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immigration - Page 1217

  • « Nous venons en paix »… mais nous sommes en guerre contre la musique à l’école!

    « Nous venons en paix », c’est notre chronique de choses vues sur le web et les réseaux sociaux à propos de nos chers « migrants »/« réfugiés »/Bisounours… une petite pastille de vérité dans un océan de propagande aux bons sentiments… mais chut… PADAMALGAM !
    Aujourd’hui, passage dans la patrie de Verdi, Puccini et Eros Ramazzoti, du bel canto et de la joie de vivre en chantant. Nos voisins italiens, tout obnubilés par leurs coutumes d’un autre âge, ont cru bien faire en utilisant la musique pour apprendre aux jeunes musulmans le Vivre-Ensemble par le biais de la musique. Heureusement, l’imam veille et a mis bon ordre à ce projet diabolique.

    Un modèle de lettre aux chefs d’établissement pour exiger, au nom du Coran, que ses enfants soient « dispensés d’utiliser des instruments de musique », voilà une des utiles ressources fournies aux musulmans d’Italie par le site Civiltà Islamica (« Le point de vue du véritable Islam. En italien »).
    « Tous les instruments de musique » sont visés et « en particulier la flûte », seul étant permis au musulman « l’usage du tambourin pour les mariages et les circoncisions ». La lettre précise que « la demande susdite doit être considérée comme minimale et modérée, puisqu’il est évident d’après le Coran qu’est interdit au musulman, non seulement l’usage d’un instrument de musique, mais encore la simple écoute de celui-ci ».
    Les animateurs de Civiltà Islamica sont persuadés, du reste, que l’éducation musicale obligatoire dans les écoles et collèges d’Italie est un complot « pour corrompre les musulmans ».

    On n’est donc pas étonné de ce qui vient d’arriver « dans une école du quartier multiculturel [sic] de Porta Palazzo à Turin ». Comme le rapporte La Stampa, l’oncle d’une élève marocaine est intervenu lors d’une réunion de parents d’élèves contre le projet « Grandir en orchestre », lancé par une association bien intentionnée « pour aider les enfants – à 90 % d’origine non-italienne – à former un groupe, à se respecter et à collaborer entre eux ». Les enfants apprennent à jouer du violon et du violoncelle, instruments incompatibles avec l’Islam.
    La famille marocaine a exigé et immédiatement obtenu que sa fille soit changée d’école, et une deuxième famille l’a suivie.

    La directrice de l’école a eu l’impression d’un mouvement organisé et a pris peur. Au même moment, on apprenait l’expulsion « d’un imam de Vicence qui avait endoctriné les enfants au point de les convaincre de se boucher les oreilles pour ne pas écouter les cours de musique, “un péché” selon son enseignement. » Pour éviter que tous les parents musulmans ne retirent leurs enfants, l’école a donc organisé une nouvelle rencontre avec les familles, à laquelle elle a aussi invité des représentants des deux mosquées du quartier et « une médiatrice culturelle de langue arabe ».

    À l’issue de cette seconde réunion, selon Ibrahim Baya, porte-parole de l’Association Islamique des Alpes, « les parents se sont déclarés d’accord pour continuer le projet de l’orchestre, à condition qu’ils puissent compter sur un soutien financier. » La directrice de l’école s’est immédiatement « mobilisée. Et avec de bonnes perspectives de réussite. » Comprenons que des subventions publiques supplémentaires ne vont pas tarder.

    http://fr.novopress.info/

  • Faut-il rendre obligatoire la lecture du Coran ?

    Depuis plus de vingt ans, il ne se passe pas de mois sans qu’un pays d’Europe occidentale ne soit la victime d’un attentat islamique contre les biens ou les personnes, les djihadistes ayant pris le relais des assassins de la cause palestinienne des années 1970-90… et l’on n’évoque pas ici les viols des « petits culs blancs » (triste expression, hélas quotidiennement entendue dans les cités françaises et belges à fort taux d’immigration africaine, noire et maghrébine), ces viols qui devraient, par leur fréquence, faire raisonner non plus en mois mais en minutes, à l’échelle européenne.

     

    Pourquoi s’en étonnerait-on ? Depuis les années 1970, l’Europe de l’Ouest et du Nord a recueilli un nombre effarant de sectateurs d’Allah le tout-puissant, à défaut d’être encore le miséricordieux.

    Le 7 janvier 2015, ô stupeur (feinte, du moins pour les politiciens et les responsables de la police et des services de renseignements), les fous d’Allah ont tué des journalistes de la gauche bobo, plutôt du genre canette de bière et sandwich que caviar, mais en ces temps d’austérité hollando-vallsienne, Dame Démocratie et Pucelle Liberté d’expression doivent se contenter de ce qu’on peut leur offrir.

    N’oublions pas que dans la seconde moitié de décembre 2014 (ce n’est pas si éloigné dans le temps), deux fous avaient jeté leur voiture sur un marché de Noël, des « requins vicieux » (autre appellation contrôlée chez les vieux musulmans désabusés) de l’immigration maghrébine avaient volé et violé un couple de retraités juifs et qu’un autre fou d’Allah avait lacéré de coups de couteaux trois policiers tourangeaux au cri d’Allah Akbar ; envoyé au paradis de son dieu, il avait été enterré en grande pompe et avec moult manifestations de colère de parents et d’amis au carré musulman du cimetière municipal de Joué-lès-Tours.

    À l’occasion de l’attentat du 7 janvier, l’on a exhibé devant micros et caméras quelques pitres, venus proclamer que « l’islam est une religion de paix ». Du musulman de base au recteur honoraire de grande mosquée, les rares fidèles qui ont osé s’exprimer sont ainsi venus proférer un énorme mensonge… et l’on comprend le silence embarrassé d’une foule de musulmans « qui n’ont pas voulu s’exprimer » (selon les journalistes) : ceux-là connaissent leur Coran !

    En effet, la lecture du saint Coran, censé avoir été dicté par l’archange Gabriel à monseigneur Mahomet, n’apporte guère d’eau au moulin des fidèles qui clament leur « indignation » de commande, du moins si on lit le saint texte dans la traduction de Kasimirski, revue par Mohammed Arkoun, qui est la plus répandue en Europe francophone… l’arabe n’est guère une langue utile à l’Européen, du moins pour l’instant. Mais ne doutons pas qu’elle ne soit imposée à l’ensemble de la population quand le pays sera régi par la charî’a (la loi coranique). Avec l’invasion musulmane accélérée, qui a commencé l’été de 2015, favorisée par la Chancelière d’Outre-Rhin et le vice-Chancelier européen siégeant à l’Élysée, sur l’ordre du crypto-islamiste de la Maison Blanche, cette charî’a est l’avenir programmé des institutions de la Ripoublique franco-musulmane.

    Pour qui a quelque peu fréquenté le Coran et lu quelques volumes de hadîths, il est évident que pour un authentique muslim (fidèle en la langue du prophète), la Terre se divise en deux parties et seulement deux parties : le Dâr al-Islam (la maison de l’islam) et le Dâr al-Harb (la maison de la guerre). À l’exception des pays majoritairement musulmans d’Europe danubienne : Albanie, Kosovo, Bosnie-Herzégovine et Macédoine (faut-il rappeler que la Turquie n’est pas et n’a jamais été un « pays européen » ?), la France et les pays européens évolués sont situés dans la maison de la guerre sainte ou djihâd.

    Il ne pourra y avoir de paix sur Terre que lorsque tous les membres de tous les peuples seront des fidèles de l’islam. C’est le fondement de cette religion. 

    Effectivement, les hasards de l’actualité font redécouvrir une évidence : l’islam est une religion mâle, dominatrice, conquérante, à l’imitation de son fondateur qui n’a jamais reculé devant le pillage de caravanes ni la commandite d’assassinats, qui a même institutionnalisé la guerre sainte.

    Certes, sourates coraniques et hadîths ordonnent au muslim d’accomplir « le bien », d’être travailleur, modeste, véridique, frugal, honnête etc. Le bon muslim ne s’enivre pas plus qu’il ne commet l’adultère (il peut disposer de ses quatre épouses, quand il le souhaite, en plus de ses esclaves, cf. les sourates 4 et 33). Il doit faire l’aumône et accomplir le pèlerinage de La Mecque. Il n’y a rien à redire à toutes ces recommandations, en notant toutefois deux menus détails : la polygamie n’est pas plus une institution autorisée dans l’Europe moderne que l’esclavage.

    D’autres sourates sont déjà moins agréables pour un Européen. On ne discute pas du Coran avec les infidèles (sourate 6) et l’on ne doit pas contracter de mariage avec un ou une infidèle (sourate 4). Le fidèle ne doit pas « contracter amitié avec le juif et le chrétien » (sourate 5). Enfin, la femme doit être totalement soumise à l’homme (sourates 4, 33) et l’homosexualité doit être considérée comme une infamie (plusieurs sourates le précisent). Selon la charî’a, le voleur doit avoir la main coupée (sourate 5)… après tout, pourquoi pas ?

    Le gros problème est représenté par les très nombreuses sourates vantant la « guerre juste », la « guerre sainte », le djihâd. Car le meilleur fidèle est celui qui meurt en combattant pour défendre ou propager l’islam (sourate 2).

    Selon divers imams, ulémas et autre mollahs qui s’adressent à des Occidentaux, l’islam serait une religion d’amour mutuel. Cette affirmation n’est exacte (à condition, bien sûr, de faire l’impasse sur les haines opposant les membres de sectes rivales) que pour les relations entre fidèles et d’une façon aussi théorique que l’est la pratique de la charité par les chrétiens !

    En revanche, l’islam est une religion de haine vengeresse envers les apostats et de haine conquérante envers les infidèles. Les premiers doivent être exterminés impitoyablement, selon la sourate 4, et bien des internautes ont pu visualiser sur leur canal préféré l’égorgement de musulmans apostats et d’autres infidèles d’ailleurs, selon la technique usitée par les tueurs d’abattoirs pour obtenir la viande halal (la tête de la victime étant tournée vers La Mecque et l’égorgeur récitant des « paroles pieuses »). La seule nouveauté, brevetée « califat nouveau », est l’usage du couteau à céramique : on peut être un tueur djihadiste et apprécier les techniques des « chiens de l’Occident » (autre expression d’appellation contrôlée).

    Par définition, le Djihâd est la guerre pour propager l’islam chez les infidèles (sourate 47) ou le défendre en cas d’agression (sourate 2). Dans la sourate 58, on relève cette forte phrase : « Allah a dit : je donnerai la victoire à mes envoyés ». Dans les sourates 2, 8, 9, 22, 47, 58, 59, 60, 61 le djihâd est présenté comme « bon et juste ». Pour déculpabiliser les rares guerriers qui seraient pris de scrupules d’ordre humaniste, le prophète a dit : « Ce n’est pas vous qui tuez les idolâtres, c’est Allah » (sourate 8, verset 17).

    Le fidèle qui en est physiquement capable doit, en effet, obéir à un ordre aussi formel que simple : « Combats jusqu’à ce qu’il ne subsiste plus d’idolâtre et qu’Allah soit partout adoré » (sourate 8, verset 40). « Faites la guerre à ceux qui ne croient pas en Allah… tuez les idolâtres partout où vous les trouverez » (sourate 9). L’idolâtre est, bien sûr, le fidèle d’une autre religion ou l’athée.

    Les guerriers de l’islam qui meurent au combat ou des suites de leurs blessures sont assurés d’être reçus par Allah en son paradis, quel qu’ait été leur comportement terrestre (sourate 47). Ils ne doivent être ni pleurés, ni regrettés : ce sont des héros qui désormais vivent auprès d’Allah (in sourates 2, 3, 10 et 47). L’homme idéal selon l’islam est, quoi que puissent en dire les imams, ulémas et autres recteurs de mosquées chargés d’anesthésier les populations occidentales, le guerrier d’Allah et non le digne père de famille œuvrant pour nourrir sa famille et améliorer la société. Un hadîth le proclame : « Le sang du héros de l’islam est plus près d’Allah que l’encre des sages ou les prières des fidèles ».

    L’infidèle qui s’oppose au djihâd doit être tué (sourate 47) et sa famille dépouillée de ses biens et réduite en esclavage (sourates 8 et 47). « Quiconque montre de la bienveillance envers un infidèle combattant l’islam est injuste » (sourate 60, verset 9). La véritable paix ne pourra s’établir sur Terre que lorsque tous les humains adoreront Allah et pratiqueront son culte (sourate 47). Dès que les États islamiques sont en position de force, ils doivent proclamer le djihâd pour convertir qui veut l’être, exterminer ou réduire en esclavage qui refuse.

    En résumé, il n’est pas vrai que l’islam soit pacifique par essence, encore moins qu’il soit une religion tolérante, comme certains voudraient nous le faire croire. Il n’est pas faux d’écrire que, depuis le début de l’ère mondialiste et la diffusion des vidéos sur le Net, « le Coran est devenu une arme de destruction massive ».

    Durant les siècles précédents, plutôt que de les tuer, les maîtres de certains pays islamiques (singulièrement ceux de l’Empire ottoman) avaient trouvé plus profitable de laisser en semi-liberté des infidèles, pressurés d’impôts spéciaux, désarmés et publiquement humiliés et méprisés, totalement dépourvus de droits civiques : les dhimmis. Est-on assuré que cette « mansuétude » sera de mise en France (ou en d’autres pays européens) quand, par le mécanisme démocratique de la loi du nombre, une substitution de population majoritaire aura fait de nos pays des États islamiques ?

    Il existe de par le monde 1,3 milliard de musulmans soit un peu plus du cinquième de la population de la planète. La France renferme plus de musulmans que les quatre États musulmans d’Europe danubienne cités plus haut.

    Ce ne sont pas les discours pleurnichards des politiciens et des pitres des media de la société mondialiste qui arrêteront les fous de dieu dans leur délire homicide, pas plus que les milliards d’euros si mal dépensés dans les banlieues et les cités de non-droit n’empêchent les émeutes.

    Il est urgent, pour les Français de souche européenne comme pour tous les Européens autochtones, de lire le Coran, de s’imprégner de ses commandements (et pas seulement de ceux qui préconisent la bonté… entre fidèles).

    Il serait temps de bien connaître cette religion mâle et conquérante, ne serait-ce que pour moins mal voter ou, rêve insensé s’agissant d’une « nation de veaux », pour créer des milices d’autoprotection, dans le cadre d’une authentique « démarche citoyenne », puisque même les policiers, surmenés à force de verbaliser les automobilistes, semblent dépassés par les événements… sans compter que les forces armées, celles de gendarmerie et de police renferment entre 15 et 20 % de musulmans selon les armes et les régions.

    En 1914 et en 1939, la guerre entre Européens était proprement suicidaire. De nos jours, il est devenu évident que s’impose un Devoir d’insurrection, à l’encontre d’un pouvoir veule et laxiste, inepte et profondément corrompu.

    Docteur Bernard Plouvier

    notes

    Pour ceux qui seraient tentés d’aller explorer le sujet, on peut signaler

    * Le Coran, Garnier-Flammarion, 1970

    * A. Bauer, C. Soullez : Violences et insécurité urbaines, PUF, 2010

    * H. Corbin : En islam iranien, Gallimard, 1978

    * É. Darhel : D’une colonisation l’autre. Vers la guerre civile, L’Æncre, 2011

    * B. Davidson : Africa in History, Collier Books, New York, 1974

    * A. Fattal : Le statut légal des non musulmans en pays d’islam, Institut Catholique de Beyrouth, 1958 (disponible dans les bibliothèques des Universités catholiques de France et de Belgique)

    * G. Faye : Avant-guerre. Chronique d’un cataclysme annoncé, L’Æncre, 2002

    * H. de Fersan : Le racisme anti-français, L’Æncre, 1997

    * D. Filkins : La guerre sans fin, Albin Michel, 2008

    * J.J. Matringhem, P. Randa et Coll. : Vers la société multiraciste, Dualpha, 2002

    * J. Minces : La femme voilée. L’islam au féminin, Hachette, 1992

    * N. Multeau : L’islam chez lui chez nous, L’Æncre, 2012

    * J. P. Peroncel-Hugoz : Le radeau de Mahomet, Éditions Lieu Commun, 1983

    * M. Sakhri : Les démons de la foi, Dualpha, 2007

    * H. al-Tourabi : Islam, avenir du monde, Jean-Claude Lattès, 1997 (un livre hallucinant de haine et de fanatisme)

    * L. Uris : The Haj, Bantam, New York, 1985

    * I. Warraq : Pourquoi je ne suis pas musulman, L’Âge d’Homme, Lausanne, 1999

    * M. Wieviorka et Coll. : Violences en France, Seuil, 1999

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuuypukuFpdqLfEAcJ.shtml

  • Oskar Freysinger: « Le multiculturalisme est à la société ce que la partouze est à l’amour »

    Source : Boulevard Voltaire

    Oskar Freysinger, conseiller d’État du Valais et membre de l’Union démocratique du Centre (UDC), répond aux questions de Charlotte d’Ornellas sur l’Union européenne et le système politique de la Confédération helvétique.

    Pour Oskar Freysinger, l’Union européenne est un système bureaucratique, centralisateur, voulu par une élite, éloignée des soucis des citoyens. En contrepoint, la Suisse paraît être un modèle démocratique dont l’Europe pourrait et devrait s’inspirer.

    http://fr.novopress.info/

  • Apprenons à décoder le politiquement correct : la boussole qui nous indique le sud

     Le politiquement correct que nous assène l’oligarchie via les médias de propagande perd chaque jour en crédibilité, comme la novlangue qui lui sert de support. Car les faits sont désormais plus forts que l’idéologie libérale/libertaire/cosmopolite du Système.

     

    Comme en URSS sur la fin, on parle, certes, encore le langage du communisme mais de moins en moins de gens y croient. Car avec le temps on a appris à décoder le sens des mots officiels, c’est-à-dire des mots trompeurs qu’utilise l’oligarchie pour nous cacher la réalité. Il se passe le même phénomène aujourd’hui.

     

    La boussole qui déboussole

    La novlangue politiquement correcte désigne le contraire de ce qu’elle prétend exprimer. Comme l’avait prévu George Orwell dans son roman prémonitoire 1984, en novlangue, justement, « la liberté c’est l’esclavage » : c’est-à-dire que dans l’Océania totalitaire du livre, le ministère de la Vérité désigne liberté ce qui n’est en réalité qu’un terrible esclavage.

    Les formules politiquement correctes nous indiquent donc le contraire de la vérité.

    Il est dès lors très facile de les traduire dans le bon sens. Comme en URSS on avait appris à lire la Pravda à l’envers, ce qui permettait de comprendre ce que voulait cacher le parti.

    A force de contredire l’évidence, le discours politiquement correct est ainsi malgré lui devenu une boussole qui indique le sud. Il suffit de le savoir pour bien l’utiliser.

    Prenons quelques exemples simples

    Ainsi par exemple la formule politiquement correcte en usage dans les années 1990 « le niveau monte à l’école (publique) » signifiait en réalité la baisse catastrophique des performances scolaires, que cherchait à cacher le ministère de l’Education nationale jusqu’à ce qu’elle soit mise en lumière par les tests internationaux comme PISA par exemple.

    De même, la formule « l’euro nous rend plus forts », qui nous a été assenée au moment de la mise en place de la monnaie unique, signifie en réalité : « l’euro nous enferme dans une camisole de force », comme les Grecs viennent d’en faire l’amère expérience.

    La formule « l’immigration est une chance pour la France » (avec sa variante actuelle « les migrants sont une chance pour l’emploi ») signifie donc : « l’immigration est une catastrophe pour la France » ou bien « l’immigration est une chance pour le patronat ».

    Continuons l’exercice

    Si on nous dit que « L’Europe c’est la paix », il faut donc comprendre… l’inverse. C’est la paix, rendue possible par l’équilibre de la terreur entre l’Est et l’Ouest, qui a effectivement permis aux européistes de s’imposer progressivement. Le Machin bruxellois n’y est absolument pour rien : il a seulement profité de la chute de l’URSS.

    Quand on nous vante « la mondialisation heureuse », il faut comprendre que la mondialisation est heureuse pour une minorité de privilégiés et malheureuse pour une majorité de gens.

    Et lorsque vous entendez le ministre de l’Intérieur dire que « les auteurs de ces actes seront poursuivis », il faut comprendre… qu’ils ne seront pas inquiétés.

    A vous de jouer !

    Vous avez compris ? A vous de jouer maintenant, en trouvant la véritable signification des phrases suivantes :

    « Les musulmans sont les principales victimes du terrorisme » : traduisez : …

    « L’islam de France est compatible avec la République » : traduisez : …

    « Il faut accueillir les migrants » : traduisez : …

    « Il faut secourir les naufragés » : traduisez : …

    « Le Traité transatlantique nous assurera une prospérité durable » : traduisez : …

    « La courbe du chômage s’infléchit » : traduisez : …

    Félicitations ! (*) Vous savez maintenant traduire la novlangue politiquement correcte dans le texte.

    Michel Geoffroy 31/10/2015

    (*) Il suffit de se rendre à la Boutique de Polémia, en cliquant sur La Boutique, en haut à droite de la présente page, pour s’initier au « décodage » et découvrir, si ce n’est déjà fait, la littérature qui lui est consacrée.

    http://www.polemia.com/apprenons-a-decoder-le-politiquement-correct-la-boussole-qui-nous-indique-le-sud/

  • Général SOUBELET mis au placard après avoir critiqué la politique de Taubira !

    Consternant ! Il semblerait que la ministre de la Justice Christiane TAUBIRA et le Premier ministre Manuel VALLS n’aient pas apprécié les critiques du Général SOUBELET, numéro trois de la gendarmerie, à l’encontre de la politique pénale, lors de son audition à l’Assemblée nationale. L’homme a été remplacé hier, et mis au placard. Le tort du Général SOUBELET ? Avoir critiqué la politique pénale de Christiane TAUBIRA. On a du mal à en croire ses oreilles ! Soutenez-le, c'est nous qu'il défendait !!! ... Il semble que cela doit circuler car n'est-ce pas ce que nous subissons tous les jours ? Voilà ce qui explique parfaitement les résultats tronqués des chiffres de la délinquance en France. Voici la vidéo très courte mais tellement édifiante du général 4 étoiles de la Gendarmerie Nationale qui n'a fait que dire une vérité flagrante sur la politique en matière judiciaire. Parce qu'il a eu le courage de dire la vérité, le Général SOUBELET vient d'être limogé de son poste par le pouvoir actuel. Si vous soutenez le Général SOUBELET, transmettez ces vidéos à vos amis afin qu'ils entendent eux aussi ces vérités.

     


      
  • J’ai fait un rêve : un nouveau président règle le problème de l’immigration par Henry DE LESQUEN

    Je ne me prends pas pour Martin Luther King. Mais j’ai fait un rêve : les Français avaient élu à la tête de l’État un homme qui partageait nos convictions. Et je voudrais vous raconter ce qui s’est passé dans mon rêve.

    Premier acte : réforme de la constitution

    Dès qu’il prend ses fonctions, le nouveau président désigné par le destin pour sauver la France entreprend de grandes réformes pour régler le problème de l’immigration dans des conditions moralement et humainement irréprochables, comme le dit la devise de l’association Voix des Français (www.vdfr95.com). Son premier acte est de modifier la constitution par référendum pour que le peuple français recouvre l’exercice de la souveraineté. 

    D’abord, il est stipulé que la loi française l’emporte sur les dispositions des traités et les normes du droit international, fût-il européen. Il n’est donc plus question que nos lois subissent la censure de la Cour de justice de l’Union européenne ou de la Cour européenne des droits de l’homme. Tout juge qui prétendrait le contraire se rendrait coupable de forfaiture, crime qui est réintroduit dans le code pénal.

    Ensuite, l’usage du référendum est consacré et généralisé. Toute loi votée par le Parlement peut être soumise à référendum par le président de la République. Un référendum d’initiative populaire a lieu pour toute proposition de loi présentée par 1 % du corps électoral.

    Il est expressément stipulé que la loi adoptée par référendum ne peut être censurée par le conseil constitutionnel ni par aucun autre juge, puisqu’elle émane directement du peuple.

    Enfin, toute décision du Conseil constitutionnel peut être cassée ou réformée par décision du président de la République, lequel soumet sa décision à l’approbation du peuple par référendum ou à celle du Parlement réuni en congrès et votant à la majorité qualifiée. 

    Second acte : grande loi sur l’immigration

    Le second acte du président de la République est de soumettre au peuple, par un nouveau référendum, une grande loi sur l’immigration, qui comporte huit volets.

    Primo, la législation antiraciste est abrogée en vue de rétablir non seulement la liberté d’expression, mais aussi l’indispensable liberté de discrimination.

    Secundo, la préférence nationale est instituée dans tous les domaines : emploi, prestations sociales, logement…

    Tertio, les contrôles aux frontières sont rétablis, le traité de Schengen dénoncé. 

    Quarto, le droit de la nationalité est réformé, pour que ne subsistent plus que deux voies d’accès à la nationalité française : le jus sanguinis, droit du sang, pour les enfants de parents français; et la naturalisation par décret après vérification de l’assimilation du candidat. Les autres modes d’attribution ou d’acquisition de la nationalité française sont abrogés. En outre, le gouvernement est chargé de réexaminer le statut des millions de Français de papier et invité à les déchoir de la nationalité française en cas d’indignité, de binationalité ou de défaut d’assimilation.

    Quinto, le droit de séjour des étrangers est réformé. Ceux-ci sont tous tenus de demander une autorisation de séjour, qui leur est accordée discrétionnairement par l’administration et pour un temps déterminé, lequel ne peut dépasser cinq ans, et qui est révocable ad nutum. Toutes les dispositions qui faisaient obligation à la France de recevoir un étranger sont déclarées nulles et non avenues, sans exception, notamment le droit d’asile et le regroupement familial, mais aussi les règles de l’Union européenne dont bénéficient les ressortissants de pays membres, comme les Romanichels venus de Roumanie ou d’ailleurs.

    Sexto, tout étranger à qui une autorisation de séjour a été accordée peut être expulsé à tout moment de France par simple arrêté préfectoral, lequel met fin de plano à l’autorisation. Cet arrêté est un acte de gouvernement qui ne peut être contesté devant les tribunaux. Celui qui n’est pas parti de lui-même dans le délai fixé par l’arrêté devient un immigré illégal et il est traité en tant que tel.

    Septimo, les immigrés illégaux, autrement dit les étrangers qui séjournent en France sans autorisation, sont réprimés sans faiblesse. Ces prétendus « sans-papiers » sont déjà des délinquants passibles d’un an de prison en vertu de la loi qui était en vigueur avant l’élection du nouveau président (article L. 621-2 du Code des étrangers), mais celle-ci est renforcée : la peine de prison s’applique désormais à tous les cas, elle est portée à deux ans en cas de récidive et peut être assortie de la confiscation des biens. Les immigrés illégaux ne sont pas poursuivis, sauf exception, à la première interpellation, mais mis en détention administrative avant d’être expulsés manu militari ou relégués en Guyane si aucun pays n’accepte de les accueillir. Condamnés par le tribunal correctionnel, ils sont effectivement emprisonnés s’ils récidivent en revenant en France et sont ensuite expulsés après avoir exécuté leur peine de prison.

    Octies, les immigrés illégaux ne bénéficient plus d’aucune aide. Ces hors-la-loi ne peuvent plus recevoir la moindre aide publique, sous quelque forme que ce soit (allocations, logement, école, soins…). L’aide médicale d’État est supprimée. En outre, les dirigeants d’association, les chefs d’entreprise et tous ceux qui fournissent un emploi, un logement ou une assistance quelconque à un immigré illégal, ne serait-ce qu’en s’abstenant de le dénoncer à la justice, sont systématiquement poursuivis par le procureur de la République au titre de l’article L. 622-1 du Code des étrangers, qui prévoit une peine de cinq ans de prison, étant précisé que les exceptions instituées à  l’article L. 622-4 sont abrogées, ou au titre de l’article 434-4 du Code pénal qui punit de trois ans de prison le recel de preuves.

    Départ de deux millions d’immigrés en cinq ans

    Les progrès sont alors très rapides sur le front de l’immigration. Les immigrés illégaux sont nombreux à quitter la France d’eux-mêmes, n’y trouvant plus ni assistance ni emploi ni logement. Les autres sont expulsés.

    Les immigrés en règle sont obligés de s’en aller quand leur autorisation de séjour est expirée ou si elle est rapportée. Sinon, ils rejoignent les rangs des immigrés illégaux, avec toutes les conséquences que cela implique. 

    Grâce à cette politique de salut public, le nouveau président réussit à faire partir de France deux millions d’immigrés en cinq ans. Le rêve !

    Henry de Lesquen, président du Carrefour de l’Horloge

    (ancien Club de l’Horloge)

    • Une première version de cet article a été publiée dans La Voix des Français, n° 128, novembre 2010, et depuis mis en ligne sur Carrefour de l’Horloge.

    http://www.europemaxima.com/?p=4555

  • Regard sur les banlieues : le basculement vers la question identitaire

    Source : The Conversation 
    « La question des “banlieues”, du récit social à la crise identitaire », du professeur François Dubet est un texte intéressant à plus d’un titre. Il pose un certain nombre de constats, comme la montée de l’islamisme comme marqueur identitaire des banlieues, mais aussi le changement de regard qui est porté sur ses populations. D’un problème social, la question des banlieues est devenu identitaire et a grandement contribué à mettre l’identité nationale au cœur du débat social et politique. Bien qu’il doive être nuancé sur plusieurs points, il mérite le détour pour son approche globalement honnête de la question… à la différence des outrances d’un Thomas Guenolé que nous évoquions hier.

    […]
    En fait, tout se passe comme si ce récit « social » du problème des banlieues ne fonctionnait plus, comme s’il fallait désormais raisonner en termes d’identité, de culture et de religion, bien plus qu’en termes de catégories et de conditions sociales. Le regard porté sur les banlieues, avec tous les stigmates et les discriminations qu’il engendre, est le symptôme d’une mutation qui concerne moins les banlieues elles-mêmes que la société dont elles font partie.

    Les jeunes des banlieues étaient d’abord perçus comme les victimes d’une crise économique et comme une « classe dangereuse » trouvant dans la délinquance et la violence des substituts à l’emploi dont ils étaient privés. Aujourd’hui, cette image est remplacée par celle de l’Islam, non pas comme revendication d’un droit à une identité religieuse dans une société laïque, mais comme une menace contre l’identité nationale identifiée à une laïcité dont l’extrême droite devient la championne contre toute sa tradition politique. Ce basculement d’un problème social vers un problème national identitaire a fini par s’imposer.
    […]
    Bien sûr, tous les citoyens français ne pensent pas ainsi, mais le cœur du débat public est devenu celui de l’identité nationale. La gauche n’est plus sur son terrain, celui des problèmes sociaux, et les banlieues deviennent l’enjeu d’une crise qui les déborde de toute part. Symptômes d’une crise économique, les banlieues seraient devenues le symptôme d’une crise de la nation. Dès lors, le rejet, les discriminations et les replis identitaires ont de beaux jours devant eux. un problème national identitaire a fini par s’imposer.

    http://fr.novopress.info/194331/regard-les-banlieues-basculement-vers-question-identitaire/

  • Des réactions européennes face à l’immigration-submersion ?

     Au cours des mois passés on a pu croire, à lire et à entendre les médias de propagande, que la masse de la population européenne était favorable à l’ouverture des frontières et à l’accueil sans restriction de réfugiés dont pourtant une grande partie est constituée de migrants économiques africains. Apparemment ce n’est plus le cas et il apparaît que les nations et les peuples européens prennent conscience de ce qui se passe et réagissent.

    C’est le cas en Pologne où la droite anti-immigrationniste a conquis la majorité absolue aux élections législatives avec un programme d’immigration zéro. Aussi bien en Autriche qu’en Suisse les partis nationaux et hostiles à l’invasion migratoire progressent dans les diverses élections. En Autriche, en Suède ou en Allemagne des mesures restrictives sont prises comme l’érection d’une barrière à la frontière de la Slovénie.

    Face à l’immigration-submersion et au désordre qu’elle entraîne dans la plus grande partie de l’Europe on n’avait noté jusqu’à ces jours-ci que la lâche complaisance des grands gouvernements européens et de l’Union européenne menée par le fraudeur fiscal international Juncker.

    Il est loisible de constater que, de manière très récente, des nations européennes relèvent la tête, soit grâce à des votes populaires, soit par des restrictions au déferlement actuel.

    Pologne : Le vote conservateur et anti-immigration

    La Pologne est un très grand pays, non par sa surface, son poids économique ou sa place internationale mais par son histoire faite de résistance aux oppressions et de résilience face aux malheurs, aux désastres militaires et à toutes les entreprises de destruction de cette nation. Les Polonais sont les détenteurs d’une grande culture de l’Europe, mais surtout ils sont fous, fous de courage. Leurs vertus et leur foi catholique ont grandement pesé dans la défaite du communisme dont Jean Paul II, évêque de Cracovie, et Lech Walesa ont été les grands artisans avec Soljenitsyne et Ronald Reagan. Vont-ils prendre une part aussi importante dans la résistance contre la tyrannie mondialiste qui s’est abattue sur l’Europe et l’invasion migratoire ?

    En tout cas les élections qui se sont déroulées en Pologne ce week-end semblent le confirmer.

    Le parti conservateur eurosceptique, anti-immigration et pro-américain Droit et Justice (PiS) de Jaroslaw Kaczynski a obtenu la majorité absolue aux élections législatives polonaises avec 40% des voix et une majorité estimée de 240 sièges sur 460. Le parti libéral au pouvoir, qui avait accepté de faire des compromis sur les quotas imposés par l’Union européenne, est écrasé. La gauche est éliminée pour la première fois depuis la chute du régime communiste en 1989, ce qui ne peut que nous réjouir et nous faire envier les Polonais. J’ai pris une bonne résolution : j’irai brûler un cierge à la Vierge de Czestochowa.

    Il est intéressant de présenter les points du programme de Droit et Justice susceptibles de nous intéresser :

    -Immigration zéro concernant les musulmans clandestins.

    –La Pologne est candidate à la monnaie unique sous l’impulsion de l’actuel président polonais du Conseil européen Donald Tusk. Le nouveau président Andrzej Duda a exclu toute adhésion à la zone euro sous son mandat présidentiel. Les pouvoirs que confère la constitution polonaise ne permettent pas au président de s’opposer à l’adhésion. C’est l’une des raisons de l’extension des pouvoirs du président incluse dans le programme de Droit et Justice. Cela montre la nécessité de modifier les règles de droit si un pays veut recouvrer sa souveraineté.

    –Suppression du modèle commun d’éducation de l’Union pour le cursus scolaire. Libre choix des parents de mettre ou non leurs enfants à l’école à 6 ans ou à 7 ans. La religion devrait pouvoir être une matière du bac.

    -Pour ce qui concerne la politique économique le programme du PiS souhaite réindustrialiser et repoloniser l’industrie : taxation des supermarchés et des banques avec une préférence nationale, pour redynamiser les petites entreprises. Taxation des institutions financières et renationalisation de certaines banques. Contrôle renforcé sur les entreprises partiellement publiques. Le PiS envisage une baisse de l’impôt sur les sociétés de 19 à 15%.

    –Le PiS souhaite protéger strictement les propriétés polonaises, notamment agricoles, contre les achats par les étrangers comme la Chine, le Qatar, l’Arabie Saoudite en France.

    –Refus de tout transfert de souveraineté supplémentaire à Bruxelles.

    En revanche le PiS va coller encore plus aux USA dans son aversion à l’égard de la Russie. Il souhaite renforcer son appartenance à l’OTAN et la présence de troupes américaines sur le sol polonais et, selon Médias-Presse–Infos, assumer complètement sa soumission à l’ordre mondial américain en matière de défense.

    Suisse : La droite anti-immigration a remporté les élections législatives

    Le parti de droite suisse, l’Union démocratique du centre (UDC), résolument anti-immigration et anti-Union européenne, a enregistré aux élections au Conseil national du 18 octobre dernier une progression qui la conforte comme le premier parti de la Confédération helvétique.

    L’UDC gagne 11 élus, avec au total 65 représentants sur les 200 du Conseil national. Elle fait mieux que son meilleur score en 2007. Dans la chambre sortante élue en 2011, l’UDC occupait 54 sièges.

    Ce virage à droite se fait au détriment des petits partis du centre et des deux principales formations écologistes qui perdraient au total 11 sièges.

    L’UDC a choisi comme slogan « Rester libres ». En février 2014, ce parti avait marqué avec le succès de son référendum contre « l’immigration de masse », pour imposer des quotas aux ressortissants de l’UE de plus en plus nombreux à venir travailler en Suisse.

    Alors que la Suisse est pour le moment relativement épargnée par la vague de migrants arrivant en Europe, un sondage a révélé que pour près d’un Suisse sur deux (48%) les questions de l’asile et de l’immigration constituent la priorité.

    Suède : La Suède durcit sa législation sur l’immigration

    Alors que la Suède a toujours été en pointe en matière d’accueil de migrants, les autorités ont engagé un durcissement de la législation sur l’immigration.

    Avec près de 2000 arrivants par jour, la Suède, pays de près de 10 millions d’habitants, fait face à un afflux de réfugiés qu’elle a du mal à gérer. Les prévisions chiffrées de l’Office suédois de l’immigration tablent sur une arrivée de 190.000 personnes pour l’année 2015, soit l’équivalent de ce que serait pour la France l’arrivée de 1.200.000 personnes.

    Les autorités ont donc pris des mesures visant à rendre leur pays moins attractif pour les réfugiés.

    La Suède prévoit en particulier de mettre en place un permis de séjour temporaire de trois ans au lieu du permis permanent actuellement en vigueur. Cette mesure ne concerne toutefois pas les familles avec enfants.

    Cette décision représente un signal fort qui se veut limitatif pour les réfugiés. Selon Le Monde : « Il incarne aussi une sorte d’appel à l’aide pour le reste de l’Europe avertissant ainsi que la Suède n’est plus en mesure de gérer correctement l’accueil des migrants ».

    Clairement les limites des possibilités d’accueil de ce pays généreux, trop peut-être lorsque l’on pense aux dérives sécuritaires qu’il connaît, sont atteintes à un point tel que le manque crucial de centres d’hébergement contraint déjà certaines communes à installer les migrants sous des tentes.

    Par ailleurs, selon RTS, la Suède connaît une vague d’incendies de centres d’accueil pour réfugiés. Depuis le 1er janvier, une quinzaine de sinistres ont détruit ou endommagé des centres d’accueil et des appartements dans lesquels vivent des migrants. Dans une dizaine de cas l’origine est volontaire, signe de la résistance et du rejet des demandeurs d’asile par une partie des Suédois.

    Ainsi la Suède, pays plutôt calme d’habitude, connaît aujourd’hui surcharge migratoire et protestation violente.

    Allemagne : En Allemagne, la protestation devient véhémente avec PEGIDA et le gouvernement légifère dans l’urgence

    Selon Médias-Presse-Infos, environ 15000 partisans de PEGIDA, à la pointe du mécontentement contre l’afflux de réfugiés en Allemagne, ont une nouvelle fois manifesté à Dresde le 26 octobre 2015. La semaine précédente, à l’occasion du premier anniversaire de la fondation de ce mouvement, ils étaient plus de 20.000.

    Il convient de souligner que les commentaires journalistiques ont stigmatisé les grandes croix lumineuses qui ont éclairé l’immense cortège comme symboles d’une Allemagne chrétienne qui rejette l’invasion musulmane. Quel symbole ! Ainsi le gouvernement allemand doit compter avec une opinion allemande de plus en plus inquiète et qui réclame désormais majoritairement davantage de fermeté aux frontières.

    Dans l’urgence, l’Allemagne a mis en application, dès le samedi 24 octobre, une loi durcissant les conditions du droit d’asile :

    -La loi prive les ressortissants de trois pays des Balkans  (Albanie, Montenegro et Kosovo), désormais considérés comme « sûrs », du droit d’asile en Allemagne.

    -De nombreuses prestations en argent liquide pour les demandeurs d’asile seront remplacées par des allocations en nature afin de rendre l’arrivée en Allemagne moins attractive pour les migrants.

    -Enfin, l’Allemagne annonce que les procédures d’expulsion pour les demandeurs déboutés seront accélérées.

    Autriche : Percée de la droite anti-immigrationniste dans une élection régionale et construction d’une barrière

    Le FPÖ (Parti autrichien de la liberté) a réalisé une percée dans une élection régionale en Haute-Autriche le dimanche 27 septembre. Il obtient environ 30% des voix, doublant son score du scrutin précédent sur fond de crainte face à la crise migratoire. Les chrétiens-démocrates (ÖVP) conservent leur première place, avec 36% des suffrages, mais accusent une perte de plus de 10 points.

    A Vienne, le 11 octobre, la liste de la droite anti-immigrationniste a recueilli 32% des voix, en progression de plus de six points, derrière le maire sortant social-démocrate dont le parti s’est adjugé 39% des suffrages mais qui perd presque cinq points par rapport à la dernière élection, en 2010.

    L’Autriche voit quotidiennement l’arrivée sur son sol de milliers de migrants originaires du Moyen-Orient, dont la plupart continuent leur route vers l’Allemagne ou les pays du nord de l’Europe. C’est pourquoi elle prend des dispositions face à la crise des migrants.

    La ministre de l’Intérieur autrichienne a annoncé ce mercredi 28 octobre que son pays s’apprête à construire une barrière à sa frontière avec la Slovénie afin de contrôler le flux de migrants. Selon elle, « Ces dernières semaines des groupes de migrants se sont montrés plus impatients, agressifs et émotifs » et « il s’agit de prendre toutes les précautions ».

    Conclusion

    Au cours des mois passés on a pu croire, à lire et à entendre les médias de propagande, que la masse de la population européenne, dans des élans de générosité béate, plaidait pour l’ouverture des frontières et l’accueil sans restriction de réfugiés dont pourtant une grande partie est constituée de migrants économiques africains. Apparemment ce n’est plus le cas et il apparaît que les nations et les peuples européens prennent conscience de ce qui se passe et réagissent.

    Ces événements très récents constitueraient-ils le début d’un retournement ? Ce n’est pas encore certain. Il n’en demeure pas moins que ce qui s’est passé apparaît très important et mérite d’en connaître les suites et les conséquences.

    André Posokhow, Consultant pour Polémia, 28/10/2015

    http://www.polemia.com/des-reactions-europeennes-face-a-limmigration-submersion/

  • Entretien avec les auteurs du livre «L’islam dévoilé»

    Source : Poste de Veille
    Un entretien particulièrement clair et bien argumenté sur l’islam, donné à nos confrères canadiens de Poste de Veille. A lire d’urgence !

    Les auteurs du livre “L’islam dévoilé”, Claude Simard* et Jérôme Blanchet-Gravel*, ont bien voulu répondre aux questions de Rachid Bandou. Entretien sans langue de bois.

    Rachid Bandou : Quelles sont les raisons qui ont motivé votre décision d’écrire sur l’islam et non sur une autre religion ?
    Claude Simard et Jérôme Blanchet-Gravel : Nous nous intéressons depuis plusieurs années au phénomène religieux et à la question corollaire de la laïcité. L’un de nous, Jérôme Blanchet-Gravel, a d’ailleurs entrepris des études de doctorat en sciences des religions. Le religieux est une dimension qui a marqué et qui marque encore les sociétés humaines. Bien que l’Occident se soit sécularisé à partir du XVIIIe siècle, les schèmes de la pensée religieuse influencent encore les idéologies qui y ont cours, même celles qui se veulent les plus progressistes, comme le montre le dernier livre de Jérôme Le retour du bon sauvage : la matrice religieuse de l’écologisme, qui vient d’être publié aux éditions du Boréal.

    Nous nous sommes particulièrement intéressés à l’islam, en raison de sa place et de son rôle prépondérants dans l’actualité nationale et internationale. Une bonne partie des grandes questions qui agitent aujourd’hui le monde sont liées à l’islam en tant que système politico-religieux. Pensons seulement à la crise du Moyen-Orient, à l’insoluble conflit israélo-palestinien, aux suites du Printemps arabe, aux problèmes d’intégration des immigrants musulmans en Europe et en Amérique du Nord, au terrorisme islamiste, etc.

    Si nous avons voulu écrire un livre sur l’islam, c’est surtout pour aider nos concitoyens à mieux comprendre les enjeux actuels que posent la doctrine et les pratiques islamiques. Les Québécois, comme les autres Occidentaux, ne connaissent guère la religion musulmane, et malheureusement les médias ne leur permettent pas d’acquérir des connaissances exactes sur cette religion. Nous avons voulu en quelque sorte combler ce vide.

    Rachid Bandou : Pourquoi l’Islam dévoilé ? Est-ce parce que les tenants et les promoteurs de cette religion ne veulent pas, pour des raisons données, dévoiler sa véritable nature mais que vous vous voulez faire connaitre au grand public ?
    Claude Simard et Jérôme Blanchet-Gravel : Le titre de notre ouvrage nous a été fourni par notre éditeur lui-même, Karim Akouche. Nous l’avons tout de suite adopté parce qu’il traduit bien notre intention, celle de dévoiler au grand public la véritable nature de l’islam.

    L’islam est ambivalent et plein de contradictions. Bien des promoteurs de cette religion comme Tariq Ramadan exploitent cette ambivalence en présentant la religion musulmane seulement de façon positive et en taisant sciemment ses aspects sombres, afin notamment de la faire accepter par les Occidentaux, qui, comme il vient d’être dit, sont particulièrement vulnérables et crédules à cause de leur ignorance face à l’islam. Les défenseurs de l’islam iront jusqu’à mentir ou à diffuser des demi-vérités pour promouvoir leur religion, en conformité avec la règle coranique de la taqiya. Par exemple, Tariq Ramadan ne cesse de répéter dans les médias européens où il est souvent invité que, selon le Coran, le djihad est avant tout une quête spirituelle, une lutte sur soi en vue d’atteindre une vie plus vertueuse, alors que c’est totalement faux, puisque le Coran décrit avant tout le djihad comme une guerre sainte à mener contre les infidèles. Tariq Ramadan avance tout aussi effrontément que, selon les préceptes de l’islam, le djihad guerrier doit être mené uniquement à des fins défensives, jamais à des fins offensives, ce qui est encore totalement faux puisque l’histoire montre que l’islam s’est répandu dans le monde principalement au fil de l’épée.

    Nous sommes donc convaincus qu’il convient de rétablir les faits et de dénoncer les dérives réelles de l’islam.

    Rachid Bandou : On parle également d’un islam à deux visages. Celui de la Mecque décrit par les uns comme une religion qui prône la tolérance, la cohabitation et la paix et celui de Médine qui prêche tout le contraire. Est-ce qu’on retrouve ces deux faces dans votre livre ?
    Claude Simard et Jérôme Blanchet-Gravel : Nous n’avons pas insisté sur le côté supposément bienveillant de l’islam. Nous avons plutôt fait une critique en règle de cette religion en insistant sur son côté malsain, imprégné d’intolérance et d’agressivité.
    Dans la partie qui analyse le Coran, nous introduisons évidemment la distinction entre les sourates mecquoises, plus modérées, et les sourates médinoises, franchement violentes et sectaires. Nous rappelons à ce propos la règle de l’abrogation, qui accorde préséance aux versets plus tardifs sur les versets antérieurs, ce qui nous amène à faire comprendre que les versets mecquois, plus anciens, sont le plus souvent annulés par les versets médinois, et qu’en conséquence le message coranique relève avant tout de l’esprit médinois, c’est-à-dire de l’époque où Mahomet a délaissé la prédication spirituelle pour devenir un chef militaire cherchant à imposer sa religion par le cimeterre.

    Rachid Bandou : Dans l’histoire de toutes les religions et croyances de la planète c’est toujours le visible, incarné par le fidèle, qui offre ses prières à l’invisible incarné par le divin. Directement ou à travers un symbole qui représente ce dernier. Sauf dans l’islam où c’est plutôt Dieu l’invisible, que personne n’a jamais vu, qui s’agenouille pour prier sa créature la plus préférée qu’est son prophète Mahomet. D’ailleurs, la phrase « Salla Allahou aalayhi wa sallem », qui accompagne le nom du Prophète et qui signifie en arabe que c’est ce dernier qui offre ses prières à Mahomet, le montre clairement. Mahomet est-il plus important qu’Allah ? Pourquoi mentir sur le véritable sens de l’invocation qu’on traduit à tort par « Que le Salut soit sur Lui» ? Pourquoi cette ruse : un discours qui respecte la raison, conçu pour les lecteurs occidentaux, et un autre qui la défie en divinisant le prophète, conçu pour les fidèles du monde musulman ?
    Claude Simard et Jérôme Blanchet-Gravel : Les musulmans se livrent effectivement à une forme d’idolâtrie à l’égard de leur prophète. Le premier chapitre de notre livre résume la vie et la personnalité du fondateur de l’islam, et met en évidence le poids considérable qu’accordent les musulmans au personnage de Mahomet.

    Il est clair que, dans la religion musulmane, Mahomet a autant sinon plus d’importance qu’Allah. S’attaquer à ce personnage sacré est même passible de la peine de mort ! Les adeptes de l’islam, sans le déclarer officiellement, voient Mahomet comme les chrétiens voient Jésus, c’est-à-dire comme un homme qui transcende l’humanité et accède à la divinité (il serait d’ailleurs monté au ciel de son vivant et aurait discuté avec Allah lui-même). Mais leur monothéisme strict (« Il n’y a de divinité qu’Allah », stipule impérativement la chahada) les empêche, non seulement face aux occidentaux mais aussi face à eux-mêmes, d’avouer qu’ils ont divinisé le personnage de Mahomet. C’est là une des autres grandes contradictions de l’islam que les adeptes de cette religion s’efforcent de tenir tacite.

    Rachid Bandou : L’écrivaine de confession musulmane Irshad Manjy dit dans son livre Musulmane mais libre que la plupart des musulmans de la planète ne comprennent pas ce qu’ils disent lorsqu’ils récitent les versets coraniques car descendants de peuples non arabes, non musulmans mais arabisés et islamisés au sabre par les conquérants mahométans au fil des siècles comme par exemple la majorité des peuples nord-africains qui sont d’origine berbère. Qu’en pensez-vous ?
    Claude Simard et Jérôme Blanchet-Gravel : Nous souscrivons à cette analyse. Dans notre livre, nous rappelons que la très grande majorité des musulmans ne sont ni de culture ni de langue arabe. L’arabe est la langue liturgique de l’islam comme le latin l’était pour les catholiques jusqu’à Vatican II. De même que les catholiques ne comprenaient pas les prières qu’ils récitaient en latin, de même l’ensemble des musulmans ne comprennent pas les versets du Coran ni les hadiths de la Sunna (qui sont d’une lecture encore plus complexe en raison de la règle de l’authenticité des garants). En fait, on observe dans l’islam, comme dans les autres religions, que la foi des fidèles est affaire de croyances naïves qui s’imposent sous la force du conformisme ambiant. Les musulmans répètent ce que l’on dit de répéter. La liberté de pensée n’existe pas chez bon nombre d’entre eux.

    Rachid Bandou : Vous avez, dans votre livre, cité en exergue Ferhat Mehenni, auteur et actuel président du Gouvernement provisoire kabyle, qui disait que « l’islam c’est l’intégrisme au repos, et l’intégrisme c’est l’Islam en action. » Est-ce que le message que vous voulez transmettre au public à travers votre livre calque sur ces propos ?
    Claude Simard et Jérôme Blanchet-Gravel : Oui, cette phrase de Ferhat Mehenni résume bien l’essentiel du message que nous voulons transmettre à nos lecteurs. C’est une curieuse coïncidence que vous nous amenez à relever de constater que la phrase que nous avons mise en exergue de notre livre vient d’un kabyle militant qui lutte en tant qu’artiste et homme politique contre l’impérialisme arabo-musulman et que notre livre a été édité également par un écrivain kabyle, notre ami Karim Akouche, qui défend avec conviction et courage son peuple et sa culture d’origine.

    L’islam contient, dans ses fondements mêmes, dans son histoire, dans ses mythes, tous les germes de la violence qui déferle actuellement sur le monde entier, et particulièrement dans l’espace musulman. Ses archétypes renvoient à une religion fondamentaliste sectaire qui entend s’imposer à l’ensemble de l’humanité, par la force si nécessaire. Son dieu Allah est présenté par le Coran comme un être vengeur qui désire soumettre l’humanité à sa loi par la peur et la menace incessante de châtiments aussi bien ici-bas que dans l’au-delà. Son fondateur Mahomet est décrit par la tradition musulmane comme un farouche guerrier qui n’hésite pas à piller et à massacrer au nom de la parole supposément infaillible et éternelle d’Allah. Depuis le XIIe siècle, on pourrait même dire depuis son origine au VIIe siècle, l’islam s’est figé dans l’immobilisme et l’absolutisme idéologiques. De leur côté, les musulmans pratiquants partagent une foi de charbonnier qui les aveugle. Ce qui est tragique dans leur cas, c’est que l’enracinement dans leur religion est si fort qu’ils ont tendance à sombrer rapidement dans le fanatisme. On pourrait dire qu’ils sont encore dans l’état d’esprit où les chrétiens se trouvaient lorsqu’ils s’entretuaient en Europe durant les guerres de religion du XVIe siècle.

    Rachid Bandou : Lors de la dernière campagne électorale fédérale et pour des raisons bassement électoralistes nous avions vu des leaders politiques, tels Justin Trudeau et Thomas Mulcair, faire campagne dans des mosquées montréalaises, voire même côtoyer des dirigeants d’organisations religieuses pourtant identifiées comme étant des satellites de l’islamisme international. Ne pensez-vous pas que les islamistes se servent de ces politiciens victimes du syndrome de l’angélisme pour défier les valeurs de notre société en faisant ici même au Québec ce qu’aucun leader religieux non musulman n’oserait faire dans son lieu de culte ?
    Claude Simard et Jérôme Blanchet-Gravel : Nous déplorons comme vous l’angélisme de la plupart de nos politiciens et aussi de nos journalistes, d’ici comme d’ailleurs, qui se veulent si ouverts à la différence culturelle qu’ils en arrivent à cautionner tous les excès des autres cultures et à déconsidérer, voire à mettre en péril, leur propre culture ainsi que la sécurité et la liberté de leurs propres concitoyens. Malheureusement cette bien-pensance liberticide et suicidaire continuera au Canada à servir l’islamisme avec l’arrivée au pouvoir d’un adepte du multiculturalisme, Justin Trudeau.

    Rachid Bandou : Dans votre ouvrage, vous traitez non seulement de l’islam mais également de la question multiculturaliste. Quel est le lien entre ces deux idéologies ? Leur connivence est-elle une menace pour la démocratie ?
    Claude Simard et Jérôme Blanchet-Gravel : Le multiculturalisme est sans doute le principal moyen dont se sert l’islamisme pour avancer dans les sociétés occidentales. Cette idéologie politique, qui domine actuellement dans les pays occidentaux dont le nôtre, conçoit un pays comme la juxtaposition de différentes cultures ayant toutes le même statut et jouissant toutes des mêmes protections de l’État. Ce différentialisme exacerbe le pluralisme ethnoculturel et ethnoreligieux au point de favoriser le communautarisme et le repli identitaire en acceptant toutes les réclamations des diverses communautés immigrantes, dont spécialement celles de la communauté musulmane, qui est sans doute la plus revendicatrice. On en arrive même à cautionner officiellement des pratiques tout à fait contraires aux valeurs défendues depuis longtemps dans les sociétés d’accueil. L’acceptation du voile islamique en est l’exemple emblématique : symbole on ne peut plus misogyne, il est pourtant cautionné par la plupart des politiciens des grands partis canadiens, et même par des féministes supposément affirmées… Voilà le monde dans lequel nous évoluons aujourd’hui : un monde à l’envers, aveuglément libéral, dans lequel s’infiltre aisément et s’impose sournoisement l’islam !

     

    *Claude Simard est professeur retraité de l’Université Laval. Jérôme Blanchet-Gravel est candidat au doctorat en science des religions à l’Université Laval.

    http://fr.novopress.info/194419/entretien-les-auteurs-du-livre-lislam-devoile/#more-194419

  • Banlieues: Guénolé, le mystificateur ridicule

    Les 10 ans des émeutes de 2005 sont l’occasion de sortir études sociologiques et autres essais sur le phénomène des banlieues. Celui de Thomas Guénolé frappe particulièrement fort. « Les jeunes de banlieue mangent-ils les enfants ? » explique benoîtement que de la délinquance à l’islamisation, de la fraude sociale au trafic de drogue, tout est faux, tout est fantasmé, « Un monstre créé pour effrayer le bourgeois ». À ce niveau, il vaut mieux en rire.

    La Tribune de Genève a complaisamment interviewé Thomas Guénolé à propos de son dernier ouvrage « Les jeunes de banlieue mangent-ils les enfants ? ». Poussant à son paroxysme l’argumentaire sur le « sentiment d’insécurité » qui ne serait pas réel, le « politologue » étale une thèse qui prêterait à rire si elle n’était prise au sérieux et relayée par une partie des médias officiels : le « jeune de banlieue » est une mystification, conçue (par qui ? on ne sait) pour faire peur.

    Le cliché véhiculé dans notre société sur le monstrueux jeune-de-banlieue demeure le même. C’est un jeune grand gaillard noir ou arabe, musclé, sauvage, qui va violer votre femme, brûler votre voiture, voler votre bien, vendre de la drogue à vos fils, et partir faire le djihad – après avoir fraudé les aides sociales et pillé un petit commerce.

    Il tire la corde de son argumentaire jusqu’à la rupture, expliquant que le cliché est né de la généralisation abusive de quelques cas à toute une population, ne se rendant même pas compte qu’il applique le même raisonnement à l’inverse, faisant de tous les jeunes de banlieue de braves petits, victimes de «balianophobie» et de discriminations policières « sur fond de contrôle au faciès » et d’apartheid social

    Manuel Valls a eu raison de parler d’un apartheid en France. Il y a effectivement dans notre pays un système complet de ségrégation économique, sociale, éducative et culturelle, qui enferme les jeunes de banlieue tout en bas de la pyramide sociale française ; tout particulièrement quand ils n’ont pas la peau blanche.

    Si les difficultés d’intégration sociale et dans le monde du travail sont incontestables pour les chéris de Guénolé, que dire de leur propre responsabilité dans ces difficultés ? Que dire aussi de celle des populations de souche, assimilées à ces mêmes « croque-mitaines » et qui de plus subissent leur délinquance au quotidien, le racisme anti-blanc, les avanies réservées aux non – musulmans ?

    Rien, nique, bernique, Guénolé n’en a cure, trop occupé à « déconstruire les stéréotypes », bref, à nier le réel, à le tordre pour qu’il colle à son idéologie. L’exercice est tellement caricatural qu’il en devient absurde.

    guenoleAlors qu’il se targue de s’être « fondé sur des enquêtes de terrain et sur les analyses scientifiques » pour écrire son ouvrage, a-t-il seulement consulté les statistiques de la délinquance du ministère de l’Intérieur ou celle des constructions de mosquées ?
    Ce qui est sûr, c’est qu’avec de tels arguments, Guénolé se garde une place au chaud dans tous les médias de propagande, toujours friands de chiens de garde de l’idéologie dominante qui ne craignent ni l’excès, ni la caricature.

    Charles Dewotine

    http://fr.novopress.info/