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immigration - Page 1173

  • Crise migratoire, la ruralité mise au pas

    Le 27 octobre 2015 sera à noter dans les annales. A l'instar d'autres dates symboliques concernant les « progrès » de la submersion migratoire que connaît notre continent depuis plus de quarante ans...

    Que s'est-il passé ce jour ?

    Le 27 octobre 2015, aux environs de 10h du matin, six autocars transportant près de 292 « migrants » évacués sur « volontariat »  de la Jungle de Calais ont pris la route. En sus de Villeurbanne ou encore de Istres, trois lieux de destination sont à inscrire dans nos esprits : Guerche, Arry et Mauzac-et-Grand-Castang. Trois villages de quelques centaines d'habitants. Un en Bretagne, un en Lorraine et le dernier dans le Périgord.

    Ces « migrants », certains ayant vécu pendant près d'un an à Calais, ont été convaincus par diverses structures associatives de renoncer au mirage britannique pour se maintenir en France. Seront étudiées au cas par cas les possibilités de maintien sur le territoire français, qui n'en doutons pas, seront trouvées.

    Il s'agit bien évidemment d'un test, d'une première vague. Bernard Cazeneuve a affirmé que, dans un premier temps, près de 2000 personnes allaient bénéficier de ces mesures de délocalisation mais nous pouvons affirmer dès à présent que ce sera bien plus.

    Trois éléments sont à considérer.

    Premièrement : La volonté étatique, explicitement affirmée, est de diffuser, comme en intraveineuse,  l’immigration clandestine à travers l'ensemble du territoire et particulièrement dans le monde rural.

    La ruralité est, que nous le voulions ou non, notre dernier refuge, le lieu où nous pouvons encore envisager un avenir sérieux et durable pour nos familles (recours aux forêts, BAD, projets localistes, etc.). Or, cette décision de transfert voulu par les autorités, sans même prévenir les habitants des lieux, est un message explicite : « Bande de péquenots, vous n'y échapperez pas ! Nulle part vous ne trouverez la paix. »

    Deuxièmement : Cette décision est la preuve que la situation sur Calais n'est absolument pas maîtrisée. L'arrivée des froids ne doit pas être étrangère à cette dernière. La crainte de voir encore quelques milliers d'individus supplémentaires venant s'ajouter aux plus de 6000 présents terrorise littéralement les pouvoirs publics. Les associations sur site ne parviennent plus à gérer le flux et à travailler sereinement. La situation est explosive et dégénérera nécessairement dans les semaines à venir.

    Troisièmement : Il sera très intéressant de suivre, pour les secteurs concernés par cette mise sous perfusion migratoire, les évolutions des troubles et incivilités (vols, dégradations, viols, etc.) ainsi que celui du vote Front National. En s'attaquant à la France rurale et péri-urbaine, celle déconnectée des métropoles mondialisées et où les sentiments identitaires sont vivaces (malgré une tendance fréquente à voter bizarrement…), le système fait un pari audacieux et dangereux pour sa survie.

    Jacques Thomas / C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

     

  • Calais : la colère anti invasion migratoire prend de l’ampleur

    Hasard ? Plus le nombre de « migrants » augmente dans la « New Jungle » de Calais, plus les agressions se multiplient et plus les Calaisiens en ont marre. En témoigne la dernière manifestation organisée par le collectif « Calaisien en colère », qui a doublé le nombre des manifestants par rapport à la dernière édition de leur marche contre « l’impact de la présence migratoire ».

    Il faut oser franchir le pas, accepter de se faire traiter de raciste et de facho par les médias officiels et les bonnes âmes de service, alors que l’on en peut simplement plus de voir sa ville envahie, l’insécurité grimper en flèche et les conditions de vie se dégrader à vue d’œil. Le chiffre des manifestants à avoir répondu à l’appel du collectif « Calaisien en colère » n’est donc que le pâle reflet du nombre de Calaisiens qui ne supportent plus les conséquences de l’immigration sauvage dans leur ville.
    Ils étaient 800 personnes selon les décomptes officiels, probablement près du double en réalité, à défiler pour dire « Stop à l’immigration clandestine ». Début octobre, c’étaient 300 manifestants selon la préfecture, un millier selon les organisateurs, qui battaient le pavé sur le même thème.

    Un défilé qui s’est déroulé sans incident, ni avec les militants immigrationnistes, ni avec les forces de l’ordre. En effet, si la mairie avait pris un arrêté interdisant le rassemblement, la préfecture a refusé de le suivre. D’ailleurs, la solidarité avec les pompiers et les forces de l’ordre était affichée sur les pancartes, faisant écho à la manifestation des soldats du feu mercredi dernier, qui s’estiment totalement débordés par l’invasion migratoire.
    Les discours des membres du collectif ont rappelé « le ras le bol de l’immigration de plus en plus agressive » et ont enjoint « l’Europe à aider les pays en guerre à la source », précisant que « Calaisiens en colère » était un mouvement « apolitique » et « non raciste » et qu’il espérait faire tâche d’huile dans tout le pays, demandant à ce que « Calais soit un exemple de protestation contre l’immigration clandestine au niveau national ».

    http://fr.novopress.info/194477/calais-colere-anti-invasion-migratoire-prend-lampleur/

  • LE BLANC ET LE NOIR: un nouveau blog européen au meilleur sens du terme:

  • Immigration – Malgré l’interdiction de la mairie, 600 Calaisiens en colère manifestent une nouvelle fois

    CALAISIENS en colère 4

    Calais – Plus de 600 manifestants réunis à l’appel du collectif « Calaisiens en colère » ont défilé ce samedi à Calais afin de protester contre la présence des 6000 migrants du camp de la « Jungle ».

    C’est la seconde manifestation organisée par les « Calaisiens en colère ». Le 4 octobre dernier, malgré l’interdiction du maire, les manifestants s’étaient rassemblés sur une plage de Calais.

    « Calais doit être un exemple de protestation contre l’immigration clandestine au niveau national« , a déclaré Sarah Guerlach, l’une des représentantes du collectif et riveraine du camp de la « Jungle ».

    Cette fois encore, la manifestation était interdite mais les participants ont bravé la décision de la mairie. Drapeaux tricolores en tête et pancartes « Calais en détresse, que nous cache l’Etat? », les manifestants ont scandé « Stop à l’immigration clandestine« . Une banderole « Soutien aux forces de l’ordre, aux pompiers et aux agents hospitaliers » était très visible.

    http://www.medias-presse.info/immigration-malgre-linterdiction-de-la-mairie-600-calaisiens-en-colere-manifestent-une-nouvelle-fois/42454

  • « Nous venons en paix »… mais nous sommes en guerre contre la musique à l’école!

    « Nous venons en paix », c’est notre chronique de choses vues sur le web et les réseaux sociaux à propos de nos chers « migrants »/« réfugiés »/Bisounours… une petite pastille de vérité dans un océan de propagande aux bons sentiments… mais chut… PADAMALGAM !
    Aujourd’hui, passage dans la patrie de Verdi, Puccini et Eros Ramazzoti, du bel canto et de la joie de vivre en chantant. Nos voisins italiens, tout obnubilés par leurs coutumes d’un autre âge, ont cru bien faire en utilisant la musique pour apprendre aux jeunes musulmans le Vivre-Ensemble par le biais de la musique. Heureusement, l’imam veille et a mis bon ordre à ce projet diabolique.

    Un modèle de lettre aux chefs d’établissement pour exiger, au nom du Coran, que ses enfants soient « dispensés d’utiliser des instruments de musique », voilà une des utiles ressources fournies aux musulmans d’Italie par le site Civiltà Islamica (« Le point de vue du véritable Islam. En italien »).
    « Tous les instruments de musique » sont visés et « en particulier la flûte », seul étant permis au musulman « l’usage du tambourin pour les mariages et les circoncisions ». La lettre précise que « la demande susdite doit être considérée comme minimale et modérée, puisqu’il est évident d’après le Coran qu’est interdit au musulman, non seulement l’usage d’un instrument de musique, mais encore la simple écoute de celui-ci ».
    Les animateurs de Civiltà Islamica sont persuadés, du reste, que l’éducation musicale obligatoire dans les écoles et collèges d’Italie est un complot « pour corrompre les musulmans ».

    On n’est donc pas étonné de ce qui vient d’arriver « dans une école du quartier multiculturel [sic] de Porta Palazzo à Turin ». Comme le rapporte La Stampa, l’oncle d’une élève marocaine est intervenu lors d’une réunion de parents d’élèves contre le projet « Grandir en orchestre », lancé par une association bien intentionnée « pour aider les enfants – à 90 % d’origine non-italienne – à former un groupe, à se respecter et à collaborer entre eux ». Les enfants apprennent à jouer du violon et du violoncelle, instruments incompatibles avec l’Islam.
    La famille marocaine a exigé et immédiatement obtenu que sa fille soit changée d’école, et une deuxième famille l’a suivie.

    La directrice de l’école a eu l’impression d’un mouvement organisé et a pris peur. Au même moment, on apprenait l’expulsion « d’un imam de Vicence qui avait endoctriné les enfants au point de les convaincre de se boucher les oreilles pour ne pas écouter les cours de musique, “un péché” selon son enseignement. » Pour éviter que tous les parents musulmans ne retirent leurs enfants, l’école a donc organisé une nouvelle rencontre avec les familles, à laquelle elle a aussi invité des représentants des deux mosquées du quartier et « une médiatrice culturelle de langue arabe ».

    À l’issue de cette seconde réunion, selon Ibrahim Baya, porte-parole de l’Association Islamique des Alpes, « les parents se sont déclarés d’accord pour continuer le projet de l’orchestre, à condition qu’ils puissent compter sur un soutien financier. » La directrice de l’école s’est immédiatement « mobilisée. Et avec de bonnes perspectives de réussite. » Comprenons que des subventions publiques supplémentaires ne vont pas tarder.

    http://fr.novopress.info/

  • Faut-il rendre obligatoire la lecture du Coran ?

    Depuis plus de vingt ans, il ne se passe pas de mois sans qu’un pays d’Europe occidentale ne soit la victime d’un attentat islamique contre les biens ou les personnes, les djihadistes ayant pris le relais des assassins de la cause palestinienne des années 1970-90… et l’on n’évoque pas ici les viols des « petits culs blancs » (triste expression, hélas quotidiennement entendue dans les cités françaises et belges à fort taux d’immigration africaine, noire et maghrébine), ces viols qui devraient, par leur fréquence, faire raisonner non plus en mois mais en minutes, à l’échelle européenne.

     

    Pourquoi s’en étonnerait-on ? Depuis les années 1970, l’Europe de l’Ouest et du Nord a recueilli un nombre effarant de sectateurs d’Allah le tout-puissant, à défaut d’être encore le miséricordieux.

    Le 7 janvier 2015, ô stupeur (feinte, du moins pour les politiciens et les responsables de la police et des services de renseignements), les fous d’Allah ont tué des journalistes de la gauche bobo, plutôt du genre canette de bière et sandwich que caviar, mais en ces temps d’austérité hollando-vallsienne, Dame Démocratie et Pucelle Liberté d’expression doivent se contenter de ce qu’on peut leur offrir.

    N’oublions pas que dans la seconde moitié de décembre 2014 (ce n’est pas si éloigné dans le temps), deux fous avaient jeté leur voiture sur un marché de Noël, des « requins vicieux » (autre appellation contrôlée chez les vieux musulmans désabusés) de l’immigration maghrébine avaient volé et violé un couple de retraités juifs et qu’un autre fou d’Allah avait lacéré de coups de couteaux trois policiers tourangeaux au cri d’Allah Akbar ; envoyé au paradis de son dieu, il avait été enterré en grande pompe et avec moult manifestations de colère de parents et d’amis au carré musulman du cimetière municipal de Joué-lès-Tours.

    À l’occasion de l’attentat du 7 janvier, l’on a exhibé devant micros et caméras quelques pitres, venus proclamer que « l’islam est une religion de paix ». Du musulman de base au recteur honoraire de grande mosquée, les rares fidèles qui ont osé s’exprimer sont ainsi venus proférer un énorme mensonge… et l’on comprend le silence embarrassé d’une foule de musulmans « qui n’ont pas voulu s’exprimer » (selon les journalistes) : ceux-là connaissent leur Coran !

    En effet, la lecture du saint Coran, censé avoir été dicté par l’archange Gabriel à monseigneur Mahomet, n’apporte guère d’eau au moulin des fidèles qui clament leur « indignation » de commande, du moins si on lit le saint texte dans la traduction de Kasimirski, revue par Mohammed Arkoun, qui est la plus répandue en Europe francophone… l’arabe n’est guère une langue utile à l’Européen, du moins pour l’instant. Mais ne doutons pas qu’elle ne soit imposée à l’ensemble de la population quand le pays sera régi par la charî’a (la loi coranique). Avec l’invasion musulmane accélérée, qui a commencé l’été de 2015, favorisée par la Chancelière d’Outre-Rhin et le vice-Chancelier européen siégeant à l’Élysée, sur l’ordre du crypto-islamiste de la Maison Blanche, cette charî’a est l’avenir programmé des institutions de la Ripoublique franco-musulmane.

    Pour qui a quelque peu fréquenté le Coran et lu quelques volumes de hadîths, il est évident que pour un authentique muslim (fidèle en la langue du prophète), la Terre se divise en deux parties et seulement deux parties : le Dâr al-Islam (la maison de l’islam) et le Dâr al-Harb (la maison de la guerre). À l’exception des pays majoritairement musulmans d’Europe danubienne : Albanie, Kosovo, Bosnie-Herzégovine et Macédoine (faut-il rappeler que la Turquie n’est pas et n’a jamais été un « pays européen » ?), la France et les pays européens évolués sont situés dans la maison de la guerre sainte ou djihâd.

    Il ne pourra y avoir de paix sur Terre que lorsque tous les membres de tous les peuples seront des fidèles de l’islam. C’est le fondement de cette religion. 

    Effectivement, les hasards de l’actualité font redécouvrir une évidence : l’islam est une religion mâle, dominatrice, conquérante, à l’imitation de son fondateur qui n’a jamais reculé devant le pillage de caravanes ni la commandite d’assassinats, qui a même institutionnalisé la guerre sainte.

    Certes, sourates coraniques et hadîths ordonnent au muslim d’accomplir « le bien », d’être travailleur, modeste, véridique, frugal, honnête etc. Le bon muslim ne s’enivre pas plus qu’il ne commet l’adultère (il peut disposer de ses quatre épouses, quand il le souhaite, en plus de ses esclaves, cf. les sourates 4 et 33). Il doit faire l’aumône et accomplir le pèlerinage de La Mecque. Il n’y a rien à redire à toutes ces recommandations, en notant toutefois deux menus détails : la polygamie n’est pas plus une institution autorisée dans l’Europe moderne que l’esclavage.

    D’autres sourates sont déjà moins agréables pour un Européen. On ne discute pas du Coran avec les infidèles (sourate 6) et l’on ne doit pas contracter de mariage avec un ou une infidèle (sourate 4). Le fidèle ne doit pas « contracter amitié avec le juif et le chrétien » (sourate 5). Enfin, la femme doit être totalement soumise à l’homme (sourates 4, 33) et l’homosexualité doit être considérée comme une infamie (plusieurs sourates le précisent). Selon la charî’a, le voleur doit avoir la main coupée (sourate 5)… après tout, pourquoi pas ?

    Le gros problème est représenté par les très nombreuses sourates vantant la « guerre juste », la « guerre sainte », le djihâd. Car le meilleur fidèle est celui qui meurt en combattant pour défendre ou propager l’islam (sourate 2).

    Selon divers imams, ulémas et autre mollahs qui s’adressent à des Occidentaux, l’islam serait une religion d’amour mutuel. Cette affirmation n’est exacte (à condition, bien sûr, de faire l’impasse sur les haines opposant les membres de sectes rivales) que pour les relations entre fidèles et d’une façon aussi théorique que l’est la pratique de la charité par les chrétiens !

    En revanche, l’islam est une religion de haine vengeresse envers les apostats et de haine conquérante envers les infidèles. Les premiers doivent être exterminés impitoyablement, selon la sourate 4, et bien des internautes ont pu visualiser sur leur canal préféré l’égorgement de musulmans apostats et d’autres infidèles d’ailleurs, selon la technique usitée par les tueurs d’abattoirs pour obtenir la viande halal (la tête de la victime étant tournée vers La Mecque et l’égorgeur récitant des « paroles pieuses »). La seule nouveauté, brevetée « califat nouveau », est l’usage du couteau à céramique : on peut être un tueur djihadiste et apprécier les techniques des « chiens de l’Occident » (autre expression d’appellation contrôlée).

    Par définition, le Djihâd est la guerre pour propager l’islam chez les infidèles (sourate 47) ou le défendre en cas d’agression (sourate 2). Dans la sourate 58, on relève cette forte phrase : « Allah a dit : je donnerai la victoire à mes envoyés ». Dans les sourates 2, 8, 9, 22, 47, 58, 59, 60, 61 le djihâd est présenté comme « bon et juste ». Pour déculpabiliser les rares guerriers qui seraient pris de scrupules d’ordre humaniste, le prophète a dit : « Ce n’est pas vous qui tuez les idolâtres, c’est Allah » (sourate 8, verset 17).

    Le fidèle qui en est physiquement capable doit, en effet, obéir à un ordre aussi formel que simple : « Combats jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus d’idolâtre et qu’Allah soit partout adoré » (sourate 8, verset 40). « Faites la guerre à ceux qui ne croient pas en Allah… tuez les idolâtres partout où vous les trouverez » (sourate 9). L’idolâtre est, bien sûr, le fidèle d’une autre religion ou l’athée.

    Les guerriers de l’islam qui meurent au combat ou des suites de leurs blessures sont assurés d’être reçus par Allah en son paradis, quel qu’ait été leur comportement terrestre (sourate 47). Ils ne doivent être ni pleurés, ni regrettés : ce sont des héros qui désormais vivent auprès d’Allah (in sourates 2, 3, 10 et 47). L’homme idéal selon l’islam est, quoi que puissent en dire les imams, ulémas et autres recteurs de mosquées chargés d’anesthésier les populations occidentales, le guerrier d’Allah et non le digne père de famille œuvrant pour nourrir sa famille et améliorer la société. Un hadîth le proclame : « Le sang du héros de l’islam est plus près d’Allah que l’encre des sages ou les prières des fidèles ».

    L’infidèle qui s’oppose au djihâd doit être tué (sourate 47) et sa famille dépouillée de ses biens et réduite en esclavage (sourates 8 et 47). « Quiconque montre de la bienveillance envers un infidèle combattant l’islam est injuste » (sourate 60, verset 9). La véritable paix ne pourra s’établir sur Terre que lorsque tous les humains adoreront Allah et pratiqueront son culte (sourate 47). Dès que les États islamiques sont en position de force, ils doivent proclamer le djihâd pour convertir qui veut l’être, exterminer ou réduire en esclavage qui refuse.

    En résumé, il n’est pas vrai que l’islam soit pacifique par essence, encore moins qu’il soit une religion tolérante, comme certains voudraient nous le faire croire. Il n’est pas faux d’écrire que, depuis le début de l’ère mondialiste et la diffusion des vidéos sur le Net, « le Coran est devenu une arme de destruction massive ».

    Durant les siècles précédents, plutôt que de les tuer, les maîtres de certains pays islamiques (singulièrement ceux de l’Empire ottoman) avaient trouvé plus profitable de laisser en semi-liberté des infidèles, pressurés d’impôts spéciaux, désarmés et publiquement humiliés et méprisés, totalement dépourvus de droits civiques : les dhimmis. Est-on assuré que cette « mansuétude » sera de mise en France (ou en d’autres pays européens) quand, par le mécanisme démocratique de la loi du nombre, une substitution de population majoritaire aura fait de nos pays des États islamiques ?

    Il existe de par le monde 1,3 milliard de musulmans soit un peu plus du cinquième de la population de la planète. La France renferme plus de musulmans que les quatre États musulmans d’Europe danubienne cités plus haut.

    Ce ne sont pas les discours pleurnichards des politiciens et des pitres des media de la société mondialiste qui arrêteront les fous de dieu dans leur délire homicide, pas plus que les milliards d’euros si mal dépensés dans les banlieues et les cités de non-droit n’empêchent les émeutes.

    Il est urgent, pour les Français de souche européenne comme pour tous les Européens autochtones, de lire le Coran, de s’imprégner de ses commandements (et pas seulement de ceux qui préconisent la bonté… entre fidèles).

    Il serait temps de bien connaître cette religion mâle et conquérante, ne serait-ce que pour moins mal voter ou, rêve insensé s’agissant d’une « nation de veaux », pour créer des milices d’autoprotection, dans le cadre d’une authentique « démarche citoyenne », puisque même les policiers, surmenés à force de verbaliser les automobilistes, semblent dépassés par les événements… sans compter que les forces armées, celles de gendarmerie et de police renferment entre 15 et 20 % de musulmans selon les armes et les régions.

    En 1914 et en 1939, la guerre entre Européens était proprement suicidaire. De nos jours, il est devenu évident que s’impose un Devoir d’insurrection, à l’encontre d’un pouvoir veule et laxiste, inepte et profondément corrompu.

    Docteur Bernard Plouvier

    notes

    Pour ceux qui seraient tentés d’aller explorer le sujet, on peut signaler

    * Le Coran, Garnier-Flammarion, 1970

    * A. Bauer, C. Soullez : Violences et insécurité urbaines, PUF, 2010

    * H. Corbin : En islam iranien, Gallimard, 1978

    * É. Darhel : D’une colonisation l’autre. Vers la guerre civile, L’Æncre, 2011

    * B. Davidson : Africa in History, Collier Books, New York, 1974

    * A. Fattal : Le statut légal des non musulmans en pays d’islam, Institut Catholique de Beyrouth, 1958 (disponible dans les bibliothèques des Universités catholiques de France et de Belgique)

    * G. Faye : Avant-guerre. Chronique d’un cataclysme annoncé, L’Æncre, 2002

    * H. de Fersan : Le racisme anti-français, L’Æncre, 1997

    * D. Filkins : La guerre sans fin, Albin Michel, 2008

    * J.J. Matringhem, P. Randa et Coll. : Vers la société multiraciste, Dualpha, 2002

    * J. Minces : La femme voilée. L’islam au féminin, Hachette, 1992

    * N. Multeau : L’islam chez lui chez nous, L’Æncre, 2012

    * J. P. Peroncel-Hugoz : Le radeau de Mahomet, Éditions Lieu Commun, 1983

    * M. Sakhri : Les démons de la foi, Dualpha, 2007

    * H. al-Tourabi : Islam, avenir du monde, Jean-Claude Lattès, 1997 (un livre hallucinant de haine et de fanatisme)

    * L. Uris : The Haj, Bantam, New York, 1985

    * I. Warraq : Pourquoi je ne suis pas musulman, L’Âge d’Homme, Lausanne, 1999

    * M. Wieviorka et Coll. : Violences en France, Seuil, 1999

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuuypukuFpdqLfEAcJ.shtml

  • Oskar Freysinger: « Le multiculturalisme est à la société ce que la partouze est à l’amour »

    Source : Boulevard Voltaire

    Oskar Freysinger, conseiller d’État du Valais et membre de l’Union démocratique du Centre (UDC), répond aux questions de Charlotte d’Ornellas sur l’Union européenne et le système politique de la Confédération helvétique.

    Pour Oskar Freysinger, l’Union européenne est un système bureaucratique, centralisateur, voulu par une élite, éloignée des soucis des citoyens. En contrepoint, la Suisse paraît être un modèle démocratique dont l’Europe pourrait et devrait s’inspirer.

    http://fr.novopress.info/

  • Apprenons à décoder le politiquement correct : la boussole qui nous indique le sud

     Le politiquement correct que nous assène l’oligarchie via les médias de propagande perd chaque jour en crédibilité, comme la novlangue qui lui sert de support. Car les faits sont désormais plus forts que l’idéologie libérale/libertaire/cosmopolite du Système.

     

    Comme en URSS sur la fin, on parle, certes, encore le langage du communisme mais de moins en moins de gens y croient. Car avec le temps on a appris à décoder le sens des mots officiels, c’est-à-dire des mots trompeurs qu’utilise l’oligarchie pour nous cacher la réalité. Il se passe le même phénomène aujourd’hui.

     

    La boussole qui déboussole

    La novlangue politiquement correcte désigne le contraire de ce qu’elle prétend exprimer. Comme l’avait prévu George Orwell dans son roman prémonitoire 1984, en novlangue, justement, « la liberté c’est l’esclavage » : c’est-à-dire que dans l’Océania totalitaire du livre, le ministère de la Vérité désigne liberté ce qui n’est en réalité qu’un terrible esclavage.

    Les formules politiquement correctes nous indiquent donc le contraire de la vérité.

    Il est dès lors très facile de les traduire dans le bon sens. Comme en URSS on avait appris à lire la Pravda à l’envers, ce qui permettait de comprendre ce que voulait cacher le parti.

    A force de contredire l’évidence, le discours politiquement correct est ainsi malgré lui devenu une boussole qui indique le sud. Il suffit de le savoir pour bien l’utiliser.

    Prenons quelques exemples simples

    Ainsi par exemple la formule politiquement correcte en usage dans les années 1990 « le niveau monte à l’école (publique) » signifiait en réalité la baisse catastrophique des performances scolaires, que cherchait à cacher le ministère de l’Education nationale jusqu’à ce qu’elle soit mise en lumière par les tests internationaux comme PISA par exemple.

    De même, la formule « l’euro nous rend plus forts », qui nous a été assenée au moment de la mise en place de la monnaie unique, signifie en réalité : « l’euro nous enferme dans une camisole de force », comme les Grecs viennent d’en faire l’amère expérience.

    La formule « l’immigration est une chance pour la France » (avec sa variante actuelle « les migrants sont une chance pour l’emploi ») signifie donc : « l’immigration est une catastrophe pour la France » ou bien « l’immigration est une chance pour le patronat ».

    Continuons l’exercice

    Si on nous dit que « L’Europe c’est la paix », il faut donc comprendre… l’inverse. C’est la paix, rendue possible par l’équilibre de la terreur entre l’Est et l’Ouest, qui a effectivement permis aux européistes de s’imposer progressivement. Le Machin bruxellois n’y est absolument pour rien : il a seulement profité de la chute de l’URSS.

    Quand on nous vante « la mondialisation heureuse », il faut comprendre que la mondialisation est heureuse pour une minorité de privilégiés et malheureuse pour une majorité de gens.

    Et lorsque vous entendez le ministre de l’Intérieur dire que « les auteurs de ces actes seront poursuivis », il faut comprendre… qu’ils ne seront pas inquiétés.

    A vous de jouer !

    Vous avez compris ? A vous de jouer maintenant, en trouvant la véritable signification des phrases suivantes :

    « Les musulmans sont les principales victimes du terrorisme » : traduisez : …

    « L’islam de France est compatible avec la République » : traduisez : …

    « Il faut accueillir les migrants » : traduisez : …

    « Il faut secourir les naufragés » : traduisez : …

    « Le Traité transatlantique nous assurera une prospérité durable » : traduisez : …

    « La courbe du chômage s’infléchit » : traduisez : …

    Félicitations ! (*) Vous savez maintenant traduire la novlangue politiquement correcte dans le texte.

    Michel Geoffroy 31/10/2015

    (*) Il suffit de se rendre à la Boutique de Polémia, en cliquant sur La Boutique, en haut à droite de la présente page, pour s’initier au « décodage » et découvrir, si ce n’est déjà fait, la littérature qui lui est consacrée.

    http://www.polemia.com/apprenons-a-decoder-le-politiquement-correct-la-boussole-qui-nous-indique-le-sud/

  • Général SOUBELET mis au placard après avoir critiqué la politique de Taubira !

    Consternant ! Il semblerait que la ministre de la Justice Christiane TAUBIRA et le Premier ministre Manuel VALLS n’aient pas apprécié les critiques du Général SOUBELET, numéro trois de la gendarmerie, à l’encontre de la politique pénale, lors de son audition à l’Assemblée nationale. L’homme a été remplacé hier, et mis au placard. Le tort du Général SOUBELET ? Avoir critiqué la politique pénale de Christiane TAUBIRA. On a du mal à en croire ses oreilles ! Soutenez-le, c'est nous qu'il défendait !!! ... Il semble que cela doit circuler car n'est-ce pas ce que nous subissons tous les jours ? Voilà ce qui explique parfaitement les résultats tronqués des chiffres de la délinquance en France. Voici la vidéo très courte mais tellement édifiante du général 4 étoiles de la Gendarmerie Nationale qui n'a fait que dire une vérité flagrante sur la politique en matière judiciaire. Parce qu'il a eu le courage de dire la vérité, le Général SOUBELET vient d'être limogé de son poste par le pouvoir actuel. Si vous soutenez le Général SOUBELET, transmettez ces vidéos à vos amis afin qu'ils entendent eux aussi ces vérités.

     


      
  • J’ai fait un rêve : un nouveau président règle le problème de l’immigration par Henry DE LESQUEN

    Je ne me prends pas pour Martin Luther King. Mais j’ai fait un rêve : les Français avaient élu à la tête de l’État un homme qui partageait nos convictions. Et je voudrais vous raconter ce qui s’est passé dans mon rêve.

    Premier acte : réforme de la constitution

    Dès qu’il prend ses fonctions, le nouveau président désigné par le destin pour sauver la France entreprend de grandes réformes pour régler le problème de l’immigration dans des conditions moralement et humainement irréprochables, comme le dit la devise de l’association Voix des Français (www.vdfr95.com). Son premier acte est de modifier la constitution par référendum pour que le peuple français recouvre l’exercice de la souveraineté. 

    D’abord, il est stipulé que la loi française l’emporte sur les dispositions des traités et les normes du droit international, fût-il européen. Il n’est donc plus question que nos lois subissent la censure de la Cour de justice de l’Union européenne ou de la Cour européenne des droits de l’homme. Tout juge qui prétendrait le contraire se rendrait coupable de forfaiture, crime qui est réintroduit dans le code pénal.

    Ensuite, l’usage du référendum est consacré et généralisé. Toute loi votée par le Parlement peut être soumise à référendum par le président de la République. Un référendum d’initiative populaire a lieu pour toute proposition de loi présentée par 1 % du corps électoral.

    Il est expressément stipulé que la loi adoptée par référendum ne peut être censurée par le conseil constitutionnel ni par aucun autre juge, puisqu’elle émane directement du peuple.

    Enfin, toute décision du Conseil constitutionnel peut être cassée ou réformée par décision du président de la République, lequel soumet sa décision à l’approbation du peuple par référendum ou à celle du Parlement réuni en congrès et votant à la majorité qualifiée. 

    Second acte : grande loi sur l’immigration

    Le second acte du président de la République est de soumettre au peuple, par un nouveau référendum, une grande loi sur l’immigration, qui comporte huit volets.

    Primo, la législation antiraciste est abrogée en vue de rétablir non seulement la liberté d’expression, mais aussi l’indispensable liberté de discrimination.

    Secundo, la préférence nationale est instituée dans tous les domaines : emploi, prestations sociales, logement…

    Tertio, les contrôles aux frontières sont rétablis, le traité de Schengen dénoncé. 

    Quarto, le droit de la nationalité est réformé, pour que ne subsistent plus que deux voies d’accès à la nationalité française : le jus sanguinis, droit du sang, pour les enfants de parents français; et la naturalisation par décret après vérification de l’assimilation du candidat. Les autres modes d’attribution ou d’acquisition de la nationalité française sont abrogés. En outre, le gouvernement est chargé de réexaminer le statut des millions de Français de papier et invité à les déchoir de la nationalité française en cas d’indignité, de binationalité ou de défaut d’assimilation.

    Quinto, le droit de séjour des étrangers est réformé. Ceux-ci sont tous tenus de demander une autorisation de séjour, qui leur est accordée discrétionnairement par l’administration et pour un temps déterminé, lequel ne peut dépasser cinq ans, et qui est révocable ad nutum. Toutes les dispositions qui faisaient obligation à la France de recevoir un étranger sont déclarées nulles et non avenues, sans exception, notamment le droit d’asile et le regroupement familial, mais aussi les règles de l’Union européenne dont bénéficient les ressortissants de pays membres, comme les Romanichels venus de Roumanie ou d’ailleurs.

    Sexto, tout étranger à qui une autorisation de séjour a été accordée peut être expulsé à tout moment de France par simple arrêté préfectoral, lequel met fin de plano à l’autorisation. Cet arrêté est un acte de gouvernement qui ne peut être contesté devant les tribunaux. Celui qui n’est pas parti de lui-même dans le délai fixé par l’arrêté devient un immigré illégal et il est traité en tant que tel.

    Septimo, les immigrés illégaux, autrement dit les étrangers qui séjournent en France sans autorisation, sont réprimés sans faiblesse. Ces prétendus « sans-papiers » sont déjà des délinquants passibles d’un an de prison en vertu de la loi qui était en vigueur avant l’élection du nouveau président (article L. 621-2 du Code des étrangers), mais celle-ci est renforcée : la peine de prison s’applique désormais à tous les cas, elle est portée à deux ans en cas de récidive et peut être assortie de la confiscation des biens. Les immigrés illégaux ne sont pas poursuivis, sauf exception, à la première interpellation, mais mis en détention administrative avant d’être expulsés manu militari ou relégués en Guyane si aucun pays n’accepte de les accueillir. Condamnés par le tribunal correctionnel, ils sont effectivement emprisonnés s’ils récidivent en revenant en France et sont ensuite expulsés après avoir exécuté leur peine de prison.

    Octies, les immigrés illégaux ne bénéficient plus d’aucune aide. Ces hors-la-loi ne peuvent plus recevoir la moindre aide publique, sous quelque forme que ce soit (allocations, logement, école, soins…). L’aide médicale d’État est supprimée. En outre, les dirigeants d’association, les chefs d’entreprise et tous ceux qui fournissent un emploi, un logement ou une assistance quelconque à un immigré illégal, ne serait-ce qu’en s’abstenant de le dénoncer à la justice, sont systématiquement poursuivis par le procureur de la République au titre de l’article L. 622-1 du Code des étrangers, qui prévoit une peine de cinq ans de prison, étant précisé que les exceptions instituées à  l’article L. 622-4 sont abrogées, ou au titre de l’article 434-4 du Code pénal qui punit de trois ans de prison le recel de preuves.

    Départ de deux millions d’immigrés en cinq ans

    Les progrès sont alors très rapides sur le front de l’immigration. Les immigrés illégaux sont nombreux à quitter la France d’eux-mêmes, n’y trouvant plus ni assistance ni emploi ni logement. Les autres sont expulsés.

    Les immigrés en règle sont obligés de s’en aller quand leur autorisation de séjour est expirée ou si elle est rapportée. Sinon, ils rejoignent les rangs des immigrés illégaux, avec toutes les conséquences que cela implique. 

    Grâce à cette politique de salut public, le nouveau président réussit à faire partir de France deux millions d’immigrés en cinq ans. Le rêve !

    Henry de Lesquen, président du Carrefour de l’Horloge

    (ancien Club de l’Horloge)

    • Une première version de cet article a été publiée dans La Voix des Français, n° 128, novembre 2010, et depuis mis en ligne sur Carrefour de l’Horloge.

    http://www.europemaxima.com/?p=4555