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économie et finance - Page 194

  • Politique & Eco n° 282 : La relance économique par la baisse des impôts et des charges

    Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent Denis Louvel, consultant et chef d’entreprise, pour son livre : »Réussir la relance économique : La découverte qui apporte l’espoir » Editions Bookelis.
    Pourquoi certains plans de redressement économiques apportent des résultats alors que d’autres sont inefficaces voire aggravent la situation ? A l’heure où la pandémie a creusé les déficits, il est important de réfléchir aux solutions de relance. Il y a, à l’évidence, une relation inverse entre les taux de prélèvement et la croissance. Mais c’est sur l’opération prélèvements-redistribution qu’il apparaît que tout prélèvement s’apparente à une ponction sur les bénéfices alors que l’argent distribué s’apparente à du chiffre d’affaire. C’est pourquoi toute baisse de prélèvement libère de l’argent totalement disponible pour la croissance. Une réflexion que nos gouvernants devraient avoir.

    https://www.tvlibertes.com/politique-eco-n-282-la-relance-economique-par-la-baisse-des-impots-et-des-charges

  • France 2018 : de la facture à la fracture

    La politique économique d’Emmanuel Macron montre ses limites, tandis qu’une fracture sociale menace de couper en deux la société française.

    La rentrée sociale promet de ne pas être de tout repos pour Emmanuel Macron et le gouvernement. Une première décision fait déjà polémique, celle de revaloriser nettement au-dessous de l'inflation les pensions de retraite et les allocations familiales. De toute évidence, les familles - et donc le redressement d'une natalité en baisse - ne font pas partie des objectifs prioritaires d'Emmanuel Macron.

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  • Eudes Baufreton : « Chaque français est endetté de 40 000 euros, par la dette publique” (Vidéo)

    Avec Eudes Baufreton, délégué général de “Contribuables Associés”.

    https://www.tvlibertes.com/actus/eudes-baufreton-chaque-francais-est-endette-de-40-000-euros-par-la-dette-publique-video-2

  • Le capitalisme est mort, reste à dégager ses grands prêtres

    Ça faisait déjà longtemps que le vieux système capitaliste ne se portait pas bien. 

    Il a rendu définitivement l’âme en 2020. Ses piliers – l’aéronautique, l’automobile, le tourisme… – se sont effondrés et ne se redresseront pas. Le système éducatif qu’il avait asservi pour former ses cadres s’est désintégré. 

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  • Le monde : un malade en phase terminale

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    J’écris ces lignes le 19 décembre 2020; le monde est dans la plus complète absence de repères quant à son avenir immédiat; les populations de la planète s’apparentent à des zombies qui n’ont plus aucune espèce de jugement critique, exécutant machinalement toutes les directives que leurs dirigeants leur transmettent, certains mêmes réclamant de plus grandes contraintes qui les mèneront inévitablement à la mort ou à un statut d’esclave ou de robot qu’il n’est pas bien difficile à imaginer quand on a gardé un minimum de lucidité. Le monde entier est sous l’emprise d’une peur irraisonnée et injustifiée savamment instillée dans les cerveaux défaillants de 99 % de l’humanité.

    La planète Terre est devenue un immense asile d’aliénés à ciel ouvert où ne sont effectivement enfermés dans les hôpitaux psychiatriques que les rares personnes qui ont conservé une bonne santé mentale.

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  • La fraude en col blanc Vers un capitalisme criminogène 5/5

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    Le plus troublant est que, malgré les destructions que ce processus de dérégulation des marchés financiers a opérées, rien ne semble pouvoir limiter le pouvoir de la haute finance toxique. L'oligopole financier mondialisé, pourtant à l'origine de la crise de 2008, en est ressorti plus fort. On peut évidemment trouver des explications techniques à cet essor ininterrompu, mais la véritable cause est politique. Le Politique est captif, pris en otage. Cette capture est d'abord cognitive et intellectuelle : non seulement les politiques ne comprennent pas la centralité des questions financières, mais surtout ils sont effrayés par la technicité des arcanes de cet univers et plus encore, par le jeu des revolving doors.

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  • Le chagrin, la peur, la haine

    Chronique de Paysan Savoyard (n°239 – Décembre 2020)

    Nous sommes les générations dont le triste privilège est de pouvoir assister à cet événement de dimension historique : le naufrage de la civilisation européenne, notre civilisation millénaire. Unité de temps, la première moitié du 21e siècle, unité de lieu, l’Europe, unité d’action, l’invasion, les règles de la tragédie classique sont pour nous réunies. Au spectacle désolant de ce monde qui disparaît, trois sentiments également violents s’additionnent et se renforcent l’un l’autre.

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  • « Le libéralisme est à la liberté ce que l’égalitarisme est à l’égalité »

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    Alain de Benoist, penseur inclassable qui revendique la paternité de l’expression « la pensée unique », l’auteur de « La Chape de plomb » traque les causes de la disparition de notre liberté d’expression et rappelle que la liberté de l’individu dépend de la liberté de son pays. Un entretien de Françoise Bonardel pour la revue « Causeur ».

    FRANÇOISE BONARDEL. Vous êtes l’auteur d’une œuvre considérable, et une des figures les plus controversées de la vie intellectuelle française. Dans votre dernier livre (La Chape de plomb, La Nouvelle Librairie), vous vous livrez à une attaque en règle contre les « nouvelles censures ». Dans quelle intention ?

    ALAIN DE BENOIST : Je ne suis pas le premier à publier un livre sur la disparition de la liberté d’expression. Le mien se distingue des autres par un refus de se cantonner dans la déploration, et par une tentative d’explication théorique visant à expliquer comment nous en sommes arrivés là. Vous connaissez le propos mille fois cité de Bossuet sur ceux qui se plaignent des conséquences et chérissent les causes. Quand on y regarde de près, on s’aperçoit que les causes sont souvent très lointaines. Pour les élucider, il faut remonter loin en amont. L’histoire des idées peut y aider.

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  • La fraude en col blanc Vers un capitalisme criminogène 3/5

    La fraude en col blanc vers un capitalisme criminogène.jpeg

    ÉLÉMENTS : Comment combattre cette abstraction qu'est la haute finance ?

    JEAN-FRANÇOIS GAYRAUD : Les militaires, comme les policiers, et en fait tous les professionnels confrontés à l'adversité, savent que le combat est perdu d'avance s'il existe un flou, une indétermination, sur la qualification ou de l'adversaire ou de l'ennemi. Une guerre implique de situer concrètement l'ennemi. Ainsi, toutes les guerres métaphysiques et abstraites de type « guerre à la drogue » ou « guerre au terrorisme » sont vouées à l'échec, faute d'avoir su ou voulu nommer précisément l'ennemi. On se lance alors soit dans des guerres sans fin - comme les Américains avec la « guerre au terrorisme » - ou on demeure au stade des mots et des velléités.

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  • Les raisons, simples et claires, pour lesquelles je ne me ferai pas vacciner contre la COVID-19 (Jacques Pollini, chercheur associé à l’Université Mc Gill de Montréal)

    Sur la planète entière, les gens sont en train de débattre pour savoir s’ils vont se faire vacciner contre la COVID-19. Est-ce un débat ou une guerre de tranchées ? Il semble que l’on soit plutôt dans la deuxième situation. Comment en sortir ? Comment établir enfin un dialogue permettant à chacun de quitter son retranchement et faire un choix informé ? Il me semble que pour sortir de l’impasse, il faut réaliser que deux questions distinctes, mais liées, se posent : celle de l’efficacité et l’innocuité des vaccins, qui est une question scientifique, et celle de la confiance envers les décideurs, qui est une question politique.
    Pour la première question, seules quelques poignées d’individus peuvent répondre. Un citoyen ordinaire ne dispose pas des compétences techniques lui permettant de juger si les vaccins COVID-19 seront efficaces et inoffensifs ou pas. Notre choix ne pourra donc se baser que sur la réponse que nous donnons à la deuxième question, c’est-à-dire sur notre confiance envers nos décideurs.

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