Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

immigration - Page 1175

  • Etre ou ne pas être… Notre jeunesse sensible à l’appel du djihad

    J’écoutais sur radio ND un débat avec une maman dont la fille, « contre toute attente », avait rejoint le djihad en Syrie. Cette maman traumatisée aurait même écrit un livre où elle raconte son désarroi et son incompréhension devant un phénomène qui tend à se multiplier. Elle conclut en affirmant que cette mésaventure peut toucher tous les milieux, toutes les familles quelques soient leurs religions.

     

    Mon attention, dans cet échange radiophonique fut attirée par l’évolution qu’elle décrivit du comportement de sa fille qui changeait à ses yeux. Au début elle vivait comme tous les jeunes, elle sortait avec les copines, avait un petit copain, elle parlait mode et se préoccupait de son apparence comme toutes les adolescentes, puis elle ralentit le maquillage, s’habilla plus sobrement, se détacha des objets et décorations kitch de sa chambre, elle menait une vie plus intérieure, elle semblait ailleurs.

    J’ai le pénible devoir de dire à cette dame que si sa fille s’était convertie en profondeur au catholicisme, il est probable que l’on aurait observé les mêmes évolutions dans son comportement. Sans faire ici de prosélytisme, nous devons admettre que notre société matérialiste et consumériste ne laisse pas beaucoup d’espace spirituel à nos enfants, pas plus que d’occasions de s’engager pour une cause qui dépasse le seul intérêt, la seule jouissance de notre enveloppe charnelle égotique.

    Quand, cette malheureuse maman dit que sa fille n’avait pas de problèmes, ne veut elle pas dire que sa fille s’épanouissait dans la superficialité de son existence ?

    Notre société occidentale apostâtes et fière de l’être avec sa longue théorie d’intellectuels autoritaires, athées, arrogants et laïcistes, a fermé tout espace d’élévation du cœur et de la conscience et a permis de transformer des êtres humains hier encore dotés d’esprit, en consommateurs passifs, ce qui fait le bonheur des dirigeants de notre société libérale.

    Mais l’aspiration profonde de chaque humain est quand même la quête des réponses ultimes sur l’existence, l’essence, la vie après la mort, le sens réel de notre vie ici bas. Cette aspiration est enfouie en chacun de nous, il suffit d’un révélateur conjoncturel pour la réveiller. Le grand Myrcéa Eliade ne parlait il pas de l’ « homo religiosus » ?

    Si cette maman, et je ne la juge pas, a pensé que si sa fille, adolescente, vivait normalement par ce que superficiellement, c’est surement là qu’elle s’est trompée. [....]

    Olivier Dejouy

    La suite sur Le Réveil Français

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Etre-ou-ne-pas-etre-Notre-jeunesse

  • Face aux migrants, l’Europe se hérisse de murs

    L’espace Schengen de libre circulation est mis en péril par la décision de l’Autriche d’ériger une barrière à sa frontière avec la Slovénie. D’autres pourraient l’imiter, tandis que les relations se tendent entre Berlin et Vienne.

     

    Des soldats hongrois érigent une clôture entre la Hongrie et la Croatie. Crédits photo : © Laszlo Balogh / Reuters/REUTERS

    Faute d’être capables de les canaliser et de s’entendre pour les prendre en charge, les Européens se ferment aux réfugiés. L’Autriche vient d’annoncer son intention d’édifier une barrière le long de sa frontière avec la Slovénie, pour « assurer une entrée ordonnée et contrôlée » des arrivants, a expliqué la ministre de l’Intérieur, Johanna Mikl-Leitner. Si le projet est mis à exécution, il s’agira de la première frontière érigée entre deux pays membres de Schengen - le début de la fin pour l’espace de libre circulation intra-européen.

    Alors que la crise s’aggrave, tous les pays des Balkans tentent d’exfiltrer au plus vite les réfugiés vers le pays voisin. Du coup, les tensions s’exacerbent entre les États. L’Autriche se retourne contre la Slovénie, dont les dirigeants se disent dépassés, et annonce son projet de barrière pour freiner les arrivées, de l’ordre d’un millier par jour. Le premier ministre slovène, Milo Cerar, déclare à son tour être prêt à édifier une barrière avec la Croatie, si nécessaire.

    Faire baisser la pression à Calais

    Mises à l’épreuve par la pression migratoire, les relations entre l’Allemagne et l’Autriche, partenaires traditionnellement solidaires, se détériorent. Le ministre de l’Intérieur allemand a taxé le pays voisin de « comportements incorrects ». Le dirigeant de la Bavière, Horst Seehofer, a mis en demeure la chancelière Angela Merkel de revoir sa politique à l’égard des réfugiés et accusé Vienne de pousser les arrivants à passer en Allemagne. [....]

    La suite sur Le Figaro.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Face-aux-migrants-l-Europe-se

  • Clôture anti-immigration sauvage: après la Hongrie, l’Autriche ! à qui le tour ?

    L’espace Schengen a vécu. C’est désormais au sein même de l’Union européenne que les clôtures, destinées à canaliser le flux migratoire s’érigent. L’Autriche a en effet annoncé sa décision d’ériger une barrière anti-immigration sauvage le long de sa frontière avec la Slovénie.

    L’Autriche va édifier une barrière le long de sa frontière avec la Slovénie, également membre de l’Union européenne, afin de contrôler le flux de migrants, a annoncé mercredi la ministre de l’Intérieur, Johanna Mikl-Leitner.
    « Il s’agit d’assurer une entrée ordonnée, contrôlée dans notre pays, et non pas de fermer la frontière », a expliqué la ministre à la télévision Oe1.

    Ces dernières semaines des groupes de migrants se sont montrés plus impatients, agressifs et émotifs.et « il s’agit de prendre toutes les précautions ».

    La Slovénie elle-même étudie la possibilité d’ériger une telle clôture le long de sa frontière avec la Croatie. Les syndicats de police allemands ont aussi demandé l’érection d’une barrière anti-« migrants » entre leur pays et l’Autriche. Reste que l’efficacité opérationnelle de tels dispositifs est limitée, dépendante des effectifs consacrés à leur surveillance et n’est utile in fine que si tous les pays s’y mettent, pour éviter l’effet « ligne Maginot ».

    Traiter le problème à la source en décourageant l’immigration sauvage constituerait une option plus efficace, mais nous en sommes encore loin.
    Quand donc choisirons-nous de renvoyer systématiquement les naufragés secourus en Méditerranée à leur point de départ ? quand procéderons-nous à des expulsions massives et spectaculaires de déboutés au droit d’asile ?

    http://fr.novopress.info/

  • Contre le chaos migratoire, pour l'indépendance des Nations : le combat de Viktor Orbán est le nôtre

  • Franck Poupart - Demain les barbares, Chroniques du Grand Effondrement

    1024466314.jpgEn lisant ce roman, on ne pourrait guère imaginer que Franck Poupart ait vécu plusieurs années en Thaïlande tant la description du climat, des paysages et du contexte français, et plus particulièrement parisien, est précise est juste.

    Ce livre dénote très largement dans la bibliographie de l'auteur qui a déjà écrit plusieurs ouvrages prenant comme décors principal les plages thaïs. Particularité : le livre a été auto-édité via Amazon.

    Ce roman d'anticipation est un authentique OVNI, pour toute une batterie de raisons.

    Le thème principal est dans le titre de l'ouvrage, « Chroniques du Grand Effondrement »… Et c'est indéniable, dans ce roman tout s'écroule.

    Nous sommes en 2028, En Île-de-France. La situation du début du récit s'apparente à la notre, si ce n'est que le processus de décomposition est bien plus avancé. Les attentats « Charlies » sont quotidiens. Le chômage, la pauvreté, la criminalité atteignent des niveaux inouïes. Les systèmes de santé et d'instruction sont à la dérive. La droite radicale (le mouvement « Rempart » tenu par un chef charismatique : Cyrus Rochebin...) et les salafistes sont partout. Les finances publiques et les créances sont athéniennes. Paris intra-muros est devenu une vaste zone sécurisée et bouclée par les forces de l'ordre dont la vocation est d'être une sorte de vitrine pour étrangers et un pôle mondial du tourisme sexuel…

    Seule une nouvelle aide des fonds souverains du Golfe permettrait de faire face aux prochaines échéances, or cette aide ne viendra pas. Le Président fait une allocution au 20H pour expliquer à la nation que le traitement des fonctionnaires, les retraites, les aides sociales, etc. ne pourront plus être versées.

    Et là, tout bascule…

    Le récit nous fait suivre divers parcours. Ainsi voyons nous évoluer dans cet univers en décomposition, entre autres, une prostitué « gauloise », un jeune flic très remonté aux accointances droitières, une jeune femme africaine, un maître de rang du Bristol, une bande de fous sortis de l'asile, etc.

    Un élément saute au yeux dans le contexte de politiquement correct propre au monde des romanciers. Poupart aborde la question ethnique de manière frontale, brutale même. Il ne se voile pas la face quant à l'avenir de nos sociétés occidentales. Il perçoit à travers les signes actuels les prémices d'un autre monde. Un monde violent et dur.

    Il lève le rideau sur notre avenir, mais le processus s'apparente à une mise en abîme tant ce livre nous permet d'explorer une psyché humaine propre à la préhistoire. L'effondrement est pour Poupart le contexte « normalisé » des sociétés humaines, avec tout son florilège de cultes sombres, de loups, de cannibalisme, de viols de masse, etc. Le livre peut parfois prendre le style d'un Jean-Christophe Grangé tant l'accent est mis sur ce qui se passe « à l'intérieur ».

    « Demain les Barbares » devrait aussi combler de joie les adeptes du survivalisme, tant les situations décrites sont réalistes et plausibles. Un véritable manuel, un « que faire » propre aux situations d'effondrement. Du Piero San Giorgio ou du Volwest mis en pratique. Tout y passe : mouvement de masse, accès aux approvisionnement, relation à la géographie, armes à feu, défense du domicile, évacuation, etc.

    Le seul bémol que l'on pourrait apporter à ce roman c'est son emphase et ses réitérations. Quand l'auteur veut nous faire comprendre une idée une sensation, une ambiance, etc. il met vraiment le paquet. Cela peut parfois apporter une longueur et une lourdeur préjudiciable au récit. Mais justement, à travers ce livre on ne se moque pas du lecteur. Ce dernier est pris au sérieux, invité à lire un français de haute tenue et à être troublé par des tournures de style brillantes.

    Très objectivement, un grand roman d'anticipation que vous trouverez à moins de 15 euros sur la toile. Un livre à lire impérativement tant sa description du « monde de demain » semble plausible, du moins par l'ambiance.

    Jacques Thomas/C.N.C

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • Pour la France et les Français d’abord

    «Parvenu» d’une  «vulgarité inouïe », déjà « condamné » comme le rappelait Marine Le Pen, le président du Rugby Club toulonnais (RCT)  Mourad Boudjellal continue de délivrer des brevets de bon gout. Cet «homme de gauche» et  soutien de Christian Estrosi  a  de nouveau craché sur l’opposition nationale, populaire et sociale en affirmant hier sur  France Inter:  «La France aux Français,  c’est du fascisme (…). Les seuls qui ont intérêts à voter FN ce sont les charcutiers car ils veulent instaurer des repas au porc dans les cantines (…).  Le FN est une prostituée de la pauvreté. Plus la pauvreté augmente, plus ils se maquillent, plus ils sortent vendre leur salade.»  La pauvreté intellectuelle à l’évidence M. Boudjellal connait bien,  pour le reste, le portait assez fidèle qu’en dressait Le Parisien en 2008 parle de lui-même : « j’ai un appartement au poignet, ça pèse lourd 150 000 €.  Assis à une table bien en vue du Zinc, restaurant huppé de Toulon, Mourad Boudjellal exhibe sa montre, une Breitling en or sertie de diamants. L’atypique président du (RCT) multiplie les signes extérieurs de richesse : Ferrari 430 Spider Modena (190 000 €), Maserati Grand Turismo (150 000 €).» 

    Avec la même bêtise peut être, la même mauvaise foi surement, le très outrancier Philipe Tesson, sur le site du Point, explique aujourd’hui  que lors du débat qui a opposé hier  sur Europe 1 et i-télé Pierre de Saintignon, Xavier Bertrand et  Marine Le Pen, le candidat de la droite euromondialiste «a dominé le débat dans le fond comme dans la forme.»  L’honnêteté commande de dire exactement l’inverse tant il est vrai que Xavier Bertrand a été hier soir particulièrement médiocre dans l’exposé de son programme,  acculé  constamment sur la défensive, agressif mais  incapable de justifier son piètre  bilan.

    C’était hier également que Manuel Valls, peu ou prou sur la même longueur d’onde que M. Bertrand,  a expliqué  de nouveau, invité du Bondy blog,  qu’il était «hors de question de laisser le Front National gagner une région»,  que «tout devra être fait pour l’empêcher». «Il faut que les listes menées par Christophe Castaner (en PACA) soient le plus haut possible, au premier tour, et le soir du premier tour, nous ferons l’addition, et ce sera la même chose dans le Nord-Pas-de Calais-Picardie, avec le score des autres listes de gauche, parce qu’elles vont devoir fusionner, a expliqué le Premier ministre. Et à partir de là, on verra quelle est la stratégie.»

    En fait de stratégie, la présence de M. Valls dans les locaux du Bondy blog, qui bénéficie  de la bienveillance  de l’ambassade des  Etats-Unis et du soutien  de  la multinationale Yahoo, ne doit rien au hasard.  The medium is the message : le Premier ministre a voulu adresser  un  signal  aux  banlieues plurielles, mais s’est livré aussi implicitement  à un énième courbette à Washington. Le gaullo-souverainiste Roland Hureaux, qui écrit notamment dans Marianne et Valeurs actuelles,  soulignait sur son blogue (comme nous l‘avons fait sur le notre),  «le  jeu dangereux que se livre l’Ambassade des Etats-Unis en France  en invitant  systématiquement  les jeunes  leaders issus  de l’immigration dans les banlieues  sensibles,  à rencontrer un  de ses agents.»

    Une ingérence  que Bruno Gollnisch  dénonce de longue date,  notamment lorsqu’il était à la tête du  groupe FN  du Conseil régional de Rhône-Alpes, le président  socialiste de cette région, Jean-Jack Queyranne, n’ayant pas hésité à signer   avec le consulat des Etats-Unis  un accord de  coopération pour venir en aide aux  banlieues de Lyon.  Quel aveu de dhimmitude !

     «Le rapport du département d’Etat du 17 novembre 2010 publié par Wikileaks confirme que ces agissements (des Etats-Unis, NDLR)  entrent dans une stratégie d’ensemble visant les  minorités, spécialement les musulmans, en vue de porter remède à la prétendue  crise de la représentation en France, cela par un programme agressif de mobilisation de la jeunesse.  Notre but est d’engager la population française, à tous les niveaux, en vue d’amplifier les efforts de la France pour réaliser ses idéaux égalitaires,  et,  par  là,  de promouvoir les intérêts nationaux américains. L’ambassade ambitionne même de modifier notre mémoire nationale : De plus, nous continuerons   notre travail avec les musées français et les enseignants pour réformer le programme d’histoire enseigné dans les écoles françaises, pour qu’ils prennent en compte le rôle et les perspectives des minorités dans l’histoire de France. »

    On le constate,  ses vœux de l’administration Obama ont trouvé des oreilles  attentives sous les présidences  Sarkozy et  Hollande,  dans les ministères, les partis euro-atlantistes où  gravitent   Young leaders et autres agents  de la French American Foundation.

    Alain Delon reste lui a contrario une belle incarnation de la liberté d’esprit française, du refus du  politiquement correct. Il l’a prouvé encore dans l’entretien qu’il vient d’accorder à TV Magazine en prenant la défense  de Nadine Morano crucifiée jusque dans son  propre camp: «Juste une question : le Kenya est un pays de quelle race? Les gens sont noirs. C’est une polémique ridicule, grotesque, qui n’a aucun sens ».Nadine Morano «a des c… de tenir comme elle tient et de dire : Je vous emmerde tous, je dis ce que je pense et je continuerai à le dire. Chapeau!»

    Même s’il  affirme ne pas être proche du FN,  «le Front National a-t-il dit,  représente quand même 6 millions de personnes. C’est 6 millions de cons? On a le droit de ne pas aimer, mais on doit le respecter (…).  Sur le Front National, j’ai simplement dit que je trouvais ça normal que les gens se rapprochent de ce parti parce qu’ils en ont marre. Marre de tout! Et c’est pour ça qu’ils sont prêts à aller n’importe où. Je le confirme: les gens ne savent plus où ils en sont, alors pourquoi pas le Front National…».

    L’opposition nationale a su être visionnaire, ses  analyses  et  ses avertissements ont été validés par les événements. Certes, note Bruno Gollnisch, nos compatriotes peuvent voter FN par désespoir, par colère,  pour «punir»  les partis du système de leurs échecs et de leurs mensonges. Mais aussi, et de plus en plus, parce qu’ils savent justement parfaitement non seulement ce qu’ils ne veulent plus, mais  également   où ils veulent aller.  Le vote  FN est  un vote d’adhésion à un programme, le soutien aussi au courage et à la persévérance de ceux qui rament depuis des décennies à contre-courant, dans la tempête, pour la France et les Français d’abord,  contre l’idéologie dominante.

    Alain Delon le dit aussi à sa façon d’ailleurs.  «Je suis un ami de Jean-Marie Le Pen depuis cinquante ans » rappelle la star  dans cet entretien. Dans une biographie qui lui fut consacrée il y a quelques années, il  confiait: « Jean-Marie Le Pen est un ami. Il est dangereux pour la faune politique parce qu’il est le seul à être sincère. Il dit  tout haut ce que beaucoup de gens pensent  tout bas, et que les hommes politiques  s’interdisent de dire  parce qu’ils sont trop démagogues ou trop trouillards. Je vais vous le dire mais Le Pen, avec tous ses défauts et ses qualités, est peut être le seul qui aujourd’hui, pense d’abord aux intérêts de la France avant les siens propres. »  C’est encore et toujours notre seule boussole.

    http://gollnisch.com/2015/10/28/pour-la-france-et-les-francais-dabord/

  • 10 ans après les émeutes, n'oublions pas les victimes. Les vraies

    10 ans après les émeutes de banlieues, l'ensemble de la classe politico-médiatique ne semble se souvenir que de Bouna Traoré et Zyed Benna. Mais les victimes s'appellent en fait Le Chenadec et Irvoas :

    Z"Hier, 26 octobre, dix ans après les émeutes des banlieues, notre Premier Ministre réunissait aux Mureaux  un comité interministériel.

    C’est ainsi que nous avons pu le voir  accompagné de pas moins de  17 ministres et d’élus toutes écharpes tricolores dehors, marcher dans les rues  des Mureaux dans ce qui ressemblait  à une commémoration solennelle de ces événements qui ont sidéré le monde entier et dans lesquels une certaine presse étrangère voyait un conflit ethnique. [...]

    Alors en cette période d’anniversaire et à l’approche de la Toussaint, je voudrais combler un oubli de notre gouvernement. Bien involontaire, à n’en pas douter.

    Je voudrais rappeler le souvenir des deux vraies victimes. Je veux parler de Jean-Jacques le Chenadec et de Jean-Claude Irvoas.

    Qui sont-ils? Si vous les avez oubliés, vous avez des excuses, parce que ce sont les morts oubliés de ces événements, pire qu’oubliés, tus, escamotés, gommés.

    Alors pour rappel,Jean-Jacques le Chenadec, est cet homme âgé de 61 ans qui, à Stains, était descendu  en bas de son immeuble  parce que des jeunes mettaient le feu à des poubelles. Ils l’ont tué. Le meurtrier a été condamné à cinq ans de prison; il doit être libre à l’heure qu’il est.

    Jean-Claude Irvoas, 56 ans, a voulu prendre en photo du mobilier urbain, à Epinay-sur-Seine. Des trafiquants de drogue, croyant qu’il les prenait en photo, l’ont agressé. M. Irvoas, selon l’un des agresseurs, a prétendu être officier de police.Les quatre dealers l’ont achevé.

    A Clichy-sous-bois, on inaugure aujourd’hui une allée qui porte le nom des deux jeunes morts dans le transformateur. Il n’y aura pas de plaques commémoratives pour Jean-Jacques le Chenadec et Jean-Claude Irvoas.

    Une pensée pour les familles de ces deux hommes morts deux fois,  de l’incurie de l’Etat et de son silence. On préfère commémorer la jeunesse qui met la France à feu et à sang."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/10/10-ans-apr%C3%A8s-les-%C3%A9meutes-noublions-pas-les-victimes-les-vraies.html

  • Marion Maréchal Le Pen sur BFMTV: Pour éviter des émeutes on a abandonné les cités au grand trafic

    Invitée de l’émission Bourdin Direct, Marion Maréchal Le Pen est revenue sur le chômage, la délinquance ou l’immigration. Elle s’est dite choquée par les propos de Manuel Valls qui estimait qu’il était « hors de question de laisser le Front national gagner une région ».

    Marion Marechal Le Pen était ce matin invitée de l’émission « Bourdin Direct » sur BFMTV/RMC.
    Elle s’est dit choquée par « les propos de Manuel Valls » affirmant qu’il était « hors de question de laisser le Front national gagner une région ». « Ce n’est pas au Premier ministre de décider qui a le droit ou non de remporter les suffrages », a-t-elle estimé, ajoutant

    Ça ne me surprend pas. Il y a des transactions secrètes entre l’ex-UMP et les socialistes.

    « Manuel Valls devrait se concentrer à régler les problèmes qui font qu’il n’est plus crédible ». A-t-elle conclu.
    Balayant rapidement la possibilité d’alliance avec Les Républicains ou de rapprochement avec Nadine Morano, elle a taclé le gouvernement sur les chiffres du chômage : « C’est difficile de se réjouir d’un artifice. La réalité c’est que le nombre de chômeurs toutes catégories confondues a augmenté de 1.000 ».
    Elle a pointé du doigt le fait que la baisse « est le résultat des contrats aidés et des radiations » et a mis en avant la responsabilité de l’UE, plaidant pour une sortie du système et le patriotisme économique.

    Mais c’est sur la délinquance qu’elle a été la plus mordante :

    L’essentiel touche à la politique pénale : dans les cités on a abandonné le problème aux trafiquants d’armes et de drogue. (…) Le gouvernement est responsable. (…) Pour éviter des émeutes, on a abandonné les cités au grand trafic.

    La concentration migratoire est l’un des problèmes. On pourrait permettre plus de mixité si on n’avait pas un flux continu d’arrivées (de migrants). Cette concentration participe du communautarisme.

     

     


    http://fr.novopress.info/194269/marion-marechal-pen-bfmtv-eviter-emeutes-on-abandonne-les-cites-au-grand-trafic/#more-194269

  • Les réfugiés chrétiens chassés des centres par les musulmans en Allemagne

    C’est dans l’air, émission du 14 octobre 2015. Les chrétiens irakiens et syriens ont été isolés dans des centres d’accueil spécifiques après avoir été continuellement harcelés. L’un d’entre eux témoigne à France 5 :

    "Lors de notre accueil, les bénévoles avaient mis de la musique, les arabes ont mis la leur, des chants djihadistes, et les bénévoles allemands frappaient des mains sans rien comprendre"

     
  • Calais: « Oubliés du Gouvernement », les pompiers sont à bout de force

    Alors que nous ne sommes qu’au début de l’invasion migratoire, tous les services publics sollicités par les clandestins (Police, hôpitaux, CAF et maintenant pompiers) sont au bord de l’implosion…

    Pour une fois, ce sont eux qui appellent à l’aide. Une petite cinquantaine de pompiers ont manifesté, mercredi matin, dans les rues de Calais. Dénonçant une « sursollicitation » due à l’afflux de migrants, selon l’AFP, ils ont défilé à l’appel de SUD.

    Selon un représentant du syndicat, la crise actuelle provoque un surcroît d’interventions de l’ordre de 30 %, ce qui nécessiterait « quasiment une caserne en plus ».

    Pas de renfort, pas de déclarations de soutien

     

    Les manifestants font valoir qu’à la différence des autres services de sécurité, « les pompiers n’ont jamais bénéficié de renforts supplémentaires depuis le début de la crise migratoire, ni de déclarations de soutien » de la part des autorités.

    « On a l’impression d’être les oubliés du gouvernement », a regretté le patron du syndicat dans le Pas-de-Calais, Jean-Charles Tirmarche. « Il faut nous donner les moyens pour servir les migrants et les Calaisiens, leur assurer un service de qualité », indique le responsable.

    Par ailleurs, une grève illimitée a débuté mardi à l’appel de Sud, avec un débrayage des sapeurs-pompiers de 8h à 8h59 tous les jours. Le service minimum est toutefois assuré « pour garantir le bon fonctionnement du service public », a indiqué M. Tirmarche.

    Source20minutes

    http://www.contre-info.com/calais-oublies-du-gouvernement-les-pompiers-sont-a-bout-de-force#more-39700