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géopolitique - Page 391

  • LE « RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE » DANS LA CONSTITUTION ? (2) (L’Imprécateur)

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    Cet article de l’Imprécateur est lié à celui de Jean Goychman et le complète. 
    Ils traitent tous les deux du « Grand Mensonge » concernant le réchauffement climatique d’origine anthropique, largement contesté aujourd’hui par un grand nombre de climatologues sérieux, pourtant obligés de se taire…
    Ces deux articles évoquent également le projet pervers du Président de la République de tenter d’organiser un référendum visant à inscrire dans le marbre ce mensonge, cette « fake news » de telle sorte qu’il ne sera même plus possible ensuite de tenter d’en débattre et de le contredire. 
    Décidément, il est de plus en plus clair que nous entrons d’un pas décidé dans le monde de George Orwell, un nouveau monde d’obscurantisme moderne…

    Marc Le Stahler


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  • LE « RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE » DANS LA CONSTITUTION ? (1) (Jean Goychman)

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    Cet article de Jean Goychman est complété par celui de L’Imprécateur.
    Ils traitent tous les deux du « Grand Mensonge » concernant le réchauffement climatique d’origine anthropique, largement contesté aujourd’hui par un grand nombre de climatologues sérieux, pourtant obligés de se taire…
    Ces deux articles évoquent également le projet pervers du Président de la République de tenter d’organiser un référendum visant à inscrire dans le marbre ce mensonge, cette « fake news » de telle sorte qu’il ne sera même plus possible ensuite de tenter d’en débattre et de le contredire. 
    Décidément, il est de plus en plus clair que nous entrons d’un pas décidé dans le monde de George Orwell, un nouveau monde d’obscurantisme moderne…

    Marc Le Stahler

    Le réchauffement climatique sera-t-il prochainement gravé dans le marbre de la constitution de 1958 pour permettre à Macron de gagner un référendum – peu en importe le contenu -, ce qui constituerait la clé de sa réélection en 2022 ?

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  • L’Empire US et les peuples autochtones : un contentieux historique

    L’Empire US et les peuples autochtones : un contentieux historique

    Faut-il encore rappeler que les Etats-Unis se sont d’abord construits contre des peuples autochtones (les Indiens d’Amérique) et que cette entité a mené de véritables guerres d’extermination à des gens qui ne lui demandaient rien, si ce n’est de vivre tranquillement selon leurs lois et sur la terre de leurs ancêtres. Mais c’était déjà trop apparemment, sans compter que cela constituait un obstacle insupportable à la « mission providentielle » des Etats-Unis, à la « destinée manifeste » de cette nation choisie pour être le législateur de l’humanité, de toute l’humanité il va sans dire.

    Les Etats-Unis se sont construits sur une base vétérotestamentaire. C’est pourquoi la psychologie américaniste est prisonnière d’une trame biblique : l’Amérique est la terre promise, le peuple américain est le peuple élu, les autochtones du pays sont des Cananéens – on peut donc légitimement les exterminer – et les autres nations ont un choix binaire à faire : soit s’incliner devant la Nouvelle Jérusalem, soit disparaître.

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  • Russie : la fin pour les Intégrationnistes atlantistes … peut-être ?

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    Source Unz Review via thesaker.is

    À présent, nous avons tous entendu la nouvelle, tout le gouvernement russe a démissionné et un nouveau Premier ministre, Mikhail Mishustin, a été nommé. Et nous savons aussi qu’Internet a été submergé par toutes sortes de spéculations sur ce que tout cela pourrait signifier.

    Hélas, tant que nous ne saurons pas qui sera inclus dans le nouveau gouvernement, nous ne pouvons pas vraiment dire grand-chose. Je veux dire, oui, en théorie, nous pourrions retenir notre souffle et nous attendre à ce que Glaziev soit nommé à une position importante dans le soi-disant «bloc économique» du gouvernement, mais comment savons-nous que ce ne sera pas Koudrine à la place ?!

    On ne le sait pas.

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  • PROCHE-ORIENT : POUR UNE FOIS, TRUMP A TOUT FAUX !

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    Une fois n’est pas coutume, nous dirons le plus grand mal de cette initiative du président américain qui n’est ni juste ni, surtout, sérieuse. Enfin, comment les Arabes de Palestine pourraient-ils accepter un plan qui les ampute d’un cinquième de leur territoire, - déjà réduit comme une peau de chagrin -, et qu’on leur propose d’installer leur capitale à Abu Dis, une banlieue de Jérusalem-Est à l’extérieur du mur de sécurité ?

    Un bref rappel historique

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  • Plan de paix israélo-arabe : Une farce ou une perspective ?

    Une farce ?

    PRESENT – Correspondant permanent aux Etats-Unis. – Les Palestiniens sont invités à accepter une souveraineté toute symbolique sur un Etat fantôme et à faire leur deuil de toute revendication territoriale où les Israéliens se trouvent solidement établis. Les éventuelles colonies juives encore en gestation ne seront pas l’objet de négociations, pas plus que le statut de Jérusalem ne sera discuté puisque l’ambassade américaine y a été déjà solennellement installée. Si d’aventure les Palestiniens se montrent déçus par le découpage d’une terre qui, en d’autres temps, fut la leur, on les incite à considérer avec sérieux les 50 milliards de dollars offerts par les monarchies pétrolières comme lot de consolation. Voilà ce que le président Donald Trump, avec à ses côtés Benjamin Netanyahu, Premier ministre israélien, a appelé dans les salons de la Maison-Blanche « l’accord du siècle pour la paix au Moyen-Orient ».

    Quelle sorte d’accord pour quel type de paix ? Le document officiel de 180 pages ne le dit pas. Qu’importe aux deux compères qui avaient surtout besoin d’un effet d’annonce, de gesticulations théâtrales. Ce vieux conflit usé jusqu’à la corde leur servit de diversion à un moment périlleux de leur carrière politique. L’instinct et le calcul les ont réunis à Washington car, curieusement, les obstacles auxquels ils font face sont communs. Trump n’a pas le droit à l’erreur dans son procès devant le Sénat et Netanyahu est guetté par une inculpation pour corruption. L’un et l’autre doivent assumer des échéances électorales – Trump en novembre, Netanyahu en mars – qui exigent de leur part une opération psychologique. Enfin, nous sommes en présence de deux pragmatiques, deux froids manœuvriers pour qui seuls comptent les réalités du terrain et les avantages que l’on peut en retirer. Trump se pose en ficeleur d’un accord jugé impossible. Et Netanyahu se prend pour l’homme qui a fait plier l’Amérique.

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  • Surpopulation ? Jeanne Smits répond à Alain de Benoist

    Surpopulation ? Jeanne Smits répond à Alain de Benoist

    Suite à l’entretien donné sur Boulevard Voltaire avec Alain de Benoist dans lequel celui-ci se fait le chantre de la dépopulation, Jeanne Smits démonte une à une toutes ses affirmations. Extrait :

    Alain de Benoist :

    « Pour la fin du siècle, les estimations moyennes tournent autour de douze milliards, les estimations hautes autour de seize milliards. »

    Réponse de Jeanne Smits :

    Non. Selon les dernières projections moyennes de l’ONU, la croissance va ralentir de manière importante au cours du XXIe siècle : il faudra attendre 2030 pour atteindre les 8,5 milliards, 2050 pour atteindre 9,7 milliards et 2100 pour atteindre 10,9 milliards. Ces projections médianes supposent une décroissance de la fertilité là où elle est aujourd’hui la plus haute, une remontée là où elle est basse (et même désastreuse) et une réduction systématique de la mortalité pour toutes les classes d’âge. L’estimation globale basse pour 2100 est de 9,4 milliards d’hommes, l’estimation haute de 12,7 milliards, avec 95 % de chances pour que le chiffre réel se situe à l’intérieur de cette fourchette. Et il y a 27 % de chances (ce sont plutôt des risques) pour que, avant la fin de ce siècle et pour la première fois dans l’histoire de l’humanité, la population mondiale commence à décroître. Certains parlent d’un milliard perdu tous les vingt ans.

    https://www.lesalonbeige.fr/surpopulation-jeanne-smits-repond-a-alain-de-benoist/

  • Débat sur la surpopulation : la point de vue de Jean-Pierre Maugendre, président de Renaissance catholique

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    Jean-Pierre Maugendre

    Président de Renaissance catholique

    Alain de Benoist vient de publier, sur Boulevard Voltaire cliquez ici, une chronique apocalyptique intitulée : « Avec la surpopulation, c’est un monde invivable qui se dessine. » La thèse de fond est que « la population ne peut s’accroître indéfiniment sur une étendue limitée » et donc que « avec trois ou quatre milliards de bipèdes en moins (sur 7,7 milliards, note de JPM) le monde se porterait beaucoup mieux. » Notre auteur, faisant positivement référence à Thomas Malhus, auteur en 1798 de l’Essai sur le principe de population, accuse pêle-mêle la surpopulation d’être belligène, d’accélérer l’épuisement des ressources naturelles, de favoriser l’immigration, d’épuiser les sols, de participer au réchauffement de la planète, etc.

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  • Surpopulation : un monde invivable se dessine

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    Entretien avec Alain de Benoist 

    La population mondiale ne cesse d’augmenter. La procréation, par nature, peut être exponentielle, alors que les ressources terrestres ne le sont pas. C’est ce que disait déjà Malthus, dont certains pensent qu’il n’a jamais eu que le tort d’avoir raison trop tôt. Aujourd’hui, y a-t-il péril en la demeure ?

    Alain de Benoist : Passé un certain seuil, toute augmentation en nombre entraîne un « saut qualitatif » qui se traduit par un changement de nature. Comme chacun le sait, la population mondiale augmente régulièrement, mais, surtout, elle augmente de plus en plus vite. Vers 1700, on comptait moins de 700 millions d’habitants sur Terre. En 1900, on en était à 1,6 milliard. Aujourd’hui, avec plus de 250.000 naissances par jour, on a dépassé les 7,7 milliards. Pour la fin du siècle, les estimations moyennes tournent autour de douze milliards, les estimations hautes autour de seize milliards. Bien entendu, on peut discuter à perte de vue sur le nombre de bipèdes qui peuvent vivre sur cette planète. La seule chose qui est sûre, c’est qu’il y a une limite : pas plus qu’il ne peut y avoir de croissance matérielle infinie dans un espace fini, la population ne peut s’accroître indéfiniment sur une étendue limitée. Malheureusement, nous sommes à une époque qui ne supporte pas les limites. Malthus (Essai sur le principe de population, 1803) ne se préoccupait que de l’épuisement des ressources. Aujourd’hui, c’est le nombre qui, à lui seul, pose problème : la quantité est plus que jamais le contraire de la qualité. Avec trois ou quatre milliards de bipèdes en moins, le monde se porterait beaucoup mieux !

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