âge en âge au moyen de mythes, légendes et contes, voire de données historico-légendaires.
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POUR UN NOUVEAU MATIN FRANÇAIS, AVEC LA ROYAUTÉ !
Hier, avec ces quarante Rois qui ont fait la France, et qui en ont fait la première puissance du monde sous Louis XVI, nous possédions, avec la Royauté, "le régime le plus souple qui soit" (Léon Daudet), "la flèche du progrès" (Pierre Debray)...
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Sur la page FB de nos amis du GAR : pourquoi la Monarchie ? Partie 6 : un régime d'abord humain.
La Monarchie n’est pas « le régime parfait » et elle ne revendique pas l’être, consciente qu’elle est avant toute une institution faite par des hommes, pour des hommes, pour tous les êtres de sang et de chair dotés d’une conscience qui se rattachent, d’une façon ou d’une autre, à la France, et non une simple abstraction logique et froide :
son caractère profondément, intimement même (ne serait-ce que par son mode de transmission), humain l’entraîne à prendre les personnes telles qu’elles sont et à « faire de la politique », fondée sur les réalités plus que sur les seules idées ou idéologies, ce qui ne l’empêche évidemment pas d’avoir des idées ou de débattre de celles-ci sans préjugés et au-delà des conformismes.Comme le souligne Charles Maurras, la Monarchie ne constitue que « le moindre mal et la possibilité du bien » : elle n’est pas un remède miracle et n'a pas de sceptre magique, et les monarchistes conséquents ne sont pas non plus les charlatans d’une monarchie dont les rois seraient les gourous… Mais elle est cette nécessité pour faire vivre la France, pour en poursuivre l’œuvre dans un monde qui a besoin d’elle comme le soulignait en son temps l'écrivain Georges Bernanos, pour assurer la défense des « petits » face à « l’économie sauvage », pour donner à notre pays mieux qu’un homme, une famille ! Nécessaire, et au plus vite, faut-il souhaiter, possible…Sources : http://www.actionroyaliste.fr/ -
Philippe de Parseval, auteur du livre "Nos frères d'armes les Harkis", invité de l'émission "Synthèse" sur TV Libertés
Européens et musulmans ! C’est la désignation que les médias unanimement emploient au sujet de ces deux communautés. Il eût été plus juste de maintenir ces désignations "Français de souche européenne" et "Français de souche nord-africaine", tous étant Français des départements d’Oran, d’Alger et de Constantine.
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Godefroi de Bouillon (Alphonse Vétault)
Alphonse Vétault (1843-1898), historien, fut aussi archiviste départemental de la Marne et de la ville de Rennes. L’Académie française lui décerna le grand prix Gobert en 1879 pour son ouvrage sur Charlemagne.
Les éditions Saint-Rémi viennent de rééditer sa biographie de Godefroi de Bouillon. Il s’agit d’une étude complète. Les détails qui y sont réunis et coordonnés, dégagés dans leur ensemble des grands tableaux de l’histoire générale, ont été tous recueillis aux sources les plus accréditées de cette histoire. Fils de sainte Ide de Boulogne et d’Eustache II, Godefroi de Bouillon nous est présenté ici dès sa naissance dans le Boulonnais.
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Carl Schmitt face à la gauche
Dans la foulée du colloque « Ernst Jünger et Carl Schmitt : une passion française » organisé par Éléments, Aristide Leucate publie aux Éditions de la Nouvelle Librairie Carl Schmitt et la gauche radicale. Une autre figure de l’ennemi. En bon connaisseur de Schmitt, Leucate nous livre une étude complète (et dans une langue irréprochable) sur les lectures à gauche du juriste allemand, qui ne font que souligner la richesse de la pensée schmittienne.
ÉLÉMENTS : Comment expliquez-vous l’engouement de la gauche pour l’œuvre de Carl Schmitt ? Cette relation paradoxale se noue-t-elle autour d’un antilibéralisme commun ? Qu’est-ce qui distingue cet antilibéralisme on n’ose dire de droite et de gauche ?
ARISTIDE LEUCATE. On pourrait parler d’un engouement à la fois polymorphique et amphibologique tant, au-delà des connivences dont l’antilibéralisme serait la figure de proue, les Marxisti Schmittiani, en proie à une agitation révolutionnaire aussi convulsive qu’endémique, ont cru trouver chez le juriste allemand les armes rhétoriques qui donneraient un coup de vis décisif à leur radicalisme débordant.