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immigration - Page 1217

  • Immigration: Marine Le Pen pointe la "responsabilité historique" de Sarkozy

    La présidente du Front national, Marine Le Pen, a dénoncé mercredi "une responsabilité historique" de l'ancien chef de l'État Nicolas Sarkozy "dans l'aggravation des flux d'immigration clandestine".

    "Nicolas Sarkozy porte une responsabilité historique dans l'aggravation des flux d'immigration clandestine dans notre pays", a déclaré Mme Le Pen sur RTL. "C'est lui qui a déstabilisé la Libye avec le soutien de François Hollande", a-t-elle poursuivi.

    "La classe politique française passe sa vie à essayer d'aller chercher des responsabilités ailleurs, alors que c?est eux les responsables de la situation", a encore affirmé la présidente du FN.

    "M. (Bernard) Cazeneuve (ministre de l'Intérieur) accuse Eurotunnel, M. (Xavier) Bertrand (Les Républicains) accuse l'Angleterre. La réalité, c'est que c'est l'UMPS le responsable", a-t-elle dit. "Ce sont eux qui ont créé les conditions d'attractivité de la France à l'immigration clandestine", a assuré Mme Le Pen.

    Interrogée sur la mise à disposition de migrants de logements d'urgence supplémentaires à Paris, Mme Le Pen a lancé : "Quelle honte !" "Il y a des centaines de milliers de Français qui attendent un logement d?urgence, qui attendent un logement social", a-t-elle dit.

    source : Afp via yahoo :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuFlZAFVVZXqYljJfD.shtml

  • Le Français de souche, prié de disparaître…et de la fermer

    Evoquant l’affligeante « affaire Vincent Lambert » -voir sur ce blogue ce qu’en a dit ces derniers mois  Bruno Gollnisch-, en l’espèce ici  la décision du CHU de Reims de le maintenir en vie, Laurent Joffrin,  le co-patron de la rédaction de Libération, a estimé dans un éditorial publié le 23 juillet qu’elle était révélatrice d’une « menace intégriste ». «La pression exercée par des catholiques radicaux sur les médecins du jeune tétraplégique piétine la laïcité » a-t-il écrit. « On est prompt à brandir la laïcité pour dénoncer certaines pratiques extrêmes de l’islam (et souvent, en fait, pour mettre en cause l’islam dans son ensemble). Voilà un cas où l’intégrisme d’origine chrétienne a réussi, par une forme de terrorisme verbal, à piétiner les principes laïcs. Cette atteinte à la République mérite, pour le moins, une égale dénonciation». Pauvre M. Joffrin en pleine confusion mentale! Et en fait de terrorisme verbal, il s’agit de noter que maître Jérôme Triomphe, talentueux et opiniâtre défenseur des parents de Vincent Lambert –il fut  aussi celui tout aussi pugnace  d’Anne Sophie Leclère,  attaquée devant la justice par les  complices de  Mme Taubira-,   a reçu lui aussi  des menaces de mort. Mais « cela ne suffit pas à (l)’impressionner », a-t-il déclaré pour sa part.  

    Si Laurent Joffrin, employé-journaliste du  quotidien détenu par Patrick Drahi,  fait mine ( ?) de s’inquiéter de la «  menace » catholique sur la France, il ne s’offusque pas du passage à la trappe, de plus en plus récurrent sur les chaînes du service public,  de la mention  des saints et des saintes à la fin des bulletins météo,  lors de la présentation de l’éphéméride du lendemain. Une entreprise doucereuse, une  de plus,  de déculturation  au nom du principe du  vivre-ensemble d’esprit laïcard  cher au cœur de la gauche bien-pensante.

    Il est vrai que  la Caste politico-médiatique cache peu ou mal sa volonté de faire du passé  table rase.  Comme l’affirmait le ministre de l’Intérieur (et des cultes) Bernard Cazeneuve le 5 août de l’année dernière sur RTL: « évoquer les racines chrétiennes de la France, c’est faire une relecture un peu frelatée qui a rendu la France une peu nauséeuse. »

    En fait de nausée, c’est celle que cette majorité gouvernementale donne aux Français qui est une incontestable réalité, notamment par la poursuite d’une immigration de peuplement qui, M. Cazeneuve ne nous contredira pas,  entend définitivement  couper notre pays de ses racines.

    Ainsi, la loi sur l’accueil des étrangers qui  été votée la semaine dernière aggrave encore le laxisme dont a fait preuve dans ce domaine la précédente majorité sarkozyste. A titre d’exemple, le  champ du regroupement familial a encore été  étendu puisque M. Cazeneuve a exigé qu’un enfant étranger résidant et scolarisé en France depuis l’âge de six ans, dont le frère est Français, devienne automatiquement Français, sans  attendre l’âge de seize ans et en faire la demande comme cela était le cas auparavant.

    Dans le même ordre d’idée, jusqu’alors pour se faire hospitaliser en France il fallait obligatoirement que  le traitement curatif  de la maladie en cause n’existe pas dans le pays d’origine. Or, alors que notre  système  de santé   est  déjà très  affecté  par  l’immigration-invasion,  un amendement a été  adopté selon lequel on pourra se faire soigner en France même si le traitement existe mais que les soins n’y sont pas effectivement prodigués.

    De la même façon,  les immigrés  non Européens  auront accès à  de nouveaux avantages comme  un titre de séjour de deux à quatre ans ouvrant automatiquement la voie à une carte de résident de dix ans…qui permettra  l’obtention  quasi mécanique   de  la naturalisation française.

    Pendant ce temps,  les persécutions contre ceux  qui préviennent nos compatriotes des dangers de cette politique de substitution de population ne se démentent pas. Lundi, Pierre Sautarel,  l’un des responsables  du site fdesouche,  a été perquisitionné à son domicile et son  ordinateur a été saisi  à la suite d’une plainte du milliardaire rose Pierre Berger,  militant communautaire et  soutien  financier bien connu  du lobby immigrationniste.

    Le Figaro précise que « (M. Sautarel)  serait accusé par l’homme d’affaires Pierre Berger d’avoir relayé un article jugé diffamatoire du site antisioniste Panamza », qui   ne traitait pas du tropisme cosmopolite de M. Berger sous l’angle de son obsession migratoire,   mais relayait rumeurs et accusations supposées de pédophilie   qui ont touché également Jack Lang et Frédéric Mitterrand.

    « Sur les profils Twitter de plusieurs cadres» du FN comme Stéphane Ravier,  «est apparu  mardi le célèbre logo Je suis Charlie détourné en Je suis fdesouche».  Comme le précise le maire FN de Beaucaire Julien Sanchez rapporte ce quotidien , « nous avions un logo Je Suis Charlie sur la mairie de Beaucaire en janvier, et nous défendons toujours la liberté d’informer. Les animateurs de fdesouche ne sont pas journalistes mais leur travail de revue de presse rencontre une audience importante. Ce site est persécuté car il dérange, les méthodes employées contre son animateur semblent disproportionnées. »

    Quant à la position de Bruno Gollnisch lequel,  comme d’autres frontistes,  a parfois été critiqué   sur fdesouche.com   et pas toujours épargné par des commentaires désobligeants,  sa cohérence est bien connue.  Elle lui commande d’apporter son soutien au persécuté Sautarel et de dénoncer ses persécuteurs.

    Bruno l’affirmait il y a déjà quelques années sur ce blogue : « Je ne suis pas de ceux qui se réjouissent quand un  média d’opinion met la clé sous la porte, même quand les opinions en question ne sont pas les miennes ». « Je suis par principe totalement opposé à toute censure  visant à réprimer, sur internet ou ailleurs,  la libre expression des idées et des opinions. A fortiori  quand celles-ci sont exprimées sans provocations et  excès inutiles. Le site fdesouche permet  à nos compatriotes de prendre conscience des mensonges de l’idéologie dominante,  des dérives gravissimes qu’entraînent l’immigration de peuplement et le communautarisme. »  Cela suffit   largement  pour être dans le collimateur des inquisiteurs  de la religion mondialiste.

    http://gollnisch.com/2015/07/29/le-francais-de-souche-prie-de-disparaitreet-de-la-fermer/

  • Messieurs les Anglais, légiférez les premiers !

    Xavier Bertrand, ancien ministre du travail (LR), estime que les exigences formulées par la Grande Bretagne de renforcer le dispositif pour empêcher les migrants de passer en Angleterre ne sera pas suffisant tant qu'une certaine forme de travail illégal y sera rémunérée et y attirera les migrants.

    "«S'il y a autant de migrants à Calais, ce n'est pas parce qu'ils veulent y vivre: ils viennent pour passer en Angleterre». «Les Anglais doivent changer leurs règles sur le travail des migrantsparce qu'en Angleterre, même si, en théorie, il faut certains papiers, la réalité est qu'il est possible d'y travailler sans papiers. Beaucoup de patrons en profitent pour payer ces travailleurs-là moins cher», explique le député LR."

    Le maire de Calais, Natacha Bouchart, pense elle aussi que la solution ne réside pas dans la construction de barrières et que l'Angleterre doit prendre sa part de responsabilités. Elle et Xavier Bertrand veulent un sommet franco-britannique sur le sujet, alors qu'Henri Guaino doute de l'utilité de ces propositions, car «L'Angleterre est une île, c'est beaucoup plus facile pour elle de défendre ses frontières».

    Marie Bethanie

  • Calais : l’impuissance franco-anglaise (Présent 8409)

    L’Angleterre est une île, c’est pourquoi Napoléon et Hitler ont échoué à l’envahir. Ce qu’ils n’ont pas réussi à faire, des immigrés clandestins vont-ils y parvenir ? Il est vrai qu’avec le tunnel, l’insularité n’est plus ce qu’elle était. Le fait est que les deux grandes puissances militaires de l’Europe ne peuvent empêcher ces individus venus d’ailleurs d’y débarquer. Mais cela va changer. Foi de ministres ! Bernard Cazeneuve et son homologue britannique, Theresa May, ont publié une déclaration commune dans laquelle ils assurent être déterminés à « mettre fin à cette situation », et qu’arrêter le flot des « migrants » est pour eux « une priorité absolue. »

    Faut-il comprendre que, jusque-là, ce n’était pas une priorité, ou qu’elle était relative ? Le texte qui commence ainsi nous pousse à le croire : « Depuis plusieurs mois, nous avons pris la pleine mesure du désespoir des migrants qui cherchent à franchir la trentaine de kilomètres séparant nos deux pays. » Depuis quelques mois seulement, alors qu’il y a vingt ans que ça dure ? Il leur a fallu du temps pour prendre la « pleine mesure » de ce scandale.
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    Le flot des clandestins est devenu fleuve puis torrent, l’opinion publique, des deux côtés de la Manche, est exaspérée, certains menacent de régler le problème eux-mêmes devant l’impéritie des autorités. Nos ministres, pressés par la nécessité, aiguillonnés par leurs concitoyens, ont dû réagir. Comme le chef de l’État : « Ce sont des gens qui sont à bout », a-t-il commenté. Mais il n’évoquait pas les riverains, les Calaisiens, ni les habitants de la région, envahis, menacés parfois ou agressés, comme les chauffeurs routiers, non, la compassion présidentielle n’est pas pour eux, mais pour les « sans-papiers ».

    Que vont faire nos deux pays, désormais ? La même chose qu’avant : des murs plus hauts et davantage de policiers. Certes il en faut, mais il n’y aura jamais assez ni des uns ni des autres, puisque les clandestins sont chaque jour plus nombreux. Le résultat ? Ils osent s’en vanter : « Ensemble, nous assurons chaque mois le retour depuis Calais dans leur pays d’origine de 200 migrants. » 200, alors qu’ils sont des milliers et qu’ils arrivent par centaines tous les jours. Ce week-end, malgré la mobilisation policière, 400 ont essayé de pénétrer dans le tunnel. Cazeneuve et May conjuguent leur impuissance.

    Le problème, c’est l’Europe passoire de la « libre circulation » qui permet, via l’Italie et la Grèce, d’échouer à Calais. Pourquoi la Grande-Bretagne ? Parce qu’ils y ont déjà de la famille, parce qu’on peut aisément y travailler clandestinement, les contrôles étant quasi inexistants. Que Cameron mette de l’ordre chez lui, au lieu de demander à notre pays d’assurer la police de ses frontières ! La frontière est à Douvres et non point à Calais. Mais il est vrai que cette situation résulte des accords du Touquet entre Nicolas Sarkozy et Gordon Brown, en 2003. Il faut les dénoncer, afin que les autorités britanniques assurent elles-mêmes sur leur territoire le tri parmi ceux qui veulent y pénétrer. Calais doit être à Folkestone.

    Guy Rouvrais

    http://fr.novopress.info/

  • Un virage qui se dessine sur l'immigration

    Deux pages d'accueil successives sur le site internet du Figaro me donnent à penser que certains blocages sont en train de sauter.

    Le samedi 1er août c'était :"L'immigration, principale préoccupation des Européens", avec à la clef une étude par sondage réalisée ce printemps pour le compte de la Commission européenne.

    Ce lundi 3 août au matin c'est : "Migrants : la Mairie de Paris se retrouve sous pression".

    L'affaire de Calais, loin de Paris, loin des plages vacancières, loin de campagnes aujourd'hui encore ensoleillées, loin de Neuilly aussi, plus loin encore des palais nationaux, a longtemps semblé une affaire, désagréable certes, mais que nos technocrates et nos gendarmes allaient régler pendant que nous fermons les yeux.

    À Lampedusa, à Mytilène, aux confins de l'Espagne et du Maroc ? Que l'Europe du sud se débrouille, nous ne voulons pas le savoir.

    D'excellents esprits viennent aussi nous assurer que, grâce aux immigrés devenus sémantiquement des "migrants", – avez-vous remarqué l'invasion des éléments de langage ? – nos retraites par répartition allaient être sauvées. Pure illusion, grossier mensonge.

    Et puis, aujourd'hui même à Paris, on découvre qu'un lycée désaffecté du 19earrondissement a été envahi malencontreusment par des "chances pour l'Europe". Ses occupants illégaux viennent compliquer l'existence tranquillement dépensière d'un des centres de pouvoir les plus infectés d'idéologie bien-pensante et socialo-communiste : l'équipe municipale Hidalgo. La voici obligée de protester par des mots absurdes : "Ce n'est pas en envahissant un équipement public qu'on trouve de l'hébergement", explique-t-on, si j'en crois Le Figaro au cabinet du maire. Accessoirement les mêmes bureaucrates ne nous expliquent pas comment "on" obtient gain de cause.

    On nous dit que "la Mairie de Paris refuse également de céder au 'chantage inadmissible'des migrants du lycée Jean-Quarré, qui réclament l'aménagement d'un gymnase pour s'y installer." "On réfléchit au fait de faire intervenir les forces de police", – réfléchissez, réfléchissez, ‑ mais la situation est claire : "le dialogue est pour le moment rompu. Une réunion de crise devrait se tenir ce lundi matin à la Mairie de Paris pour trouver une solution." Bien sûr, dira-t-on, c'est la version du Figaro, pas trop favorable à l'insupportable Hidalgo.

    Nous sommes certes assaillis de désinformation à jet continu. Mais cela, nous le savons aussi, de plus en plus, avec plus ou moins de conscience de cette dommageable intensité.

    La fin des euroscepticismes plus ou moins fabriqués, plus ou moins manipulés, des deux côtés de la Manche, n'est sans doute pas pour demain.

    Au moins la purulence grandissante de ce dossier a-t-elle permis à un nombre non négligeable d'Européens d'ouvrir les yeux : on observe dans toute l'Europe le même verrouillage idéologique, dans les salles de rédaction, dans les sacristies régimistes, dans les réseaux de pouvoir.

    On aura eu beau forger, ou réinventer, le concept supposé excommunicateur de"populismes" – pouah ! –, un mot qui désignait autrefois les démocrates-chrétiens, – dans des régimes démocratiques, même imparfaits, c'est toujours l'opinion qui porte au pouvoir telle ou telle force politique. C'est aussi l'opinion, bonne ou mauvaise conseillère, qui fait évoluer les partis du système, et, s'ils n'évoluent pas c'est enfin l'opinion qui fait gonfler les voiles, plus ou moins éphémères, de partis concurrents, même factices.

    Ce qui s'est passé en France depuis 30 ans a été freiné, manœuvré par la rivalité Chirac-Mitterrand, les deux joueurs ayant fait l'un comme l'autre bon marché de l'intérêt du pays, et de l'opinion profonde du peuple, pour ne s'intéresser qu'à leur petit billard politicien.

    Ce temps n'est plus. Le billard post-mitterandien du disciple Hollande ne lui arrive pas à la cheville. Celui des post-chiraquiens n'intéresse plus qu'eux-mêmes et les petits marquis des médias.

    Il paraît donc temps, en France et dans toute l'Europe, que les citoyens reprennent les mandats usurpés par la classe politique et captés par les technocrates, redéfinissent ce qu'ils attendent des institutions européennes, et construisent à nouveau, enfin, l'Histoire du continent.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/

  • L’économie totalitaire : l’exemple de l’immigration

    Exemple parfait du comportement économique à court terme de la société marchande, l’appel à l’immigration étrangère massive restera sans doute, dans les annales de l’histoire européenne, comme une erreur de première grandeur. 
         A l’origine, au début des années cinquante, il s’agissait tout simplement de combler un déficit passager de main-d’œuvre. Puis, au fil des années, l’habitude a été prise d’utiliser des travailleurs immigrés, recrutés toujours plus loin. Avec l’apport de leurs anciennes colonies, la France et l’Angleterre se sont classées en tête des pays « importateurs ». 
         Envisagée au début comme apport provisoire pour construire de nouvelles structures industrielles, cette immigration massive a modifié, par un effet de retour imprévu, ces structures elles-mêmes. Certaines considérations, non quantifiables, n’ont jamais été prises en compte : le déracinement socioculturel de la main-d’œuvre, l’incompatibilité du chômage et de l’immigration ont ainsi été négligés. Le système libéral et marchand n’a même pas prévu, dans ce cas précis, les inconvénients strictement économiques et le coût social exorbitant de cette immigration. Raisonnant à court terme, l’esprit marchand ne s’est pas rendu compte que cette main-d’œuvre importée nuisait à la rentabilité économique elle-même, ce qu’admettent aujourd’hui les spécialistes de l’emploi. Ils ont, en effet, établi qu’à moyen terme l’immigration coûtait bien plus qu’elle ne rapportait à la collectivité : il faut distinguer ici entre les différents « coûts » de cette immigration.Le coût brut englobe diverses charges, frais de formation, rapatriement des salaires, frais d’installation et dépenses sociales entraînées par la présence même d’une forte population immigrée. Le coût d’opportunité prend en compte les gains empêchés par l’immigration : investissements de modernisation, accroissement de la productivité, économies de dépenses sociales, etc. En définitive, on ne peut trouver à l’actif du bilan de l’immigration que les profits immédiatement réalisés par certaines entreprises. 
    Esclave des temps modernes 
    Le patronat libéral et des pouvoirs publics irresponsables ont encouragé cette importation de main-d’œuvre peu coûteuse et non syndicalisée, donc facilement exploitable : c’était une assez belle opération financière à court terme. En fait, en prenant en charge les frais de formation, d’installation et de Sécurité sociale des travailleurs migrants et de leurs familles, la collectivité offrait une subvention déguisée aux entreprises les plus archaïques ; les « canards boiteux » de l’économie préféreraient « consommer » de la main-d’œuvre plutôt que d’investir dans les équipements nécessaires. Les tâches les plus rebutantes, celles qui étaient destinées à disparaître mais que la présence de cette main-d’œuvre – véritable masse d’esclaves des temps modernes – dissuadait justement de faire disparaître, les travaux les plus pénibles leur ont été réservés. 
    (...) 
    Cela ne signifie absolument pas que, comme le veut un mythe répandu dans les milieux populaires, « les immigrés prennent la place des nationaux ». La situation est plus complexe : l’immigration est bien un des facteurs du chômage actuel. Mais seulement dans la mesure où elle a provoqué une hypertrophie du secteur tertiaire : les immigrés monopolisant les emplois secondaires, les nationaux se sont portés vers ceux du tertiaire et les travaux qualifiés. Insuffisamment formés à ces tâches, refusant les emplois industriels, ils sont devenus chômeurs assistés, de plus en plus difficiles à satisfaire. L’origine du chômage est à rechercher du côté de cette « rigidité des demandeurs d’emploi », qui coexiste avec une forte offre d’emploi non satisfaite. Il faut également expliquer l’improductivité du secteur tertiaire par la pléthore des « faux emplois » qui y ont été créés vers les emplois industriels, qui auraient été alors « enrichis » sur le plan des tâches et mieux payés. 

    Guillaume Faye, Eléments n°28-29, mars 1979

    http://www.oragesdacier.info/

  • Beaucaire : comment un tribunal français a-t-il pu recevoir une telle plainte ?

    Ce ne sont pas les arrêtés municipaux de Julien SANCHEZ qui sont discriminatoires, mais la plainte déposée par Abdallah ZEKRI.
    En effet, l’arrêté du 16 juin interdit l’exercice professionnel de TOUTES les épiceries, primeurs, et commerce de distribution de 23H00 à 08H00 dans un périmètre « se situant à l’intérieur d’un périmètre délimité du centre-ville », l’arrêté du 17 juin interdit à TOUS les commerces de travailler de 23h00 à 05h00 dans deux rues de la ville. Aucune mention de l’origine ethnique ou de la confession des gérants des commerces visés, pas plus que de dérogation aux interdictions prononcées en raison d’une origine ou d’une confession particulière.

    Mais alors, qu’est-ce qui peut bien chagriner Monsieur ZEKRI à ce point ? Et qu’est-ce qui a bien pu amener le tribunal correctionnel de Nîmes à juger cette plainte recevable (J. SANCHEZ est cité à comparaître le 1er septembre) ?

    « Les mesures prises par ce maire (FN) visent à asphyxier l’activité économique de ces commerçants, en raison de leur appartenance à la religion musulmane », a déploré M. Zekri, dans un communiqué.
    Force est « de constater que ces arrêtés municipaux visent substantiellement les commerçants d’origine maghrébine, appartenant à la confession musulmane », affirme la citation, ajoutant que la « période visée par les arrêtés », à savoir jusqu’au 31 octobre, « couvre la période du ramadan, et plus généralement la période estivale, qui représente l’activité commerciale la plus importante pour les commerçants visés.

    Ainsi apprend-t-on :

    1 – qu’en 2015 certains quartiers, certaines rues de Beaucaire, petite ville provençale, sont « substantiellement » occupés par des commerçants musulmans d’origine maghrébine : y aurait-il au Tribunal de Nîmes, comme à la Préfecture de Montpellier, des « émules » de Robert Ménard ? Ou bien, comme Monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir, ces braves fonctionnaires de la République font-ils des statistiques ethniques sans le savoir ? Bref, on a là la confirmation sans doute involontaire mais on ne peut plus officielle que le remplacement de population n’est ni un fantasme ni une théorie, mais un fait.
    2 – que Monsieur ZEKRI pratique la discrimination (d’accord, on le savait déjà, mais il confirme), mais surtout la défense des intérêts de l’oumma, puisque ce qui l’inquiète, c’est la possible asphyxie des commerçants MUSULMANS, pas celle de commerçants arabes, maghrébins ou africains, non, uniquement celle des MUSULMANS.
    3 – qu’en 2015, un Tribunal de la République française, laïque, une et indivisible, peut se muer en tribunal islamique (« visent substantiellement… », cela signifie donc qu’il reste dans ces quartiers des commerçants qui ne sont ni maghrébins ni musulmans et dont le sort n’émeut nullement ce Tribunal ; « la période visée couvre la période du ramadan », sans aucun doute la « faute majeure » de SANCHEZ, son arrêté fait obstacle à l’exercice d’un des 5 piliers de l’islam!).

    Pour nous tous, Français patriotes, enracinés dans la Vieille Europe, la plainte du sieur Zekri en elle-même n’a aucune importance, ce qui doit nous alarmer c’est que cette plainte ait été jugée recevable par un Tribunal français.

    Béatrice Bontemps, responsable Résistance républicaine Ille et Vilaine

    http://resistancerepublicaine.eu/2015/beaucaire-comment-un-tribunal-francais-a-t-il-pu-recevoir-une-telle-plainte/

  • Taubira en roue libre (Présent 8408)

     

    À quelle population selon vous s’adresse Christiane Taubira à quelques mois de la raclée électorale annoncée, quand elle propose que la conduite sans permis ne soit plus un délit ? Il suffisait d’entendre ce matin à la radio les délinquants concernés pour se faire une idée.

    Qui conduit sans permis (et au passage sans assurance ni aucun respect des règles) ? Ni vous ni moi. Mais une forte proportion de racailles et de voyous dont le comportement est à cet égard (et à d’autres) totalement criminel. L’un d’eux était tout étonné au micro de RMC de n’avoir écopé que de 300 euros d’amende pour avoir été contrôlé sans permis : « J’le croyais pas ! » Et tu aurais été bien bête de le passer, la vie d’ma mère !
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    Moins cher que de se prendre trois radars dans le mois (pour un dépassement de 5 km/heure). Et ça devrait devenir le tarif ordinaire selon l’une des dispositions du projet de loi intitulé « La justice du XXIe siècle » (excusez du peu) que devait présenter notre madone des détenus ce vendredi en Conseil des ministres : une simple contravention, qui ne donnerait plus lieu qu’à une amende de 500 euros grand maximum. Au tarif du permis de conduire (2 000 euros dans le meilleur des cas) inutile de dire que pour beaucoup, ce sera vite vu.

    Le défaut de permis de conduire était jusque-là passible d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende, mais il est tellement répandu qu’il engorge les tribunaux. C’est la saine méthode Taubira : les pédophiles encombrent les tribunaux ? Supprimons le crime de pédophilie !

    La « déjudiciarisation » des délits routiers avait déjà été envisagée lors des débats préparatoires entourant la réforme pénale de 2014. Mais redoutant un (nouveau) procès en laxisme, la Chancellerie y avait renoncé. Elle revient à la charge, en recadrant très scrupuleusement son projet de réforme.
    Pendant ce temps, haro sur le brave conducteur lambda titulaire d’un 12 points qui a payé toutes ses leçons de code et de conduite, ses assurances, son contrôle technique, son stationnement et qui conduit ceinture bouclée, à jeun, sans oreillette, ni cigarette, ni tongs, en respectant le 130. Au faciès lui, il prend cher.

    Caroline Parmentier

    http://fr.novopress.info/

  • Migrants : la fraternité à l’épreuve de la réalité

    L’afflux des migrants en Europe est un phénomène majeur de son histoire avec lequel elle va devoir composer encore longtemps.

    La vieille Europe est confrontée à un dilemme : appliquer le principe de fraternité comme le pape François l’exhorte de façon récurrente.

    Le 18 avril 2015, il appelait à un « sursaut de la solidarité européenne et internationale avec les migrants qui affluent, dans des conditions épouvantables, vers les côtes italiennes ».

    Le 17 juin 2015, il mettait en cause les gouvernements, organisations et individus qui « ferment les portes aux migrants », invitant les catholiques à « demander pardon à Dieu » en leur nom.

    Ou bien abandonner ses idéaux pour composer avec la réalité, ce qui s’appelle de la realpolitik.

    Car, philosophiquement, il est très difficile de motiver notre rejet des migrants, le « Aimons-nous les uns les autres » duquel est issu le principe de fraternité est imparable.

    Pape, évêques et tout citoyen normalement constitué s’y cognent le nez.

    Pourtant, il n’y a pas besoin de Jean Raspail pour savoir cela : quoi qu’en disent les bien-pensants, la fraternité commence à sa propre porte.

    N’importe quel curé de paroisse le dira à ses ouailles : l’argent de leur labeur est destiné prioritairement à faire vivre leur famille ; ensuite, seulement, il faut aider l’Autre.

    L’Autre, nous y voilà, notion chère à Jean Raspail : « Il faut cesser de sacraliser l’Autre », mais ce n’est pas politiquement correct de le dire ni de l’appliquer.

    Alors, au lieu de rentrer dans des débats sans fin aussi bien théologiques que philosophiques, il faut voir la réalité, brute, sans fard :

    – Il n’y a pas de travail en Europe, exception faite de l’Allemagne (qui pourtant refuse tout autant que nous les migrants) ;

    – L’Europe est endettée et a une politique sociale généreuse ;

    – Il y a plus d’un milliard d’Africains qui vivent mal, pris dans des guerres, des exactions ethniques ou religieuses diverses, sur des territoires sans eau, sans électricité, sans infrastructures, sans emploi, et il y en aura 2 milliards au milieu du siècle et peut-être 4 d’ici 2100 ;

    – Le Moyen-Orient est en proie à des conflits chiites-sunnites qui durent depuis plus de 1.300 ans et qui ne sont pas près de s’arrêter;

    – L’Europe ne peut accueillir cette population exponentielle sans plonger dans la ruine, la misère, l’anarchie et la violence 500 millions d’Européens.

    Si on est radical, on dira « C’est eux ou nous ».

    Si on est plus nuancé, on dira « Accueillons-en une petite minorité ».

    Si on est bien-pensant, naïf, ou ignorant, on dira « Accueillons-les tous, ce sont nos frères », et ce sera le suicide de l’Occident.

    Emmanuelle Frankl

    source : Boulevard Voltaire :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuFluVAuylpfenCtzz.shtml

  • Le chaos à Calais (Présent 8407)

    Alors que les clandestins sont chaque soir plus nombreux à tenter de passer en force le tunnel sous la Manche, le ministre de l’Intérieur se dédouane lamentablement de ses responsabilités sur la direction d’Eurotunnel.
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    L’invasion de Coquelles par 2 200 clandestins lundi soir, puis 2 300 la nuit suivante, a rendu la situation totalement ingérable pour Eurotunnel, qui affirme avoir intercepté depuis le 1er janvier plus de 37 000 migrants ! Appelant Paris et Londres à une « réaction appropriée », son PDG devait même confier qu’« on est face à des invasions systématiques ». Une situation d’autant plus grave que les accidents se multiplient. Ainsi, mercredi, un Soudanais était retrouvé mort au pied d’une navette, portant à neuf le nombre de décès survenus aux environs du site depuis fin juin.

    Particulièrement remonté par la lettre que lui a adressée Cazeneuve l’accusant d’avoir divisé par trois les moyens humains consacrés à la sécurité depuis 2002, Jacques Gournon devait rappeler que son groupe avait dépensé 13 millions d’euros lors de ces six derniers mois pour mettre en place des moyens de surveillance. Une somme dont Eurotunnel entend bien se faire rembourser puisque la société demande une indemnisation de 9,7 millions d’euros. Et ce n’est pas fini : invoquant l’impact économique sur sa commune, Natacha Bouchart, maire LR de Calais, devait réclamer mercredi « une compensation financière de plus de 50 millions d’euros ».

    Le prix du laxisme migratoire

    Une affaire très grave donc, mais que l’Intérieur gère avec une désinvolture déconcertante. En effet, explique-t-on, place Beauvau, la situation « est la même depuis deux mois et demi », mais Eurotunnel a choisi aujourd’hui de communiquer… Une version contestée par Gilles Debove, du syndicat Unité SGP-FO police, qui indiquait mercredi que « pendant 15 jours d’activité en mai, 1 900 tentatives d’intrusion avaient été répertoriées. C’est-à-dire la même chose qu’en une nuit ces derniers jours ». Une situation évidemment ingérable pour la police. Et ce ne sont pas les 120 CRS supplémentaires promis par Cazeneuve qui vont changer la donne.

    En réalité, comme le soulignait mercredi Marion Maréchal-Le Pen, « nous payons là un laxisme qui est trouvé bien en amont, c’est-à-dire le laxisme des politiques migratoires à la fois européenne (…) et des différents pays, dont la France ».

    Franck Delétraz

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