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culture et histoire - Page 450

  • Les Vikings, vérités et légendes (Jean Renaud)

    Jean Renaud, professeur émérite de langues, littérature et civilisation scandinaves, a dirigé le département d’études nordiques à l’université de Caen. Il a publié plusieurs manuels de langues scandinaves et une douzaine d’ouvrages sur les Vikings. Chez Perrin, dans la collection Vérités et légendes, à partir des meilleures sources archéologiques et historiques, il répond à trente questions afin d’en savoir véritablement plus sur ces Vikings à propos desquels différents mythes sont entretenus par la littérature, le cinéma ou la bande dessinée.

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  • Les fondements du paganisme celtique et slave

    Celtes et Slaves honoraient un dieu du ciel et nous en retrouvons les traces aujourd'hui encore dans des my-thes, des noms de sites cultuels, des coutumes traditionnelles. Les mythes celtiques, après une christianisation superficielle, ont été transposés dans des littératures richissimes, qui continuent à nous en-chanter. Les Slaves ont pu conserver sans trop de problèmes leurs propres mythes dans les coutumes de la religion orthodoxe, demeurée paysanne et enracinée.

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  • Marion Sigaut nous parle du Chevalier de la Barre, sa véritable histoire et les mensonges de Voltaire

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    Rediffusion d’une conférence de l’historienne Marion Sigaut démolissant les mensonges de Voltaire concernant le chevalier de la Barre.


    https://www.medias-presse.info/marion-sigaut-nous-parle-du-chevalier-de-la-barre-sa-veritable-histoire-et-les-mensonges-de-voltaire/116702/

  • SYMBOLES, DU MONDE PAÏEN AU MONDE CHRÉTIEN

    Depuis la nuit des temps, l'homme use de symboles : les dessins rupestres sont symboles religieux et non, comme on l'a cru longtemps, des fresques narratives. La symbolique évolue en fonction du degré de la civilisation : on peut distinguer quatre étapes qui se chevauchent et/ou coexistent.

    • 1) Le symbole matérialise un concept philosophique ou religieux inaccessible autrement au commun des mortels. En général, le symbole est inclus dans une narration, mythe, conte, légende, épopée…

    • 2) Le symbole représente une chose concrète ou abstraite et se substitue à elle par souci de poésie (neige et vieillesse), par pudeur ou tabou (avoir la puce à l'oreille), par similitude de forme (ventre et grotte), par recouvrement de caractère (rat et avarice)…

    • 3) Le symbole masque une vérité que l'on ne veut pas ou que l'on ne peut pas exprimer en clair : ésotérisme (alchimie), sociétés secrètes ou sectes (franc-maçonnerie), politique, psychanalyse…

    • 4) Le symbole permet les jeux de mot, sur les armes (Hugues Capet, abbé de Senlis, élu roi, pris pour écu un semis de lys  — cent lis —  sur champ d'azur  — le fleuve —) ; les rébus, le pictionary (contraction de picture et dictionary).

    La deuxième série permet d'obtenir quelques renseignements sur les mœurs, la troisième est inexploitable sauf par les personnes concernées directement, la quatrième catégorie, un temps utilisée pour favoriser l'éveil des enfants à leur langue maternelle, a été abandonnée par suite de trop nombreuses confusions de sens et d'orthographe.

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  • La révolution messianique de 1789

    Lors de son passage sur Paris Première, le 18 décembre 2019, Alain Finkielkraut n’a pas hésité à affirmer que « la Révolution française réalisait les espérances messianiques inscrites dans la Bible ».

    Ces propos peuvent étonner certains. Il est juste d’affirmer que les juifs ont joué un rôle majeur dans la révolution bolchevique de 1917 en Russie. On comptait près de 80 % de révolutionnaires issus de cette communauté. En revanche, nous ne trouvons pas de juifs aux premières loges, si l’on peut dire, lors des événements de 1789. Ce sont de « bons » goyim issus, pour l’essentiel, de l’aristocratie et de la haute bourgeoisie.

    Cependant, ces « élites » patronnées par les philosophes (Voltaire, d’Alembert, …) se caractérisaient par un esprit imprégné d’éléments mêlant des principes maçonniques et noachites d’essence judaïsante, mâtinés pour certains de protestantisme. N’oublions pas non plus l’influence d’une sorte de super loge, « les Frères asiatiques », mélangeant judaïsme talmudique, christianisme abâtardi et espérance messianique née de l’influence du messianiste Jacob Frank (1726-1791), puis mis en œuvre par son petit cousin Junius Frey (1753-1794), de son vrai nom Moses Dobruska.

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  • Maurras le damné !

    La pléiade d’auteurs marquée au fer rouge de l’épuration entre 1944 et 1946 a connu, par la suite, des destins pour le moins divers et ce en dépit des idées réelles et des actions réalisées durant la guerre. Céline, créateur d’une nouvelle phrase française qui, en définitive, n’appartient qu’à lui, est toujours publié, lu, commenté et apprécié d’un vaste public en dépit de sa haine vociférée contre le genre humain, à commencer par les juifs. Le talent, ici, a dépassé les errements politiques. Brasillach, auteur d’une incomparable Anthologie de la poésie grecque, est tombé dans l’oubli. La délicatesse de sa plume est à jamais oubliée, enterrée sous les lignes pro-allemandes de ses articles dans « Je suis partout », et de son soutien au Reich de mille ans. Fusillé en 1945 sans avoir regretté une ligne, il est oublié en dépit de son talent.

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  • QU'EST-CE QUE LE PAGANISME ?

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    « La religion de l’Europe est d’essence cosmique. Elle voit l’univers comme éternel, soumis à des cycles. Cet univers n’est pas regardé comme vide de forces ni comme “absurde” comme le prétendent les nihilistes. Tout fait sens, tout est forces et puissances impersonnelles régies par un ordre inviolable, que les Indiens appellent Dharma (concept récupéré plus tard par les Bouddhistes), terme qui peut sembler exotique, mais que les Grecs traduisent par Kosmos : Ordre. Depuis des millénaires, notre religion, reflet de la tradition primordiale, pousse l’homme à s’insérer dans cet ordre, à en connaître les lois implacables, à comprendre le monde dans sa double dimension visible et invisible. Le païen d’aujourd’hui, comme il y a trois mille ans, fait siennes les devises du Temple d’Apollon à Delphes : connais-toi toi-même et rien de trop. » (Christopher Gérard, La Source pérenne, L'Âge d'Homme, 2007).

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