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immigration - Page 1220

  • La revue de l’État islamique justifie la dhimmitude des chrétiens ainsi que l’esclavage

    Le nouveau numéro du magazine de l’État islamique en français, Dar al-Islam, vient de sortir.

    Cette publication justifie la dhimmitude des chrétiens ainsi que l’esclavage dans un article intitulé “La revivification de l’esclavage avant l’heure”.

    Voici un extrait :

    Les familles yazidites asservies sont maintenant vendues par les soldats de l’État islamique comme les mécréants étaient vendus par les Compagnons avant eux.

     

    Enfin, le numéro 5 de Dar al-Islam contient des consignes opérationnelles destinées aux terroristes.

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  • « PLUS BELLE LA VIE » : UN FEUILLETON DE PROPAGANDE ISLAMIQUE ! (l’Imprécateur)

    La collusion entre la propagande nazie et la propagande islamique a commencé dans les années 30 avec les déclarations de Hadj Amin el-Husseini, Grand mufti de Jérusalem, disant en substance que le nazisme était un modèle pour l’islam et une bonne chose pour le développer dans le monde par l’extermination des Juifs.

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    Tuez les juifs partout où vous les trouvez, leur sang qui coule réjouit Allah 

    Aussitôt, Hitler y trouvant un allié susceptible de déstabiliser l’influence anglaise au Moyen-Orient et un moyen d’étendre le nazisme au-delà de ses limites eurocentriques coutumières, les efforts de propagande de l’Allemagne nazie à destination des musulmans du Moyen-Orient furent intensifiés.

    Il fallait cependant faire sauter un énorme obstacle, celui de la barrière apparemment insurmontable créée par l’idéologie raciale nazie. Il fut donc décidé d’insister sur le thème « l’ennemi juif » qui trouvait un écho très fort dans le monde arabe, en créant un acteur politique en apparence réel, baptisé « juiverie internationale » tenu pour responsable de tous les malheurs du monde arabe, mais aussi occidental et notamment des causes de la guerre annoncée. Les ministères nazis concernés par la propagande (Affaires étrangères, Propagande, Armée et SS) recrutèrent des collaborateurs musulmans pour que les traductions d’allemand en arabe soient parfaites. Bien que cette collaboration entre l’islam et le nazisme n’ait duré que quelques années, se terminant naturellement avec la fin de la guerre en 1945, elle a laissé des traces qui renaissent aujourd’hui dans la propagande de l’islam intégriste, notamment les principales accusations relevant de l’antisémitisme radical. La haine profonde des Juifs partagée par les musulmans et les nazis ne relevant pas que des circonstances géopolitiques propres à la première moitié du XXème siècle, « elle se nourrit d’éléments de leurs civilisations respectives » (Jeffrey Herf, Hitler, la propagande et le monde arabe, Ed. Calman-Lévy 2012) et nous rappelle que les idéologies peuvent être simultanément des instruments servant des desseins politiques aussi bien que religieux (1).

    Dans sa directive n°30 sur la politique à mener au Moyen-Orient, Hitler déclare : « Le mouvement de liberté (Freiheitsbewegung) arabo-musulman est notre allié naturel« , et l’antisémitisme radical nazi trouva aussitôt un terrain d’entente avec l’antisémitisme radical enraciné dans le Coran et les commentaires qui en ont été faits dans les hadiths. Les deux se mêlant dans les émissions de propagande qui furent dès lors diffusées jour et nuit, préparées par des groupes se réunissant à Berlin qui mélaient nazis arabophones et arabes pronazis, essentiellement des Palestiniens et des Irakiens qui ne voyaient qu’une chose : cela leur permettait de trouver un public nombreux (2) et réceptif à la lutte antijuive (Israël n’avait pas encore été recréée) dans leurs pays respectifs. Les nazis apportant leur maîtrise des techniques de propagande moderne au service d’un regain de la version fondamentale de l’islam. Mais ce n’est pas leur habileté technique qui exacerba le plus l’antisémitisme radical musulman, tout leur art consista à comprendre que certains courants de l’islam étaient autant de points d’entrée pour une réception positive du message nazi.

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  • Regard sur l’Actu #15 : Un été chaud, chaud, chaud !!!

    La France durant les vacances d’été… On ne se soucie plus de rien, c’est les congés et on vit au ralenti. Moins de pression, moins de règles, on se croit tout permis. C’est un étrange sentiment qu’on ressent partout, comme si le temps s’arrêtait durant deux mois et que tout devenait dérision et amusement. La racaille se sent pousser des ailes et l’Etat-autruche paraît encore plus couillon et dépassé qu’à l’accoutumé dès qu’il s’agit de maintenir un semblant d’ordre. L’été, c’est la fête ! On l’a encore vu ces jours-ci avec des centaines de voitures qui ont cramé pendant que l’eau des bouches à incendie se répandait dans les rues pour amuser et rafraîchir la part la plus exotique de notre population. Rien que pour le vendredi 3 juillet, plus d’une centaine de ces bouches furent vandalisées dans notre beau département du nord, à Lille, Roubaix et Tourcoing, villes délicieuses s’il en est. Le phénomène a vite gagné toute la France, notamment la Seine-Saint-Denis où plusieurs maires ont courageusement pris des arrêtés municipaux interdisant cette pratique, ce "jeu", cette "mode" comme ils disent dans les médias ! Quel panache Messieurs ! La France a besoin d’audace et vous n’en êtes pas avares ! Après les bouches à incendies, ça a été aussi les razzias dans les piscines municipales qui ont dû, pour plusieurs, fermer leurs portes face aux bandes qui venaient y foutre la merde… sans jamais être inquiétées. Et je ne parle pas des attaques de piscines privées… Pfff… La canicule, ça ne nous réussit pas ! A chaque jour sa peine et ça n'en finit pas. Après un petit rafraichissement à la piscine, pourquoi ne pas s’en prendre à un commissariat ou à une gendarmerie ? Une vingtaine d’entre eux ont été attaqués ou ont subi des tirs depuis le début du mois. Des assauts comme à Neuilly-Plaisance dans la nuit du 13 au 14 ont été menés par pas moins d’une centaine de « jeunes » ! On s’amuse bien en France, surtout en région parisienne ou du côté de Lyon, là où la majorité de ces incivilités ont eu lieu. Comme d’habitude, seuls les syndicats de police ont réagi. Les pouvoirs publics ? Rien, nada ! Ils sont en vacances, bordel ! Bien sûr, au milieu de tout cela, il y a les Français normaux qui subissent sans rien dire et continueront à le faire car l’Etat fait tout pour réprimer la moindre tentative de résistance à ce bordel quasi-généralisé et encouragé. Voyez la victime de Dinan, superbe ville de Bretagne qu’on croyait tranquille et préservée, qui a été mise en garde à vue et poursuivie pour s’être défendue face à un lynchage… pendant que gendarmes et magistrats, lâches et tenus en laisse ne font rien. Un autre exemple récent, le pauvre René Galinier, 78 ans, incarcéré dès la fin de son procès pour 5 ans de prison (dont 4 avec sursis) car la « justice » l’a reconnu coupable de tentative de meurtre pour avoir osé se défendre face à un cambriolage… L’Etat ne vous protégera pas mais protégera ceux qui vous veulent du mal. Tirez-en les conclusions qu’il faudra mais sachez qu’une réaction de la part d’une population hébétée et qui s’habitue à tout n’est pas à attendre tout de suite… ni cet été, ni le prochain… Vous ne pouvez compter que sur vous. Et votre bonne étoile.

    Encore un projet de loi sur les étrangers !

    Un énième, oui. Qu’on discute alors que vous êtes à la plage ou dans les bouchons ! Pendant qu’une part de l’Italie burnée résiste courageusement (avec l’appui musclé de Casa Pound !) à l’envahisseur, l’Europe plie sous la pression des peuples venus du sud et le système fait tout pour nous en imposer encore plus. Marché ! Droits de l’homme ! Destruction des Européens ! La France en première ligne, pas seule dans ce merdier mais en première ligne quand même ! Le nouveau projet de Cazeneuve, prétextant des simplifications administratives, a surtout pour but de fixer encore davantage les étrangers de manière légale sur notre sol en délivrant des titres de séjour plus facilement. Rien d’étonnant, nous sommes habitués, surtout avec ce petit fonctionnaire plein d’égard envers tout ce qui n’est pas de chez nous et qui déclarait encore récemment, à Calais, que « Trop de migrants qui pourraient bénéficier de l’asile en France hésitent encore. Nous devons leur faire comprendre clairement que l’asile en France est la meilleure chance pour eux. ». Pour eux comme pour les autres ! Je parle de cette « immigration choisie », défendue hier par Sarkozy et aujourd’hui par le Gouvernement avec son projet de « passeport-talents » (nom à la con sentant la comm’ bobo parisienne). Alors qu’un sacré pourcentage de diplômés français se cassent à l’étranger ou cherchent à le faire, on ne va pas chercher à les retenir ! Non, on va les remplacer, comme on remplace la population blanche ! Je résume : on attire des étrangers censés apporter à la France savoir et attractivité / qui vont coûter un max et ne jamais repartir / et qui, s’ils sont vraiment des « talents » manqueront à leurs pays d’origine / pays qui seront encore plus en difficulté du fait de la fuite des cerveaux et dont la population viendra, à terme, inévitablement chez nous. Le tiers-monde en Europe pour les nuls !  

    France, prosterne-toi!

    Comme si on n’en avait pas assez avec nos « potes » de l’intérieur, il faut aussi se coltiner leurs lointains cousins de l’étranger qui viennent contribuer, eux aussi, à égayer notre été… Attention ! Déroulez le tapis rouge, voici la famille royale saoudienne qui débarque pour ses vacances près de Cannes, à Vallauris exactement. On les attire tous, hein ? Le roi Salmane se ramène en force avec 400 ou 500 personnes (esclaves et gros bras compris) qui sauront mettre de l’ambiance à Vallauris ! La sympathique smala y possède une villa et arrive dans quelques jours…  A tout seigneur, tout honneur : pour avoir la paix, les Saoudiens avaient fait entamer des travaux avec dalle de béton et tout et tout pour privatiser la plage jouxtant leur résidence… Tranquille la vie, surtout que cette plage est publique… Mais bon, sachant que la France est un pays de faibles et de traîtres où l'on peut tout se permettre dès qu’on est puissant et/ou friqué et/ou étranger, y avait pas trop à craindre des autorités locales. Mis à part Michelle Salucki, maire de la commune, qui avait tenté de faire arrêter les travaux entrepris par les serviteurs royaux, tout le monde s’est agenouillé ! La préfecture a bien évidemment interdit l’accès à la plage publique de Vallauris. Le sous-préfet de Grasse, Philippe Castanet, a ainsi déclaré à l’AFP : « dès que la Garde royale saoudienne nous aura donné le jour d’arrivée de l’avion du roi […] avec un délai de prévenance de 24 heures, l’accès au littoral sera interdit par des policiers, pour le temps des vacances du roi ». La France s’abaisse devant le monde entier et en est, bien évidemment, la risée. En voici une nouvelle preuve.

    Une reine à Béziers

    Une reine, idéalement, ça doit faire rêver les petites filles de par sa beauté et son style mais aussi jouer un rôle politique, quel qu’il soit. Notre histoire en multiplie les exemples. Le joli minois que vous voyez ici n’est pas la nouvelle reine de France mais celle de Béziers. Elle répond au doux nom de Fleur Nougaret-Fischer et « a pour mission de représenter, du haut de ses 22 printemps, "l'identité Biterroise, ses traditions et sa culture" » en lien direct avec le service culturel de la ville héraultaise. Belle vitrine, certes, mais attention, la jeune fille, étudiante en droit, a remporté « un concours où beauté physique et connaissance de l'histoire et des traditions biterroises étaient jugées à critère égal. » Choisie par Robert Ménard et d’autres personnages importants de la ville, Fleur « doit dorénavant faire acte de présence lors des férias, des fêtes médiévales et des vœux du maire. Autre engagement à respecter : "se comporter en toutes circonstances et en tous lieux avec grâce, élégance et dignité." » lit-on dans metronews.fr qui feint de jouer le journalisme d’investigation en révélant que la jeune femme « partage l'avis de son maire sur certains thèmes qui lui sont chers ». Si elle a passé le concours, c’est en connaissance de cause, non ? Il est vrai que les statistiques ethniques de Béziers ne jouent pas toujours en faveur des Blancs mais, pour une fois, on peut souffler : la discrimination positive n’est pas à l’honneur. Zut alors, ça fait enrager les médias qui auraient voulu une énième Miss métisse fan de hip-hop et titulaire d’un bac -4 comme c’est la norme en France occupée. Ça change, hein, une Blanche ! Rien que pour ça et pour l’image sympathique que la Reine de Béziers peut donner de sa ville, on ne va pas bouder notre plaisir face à cette nouvelle affirmation d’identité de la part du célèbre édile de Béziers !

    Rüdiger / C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • Projet de loi immigration : toujours plus de droits !

     Toujours plus de droits pour les étrangers, des mesures de lutte contre l’immigration illégale a minima, le gouvernement poursuit sa logique immigrationniste avec ce nouveau texte, qui passe au cœur de l’été et en procédure accélérée pour éviter au maximum le débat.

    Les députés français examinent depuis lundi l’examen d’un projet de loi controversé sur l’immigration qui propose d’améliorer les conditions de vie des résidents légaux en France tout en renforçant la lutte contre l’immigration illégale. c’est du moins la volonté affichée, puisque dans les faits, le texte, avec la carte de séjour pluriannuelle et l’assignation à résidence comme dispositif par défaut des immigrants illégaux ne fait que leur faciliter la vie.

    Le texte prévoit en effet prévoit la création d’un titre de séjour de deux à quatre ans, après un premier d’un an, destiné à éviter aux étrangers d’avoir à se rendre chaque année en préfecture. Cette mesure a été approuvée hier soir par les députés. Pour en bénéficier, un étranger devra justifier de son “assiduité et du sérieux de sa participation aux formations prescrites par l’Etat dans le cadre du contrat d’intégration” et ne pas avoir “manifesté de rejet des valeurs essentielles de la société française et de la République”.
    Les titulaires du titre pluriannuel pourraient ensuite demander la carte de résident. Un amendement PS voté en commission la donne de plein droit au bout de trois ans pour les parents d’enfants français ou les conjoints de Français.

    Bref, des contrôles de l’ordre du symbolique et un boulevard vers la naturalisation, étape suivant la carte de résident.
    Pour Marion Maréchal-Le Pen ce texte va donner

    des droits toujours plus favorables aux étrangers, notamment l’élargissement du regroupement familial, l’assouplissement de la procédure des étrangers malades, l’incitation pour les étudiants qui ont fini leur cycle de rester en France.

    Les reconduites à la frontière pour les déboutés du droit d’asile seraient facilitées et si l’assignation à résidence serait privilégiée à la détention, les forces de l’ordre pourraient mener la personne concernée à son consulat afin d’obtenir les papiers nécessaires à son expulsion… pour peu bien sûr que les clandestins soient restés sagement dans leur lieu de résidence plutôt que de disparaitre dans la nature !

    Le député Les Républicains Guillaume Larrivé, un proche de Nicolas Sarkozy et l’un des seuls orateurs de la droite “modérée” sur ce texte a appelé à “rompre avec cette idéologie immigrationniste” et accusé le gouvernement d’avoir “une pratique qui est celle de l’augmentation de l’immigration”. Il propose d’agir dès le pays d’origine en limitant la délivrance de visa d’immigration aux candidats faisant la « preuve de leur capacité d’intégration ». Une fois en France, les immigrés verraient ensuite leurs conditions d’accès aux prestations restreintes. Surtout, il proposera que l’Assemblée puisse définir, tous les ans, un « plafond d’immigration » appliqué notamment au regroupement familial, en fonction des besoins économiques.

    Parmi les amendements qui font débat, l’un d’eux dispose que les enfants nés à l’étranger de parents étrangers, arrivés sur le territoire français avant l’âge de 6 ans et ayant depuis lors résidé habituellement en France, puissent acquérir la nationalité française sur simple déclaration à leur majorité. Pour le député Les Républicains Guillaume Larrivé, c’est un moyen déguisé d’accorder la nationalité aux clandestins :

    Nous ne sommes pas favorables à l’idée absurde selon laquelle tous les étrangers venus illégalement par le regroupement familial deviendraient automatiquement français à l’âge de 18 ans.

    http://fr.novopress.info/

  • Australie : non à l’islam !

    Des drapeaux australiens qui claquent au vent, des pancartes « Oui à l’Australie. Non à la charia » brandies ici et là, des manifestants qui défilent au cri de « Pas d’Islam. Pas de charia. Pas de halal »… Répondant à l’appel du mouvement Reclaim Australia (« Reconquérir l’Australie »), ils étaient des milliers à manifester dimanche dans les rues de Sydney, Canberra, Perth, et même de Hobart, sur l’île de Tasmanie, pour dénoncer l’islamisation rampante de leur pays, et ainsi montrer l’exemple aux Européens.

    Islamisation rampante
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    Nous aurions tort de penser, parce que nos médias n’en parlent jamais, que le pays des kangourous n’est pas, comme l’Europe, en voie d’islamisation. À force de laxisme en matière d’immigration, l’Australie se retrouve, elle aussi, confrontée aujourd’hui à une communauté musulmane particulièrement revendicative et virulente. Et si celle-ci ne compte officiellement que quelque 500 000 individus, ce chiffre n’a cessé de croître ces dernières années. Ainsi, le nombre de musulmans âgés de 5 à 14 ans aurait augmenté d’environ 20 % entre 2006 et 2011. Avec toutes les conséquences que cela implique : exigence de mosquées, de plats hallal, port du voile dans les lieux publics, etc.
    Au point qu’en 2008, l’ex-Premier ministre John Howard, excédé, devait rappeler aux immigrés que « la plupart des Australiens croient en Dieu », ajoutant que « si Dieu vous offense, je vous suggère alors d’envisager une autre partie du monde comme votre pays d’accueil, car Dieu fait partie de notre culture » !

    Douloureux réveil

    Cependant, la prise d’otages meurtrière du café Lindt de Sydney par l’islamoterroriste Man Haron Monis en décembre dernier, conjuguée aux menaces sur internet d’« Abou Khaled d’Australie » et à la découverte d’une centaine de djihadistes australiens combattant aux côtés de l’EI, devaient provoquer un douloureux réveil chez nombre d’Australiens.

    En avril, Reclaim Australia devait ainsi rassembler plusieurs centaines de personnes lors d’une première manifestation sur Martin Place, dans le centre de Sydney, devenue un lieu symbolique de la résistance. Et depuis, le mouvement, qui se veut « une réponse publique à l’extrémisme islamique des groupes minoritaires qui souhaitent changer l’identité de la nation australienne », n’a fait que monter en puissance, recevant même dimanche le soutien du député George Christensen du parti national libéral.

    Franck Delétraz

    http://fr.novopress.info/

  • Valls le collabo-traître l'a dit : L'Islam est en France pour y rester !

    A l’instar d’autres collabos tels que Sarkozy ou Juppé, Valls se lance lui aussi dans une stratégie qui vise un double objectif :

    1. récupérer les faveurs des musulmans en prévision des élections régionales de cette fin d’année mais aussi et surtout celles de 2017, on se souvient que lors des dernières présidentielles les socialistes avaient manœuvré de telle manière que 93% des musulmans votants avaient donné leurs voix à Hollande.

    2. imposer l’Islam de force à l’ensemble de la population française en lui donnant tous les attributs d’une religion d’état.

    Poursuivant en cela le travail de destruction de la Nation Française entamé par ses prédécesseurs, le noyautage de toutes les institutions de l’état par les islamo-collabos et les musulmans ayant bénéficié du droit du sol permet de bloquer toute initiative privée ou collective visant à empêcher l’inexorable islamisation du pays.

    Dans l’éducation nationale, les profs gauchistes adeptes du nivellement par le bas font la promotion du « vivre-ensemble » auprès de leurs élèves, et en sorte de formater les consciences dès le plus jeune âge pour correspondre aux critères de l’anti-racisme qui n’est ni plus ni moins que la promotion de la haine du blanc ou de l’européen de souche.

    Dans la police et grâce aux promotions qui encouragent la mixité, il n’est pas rare de trouver à Paris des effectifs composés d’une majorité d’africains mâtinée d’une belle proportion de maghrébins.

    Dans l’armée de l’aveu même de la hiérarchie l’Islam pose un problème, des témoignages directs font état d’une proportion allant de 20% jusqu’à 50% de musulmans selon les régiments, y compris parmi les officiers et sous-officiers.

    Dans la justice les syndicats gauchistes tel le fameux auteur du « mur des cons », je cite le « Syndicat Nationale de la Magistrature », protègent de manière avérée la population de remplacement au détriment de la population de souche, une justice à deux vitesses qui accorde sa magnanimité de manière flagrante aux voyous issus de l’immigration à coups de remises de peines et d’aménagements, pendant que les Français de souche eux doivent plier devant des décisions implacables même pour un dépassement de vitesse de 1 km/h !

    Dans les administrations régionales et départementales ainsi que les mairies, l’aide est avant tout dispensée à la population immigrée sous la forme des allocations les plus diverses, de l’aide médicale gratuite à 100% alors qu’elle est payante pour les nationaux, et l’octroi même des retraites à ceux qui n’ont jamais cotisé pendant que les pensions des retraités Français elles diminuent comme peau de chagrin.

    48 milliards d’euros, c’est le coût de cette immigration dont on ose nous dire qu’elle permet notre enrichissement, et qu’elle est indispensable pour maintenir notre niveau de natalité…preuve s’il en fallait que le Grand Remplacement est en cours de réalisation !

    Et comme cela ne suffit pas ces mêmes régions, départements, et mairies, subventionnent des réalisations à l’étranger avec l’argent de nos taxes et construisent des mosquées sur notre sol, alors que nos routes sont mal entretenues et qu’ils augmentent de façon considérable nos impôts.

    Oui, cet état qui nous ponctionne pour nourrir ceux qui nous envahissent est un état félon.

    Depuis le plus obscur bureaucrate qui avalise en faisant avancer le dossier de subvention d’une mosquée/école islamique, en passant par le maire qui cède généreusement le terrain public à vil prix, le député qui inaugure le lycée islamique jusqu’au ministre qui célèbre par son discours la fête de l’Aïd ou du Ramadan, tous sont des collabos au même titre que ceux qui « travaillaient » avec l’occupant nazi en 1940.

    Et ne valent même pas le prix de la salive du crachat qu’ils méritent.

    Tous, du plus petit au plus grand, œuvrent pour la destruction de la France et de l’Europe, en trahissant non seulement la mémoire de ceux qui avant eux ont défendu et construit ce territoire, mais aussi en trompant les plus faibles et les plus vulnérables à l’endoctrinement.

    La démocratie a vécu, la Liberté n’existe plus dans ce pays où les pensées déviantes sont fliquées et espionnées puis condamnées par l’appareil d’état.

    La Liberté d’expression a perdu tout son sens et ne signifie plus que le droit donné à ceux qui suivent la pensée unique de s’exprimer sans tarir ni supporter la moindre contradiction, et l’interdiction de la critique et de l’exercice du consentement éclairé.

    « Être Charlie » c’est être d’accord avec le mainstream politiquement correct et suivre comme un imbécile la doctrine d’état !

    A l’instar de ceux qui, hier sont devenus des héros de la résistance et qui étaient pourtant par ce même appareil d’état déclarés comme terroristes, ceux comme nous qui ne sont pas d’accord seront traqués sans relâche et condamnés sans état d’âme au nom de la Liberté, par ces collabos, ces traîtres et ces salauds qui aujourd’hui nous dirigent depuis le banc gauche jusqu’au banc droite de l’assemblée.

    La solution devant une telle violence par le système n’engendrera que de la violence en retour, dont ceux qui se plaindront le plus seront la cause.

    Il n’existe plus de solution politique, le chemin de l’Honneur et de la Liberté sera couvert de sang.


    Pour Manuel Valls, "L’islam est en France pour... par lemondefr

    Lochaberaxe

    Voir en ligne : http://euro-jihad.com/blog/

    https://euro-reconquista.com/site/spip.php?article746

  • Le drapeau noir de Daech flotte sur la marmite européenne

    Pendant que notre sous-préfet élyséen invoque les mânes de Jacques Delors et jette d’improbables plans sur la comète européenne en appelant à une Europe de « l’avant-garde » (?), l’État islamique (EI) continue sa progression, jusqu’au cœur même de l’Europe.

    Selon le Daily Mirror, des membres de l’État islamique achèteraient secrètement des terres dans un petit village de Bosnie-et-Herzégovine situé sur les bords de l’Adriatique. Ces derniers mois, une douzaine de combattants de l’organisation se seraient entraînés dans le village d’Ošve, entouré de forêts, avant de partir en Syrie. Mais d’autres villes comme Gornja Maoča ou Dubnica abritent des institutions et mosquées salafistes régulièrement fréquentées par des Bosniaques candidats au djihad. D’après un récent rapport de l’ONG Atlantic Initiative, la Bosnie-et-Herzégovine fournirait le plus gros des effectifs de l’Europe du Sud-Est partant combattre dans les rangs de l’État islamique.

    Comment en est-on arrivé là ?

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  • Stop ou encore ?

    Marine Le Pen s’est élevée hier contre le projet de loi sur le droit des étrangers dont l’examen débutait le même jour devant l’assemblée nationale, simple transposition des très laxistes  directives européennes. En l’espèce le deuxième volet d’une « folle dérive immigrationniste », qui va inciter « les étrangers à rester durablement et à s’installer en France, notamment par une nouvelle carte de séjour pluriannuelle ». Quant à la question de l’immigration clandestine, « l’angélisme prévaut, qui aura pour conséquences d’un côté la multiplication des drames en Méditerranée et de l’autre, la saturation de notre système d’accueil et tous ses problèmes en matière de sécurité et de santé (…). Le Front National, lui, veut faire tendre vers zéro le nombre d’entrées légales chaque année en France, alors qu’il se maintient à 200.000 depuis les années Sarkozy ». Cela n’étonnera que les plus naïfs, il n’est pas étonnant dans ce contexte  qu’une majorité d’Européens, dont près de sept Français sur dix, soit favorable à la suppression des accords de Schengen. C’est ce qui ressort nettement d’un sondage exclusif Ifop-Le Figaro sur Les Européens et la gestion des flux migratoires publié le 8 juillet.

     Comme le notait au même moment Le Bulletin d’André Noël, à l’heure ou  des dizaines de milliers  clandestins «débarquent sur les côtes italiennes, la  solution  trouvée par l’Union européenne ne consiste pas à les en empêcher mais à les répartir dans les différents Etats, acceptant donc le fait accompli, ce qui ne peut que susciter de nouveaux flux d’immigrés clandestins. Répartition illusoire puisque, selon les accords de Schengen, tous ceux qui se trouvent dans son espace peuvent circuler et s’installer librement là où ils le veulent ».

     Et de relever encore que « selon les prévisions de l’ONU – qui a pourtant l’habitude de minimiser ces phénomènes pour ne pas susciter de réactions  xénophobes  – on prévoit qu’en 2015, 500.000 autres pourraient débarquer ! (…). Une des raisons de cette invasion c’est que le verrou libyen a sauté avec le renversement de Kadhafi à cause de l’intervention des occidentaux. L’accord signé par l’Union européenne avec le dictateur libyen en 2009 assurait le contrôle des flux migratoires vers le Vieux-Continent ».

     « Un certain nombre de pays étaient prêts à exclure la Grèce de l’union européenne» poursuit l’article. Ils ne voyaient pas plus loin que leur plan comptable. Or la Grèce est en première ligne de l’espace Schengen, elle doit protéger ses frontières qui sont un lieu stratégique pour contenir l’invasion. Elle est à un carrefour entre les clandestins venant des Balkans et ceux arrivant de Syrie, en face de la Grèce. Elle le fait avec efficacité, grâce à une armée importante qui vaut mieux que le gouvernement Tsipras ; elle accomplit son devoir pour le pays et pour l’Union. Mais si, demain, elle était exclue de l’Union européenne, elle ne serait plus liée par les accords de Schengen et son gouvernement serait trop content de laisser le libre passage à ces immigrés pour éviter qu’ils ne s’installent sur son propre territoire ! ».

     L’exclusion de la Grèce de la zone euro n’est pas, n’est plus d’actualité pour le moment, depuis l’accord signé la semaine dernière, avec un nouveau plan d’aide à la clé validé en France par les députés RPS et dénoncé comme , « inutile », « contreproductif » et « tyrannique » par le Front National qui y voit  «la volonté des peuples écrasée ». Une aide, évaluée à 85 milliards d’euros sur trois ans, qui ne permettra pas de sauver une monnaie unique « condamnée » et qui représente « une charge financière colossale sur les épaules des contribuables français ».

     Hier, rapportait Le Monde, «avec finalement trois semaines de retard, Athènes est parvenu à s’acquitter de ses arriérés de paiement auprès du Fonds monétaire international (FMI). La Grèce a désormais de nouveau accès aux financements et prêts du Fonds, qui participe aux côtés de la Commission européenne et de la Banque centrale européenne au renflouement du pays. Le pays a aussi remboursé les 4,2 milliards d’euros dus à la Banque centrale européenne ce lundi ».

     « Mais grâce à un nouveau plan d’aide européen – le troisième depuis 2010 – Athènes a reçu un prêt d’urgence de 7,16 milliards d’euros. Ce prêt a été englouti immédiatement par deux remboursements : les 4,2 milliards d’euros dus à la Banque centrale européenne ce lundi, ainsi que le règlement au FMI. Il n’en restait donc plus grand-chose lundi soir, car la Grèce a aussi remboursé dans la journée un prêt de 500 millions d’euros à la Banque de Grèce, arrivé à échéance fin juin ».

     « L’humiliation pour les Grecs dure depuis plus de cinq ans » a rappelé de son côté  L’Express, « depuis que, incapables de financer seuls leur dette, privés de tout accès aux marchés, ils doivent se soumettre aux purges décrétées par l’Union européenne, sa banque centrale, ou le FMI. A ce régime depuis des années, ont aurait pu croire les Grecs habitués. Mais en votant majoritairement pour le parti Syriza en janvier dernier, ils ont déjà crié leur ras-le-bol de l’austérité ».

     « Six mois plus tard, la croissance grecque est de nouveau en berne et la dette est repartie à la hausse (…). Non contents d’avoir voté pour rien le 5 juillet dernier, les Grecs ont vu leur gouvernement parapher un accord stipulant que toute réforme doit être soumise à Bruxelles avant même d’être discutée à Athènes au Parlement. En outre, la liste longue comme le bras de mesures exigées pour discuter d’un nouveau plan d’aide, constitue un arsenal intrusif jamais vu, que même le FMI n’aurait pas osé imposer à un Etat souverain, résumait, la semaine dernière, Charles Wyplosz ».

     « Pour l’économiste François Cabau (…) l’ensemble des mesures prévues par l’accord grec coûtera bien plus cher à l’économie du bonnet d’âne de la zone euro. (La consommation) des ménages était déjà faible avant le plan. La Grèce est le seul pays d’Europe où les ventes au détail ont baissé au premier trimestre 2015, malgré le recul des cours du pétrole. Les mesures du plan – (principalement les hausses de TVA et les diminutions de certaines pensions de retraite) ne peuvent qu’aggraver les choses. Sa conclusion est sans appel: La chute de la croissance, entamée fin 2014, devrait donc s’accélérer. L’économiste de chez Barclays parie même sur un recul de l’activité de 6 % à 8 % en rythme annuel ».

     Or, et c’est cette fois Bertrand Riasse qui le soulignait dans Minute (numéro en  date du 8 juillet), « depuis le début de la crise, le chômage a augmenté de 160% en Grèce, prés de 3,5 millions d’employés travaillent pour soutenir 4,7 millions de chômeurs et d’inactifs. Seulement 15% du 1,4 million de chômeurs reçoivent des prestations. Les transferts sociaux devraient être réduits de 18% cette année. Le budget de la santé a été réduit de 11,1 % entre 2009 et 2011. Aucun pays de l’OCDE n’a réalisé une coupe aussi importante sur ce budget. La pension moyenne de base se monte à moins de 700 euros, et depuis 2010, elle a été réduite d’un quart. Il est prévu que ce montant soit encore réduit de moitié  sur les prochaines années. Pour 48,6 % des ménages, la pension est la principale source de revenus »

     « Selon une étude de l’Université d’Athènes, 12,3% des Grecs souffrent de dépression clinique ; ils n’étaient que 3,3% en 2008. Environ 800 000 personnes vivent sans accès aux soins de santé (…). On note aussi une augmentation de 21% du nombre d’enfants mort-nés, attribuée aux restrictions d’accès aux soins prénatals. La mortalité infantile a augmenté de 43% entre 2008 et 2010.»

     Alors stop ou encore ? Si l’avenir des 11 millions de Grecs restent toujours suspendus au bon vouloir de ses créanciers, c’est bien ce Système eurobruxellois sous influence qui a été dénoncé plus largement par « Yanis Varoufakis, l’ancien ministre des Finances grec, remercié par Alexis Tsipras au lendemain de la victoire du non au référendum ». Sur le site de Marianne le 14 juillet, Bruno Rieth a publié un article évoquant l’entretien accordé dernièrement au magazine britannique New Statesman par M. Varoufakis. Dans celui-ci,   il fustige  « l’absence totale de scrupules démocratiques de la part des défenseurs supposés de la démocratie en Europe ».

     «  Pis, se souvient-il, dans les discussions avec les partenaires européens, il explique qu’« il y avait un refus pur et simple de livrer des arguments économiques. (…) Vous mettez en avant un argument que vous avez vraiment travaillé — pour vous assurer qu’il est logique et cohérent — et vous êtes juste face à des regards vides. »

     « Dans notre cas, il est clair que notre Parlement grec a été traité comme de simples ordures. Surtout, Varoufakis est frappé par la place prédominante de Wolfgang Schaüble, l’austère — dans tous les sens du terme — ministre des Finances allemand. « (L’Eurogroupe) est comme un orchestre très bien réglé et (Schaüble) est le directeur. (…) Il y aura des moments où l’orchestre est désaccordé, mais il l’organise alors et le remet dans la ligne. »

    « Dès le début, ces pays ont bien précisé qu’ils étaient les ennemis les plus énergiques de notre gouvernement. Car leur plus grand cauchemar était notre succès : notre réussite à négocier un meilleur accord pour la Grèce, aurait évidemment anéanti leur politique (d’austérité), ils auraient eu alors à justifier devant leur peuple pourquoi ils n’avaient pas négocié comme nous l’avions fait.  Une analyse politique qui éclaire d’un jour nouveau tous les reportages, que certains médias se sont empressés de réaliser, sur l’absence de soutien de la Grèce par les pays les plus pauvres de la zone euro… ».

     « Et la France dans tout ça ? François Hollande, lors de son intervention du 14 juillet, a déclaré que la France avait  joué pleinement son rôle . Reste à savoir lequel. Car si Michel Sapin, selon Varoufakis,  a fait des bruits qui étaient différents de la ligne allemande, ces bruits étaient  très subtiles  :  On sentait bien qu’il utilisait un langage très judicieux, pour ne pas être vu comme s’opposant. Car en dernière analyse, quand Doc Schäuble répondait efficacement et déterminait la ligne officielle, le ministre des Finances français, à la fin, pliait et acceptait toujours. »

     Et bien c’est à cette soumission là que le FN veut mettre fin, comme plus généralement à tous les diktats d’une Europe de Bruxelles décidemment bien étrangère au véritable esprit et génie européens affirme Bruno Gollnisch.

    http://gollnisch.com/2015/07/21/stop-ou-encore-5/

  • Epidémie ? Ce n’est qu’un début

     Il m’a été reproché, par des représentants de la sacro-sainte légalité républicaine, d’avoir écrit que nous étions en guerre. Il paraît que cela constitue même une « incitation à la haine raciale » (sic). Ce qui soulève un léger problème – et va compliquer la tâche de mes éventuels persécuteurs – c’est que l’illustre Manuel Valls n’a pas dit autre chose, ainsi que l’ont répercuté les media, ce que tout un chacun peut vérifier. A vrai dire, il ne s’alignait pas sur les élucubrations d’un méchant fasciste mais n’exprimait là, tout bonnement, qu’une évidence.

    En effet l’actualité apporte régulièrement un lot d’informations qui sont autant de confirmations de nos analyses. Prenons quelques exemples :

    - Les trois individus arrêtés le 13 juillet (tiens ! La veille du 14… ça tombait bien pour le plan com du locataire de l’Elysée…) ont un « profil » qui « a de quoi interpeller » (Le Monde, 17 juillet). Agés de 17, 19 et 23 ans ils ont avoué préparer l’assassinat, filmé, des militaires présents sur le site de Port-Vendres (Pyrénées Orientales), en décapitant (c’est une manie chez les djihadistes) un officier du Centre national d’entraînement de l’armée de terre (CNEC). La tête pensante du groupe (un type de 17 ans, prénommé Ismaël) s’est dit « hypnotisé » par les vidéos djihadistes diffusées sur le Net. L’un de ses voisins a déclaré à la télévision qu’il « avait l’air d’un bon garçon » (ben voyons…). Quant à l’individu de 23 ans, un certain Djebril, c’est un ancien matelot de la marine française. Il illustre un phénomène capital dans le recrutement des djihadistes : ceux-ci peuvent facilement trouver des adeptes dans les rangs de l’armée compte tenu de la politique officielle de recrutement des militaires, qui privilégie les candidats « issus de la diversité » au nom de l’idéologie du « vivre ensemble ». C’est tout bénéfice pour les djihadistes que de trouver de nouveaux combattants bien formés sur le plan militaire, qui savent où il faut aller pour se procurer armes, munitions, tout en ayant repéré des cibles symboliques. Fait caractéristique : faute de pouvoir partir faire le djihad en Syrie ou ailleurs (car l’un d’eux était repéré par les services de renseignement) les trois terroristes ont voulu frapper sur le sol français, en application des consignes de l’Etat islamique adressées à ses partisans.

    - Etats-Unis : quatre militaires américains ont été tués, le 16 juillet, dans une base située à Chatanooga (Tennessee). Le tireur s’appelle Mohammad Youssef Abdulazeez. C’est « un Américain d’origine koweitienne » de 24 ans. Les autorités américaines se sont dépêchées d’affirmer qu’il serait « prématuré » de spéculer sur les raisons de la fusillade… Aux Etats-Unis comme en France et en Europe règne la même lâche hypocrisie : il ne faut surtout pas « stigmatiser » une certaine population.

    - 11 juillet : le premier ministre serbe, qui cherche à tout prix à être bien vu des Eurocrates, a voulu faire acte de repentance en se rendant à Srebenica. Il a été lapidé par les musulmans de Bosnie au cri de « Allah Akbar ! ». Le ministre de l’intérieur serbe a parlé d’une « tentative de meurtre ». Certes. On aimerait apprendre à ces repentants la chanson « Ah il fallait pas, il fallait pas qu’il y aille, ah il fallait pas, il fallait pas y aller ».

    - Nuit du 5 au 6 juillet : vol de nombreux détonateurs et pains de plastic sur le site militaire de Miramas (Bouches du Rhône). A quelques kilomètres de là, à Berre-l’Etang, le 14 juillet, trois cuves d’hydrocarbures du site pétrochimique étaient visées par des dispositifs explosifs, dont deux ont provoqué un énorme incendie. Le ministre de l’intérieur Cazeneuve a affirmé devant l’Assemblée nationale qu’il s’agissait, certes, d’un « acte criminel » mais dont « la motivation n’est pas établie ». S’il le dit…

    - 14 juillet : cette fête bien française et franchement républicaine a été agrémentée d’incendies et de destructions multiples et variées. Bien entendu, silence des media, qui préfèrent parler du tour de France.

    Pierre VIAL

    NDLR : 17 commissariats ou gendarmeries attaqués en moins de 15 jours

    http://www.fdesouche.com/628583-france-plus-de-17-commissariats-ou-gendarmeries-attaques-en-moins-de-15-jours#

    PS : Le psychodrame grec est lourd de signification. Tsipras a dû passer sous les fourches caudines : « Le leader de la gauche radicale, épuisé, humilié, a dû accepter une liste de réformes d’une dureté qui heurte même les fonctionnaires européens – ils évoquent une mise sous tutelle de la Grèce. « C’est le catalogue des horreurs » écrit le magazine Der Spiegel. Le tout imposé à un chef de gouvernement élu sur un programme anti-austérité, anti- « troïka » - Commission de Bruxelles, Banque centrale européenne, Fonds monétaire international -, anti-« diktat de Bruxelles » (Le Monde, 14 juillet). Une photo vaut parfois mieux que tous les discours : sur celle publiée par le quotidien que je viens de citer (page 6), on voit Christine Lagarde, patronne du FMI, passer derrière Euclide Tsakalatos, le ministre grec des finances, lors d’une séance à Bruxelles, et lui jeter un regard de haine. Mais la Grèce n’a peut-être pas fini de gâcher les nuits des Eurocrates de Bruxelles…

    http://www.terreetpeuple.com/282-reflexion/actualite/1267-epidemie-ce-n-est-qu-un-debut.html