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immigration - Page 1216

  • 1,1 milliard d’euros pour l’aide médicale d’Etat (AME) fournie aux immigrés

    L’aide médicale d’État (AME) coûte plus cher que le dit le gouvernement. C’est ce qu’affirme le rapport annexé au budget 2016 que le député LR Claude Goasguen présentera mercredi en commission des finances.

    «Le gouvernement minore au maximum la ligne budgétaire pour ne pas avoir de polémique sur le dos», accuse Goasguen, député de Paris.

    «Les dépenses d’AME connaissent une croissance exponentielle puisqu’elles ont augmenté dans la réalité de 32 % entre 2009 et 2014.» Et ce n’est pas la vague migratoire en cours qui va améliorer les choses.

    Selon Marisol Touraine, ministre de la Santé, les dépenses de l’AME pour 2016 s’élèveraient à 744,5 millions. Faux selon le député Claude Goasguen qui les estime, lui, à 1,1 milliard (contre 1 milliard lors de son estimation l’an dernier).

    http://www.medias-presse.info/11-milliard-deuros-pour-laide-medicale-detat-ame-fournie-aux-immigres/42477

  • 218 000 clandestins ont traversé la Méditerranée en octobre

    NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

    218 000, c’est le nombre de clandestins à avoir franchi la Méditerranée en octobre. Ce chiffre, enregistré par le Haut-Commissariat de l’ONU pour les réfugiés, est un « record mensuel » et vient battre le précédent record de 172 843 arrivées en septembre.
    Ce nombre, en constante augmentation malgré les mauvaises conditions météorologiques, témoigne d’une accélération rapide du processus migratoire auquel l’Europe doit faire face.

    Le Haut-Commissariat de l’ONU pour les réfugiés prévoyait l’arrivée de 700 000 clandestins avant la fin de l’année, ils sont déjà plus de 744 000. L’institution va donc devoir revoir ses chiffres à la hausse et, alors que la colère populaire commence à sérieusement gronder partout en Europe, les gouvernements européens vont peut-être enfin se pencher sur des solutions efficaces et responsables.

     

    http://fr.novopress.info/

  • Totem et tabou

    Manuel Valls répondait hier à l’invitation des étudiants de Sciences Po Paris pour débattre sur le thème de «la réforme». Le Premier ministre n’a pas occulté des discussions une vieille promesse de la gauche, celle du droit de vote des immigrés, déjà contenue dans la programme de François Mitterrand et qui figurait aussi en bonne place dans celui de François Hollande. Le Monde a rapporté le sentiment de M. Valls sur cette question: «cette réforme ne peut pas se faire faute d’une majorité qualifiée, mais elle n’est plus une priorité car le vrai sujet est de renouer avec la naturalisation, ajoutant qu’il est convaincu qu’elle ne sera pas proposée à la prochaine présidentielle. Il ne faut pas courir derrière des totems… ». M Valls qui connait la charge hautement symbolique de ce totem qu’est le droit de vote des immigrés (et son rejet par nos compatriotes), est en effet un adepte affiché de la naturalisation. Un moyen pratique pour escamoter la réalité de la poursuite de l’immigration de peuplement en fabriquant des Français de papier. Avec certainement aussi l’espoir que ses nouveaux citoyens manifestent dans les urnes leur reconnaissance à la gauche…Le Premier ministre s’était d’ores et déjà officiellement réjoui, en début d’année dernière, de la hausse de 14% (de juin 2012 à juillet 2013) du nombre des naturalisations…
    Dans ce contexte d’immigration massive, la France, qui s’honore du taux de fécondité le plus important de l’UE, a enregistré un tassement très sensible des naissances. Lors des neuf premiers mois de l’année 2015, au 30 septembre, ce sont 16000 bébés qui manquent à l’appel en France métropolitaine, soit une baisse de 2,75%, par rapport à la même période en 2014. Une chute qui ramènerait le niveau des naissances à celui de 1999. « Dans un pays où le taux de fécondité triomphant est souvent le dernier indicateur du bonheur de vivre en France, la perspective de passer en dessous du symbolique deux enfants par femme ne manquera pas de faire frémir » est-il écrit dans Le parisien.
    Dans les faits, nous savons bien, mais nous touchons là aussi à un tabou, que cette relative bonne santé de la démographie française, qui permet cependant tout juste d’assurer le renouvellement des générations, est artificiellement portée par le taux de fécondité des femmes originaires du continent africain. Depuis le décret du 29 avril 1976 autorisant le regroupement familial, jamais remis en cause par l’alternance droite-gauche au pouvoir, c’est bien à une entreprise d’effacement du peuple premier français, plus ou moins délibéré, à laquelle nous assistons.
    Outre l’absence d’une politique d’accueil de la vie, de mesures alternatives à l’avortement (200 000 IVG pratiquées tous les ans) il n’y a pas en France, depuis les années 60, malgré ce qui est affirmé ici ou là, une volonté nataliste visant à encourager une démographie autochtone. Les familles sont au contraire attaquées, tapées au portefeuille comme on le voit notamment avec la réduction des allocations familiales pour les couples qui travaillent, l’abaissement du quotient familial…
    Face à une Europe vieillissante, désarmée par les dogmes mondialistes, dont les peuples sont sciemment dévirilisés, privés des repères, des valeurs qui ont fait la force et la gloire de notre civilisation, invités à communier dans la culpabilité et la haine de soi, la croissance vertigineuse des populations, notamment musulmanes, sur le continent africain, et dans de très nombreux pays asiatiques, est un défi démographique, géopolitique majeur.
    Le site Algérie Focus notait ainsi le 2 novembre que «la plus grande menace qui risque de mettre en péril l’avenir de l’Algérie» n’est pas « la succession difficile d’Abdelaziz Bouteflika» mais «plutôt la bombe démographique », « explique Roland Lombardi, consultant indépendant, analyste et chercheur associé à l’Institut de recherches et d’études sur le monde arabe et musulman d’Aix-Marseille Université (IREMAM).
    « Celle-ci pourrait avoir des conséquences dramatiques, prévient-il. En 2014, il y a eu 1 million de naissance. En 2025, la population algérienne dépassera les 50 millions d’habitants et 70 % d’entre eux seront en âge de travailler. Qu’en sera-t-il alors de la rente pétrolière et de l’économie algérienne sans des réformes de fond si nécessaires ?, s’interroge le chercheur français qui prévient d’ores et déjà les autorités algériennes : «La demande (et la colère ?) sociale risque alors d’exploser».
    «Et une Algérie déstabilisée serait catastrophique pour la région mais aussi pour la France. Comme dans les années 1990, il y aura inévitablement des répercussions sur notre territoire et surtout, nous risquons d’être alors confrontés au même scénario que nous connaissons actuellement avec les milliers de migrants qui traversent chaque jour la Méditerranée…mais puissance dix !».
    La question est cruciale : les Français, nos voisins européens sauront-ils confier demain la barre de leur pays à des dirigeants patriotes courageux, lucides, aux mains fermes, animés par la hauteur de vue nécessaire, conditions indispensables pour échapper aux périls qui menacent de submersion notre vieille Europe ?
    Bruno Gollnisch l’a dit et répété, les cénacles bruxellois, les officines mondialistes, mais aussi une classe politicienne française devenue incapable de ressentir un lien charnel avec notre pays et notre peuple, tablent sur la poursuite de l’immigration de peuplement. Ils entendent ainsi enrayer le déclin démographique et atténuer les effets sociaux et économiques du vieillissement de la population européenne. C’est là une politique suicidaire et de courte vue, puisque ce type remède achèvera le malade…à moins que cela ne soit le but poursuivi.
    Nous citions dernièrement Jean-Yves Le Gallou sur les vraies raisons de la diabolisation de l’opposition nationale. A la lumière de ce que nous venons d’exposer, et dans la perspectives des joutes électorales présentes et à venir, il n’est pas inutile de rappeler ses propos: «contrairement à ce que pense l’immense majorité des commentateurs, la diabolisation est moins la conséquence d’erreurs, d’imprudences ou de maladresses que la volonté systématique du Système. »
    «Quiconque veut lutter contre l’immigration est qualifié d’extrême droite et diabolisé partout en Europe. D’ailleurs le premier homme politique qui ait subi ce traitement médiatique et politique n’est pas Jean-Marie Le Pen. C’est un Anglais, Enoch Powell, ancien d’Oxford, helléniste, qui n’a jamais commis le moindre dérapage, mais qui a dénoncé dès 1968, dans un discours à Birmingham, les dangers de l’immigration. De sa part, ce n’était pas une erreur, encore moins une faute. C’était un acte de courage qui lui a coûté sa réputation et sa carrière politique. La question de l’immigration est bien le nœud de la diabolisation ». Et la réponse à celle-ci la condition de notre avenir.
    http://gollnisch.com/2015/11/04/totem-et-tabou/

  • Pessat-Villeneuve (63) : voyez où 50 clandestins seront logés à nos frais

    Cinquante « migrants » seront transportés à nos frais ce soir de Calais vers l’Auvergne, où ils seront hébergés dans le château de Pessat-Villeneuve…

    Pour les clochards français ? La rue.

    Pour dire ce que vous en pensez :

    Mairie de Pessat-Villeneuve :

    Tél : 04-73-38-28-59

    Association Forum Réfugiés :

    Tél : 04-73-14-36-00

    http://www.contre-info.com/

  • Magali Laurent : son ex-mari part faire le djihad en Syrie et enlève sa fillette de 3 ans

    Magali Laurent vit le drame de bien des couples binationaux, avec l’enlèvement de sa fillette par son ex-mari, d’origine tunisienne. Plus grave encore, ce dernier serait parti faire le djihad, emmenant l’enfant en Syrie.

    L’ex-mari de Magali Laurent devait emmener leur fille de trois ans en vacances en Tunisie. Ce n’est qu’à la fin des congés de Toussaint, le 27 octobre, que la femme reçoit un appel téléphonique de sa belle-sœur « disant qu’ils étaient en Turquie et qu’ils ne reviendraient pas »,. « Je suis persuadée à 1 000 % que son plan est d’aller en Syrie », a-t-elle ajouté, mettant en avant le fait que son mari passait ses journées à la mosquée » et

    tenait des propos extrêmes, cautionnant (l’attentat contre) Charlie Hebdo.

    Elle porte alors plainte et organise une conférence de presse pour médiatiser l’affaire. Une enquête préliminaire a été ouverte ce mardi par la section antiterroriste du parquet de Paris pour « soustraction de mineur par ascendant et association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste ».


    http://fr.novopress.info/

     

  • Droit-de-l’hommisme et immigrationnisme

    Fiche de lecture de Bernard Mazin, essayiste.

    ♦ Le triptyque engagé d’Aymeric Taillefer

    « Le libéralisme triomphant et pleinement développé a transformé le monde en société de consommation dont l’ordre moral est le droit-de-l’hommisme. »


    Dans son excellent dernier ouvrage Le Mur de l’Ouest n’est pas tombé, Hervé Juvin a cette formule lapidaire, mais ô combien juste (p. 203) : « La piété pour l’immigration, l’hystérie des droits de l’homme, la terreur contre la liberté d’expression ont le même but et la même fonction : interdire aux sociétés de faire histoire et de choisir l’histoire qu’elles font. »

    Les éditions Godefroy de Bouillon, dont on ne saurait trop saluer, avec d’autres, les courageux efforts pour diffuser la pensée non conformiste, ont publié, sur une période qui s’étend de février 2013 à mai 2015, trois ouvrages d’Aymeric Taillefer, qui s’emboîtent comme des poupées russes, du registre de l’analyse générale vers celui de l’énoncé de la posture idéologique personnelle de l’auteur, et qui viennent comme un écho amplificateur détailler les menaces qui pèsent dans les trois domaines cités par Hervé Juvin.

    Le premier d’entre eux est consacré à l’idéologie « droit-de-l’hommiste », cette idéologie dominante dont Aymeric Taillefer décortique avec une grande précision et beaucoup d’esprit d’à-propos les « valeurs », les instruments et les objectifs. Le droit-de-l’hommisme a pu être accusé de dériver vers un « totalitarisme doux » : l’auteur montre bien que cette « douceur » n’est plus qu’un faux-semblant, qui cède désormais la place à une tentation répressive de plus en plus visible.

    L’analyse repose sur l’idée que le droit-de-l’hommisme est une névrose religieuse, autrement formulé : il serait « l’islamisme du Christianisme, en ce sens qu’héritier de ce dernier, par le truchement des Droits de l’Homme, il en expose la caricature sans la profondeur, la religiosité dénuée de toute spiritualité… »

    Je laisse aux théologiens et aux exégètes de la pensée chrétienne le soin de trancher si cette idée que les droits de l’homme font intrinsèquement partie de l’héritage du christianisme est recevable. Pour ma part, j’avoue être assez réticent à l’égard de cette notion d’idéologie « christianiste », qui serait une sorte d’hérésie comme l’islamisme serait une déviation de l’islam.

    Il reste que l’idée que le droit-de-l’hommisme, sous ses multiples avatars, serait une forme de névrose religieuse n’est pas dénuée de pertinence. Elle rejoint en partie la thèse, déjà ancienne mais toujours valide, de Jules Monnerot sur le caractère millénariste des idéologies révolutionnaires.

    En filigrane de l’ouvrage, on trouvera également l’idée que « le libéralisme triomphant et pleinement développé a transformé le monde en société de consommation dont l’ordre moral est le droit-de-l’hommisme. » Cette assertion nous est familière, à travers les écrits de penseurs aussi divers qu’Hervé Juvin, Alain de Benoist ou Jean-Claude Michéa. Mais elle n’est pas toujours saisie dans toutes ses implications, car nous avons encore du mal à admettre qu’il n’y a pas d’incompatibilité entre notre conviction que la liberté d’entreprise et de propriété est nécessaire, et la conscience que la logique de « l’hyperlibéralisme » nous mène à la destruction des valeurs que nous chérissons.

    Au final, le lecteur résistant à la zombification des esprits sera reconnaissant à Aymeric Taillefer pour le puissant tableau qu’il nous campe de la redoutable police de la pensée dont nous sommes les cibles désignées. En dépit de quelques imperfections factuelles, et de points de vue parfois trop définitifs, il se sentira en symbiose avec un auteur que l’on peut classer sans hésitation dans la catégorie, de plus en plus nombreuse, des « nouveaux dissidents ».

    Son second opus, La Psychose immigrationniste, analyse la vision droit-de-l’hommiste appliquée au domaine plus particulier de l’immigration, notamment musulmane. Il est donc étroitement complémentaire du premier.

    Se gardant de toute interprétation caricaturale, Taillefer, dans la première partie du livre consacrée à la « réification de l’immigré non européen », apporte un éclairage personnel sur les différents volets de l’idéologie immigrationniste : repentance, victimisation, sanctification de l’immigré à des fins politiques, etc.

    La seconde partie, intitulée « Le Droit-de-l’hommisme à l’épreuve de la Nation religieuse (Islam) », met en parallèle les grands préceptes des théologies islamique et chrétienne du Nouveau Testament, et n’a pas de mal à démontrer, à l’instar d’un René Marchand, que le mariage morganatique de l’islam et de l’idéologie dominante ne peut que déboucher sur la destruction pure et simple de notre culture et de nos valeurs.

    On pourra parfois reprocher à l’auteur d’abuser du wishful thinking, ainsi p. 90 : « Le lecteur comprendra que c’est à l’apostasie que nous appelons les Musulmans, nos frères humains ». Vaste programme ! On lui pardonnera également quelques erreurs, par exemple à propos de « l’escroquerie du droit du sol ».

    Mais on saura gré à Aymeric Taillefer, à l’heure du nouveau « Camp des Saints » et du « Padamalgam », d’apporter une contribution stimulante à la réflexion sur les multiples pièges sémantiques à désamorcer pour préserver notre identité.

    J’avoue avoir été moins convaincu par le troisième et le plus récent panneau du triptyque Anarchiste de droite / Précis de survie. L’objectif en est louable, puisqu’il s’agit rien moins « dans un monde asservi par le commerce cosmopolite » que de chercher les moyens de « préserver ces deux biens précieux que sont l’enracinement et la liberté ».

    Mais la réinterprétation de l’histoire millénaire de la France à travers une succession de « cycles », eux-mêmes subdivisés en « siècles » connaissant des phases d’aurore, d’ordre et de déliquescence, pour séduisante qu’elle soit, tourne parfois un peu court. On sent que l’auteur a eu parfois du mal à faire entrer son propos dans sa grille d’analyse. Qui trop embrasse mal étreint, et un peu plus de modestie eût été de bon aloi.

    Surtout, le long plaidoyer de Taillefer en faveur d’un « anarcho-royalisme » et d’une « aristocratie guerrière et plébiscitaire » me paraît largement empreint de déni de réalité : comment adhérer à des affirmations péremptoires telles que « le crédit extraordinaire, quoique que toujours minoritaire, du royalisme en France » (p. 72) ou « Il n’existe qu’une solution, qu’une digue au déferlement nihiliste. La Restauration de la Monarchie capétienne est ce garde-fou » (p. 181).

    On regrettera en outre que l’auteur, dans son propos sur « les Lois Fondamentales relatives aux trois Ordres », ne fasse aucune allusion au modèle indo-européen des trois fonctions, donc bien antérieur à la monarchie capétienne, mais qui offre d’intéressantes, et toujours actuelles perspectives sur l’évolution des sociétés occidentales.

    Pour autant, la lecture de ce nouveau Que faire ? est toujours roborative, même si l’on n’en partage pas toutes les conclusions. Elle met en avant le versant « lyrique » de la personnalité de l’auteur, ce qui est d’autant plus sympathique que son triptyque est, sur le fond, bien orienté et témoigne de la richesse et du foisonnement de « l’anti-pensée unique ».

    Bernard Mazin, 2/11/2015

    Aymeric Taillefer :

    Droit de l’hommisme : une névrose religieuse, 02/2013, 319 p.
    La Psychose immigrationniste, 10/2013, 248 p.
    Anarchiste de droite / Précis de survie, 05/2015, 218 p.
    Les trois ouvrages aux éditions Godefroy de Bouillon.

    Hervé JuvinLe Mur de l’Ouest n’est pas tombé, Editions Pierre-Guillaume de Roux, 05/2015, 277 p.

    http://www.polemia.com/droit-de-lhommisme-et-immigrationnisme/

  • Crise migratoire, la ruralité mise au pas

    Le 27 octobre 2015 sera à noter dans les annales. A l'instar d'autres dates symboliques concernant les « progrès » de la submersion migratoire que connaît notre continent depuis plus de quarante ans...

    Que s'est-il passé ce jour ?

    Le 27 octobre 2015, aux environs de 10h du matin, six autocars transportant près de 292 « migrants » évacués sur « volontariat »  de la Jungle de Calais ont pris la route. En sus de Villeurbanne ou encore de Istres, trois lieux de destination sont à inscrire dans nos esprits : Guerche, Arry et Mauzac-et-Grand-Castang. Trois villages de quelques centaines d'habitants. Un en Bretagne, un en Lorraine et le dernier dans le Périgord.

    Ces « migrants », certains ayant vécu pendant près d'un an à Calais, ont été convaincus par diverses structures associatives de renoncer au mirage britannique pour se maintenir en France. Seront étudiées au cas par cas les possibilités de maintien sur le territoire français, qui n'en doutons pas, seront trouvées.

    Il s'agit bien évidemment d'un test, d'une première vague. Bernard Cazeneuve a affirmé que, dans un premier temps, près de 2000 personnes allaient bénéficier de ces mesures de délocalisation mais nous pouvons affirmer dès à présent que ce sera bien plus.

    Trois éléments sont à considérer.

    Premièrement : La volonté étatique, explicitement affirmée, est de diffuser, comme en intraveineuse,  l’immigration clandestine à travers l'ensemble du territoire et particulièrement dans le monde rural.

    La ruralité est, que nous le voulions ou non, notre dernier refuge, le lieu où nous pouvons encore envisager un avenir sérieux et durable pour nos familles (recours aux forêts, BAD, projets localistes, etc.). Or, cette décision de transfert voulu par les autorités, sans même prévenir les habitants des lieux, est un message explicite : « Bande de péquenots, vous n'y échapperez pas ! Nulle part vous ne trouverez la paix. »

    Deuxièmement : Cette décision est la preuve que la situation sur Calais n'est absolument pas maîtrisée. L'arrivée des froids ne doit pas être étrangère à cette dernière. La crainte de voir encore quelques milliers d'individus supplémentaires venant s'ajouter aux plus de 6000 présents terrorise littéralement les pouvoirs publics. Les associations sur site ne parviennent plus à gérer le flux et à travailler sereinement. La situation est explosive et dégénérera nécessairement dans les semaines à venir.

    Troisièmement : Il sera très intéressant de suivre, pour les secteurs concernés par cette mise sous perfusion migratoire, les évolutions des troubles et incivilités (vols, dégradations, viols, etc.) ainsi que celui du vote Front National. En s'attaquant à la France rurale et péri-urbaine, celle déconnectée des métropoles mondialisées et où les sentiments identitaires sont vivaces (malgré une tendance fréquente à voter bizarrement…), le système fait un pari audacieux et dangereux pour sa survie.

    Jacques Thomas / C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

     

  • Calais : la colère anti invasion migratoire prend de l’ampleur

    Hasard ? Plus le nombre de « migrants » augmente dans la « New Jungle » de Calais, plus les agressions se multiplient et plus les Calaisiens en ont marre. En témoigne la dernière manifestation organisée par le collectif « Calaisien en colère », qui a doublé le nombre des manifestants par rapport à la dernière édition de leur marche contre « l’impact de la présence migratoire ».

    Il faut oser franchir le pas, accepter de se faire traiter de raciste et de facho par les médias officiels et les bonnes âmes de service, alors que l’on en peut simplement plus de voir sa ville envahie, l’insécurité grimper en flèche et les conditions de vie se dégrader à vue d’œil. Le chiffre des manifestants à avoir répondu à l’appel du collectif « Calaisien en colère » n’est donc que le pâle reflet du nombre de Calaisiens qui ne supportent plus les conséquences de l’immigration sauvage dans leur ville.
    Ils étaient 800 personnes selon les décomptes officiels, probablement près du double en réalité, à défiler pour dire « Stop à l’immigration clandestine ». Début octobre, c’étaient 300 manifestants selon la préfecture, un millier selon les organisateurs, qui battaient le pavé sur le même thème.

    Un défilé qui s’est déroulé sans incident, ni avec les militants immigrationnistes, ni avec les forces de l’ordre. En effet, si la mairie avait pris un arrêté interdisant le rassemblement, la préfecture a refusé de le suivre. D’ailleurs, la solidarité avec les pompiers et les forces de l’ordre était affichée sur les pancartes, faisant écho à la manifestation des soldats du feu mercredi dernier, qui s’estiment totalement débordés par l’invasion migratoire.
    Les discours des membres du collectif ont rappelé « le ras le bol de l’immigration de plus en plus agressive » et ont enjoint « l’Europe à aider les pays en guerre à la source », précisant que « Calaisiens en colère » était un mouvement « apolitique » et « non raciste » et qu’il espérait faire tâche d’huile dans tout le pays, demandant à ce que « Calais soit un exemple de protestation contre l’immigration clandestine au niveau national ».

    http://fr.novopress.info/194477/calais-colere-anti-invasion-migratoire-prend-lampleur/

  • LE BLANC ET LE NOIR: un nouveau blog européen au meilleur sens du terme:

  • Immigration – Malgré l’interdiction de la mairie, 600 Calaisiens en colère manifestent une nouvelle fois

    CALAISIENS en colère 4

    Calais – Plus de 600 manifestants réunis à l’appel du collectif « Calaisiens en colère » ont défilé ce samedi à Calais afin de protester contre la présence des 6000 migrants du camp de la « Jungle ».

    C’est la seconde manifestation organisée par les « Calaisiens en colère ». Le 4 octobre dernier, malgré l’interdiction du maire, les manifestants s’étaient rassemblés sur une plage de Calais.

    « Calais doit être un exemple de protestation contre l’immigration clandestine au niveau national« , a déclaré Sarah Guerlach, l’une des représentantes du collectif et riveraine du camp de la « Jungle ».

    Cette fois encore, la manifestation était interdite mais les participants ont bravé la décision de la mairie. Drapeaux tricolores en tête et pancartes « Calais en détresse, que nous cache l’Etat? », les manifestants ont scandé « Stop à l’immigration clandestine« . Une banderole « Soutien aux forces de l’ordre, aux pompiers et aux agents hospitaliers » était très visible.

    http://www.medias-presse.info/immigration-malgre-linterdiction-de-la-mairie-600-calaisiens-en-colere-manifestent-une-nouvelle-fois/42454