immigration - Page 1170
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Manifestation de soutien à Viktor Orban à Paris
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La pratique de la taqiya (dissimulation)
Le n° 33 de La Petite Feuille Verte d'Annie Laurent analyse la pratique de la taqiya (dissimulation) que l’on appelle aussi ketman (secret ou restriction mentale) dans l'islam. Ces agissements se sont manifestés en diverses circonstances historiques et retrouvent une certaine actualité de nos jours. En voici les sources coraniques :
"Le Coran contient deux passages sur lesquels s’appuient les théoriciens de la taqiya. Ils correspondent à deux types de situations particulières.
1°/ « Celui qui renie Dieu après avoir eu foi en Lui – excepté celui qui a subi la contrainte et dont le cœur reste paisible en sa foi -, ceux dont la poitrine s’est ouverte à l’impiété, sur ceux-là tomberont le courroux de Dieu et un tourment terrible » (16, 106).
Dans ce verset, pour notre sujet, c’est l’incise qui compte (souligné). La taqiya est donc autorisée en cas de contrainte extérieure, quelle qu’en soit la forme : persécution, menace sur la vie, absence de liberté religieuse (de conscience et de culte), etc.
2°/ « Que les croyants ne prennent pas pour alliés des infidèles au lieu de croyants. Quiconque le fait contredit la religion d’Allah, à moins que vous ne cherchiez à vous protéger d’eux. Allah vous met en garde à l’égard de Lui-même. Et c’est à Allah le retour. Dis : Que vous cachiez ce qui est dans vos poitrines ou bien que vous le divulguiez, Allah le sait. Il connaît tout ce qui est dans les cieux et sur la terre. Allah est omnipotent » (3, 28-29).
Deux membres de phrases sont importantes (soulignés). Comme ailleurs dans le Coran, Dieu recommande ici aux musulmans (eux seuls sont qualifiés de « croyants ») de ne pas entretenir de relations d’amitié ou de sujétion avec les non-musulmans (cf. 3, 118 ; 5, 51 ; 9, 23 ; 60, 13), mais il autorise des dérogations au principe lorsque le fait de s’opposer à ces derniers les met en danger. La sécurité ou le besoin de se faire accepter priment alors sur l’affirmation de la religion. En fait, dans ces situations, ce qui compte c’est l’intention du musulman ou la réalité intime de sa croyance. Peu importe alors la profession de foi publique puisque Dieu connaît les dispositions des cœurs et les pensées.
Telles sont les sources qui fondent la doctrine de la dissimulation, en matière de religion et de tout ce qui peut lui être connexe. La validité du recours à la taqiya a été confirmée et précisée par les oulémas (docteurs de la Loi) dès les débuts de l’islam, notamment par Tabarî (m. 923).
Il en résulte qu’un musulman peut abjurer extérieurement ses croyances, professer publiquement une autre religion, accepter d’être réputé non-musulman ou renoncer aux exigences cultuelles et législatives conformes à l’islam, tout cela s’il se trouve dans des conditions qu’il estime être de contrainte justifiant une telle attitude. Si l’on veut comparer avec la position chrétienne sur ce sujet, il convient de se référer à une parole de Jésus-Christ dans l’Evangile : « Qui veut sauver sa vie la perdra, mais qui perdra sa vie à cause de moi et de l’Evangile la sauvera » (Mc 8, 35). [...]"
L'analyse se poursuit avec les applications historiques et contemporaines de la taqiya puis se conclut avec deux exemples : Tareq Oubrou et Tarik Ramadan :
"Imam de la grande mosquée de Bordeaux, ancien militant de l’Union des Organisations islamiques de France (UOIF, d’obédience Frères musulmans), Tareq Oubrou préconise pour les musulmans d’Europe l’acceptation d’une « charia de minorité ». Pour lui, « il s’agit de mettre en relation la norme avec la réalité concrète, tout en restant fidèle aux méthodes qui régissent l’application de la charia à la réalité […]. Cela permet l’élaboration d’un canonisme mobile » (Profession imâm, Albin Michel, 2009, p. 37-41). D’après l’islamologue Dominique Urvoy, cette position est à comprendre comme une application de la taqiya :
Tareq Oubrou adopte constamment cette ligne d’action : il affirme qu’il est possible de tout résoudre ponctuellement par des fatouas ; si une règle démocratique va à l’encontre de la règle islamique, on peut abroger cette dernière momentanément mais on la rétablira le jour où… On met les choses en veilleuse, mais il s’agit bien de les réactiver tôt ou tard, et cela parce que le Coran est considéré comme étant la parole incréée de Dieu ; par exemple, le djihad, auquel les musulmans doivent renoncer quand ils vivent en Occident, ou auquel ils doivent donner une dimension exclusivement intérieure, mais qu’ils ont le devoir de rétablir dès que cela sera possible » (« La place du secret dans la pensée religieuse musulmane », in L’Islam en France, hors-série de la revue Cités, PUF, 2004, p. 646). [...]"
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Comment faire face au chaos migratoire ? En tranchant le nœud gordien ! par Jean-Yves LE GALLOU
Appeler un chat un chat et nommer les faits sans faux-semblant.
Oui, il y a chaos migratoire : quand un million et demi de personnes se pressent aux portes de l’Europe et qu’une fois entrées elles seront six millions avec le regroupement familial, il est même juste de parler d’invasion migratoire.
Oui, il y a Grand Remplacement quand dans les maternités françaises, en 2014, 36% des naissances ne sont pas d’origine européenne (selon les statistiques du dépistage à la drépanocytose) : cf. http://www.polemia.com/en-2025-la-moitie-des-naissances-en-france-ne-seront-pas-dorigine-europeenne/
Non, la France n’est pas un hôtel (Attali) et la nationalité française une simple formalité citoyenne (Chevènement). Comme l’a justement dit le général De Gaulle : « Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne. »
Mettre au premier rang des préoccupations politiques les questions identitaires
La politique n’a de sens que quand elle se situe à la hauteur des questions historiques. Or aujourd’hui la question centrale pour les Français et les Européens c’est celle de leur identité.
À côté, les questions économiques, sociales, monétaires sont secondaires. Les électeurs ne s’y trompent pas d’ailleurs : ce sont les questions sécuritaires et identitaires qui ont été au cœur des dernières élections.
Signalons la situation singulière du FN : il gagne des électeurs sur les questions d’immigration. Il en rebute sur les questions économiques et sociales : à gauche, dans les années 1980 – 1990 avec un discours d’apparence trop libérale; à droite, lors des dernières présidentielles et départementales avec une thématique jugée trop redistributive et perçue comme anxiogène sur l’euro. Cela étant, les électeurs frileux ont bien tort de s’attacher à l’accessoire au lieu d’aller à l’essentiel.
Poser le bon diagnostic : la question migratoire n’est pas franco-française mais européenne
Tous les peuples d’Europe sont menacés : l’humanitarisme verbal de leurs dirigeants et la culpabilisation de leur passé sont une menace mortelle aussi bien pour les Allemands que pour les Italiens, les Français ou les Anglais. Gardons-nous d’opposer les peuples européens entre eux, opposons-les ensemble à la superclasse mondiale qui leur impose, avec l’appui des médias, une mortelle ouverture de leurs frontières. A contrario, saluons, comme s’apprête à le faire le SIEL, l’action du premier ministre hongrois Viktor Orban qui s’oppose à cette politique. C’est le seul chef d’Etat européen actuel. (cf. Manifestation de soutien le samedi 7 novembre à 15h30 devant l’ambassade de Hongrie à Paris : http://www.siel-souverainete.fr/)
Changer les règles du jeu
Ce ne sont plus les parlements ni les peuples qui font les lois sur l’immigration. Ce sont les juges qui interprètent dans le sens politiquement correct des textes généraux : Convention européenne des droits de l’homme, Convention internationale des droits de l’enfant, Convention de Genève sur les réfugiés. Il faut dénoncer ces traités, remettre la justice dans son lit, rétablir les souverainetés nationales, permettre l’expression des peuples par des référendums d’initiative populaire.
Refuser la tyrannie médiatique
Évidemment cela va couiner ! Car aujourd’hui ce sont les médias aux ordres des puissances d’argent (le patronat, le luxe, les banques) ou sous influence étrangère (les États-Unis, le Qatar, Israël) qui dictent la politiques des États. En Europe la caste médiatique ne contrôle pas les gouvernements, elle surveille les peuples. C’est une formidable atteinte à la démocratie.
S’il est normal que les mondialistes et les immigrationnistes s’expriment, il ne l’est pas qu’ils disposent de 95 % à 98 % des moyens de communication avec l’aide de l’État (subventions à la presse, redevance audiovisuelle, attributions des fréquences). Il est urgent de rétablir le pluralisme médiatique. Oui à la diversité idéologique et politique des médias !
Trancher le nœud gordien
Il faudra donc bien trancher un jour le nœud gordien, c’est-à-dire rétablir la démocratie : le pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple. En brisant la dictature médiatique et en mettant un terme au coup d’État des juges.
Jean-Yves Le Gallou
• D’abord mis en ligne sur Polémia, le 25 octobre 2015.
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Clandestins en Auvergne: La Montagne collabore avec les autorités, la voix du peuple bafouée !
Le maire de Pessat-Villeneuve, monsieur Gérard Dubois, avec la complicité de la préfecture et de l’association Forum Réfugiés a décidé d’accueillir 48 clandestins (dont une seule femme) dans le château de la ville. Ses habitants ne furent pas consultés et ont appris la nouvelle le jour même, mardi 3 novembre. Une réunion publique visant à instaurer un dialogue entre les autorités (ir)responsables et les habitants fut donc mise en place vendredi 6 novembre.
Environ 300 personnes étaient réunies dans la salle de l’école maternelle, pour écouter les explications du maire. La salle est pleine à craquer si bien que des personnes sont obligées d’écouter de l’extérieur. Les visages sont graves ou perplexes, les remarques sarcastiques entre habitants vont bon train. Monsieur le maire prend la parole. Après avoir mentionné les nombreux appels de mécontentement et la fermeture du standard téléphonique, ce dernier lit à l’assemblée un mail d’encouragement qu’il aurait reçu le matin même. Nous apprenons ensuite que l’opération était prévue depuis plus d’un mois : tollé général ! Des voix commencent déjà à s’élever et le maire d’insister pour qu’il puisse finir son intervention et passer la parole à Aurélie Lebourgeois, co-ordinatrice de la préfecture et à Jean-François Ploquin, directeur général de Forum Réfugiés. Les arguments déployés par les responsables sont souvent approximatifs et larmoyants. La majorité des gens sont mécontents. « Nous n’avons pas pu voter pour cette décision mais ne vous inquiétez pas on va se rattraper en décembre ! » lance un habitant, aussitôt applaudi. L’école maternelle se situant juste à côté du château, c’est tout naturellement que plusieurs mamans inquiètes prennent la parole. Et il y a déjà de quoi s’inquiéter. Une pessatoise nous explique qu’une dame âgée aurait retrouvé trois « migrants » dans sa cour. En effet les clandestins ne sont pas assignés au château et des habitants du village ont pu le voir : on peut les croiser, sac de courses à la main, au bord de la route entre Riom (prononcer « rion ») et Pessat-Villeneuve. Il faut noter que ces clandestins représentent quand même 10% de la population du village ! Les exclamations, les remarques acerbes et les critiques fusent ; l'assemblée est indiscutablement acquise aux sceptiques et aux réfractaires à cet accueil. Le responsable de la sécurité civile et le médecin quittent même discrètement la salle. Quant aux interventions en faveur des « migrants », elles furent rares (trois grand maximum), dont une théâtrale (trémolos dans la voix, attitude presque sur-jouée).
Nous nous attendions à la présence de France 3 Auvergne et Radio Bleu Auvergneétant donné l’envergure des événements mais il ne fallait pas compter sur ces médias locaux ce soir-là. Avaient-ils anticipé le fait qu’ils ne pourraient pas réaliser de reportage complaisant ? Quant au journaliste de La Montagne, ce dernier a pris clairement le parti de la mairie. Seulement deux interventions recensées parmi ses live tweets et sans jamais expliquer les motifs. L’article de Fabrice Mina paru le 7 Novembre est limite insultant : « La salle a ensuite partagé ses inquiétudes. Certaines peuvent être légitimes. D'autres beaucoup moins, et confèrent au fantasme. » ou « Terroristes ? Certaines interventions ont semblé plus déplacées. Par exemple : Il n'y a que des hommes, qu'est-ce qui nous prouve qu'il n'y a pas des terroristes ou des pédophiles dans le lot ? ». Nous ne nous rappelons pas d’avoir entendu le mot « pédophile ». Monsieur Mina serait peut-être moins méprisant si sa fille était scolarisée à l’école qui juxtapose le château. On se rend bien compte que La Montagne est tout aussi complice que monsieur Gérard Dubois et que les militants rémunérés de Forum Réfugiés. On compte parmi les nombreux bailleurs de fonds le ministère de l’Intérieur et le ministère du Travail ainsi que la caisse primaire d’assurance maladie du Rhône.
Pour conclure c’est bel et bien le bon sens populaire qui s’est exprimé lors de cette réunion. Les questions de sécurité, de déni de démocratie et les problématiques financières étaient au centre du débat. Les habitants de Pessat-Villeneuve ont clairement relevé le fait que leur maire avait trompé ses administrés et par conséquence failli à son devoir. Mais que faut-il espérer d’un homme qui a comme argument : « cela ne coûterait rien à la commune, l'ensemble des frais étant pris en charge par l'État » ! Quel cynisme ! Surtout de la part d’un élu qui a endetté ses administrés à hauteur de 4 067 euro par personne à cause du rachat du château ! Ce sont nos impôts qui financent à la fois les coûts d’accueil de ces clandestins et les militants de Forum Réfugiés. Et l'argent de l'Etat, d'où vient-il, monsieur le maire ? Des impôts et des taxes des Français ! Quand est-ce que nos élus arrêteront de se moquer du peuple ? Face à l’injustice dont sont victimes les habitants de Pessat-Villeneuve, nous devons leur apporter notre soutien inconditionnel.
Donatien, responsable du Mouvement d’Action Sociale Auvergne (Facebook)Annexe 1 : Les bailleurs de fond de "Forum réfugiés" :
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Les Identitaires occupent une maison de retraite transformée en centre pour clandestins
À Triel-sur-Seine, 30 militants identitaires ont décidé d’occuper une ancienne maison de retraite transformée en centre d’hébergement pour clandestins. Les slogans sont clairs : “On est chez nous”, “Nos anciens avant les clandestins”.
Ils demandent donc l’expulsion immédiate des “migrants” ainsi que le retour – chez eux, dans leur maison de retraite – de nos anciens.
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L'Action Française demande la fermeture du musée de l'Immigration
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Zemmour & Naulleau avec pour Invité: Jean Marie Le Pen – « Immigration zéro »
Émission qui date du 21 octobre 2015 – Jean-Marie Le Pen donne son programme pour le cas où lui serait au pouvoir! C’est clair, net précis: immigration zéro, reprises du contrôle des frontières, fin des pompes aspirantes, sortie de l’Euro et de l’Union.
http://www.medias-presse.info/zemmour-naulleau-avec-pour-invite-jean-marie-le-pen/42818
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Manif du Siel en Soutien à Orban. Plus de gens que devant l’ambassade d’Allemagne. Bravo.
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Pour expulser des étrangers, d'abord se passer de la CEDH
Pour la CEDH, la France doit garder ses terroristes pour elle :
"En France, huit étrangers condamnés pour des faits de terrorisme ou soupçonnés d’appel au jihad sont assignés à résidence dans des villages ou des petites villes. Souvent logés à l’hôtel, ils ont l’obligation de pointer plusieurs fois par jour à la gendarmerie ou au commissariat, et l’interdiction absolue de sortir des limites de leur commune. Ces hommes auraient dû être expulsés de France, car ils sont frappés d’une interdiction définitive du territoire. Mais la Cour européenne des droits de l’homme a interdit à l’Etat français de les renvoyer dans leur pays d’origine, où ils risquent la peine de mort, la torture ou de mauvais traitements."
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Interdiction de la manifestation du Parti de la France à Pouilly-en-Auxois par le pouvoir socialiste
Communiqué du Parti de la France
Le préfet de Côte d’Or a répondu avec zèle, empressement et servilité à l’appel du MRAP, de la Ligue des Droits de l’homme et de divers collectifs d’extrême gauche qui demandaient depuis quelques jours l’interdiction de la manifestation du Parti de la France prévue le samedi 7 novembre à Pouilly-en-Auxois.
L’arrêté préfectoral d’interdiction de notre rassemblement est en lui-même une profession de foi politique :
Article 1 : La manifestation ayant pour objet de « dénoncer la présence de clandestins » à Pouilly-en-Auxois, projetée à Pouilly-en-Auxois le samedi 7 novembre 2015 est interdite.
Article 2 : Toute infraction au présent arrêté est passible de sanctions prévues par le code pénal.
La République socialiste interdit donc officiellement à des citoyens français, membres d’une organisation politique légale, d’organiser un rassemblement visant à dénoncer l’immigration clandestine.La preuve est faite, une nouvelle fois, que la politique socialiste est une politique de collaboration active au service d’une immigration de masse, y compris illégale et que l’atteinte systématique aux droits et aux libertés fondamentales à l’égard des militants du Parti de la France est devenue une règle du pouvoir socialiste.
Carl Lang rappelle que selon les termes mêmes du Conseil d’Etat, « l’exercice de la liberté d’expression est une condition de la démocratie et l’une des garanties du respect des autres droits et libertés. Les atteintes portées, pour des exigences d’ordre public, à l’exercice de ces libertés fondamentales doivent être nécessaires, adaptées et proportionnées ».
L’arrêté préfectoral d’interdiction dont est victime le Parti de la France est une nouvelle atteinte portée à l’exercice de nos libertés fondamentales, cet arrêté n’étant ni nécessaire, ni adapté, ni proportionné. L’excès de pouvoir est manifeste et la décision parfaitement idéologique.
En conséquence, et dans l’attente d’autres actions politiques qui seront menées à Pouilly-en-Auxois par le Parti de la France, nous annulons le rassemblement prévu ce samedi 7 novembre.
Carl lang, président du Parti de la France, Thomas Joly, secrétaire général et les responsables régionaux du PdF seront cependant présents à Pouilly-en-Auxois, ce samedi 7 novembre, pour une rencontre avec la presse régionale afin de dénoncer les scandaleuses atteintes aux libertés d’opinion, d’expression et de réunion orchestrées par une Gauche sectaire, anti-nationale et liberticide.