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culture et histoire - Page 449

  • Philippe de Parseval, auteur du livre "Nos frères d'armes les Harkis", invité de l'émission "Synthèse" sur TV Libertés


    Européens et musulmans ! C’est la désignation que les médias unanimement emploient au sujet de ces deux communautés. Il eût été plus juste de maintenir ces désignations "Français de souche européenne" et "Français de souche nord-africaine", tous étant Français des départements d’Oran, d’Alger et de Constantine.

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  • Godefroi de Bouillon (Alphonse Vétault)

    Alphonse Vétault (1843-1898), historien, fut aussi archiviste départemental de la Marne et de la ville de Rennes. L’Académie française lui décerna le grand prix Gobert en 1879 pour son ouvrage sur Charlemagne.

    Les éditions Saint-Rémi viennent de rééditer sa biographie de Godefroi de Bouillon. Il s’agit d’une étude complète. Les détails qui y sont réunis et coordonnés, dégagés dans leur ensemble des grands tableaux de l’histoire générale, ont été tous recueillis aux sources les plus accréditées de cette histoire. Fils de sainte Ide de Boulogne et d’Eustache II, Godefroi de Bouillon nous est présenté ici dès sa naissance dans le Boulonnais.

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  • Carl Schmitt face à la gauche

    Aristide Leucate pour son livre "Carl Schmitt et la gauche radicale" aux éditions La Nouvelle Librairie

    Dans la foulée du colloque « Ernst Jünger et Carl Schmitt : une passion française » organisé par Éléments, Aristide Leucate publie aux Éditions de la Nouvelle Librairie Carl Schmitt et la gauche radicale. Une autre figure de l’ennemi. En bon connaisseur de Schmitt, Leucate nous livre une étude complète (et dans une langue irréprochable) sur les lectures à gauche du juriste allemand, qui ne font que souligner la richesse de la pensée schmittienne.

    ÉLÉMENTS : Comment expliquez-vous l’engouement de la gauche pour l’œuvre de Carl Schmitt ? Cette relation paradoxale se noue-t-elle autour d’un antilibéralisme commun ? Qu’est-ce qui distingue cet antilibéralisme on n’ose dire de droite et de gauche ?

    ARISTIDE LEUCATE. On pourrait parler d’un engouement à la fois polymorphique et amphibologique tant, au-delà des connivences dont l’antilibéralisme serait la figure de proue, les Marxisti Schmittiani, en proie à une agitation révolutionnaire aussi convulsive qu’endémique, ont cru trouver chez le juriste allemand les armes rhétoriques qui donneraient un coup de vis décisif à leur radicalisme débordant.

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  • Le nouveau numéro (n°190) d'Eléments est paru

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    En vente en kiosque et dans les Maisons de la Presse : 6,90 €.

    Achat en ligne ou abonnement ici

  • Perles de Culture n°298 – Valmy : la fin de la vieille France

    Anne Brassié reçoit Jean-Luc Ancely pour son ouvrage « Valmy – La fin de la vieille France » publié aux éditions Mols. Une description étonnante des années révolutionnaires closes par Valmy, victoire piteuse dont l’auteur nous révèle les dessous et les conséquences.


    https://www.tvlibertes.com/perles-de-culture-n298-valmy-la-fin-de-la-vieille-france

  • La monarchie parlementaire : un régime défenseur des libertés, par Alexandre Massaux.

    crown source https://unsplash.com/photos/j1HU-Oll7K

    Les monarchies occupent plus de la moitié des « top 10 » des pays les plus libres et certaines se situent à la première place.

    Un article de l’Iref-Europe

    Les monarchies parlementaires, comme certains pays du Commonwealth et scandinaves, dominent les classements des libertés économiques et politiques. L’importance donnée au Parlement tout comme la non-politisation du chef de l’État offrent un cadre institutionnel propice à des décisions libérales.

    La mort du prince consort Philip Mountbatten, mari de la reine Elizabeth II, a soulevé des questions relatives au rôle de la monarchie dans nos sociétés modernes. Certains en France vont même jusqu’à considérer ce modèle dépassé et estiment qu’il devrait être aboli en faveur de la république.

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  • Du Christianisme au Libéralisme : le chemin de la décadence

    Que ce soit dans le cadre de colloques internationaux, de séminaires organisés par des autorités universitaires, ou plus simplement de débats télévisés, le monde intellectuel est dominé par une idéologie qu'il est malaisé de définir, mais qui projette son ombre omniprésente sur tous les champs du savoir. La recherche de la vérité DOIT passer préalablement par le “filtre” castrateur de la pensée du Big Brother universel.

    Dans un essai collectif paru sous la direction de Watson Fuller (La Responsabilité scientifique, Hermann, 1974), le professeur Geoffrey Beale signale que certains savants se sont prononcés pour la suppression des crédits affectés aux recherches dont les résultats n'iraient pas dans le même sens que les croyances universalistes et égalitaristes.

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  • Perles de Culture n°298 – Valmy : la fin de la vieille France

    Anne Brassié reçoit Jean-Luc Ancely pour son ouvrage « Valmy – La fin de la vieille France » publié aux éditions Mols. Une description étonnante des années révolutionnaires closes par Valmy, victoire piteuse dont l’auteur nous révèle les dessous et les conséquences.


    https://www.tvlibertes.com/perles-de-culture-n298-valmy-la-fin-de-la-vieille-france

  • Plaidoyer contemporain pour la Monarchie.

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    Le magazine Reines & Rois m’a invité dans ses colonnes à présenter les arguments contemporains pour l’établissement d’une Monarchie en France, et ma tribune a été intégralement et fidèlement publiée dans le numéro de Mai-juin-juillet 2021, ce dont je remercie la rédaction et Olivier C. en particulier. En voici le texte ci-dessous…

    Un récent sondage nous apprenait que 17 % des Français étaient favorables à l’établissement d’une Monarchie en France, et cela plus de deux siècles après la fracture révolutionnaire et plus d’un siècle et demi après le départ en exil du dernier roi ayant effectivement régné. Entretemps, cinq Républiques sont nées et quatre ont disparu, souvent dans des affres peu glorieuses, du coup d’État à la défaite militaire, sans oublier deux empires et un « État français » : deux siècles durant lesquels la question institutionnelle ne cesse d’être posée, et cela même si l’actuelle République, cinquième du nom, semble avoir réussi une certaine synthèse entre les différentes traditions politiques du pays, synthèse néanmoins remise en question aujourd’hui par les nostalgiques de la IIIe (ou de la IVe) République qui la trouvent « trop monarchique » quand les royalistes la trouvent, eux, trop républicaine ou « monocratique », trop jacobine ou laxiste…

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