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immigration - Page 1216

  • Il joue le déséquilibré : "Non, moi, je ne décapite personne"

    Un homme de 34 ans a été condamné par le tribunal correctionnel de Versailles, à une peine de 2 ans de prison dont 6 mois avec sursis. La justice lui reproche d’avoir menacé de mort deux éducateurs d’une association et un agent de l’aide sociale à l’enfance du conseil départemental.

    Lors d’une visite avec sa fille de 18 mois, placée depuis sa naissance dans une famille d’accueil, le papa les a menacés de les égorger et les décapiter avec son sabre alors qu’une éducatrice venait de prendre l’enfant dans ses bras. Cet homme d’origine portugaise, converti à l’islam, a également traité une fonctionnaire de police de « sale chrétienne » avant de lui conseiller d’avoir peur des musulmans.

    Dans le box des prévenus, il joue le malade mental et se veut rassurant :

    « Oui, j’ai dit tout cela mais sans jamais avoir eu l’intention de le faire. Non, moi, je ne décapite personne. Vous pouvez demander à mon boulanger ».

    L'individu a déjà été condamné 16 fois.

    Michel Janva

  • Envahisseurs en Italie : « Nous voulons des sous, le wi-fi et la bouffe n’est pas bonne ».


    Ces jeunes hommes – « migrants » et soi-disant « réfugiés » – se plaignent de devoir se déplacer à pied pour trouver un endroit avec wi-fi, que la nourriture est mauvaise et qu’il n’est pas admissible de dormir à 5 dans une pièce.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • Immigration : la police s'alarme de l'arrivée massive de clandestins

    Une réunion de crise s'est tenue à Nice à la suite d'une note confidentielle de la Police aux frontières alertant sur l'entrée en France, via la frontière italienne, d'un grand nombre d'illégaux érythréens.

    La pression de l'immigration clandestine devient intenable à la frontière entre la France et l'Italie. C'est ce que révèle un document confidentiel dont Le Figaro a eu connaissance. Il émane de la direction zonale sud de la Police aux frontières (PAF). Il s'agit du «compte rendu» d'une «réunion exceptionnelle» qui s'est tenue, le 9 juillet dernier, à la préfecture des Alpes-Maritimes, «provoquée», est-il précisé, par le «phénomène migratoire érythréen». Le préfet des Alpes-Maritimes en personne, Adolphe Colrat, a présidé cette réunion. Elle rassemblait une trentaine d'agents de haut rang, dont des chefs de service de Menton, Nice, Marseille, Toulon, Avignon, et jusqu'aux Alpes-de-Haute-Provence. Des responsables locaux de la gendarmerie, des douanes et de la SNCF étaient également conviés.

    Leur constat se veut clinique. Tout part d'un «état statistique des migrants par voie maritime en Italie»: «Entre le 1er janvier et le 30 juin 2014, 61.591 migrants irréguliers ont débarqué en Italie, ils n'étaient que 7913 pour la même période en 2013, et seulement 4301 pour les six premiers mois de l'année 2012. Les Érythréens représentent 31 % de ces migrants (18.282). Les Syriens arrivent en seconde position, avec 10.371 (17 %).»

    La suite? «Ce sont les répercussions en France, et nous les vivons maintenant», explique un agent de la Police aux frontière de la zone sud. Le rapport du 9 juillet indique ainsi que «les migrants en provenance de la Corne de l'Afrique et du Soudan sont au nombre de 5757 au 30 juin 2014. Il s'agit principalement d'Érythréens (ou de personnes se déclarant érythréens), pour 5235 (d'entre eux), soit 91 % des personnes interpellées».

    Un flux jamais vu depuis le printemps arabe

    Le compte rendu, remonté jusqu'au cabinet du ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, précise que «la pression migratoire sur la frontière avec l'Italie s'est accentuée à partir du début du mois d'avril 2014. 694 Érythréens étaient interpellés contre seulement 68 interpellations entre janvier et mars 2014. Les interpellations progressaient de + 165 % au mois de mai (1845) et encore de 43 % au mois de juin (2628). Au total, pour le premier semestre, 2014, la PAF procédait à 5235 interpellations.» Du jamais-vu depuis les vagues du printemps arabe de 2010. Il y a bien une explosion de passages d'illégaux en France. Selon un agent en poste dans la région niçoise, «les clandestins arrivent principalement par TGV, avec des billets en règle, par dizaines désormais dans certaines rames de train». Cette source confie que «pour le seul site de la gare de Menton, 3462 interpellations» ont été effectuées par la PAF «depuis le début de l'année». «Les forces de l'ordre constatent depuis plusieurs jours la présence plus marquée de femmes et enfants érythréens», ajoute un officier de police de cette direction spécialisée. Et les forces de l'ordre ne voient pas tout…

    Beaucoup de migrants tenteraient de rejoindre l'Allemagne. Mais pas seulement. C'est, en tout cas, en France que l'essentiel des interpellés est relâché dans la nature. Car le document issu de la réunion de crise à la préfecture des Alpes-Maritimes révèle l'incroyable dénuement de l'administration face à ce phénomène d'ampleur inédite. Certes, les brigades mobiles de la PAF ont pu arrêter 26 passeurs localement, dont deux dans les Bouches-du-Rhône. Mais du point de vue des mesures administratives et judiciaires, les moyens d'action demeurent limités.

    «Depuis le 1er janvier 2014, 3411 remises immédiates en Italie ont été réalisées, 882 Érythréens ont été laissés libres après procédure», indique le préfet de Nice. Par ailleurs, 881 d'entre-eux ont fait l'objet d'un OQTF (obligation de quitter le territoire) «libre». En clair: il est demandé à ces ressortissants étrangers de quitter le pays par eux-mêmes…

    Sur les 5235 interpellés, 57 ont également été «réadmis» en Italie (au titre d'une procédure spéciale) et seulement 4 placés en centre de rétention administrative, ces structures censées faciliter le retour au pays. «Au final, ceux qui restent s'ajoutent à ceux qui souvent reviennent», résume un fonctionnaire de la PAF. Car les procédures Schengen sont à ce point complexes que l'Italie et la France semblent en partie désarmées.

    Le rapport du 9 juillet décrit, en termes choisis, le mécanisme de cette relative impuissance: «La procédure subséquente aux interpellations à proximité de la frontière italienne permet une remise immédiate aux autorités italiennes. Hors ce périmètre, les contraintes liées aux difficultés de l'interprétariat et de traitement avec plusieurs étrangers demandent un diagnostic précis de la situation administrative.»

    Ses rédacteurs ajoutent: «L'absence de document d'identité ou d'éléments objectifs justifiant la provenance d'Italie rendent la sollicitation auprès de ce pays d'une réadmission effective impossible. Dans le cas d'espèce, une obligation à quitter le territoire est notifiée à l'étranger.» Autrement dit, comme expliqué plus haut, une invitation à partir dont la suite dépend du bon vouloir du clandestin…

    Comme un certain nombre d'illégaux réclament, par ailleurs, le statut de réfugié. Et «une demande d'asile est alors instruite» avec logement «en centre d'accueil pour demandeur d'asile (Cada).» Dans ce contexte, on s'interroge sur les gains espérés de la future réforme Cazeneuve, censée «sauver» la procédure de l'asile en France, notoirement sur le point d'imploser.

    Ce n'est pas tout. La loi socialiste de 2012, qui interdit notamment de poursuivre ceux qui aident les clandestins de façon ponctuelle, achève de ruiner l'efficacité policière. Le compte rendu du 9 juillet dernier l'exprime poliment: «La modification de l'incrimination de l'aide à la circulation et l'absence de déclarations mettant en cause les accompagnateurs et les trafiquants rendent difficiles les poursuites pénales à l'encontre des passeurs.»

    Tout est dit. La Police aux frontières du Grand Sud réclame dans cette note d'alerte des renforts, qui commencent à arriver. Mais pour quels résultats sans moyens légaux adaptés?

    La PAF conclut, un brin dépitée, «pour l'instant, un système organisé de trafic n'est pas encore établi.» «Le rapprochement avec les policiers italiens sur cette thématique permettra un meilleur ciblage», se prend-elle à espérer. Été laborieux en perspective pour Bernard Cazeneuve.

    Les réseaux de passeurs sous haute surveillance

    Dès le 15 avril dernier, le préfet des Alpes-Maritimes a arrêté un plan d'action pour canaliser le flux des clandestins érythréens notamment. Des effectifs de la Police aux frontières zonale ont été dépêchés sur les réseaux routier et ferré.

    Le poste de Menton, point d'entrée majeur, a été renforcé, en plus des unités chargées de l'investigation sur les réseaux de passeurs, qui intègrent désormais les effectifs des Brigades mobiles de recherches de la PAF des départements 06, 83, 13 et 84.

    Le suivi des interpellations est assuré par 9 fonctionnaires supplémentaires qui assurent une permanence judiciaire de 6 heures à minuit, 7 jours sur 7.Le 10 juillet, s'est tenue une réunion entre la PAF, le centre frontière de Vintimille et les autorités italiennes, afin de coordonner leurs actions. Des patrouilles mixtes devraient être engagées de part et d'autre de la frontière. Le préfet de Nice propose qu'un bilan d'activité hebdomadaire soit établi chaque mardi.

    source : Le Figaro :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuFApAyykFKypJHTGX.shtml

  • Immigration, le référendum slovaque dont les médias ne vous parleront pas – « La Slovaquie n’est pas l’Afrique », clame le peuple

    Slovaquie n'est pas l'Afrique

    L’immigration semble partout s’imposer comme le sujet du moment.

    Un accord de coopération en matière d’asile signé le 21 juillet 2015 entre la Slovaquie et l’Autriche prévoit que 500 « réfugiés » qui séjournent au centre d’accueil de Traiskirchen en Autriche seront transférés en Slovaquie où ils seront hébergés dans un bâtiment désaffecté au sein de l’Université technique slovaque située à  Gabcikovo.

    Gabcikovo se trouve en Slovaquie. à la frontière Sud-Ouest du pays, proche de l’Autriche, dans une région de langue hongroise.

    Mais le maire de  Gabcikovo ne l’entend pas de cette oreille.  Le dimanche 2 août 2015, il a donc organisé un référendum dont les médias du système se garderont bien de vous parler.

    La question était simple et demandait si la population de cette municipalité de 5.100 habitants était d’accord d’accueillir 500 immigrés.

    La réponse a été aussi claire que la question. Les 50 % de participation des habitants nécessaires à la validité du référendum ont été largement atteints et les habitants ont dit « Non » à 97 %.  

    http://www.medias-presse.info/immigration-le-referendum-slovaque-dont-les-medias-ne-vous-parleront-pas-la-slovaquie-nest-pas-lafrique-clame-le-peuple/36597

  • Les migrants mécontents de l’accueil en France

    Actuellement, 25.000 d’entre eux sont logés en CADA (centre d’accueil pour demandeurs d’asile), dont le nombre de places a quadruplé en dix ans.

    « La nourriture est mauvaise et insuffisante. Tous les jours, nous sommes contraints de frauder parce que le centre ne nous fournit pas de titres de transport. » Les migrants sont mécontents de l’accueil qui leur est réservé en France, comparé à des « conditions de détention ». Et ils le font savoir, grâce au précieux concours de leur comité de soutien La Chapelle en lutte. Mardi, ils ont bloqué l’accès d’un centre Emmaüs près de l’hippodrome de Vincennes, qui les héberge depuis plusieurs mois. Parmi leurs revendications : des tickets de métro, un lave-linge, un rendez-vous à la préfecture sous deux semaines pour les domiciliés et une domiciliation sous dix jours pour les autres. Le soir même, ils avaient obtenu gain de cause.

    « On veut juste un toit », réclament les clandestins qui ont investi le lycée désaffecté Guillaume-Budé, dans le 19e arrondissement. « Juste » un toit. Comme si c’était la moindre des choses, comme si ça tombait du ciel. Les millions de Français mal logés, en attente d’un HLM, chômeurs ou en situation précaire, qui ne bénéficient d’aucun passe-droit, apprécieront. « La France mais surtout Paris leur doivent l’hospitalité », assène Bruno Julliard, premier adjoint d’Anne Hidalgo, qui souhaite engager le « dialogue » avec les clandestins et exclut, pour l’heure, toute expulsion. Nul doute que cette complaisance irresponsable, découlant de motivations purement clientélistes, ne manquera pas de générer un vigoureux appel d’air.

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  • Qui veut la fin des peuples européens ?

    Les politiques d'immigration aberrantes menacent l'existence des peuples d'Europe. Faut-il y voir une fatalité ou une conséquence voulue ?

    L'écrivain Renaud Camus a appelé l'évolution démographique vers laquelle tend rapidement notre pays « le grand remplacement », Il en a récemment donné à nos confrères de l'Action française la description suivante : « Un peuple était là, stable, occupant le même territoire depuis quinze ou vingt siècles. Et tout à coup, très rapidement, en une ou deux générations, un ou plusieurs peuples se substituent à lui, il est remplacé, ce n'est plus lui. (...) On peut penser à une sorte de taylorisme tardif, généralisé : au début ce sont les pièces qu'on change, ensuite ce sont les hommes et finalement les peuples. »

    Selon Camus, ce « grand remplacement » procéderait donc d'une volonté. Il lui a été reproché, y compris par Marine Le Pen, de succomber au mythe du complot « Le concept de grand remplacement suppose un plan établi. Je ne participe pas de cette vision complotiste, déclarait la présidente du Front national auJournal du Dimanche en novembre 2014. Je pense de manière plus pragmatique que l’immigration est utilisée depuis trente ans par les grands milieux financiers pour peser à la baisse sur les salaires, avec une grande efficacité si j'en crois les derniers chiffres. »

    Alain Griotteray dénonçait déjà ce calcul en 1984, dans son livre Les immigrés, le Choc(1). Le grand patronat français, expliquait-il, a vu dès le début des années 1960 « un volant de "main d'œuvre flexible ", facile à aller chercher, souple d'emploi, faiblement syndiquée et peu exigeante en matière de salaire. » Georges Pompidou, premier ministre, devait l'expliquer clairement devant l'Assemblée nationale, le 3 septembre 1963 : « L'immigration est un moyen de créer une certaine détente sur le marché du travail et de résister à la pression sociale. »  A l'époque, les entrées de travailleurs étrangers sur le territoire français concernaient déjà jusqu'à 200 000 personnes par an.

    Marine Le Pen n'a donc pas tort ; mais a-t-elle complètement raison ? L'autorisation du regroupement familial en 1976 (Giscard d'Estaing étant président et Jacques Chirac premier ministre), peut, certes, s'expliquer par des motifs humanitaires et le souci de ne pas éloigner les travailleurs immigrés de leurs familles restées au pays. Mais cela n'explique pas les discours officiel cherchant à convaincre les citoyens que l'immigration est « une chance pour la France » (Bernard Stasi en 1984) ; que sans elle, la France serait « un pays vieillissant de quarante millions d'habitants, dont le niveau de vie serait beaucoup plus bas qu'il ne l'est aujourd'hui » (Jacques Attali, mars 1997) ; que « les racines de l'Europe sont autant musulmanes que chrétiennes » (Jacques Chirac, octobre 2003) ; qu’ « il n'y a pas de Français de souche, il n'y a qu'une France de métissage » (Eric Besson, ministre de l'identité nationale de Nicolas Sarkozy, janvier 2010) ; que  « la France est l'un des plus vieux pays d'immigration d'Europe » et que « notre pays ne serait pas ce qu'il est aujourd'hui sans cette multiplication de talents et d'atouts » (François Hollande, décembre 2014) ; et autres calembredaines...

    Cela n'explique pas non plus le maintien d'une politique délibérément malthusienne (avortement, contraception...) dans « un pays vieillissant », ni le refus d'établir des statistiques sur l'immigration, ni l'instauration de la préférence étrangère sous l'intitulé « discrimination positive », ni la multiplication des lois prétendument « antiracistes » bridant la liberté d'expression... Et cela n'explique pas davantage que toute l'Europe subisse le même phénomène, que la commission de Bruxelles, dont le président Jean-Claude Junker militait au mois de mai pour faciliter l'immigration légale, voudrait « élaborer une approche proactive de l'immigration », afin que celle-ci ne soit plus « perçue comme un fardeau à porter plutôt que comme une chance à saisir » (Rapport du groupe de réflexion au Conseil européen sur l'avenir de l'UE à l'horizon 2030).

    « Complot » ou pas, voilà de quoi se demander qui veut la dissolution des peuples européens, et à quelles fins.

    Hervé Blzien monde & Vie 2 juillet 2015

     

    I .Alain Griotteray, Les Immigrés, le choc. Pion, 1984

  • Taubira fait entrer la charia dans l’arsenal juridique français

    Je croyais notre République encore « laïque », mais voilà que la chancellerie pond onze pages discriminatoires au service de la seule communauté musulmane !

     

    Fin 2013, le concept islamique de la kafala était introduit au chapitre de l’adoption sous le vocable « Recueil légal ». Pour faciliter son application dans la seule communauté musulmane, Christiane Taubira l’entérine fin octobre 2014 avec effet immédiat. La kafala figure, d’ailleurs, en bonne place en Algérie et au Maroc. Non seulement notre laïcité vole en éclats, mais ce qui pourrait paraître sympathique à première vue occidentalisée se révèle, dans la pratique, source d’abus et de souffrance pour les enfants dans les milieux radicaux.

    « Il (Allah) n’a point fait de vos enfants adoptifs vos propres enfants » (Coran, 33 : 4). L’islam interdit l’adoption depuis que Mahomet épousa Zaynab, femme de son fils adoptif Zayd. Après s’être arrangé avec Allah pour justifier cet accouplement jugé incestueux, Mahomet mettait définitivement fin à la généreuse tradition bédouine d’adoption d’orphelins ou abandonnés ayant les mêmes droits que leurs frères et sœurs biologiques. En revanche, la kafala est « permise, voire recommandée », prescrit la fatwa du cheik Muhammad ibn Ibrahim. « Car il s’agit de bien traiter l’enfant, de lui assurer une bonne éducation religieuse, une orientation saine, et un enseignement utile ici-bas et dans l’au-delà. Cependant, l’on ne doit confier un enfant qu’à une personne connue pour son intégrité, sa piété, sa bonne conduite, son aptitude à sauvegarder les intérêts de l’enfant et son appartenance au pays d’origine de l’enfant. Ceci vise à empêcher qu’il l’emmène à un pays où son séjour risque à l’avenir de compromettre sa foi. »

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  • Le partage des ressources contre l'immigration

    Pour stopper l'immigration, supprimons les raisons d'émigrer.

    Depuis plusieurs mois, des dizaines de milliers de migrants, massés sur des embarcations de fortune, gagnent les côtes italiennes, prenant au dépourvu les pouvoirs politiques européens. Ce ne sont pas les tocards, ni les pusillanimes qui tentent l'aventure, mais les plus débrouillards et déterminés. D'autres choisissent la voie légale, le visa, pour s'installer en Europe - 200 000 chaque année en France, où le taux de chômage atteint 10 %, mais où les prestations sociales sont généreuses. Pour ces hommes et ces femmes, l'Europe est un pays de cocagne. Une fois installés en France, certains de ces immigrés s'assimilent ; d'autres pas. Les déracinés, en nombre pléthorique, versent, surtout lorsqu'ils sont musulmans, dans un communautarisme exogène et rejettent la culture française. Dans de nombreuses villes et quartiers où ils deviennent majoritaires, l'assimilation fonctionne même à l'envers et les Français de souche perdent leurs propres racines.

    La responsabilité de ces déplacements de populations incombe aux dirigeants politiques occidentaux qui ont récemment contribué à déstabiliser le Moyen-Orient et l'Afrique de l'Ouest,

    en travaillant à abattre, sous des alibis démocratiques mais avec des arrière-pensées moins désintéressées, les dictatures de Saddam Hussein en Irak en 2003, de Kadhafi en 2011, puis en soutenant la rébellion contre le régime de Bachar El-Assad.

    Mais aussi, historiquement, aux anciens colonisateurs non pas en raison de la colonisation, qui, comme l'a montré l'historien Jacques Marseille, a davantage coûté à la France qu'elle ne l'a enrichie ; mais, au contraire, parce que la France s'est débarrassée de ses colonies trop hâtivement. La décolonisation n'a pas été une bonne affaire pour les populations des pays pauvres, mais de grands groupes internationaux ont su en profiter, exploitant les ressources naturelles à leur seul profit et « au détriment du bien-être des populations locales », comme s'en indignait le pape Benoît XVI dans son exhortation apostolique Africae Munus, le 19 novembre 2011.

    L'Immigration choisie, pillage des cerveaux et des talents

    Les ressources humaines du continent, dont il aurait besoin pour se développer, sont elles aussi pillées par le biais de « l'immigration choisie », qui capte les talents. Un Rapport du groupe de réflexion au Conseil européen sur l'avenir de l'UE à l'horizon 2030 affirme ainsi que « l’UE doit élaborer une politique commune en matière d'immigration afin d'attirer les immigrants les plus qualifiés, talentueux et motivés, tout en prenant des mesures pour prévenir la perte de capital humain dans les pays d'origine ». Beau sens du paradoxe !

    En outre, les immigrés portent souvent les espérances de familles, qui se sont cotisées pour investir dans les frais du voyage. Elles en attendent un retour sur cet investissement, qui produit des effets néfastes pour les pays d'origine, selon un « rapport du groupe interministériel de réflexion sur l'immigration en France des ressortissants des pays d'Afrique noire », publié en 1992, les sommes envoyées de France par un seul Africain faisaient alors vivre 30 personnes au pays. Cette manne, s'ajoutant à l'aide internationale, perturbait l'économie et alimentait une « logique d'émigration totale ».

    Là seule solution durable pour limiter l'immigration consiste au contraire à permettre aux personnes de demeurer dans leur pays d'origine puisque, comme le rappelait déjà Léon XIII dans l'encyclique Rerum Novarum en 1891, personne « ne consentirait à échanger contre une région étrangère sa patrie et sa terre natale, s'il y trouvait les moyens de mener une vie plus tolérable ». En ce sens, le « partage des biens et des ressources » auquel appelait le pape Benoît XVI dans son encyclique Caritas in veritate, n'apparaît pas seulement comme un acte de charité et de justice, mais aussi comme une sauvegarde de notre propre nation.

     

    Eric Letty Monde&vie 

  • Un virage qui se dessine sur l'immigration

    Deux pages d'accueil successives sur le site internet du Figaro me donnent à penser que certains blocages sont en train de sauter.

    Le samedi 1er août c'était :"L'immigration, principale préoccupation des Européens", avec à la clef une étude par sondage réalisée ce printemps pour le compte de la Commission européenne.

    Ce lundi 3 août au matin c'est : "Migrants : la Mairie de Paris se retrouve sous pression".

    L'affaire de Calais, loin de Paris, loin des plages vacancières, loin de campagnes aujourd'hui encore ensoleillées, loin de Neuilly aussi, plus loin encore des palais nationaux, a longtemps semblé une affaire, désagréable certes, mais que nos technocrates et nos gendarmes allaient régler pendant que nous fermons les yeux.

    À Lampedusa, à Mytilène, aux confins de l'Espagne et du Maroc ? Que l'Europe du sud se débrouille, nous ne voulons pas le savoir.

    D'excellents esprits viennent aussi nous assurer que, grâce aux immigrés devenus sémantiquement des "migrants", – avez-vous remarqué l'invasion des éléments de langage ? – nos retraites par répartition allaient être sauvées. Pure illusion, grossier mensonge.

    Et puis, aujourd'hui même à Paris, on découvre qu'un lycée désaffecté du 19earrondissement a été envahi malencontreusment par des "chances pour l'Europe". Ses occupants illégaux viennent compliquer l'existence tranquillement dépensière d'un des centres de pouvoir les plus infectés d'idéologie bien-pensante et socialo-communiste : l'équipe municipale Hidalgo. La voici obligée de protester par des mots absurdes : "Ce n'est pas en envahissant un équipement public qu'on trouve de l'hébergement", explique-t-on, si j'en crois Le Figaro au cabinet du maire. Accessoirement les mêmes bureaucrates ne nous expliquent pas comment "on" obtient gain de cause.

    On nous dit que "la Mairie de Paris refuse également de céder au 'chantage inadmissible'des migrants du lycée Jean-Quarré, qui réclament l'aménagement d'un gymnase pour s'y installer." "On réfléchit au fait de faire intervenir les forces de police", – réfléchissez, réfléchissez, ‑ mais la situation est claire : "le dialogue est pour le moment rompu. Une réunion de crise devrait se tenir ce lundi matin à la Mairie de Paris pour trouver une solution." Bien sûr, dira-t-on, c'est la version du Figaro, pas trop favorable à l'insupportable Hidalgo.

    Nous sommes certes assaillis de désinformation à jet continu. Mais cela, nous le savons aussi, de plus en plus, avec plus ou moins de conscience de cette dommageable intensité.

    La fin des euroscepticismes plus ou moins fabriqués, plus ou moins manipulés, des deux côtés de la Manche, n'est sans doute pas pour demain.

    Au moins la purulence grandissante de ce dossier a-t-elle permis à un nombre non négligeable d'Européens d'ouvrir les yeux : on observe dans toute l'Europe le même verrouillage idéologique, dans les salles de rédaction, dans les sacristies régimistes, dans les réseaux de pouvoir.

    On aura eu beau forger, ou réinventer, le concept supposé excommunicateur de"populismes" – pouah ! –, un mot qui désignait autrefois les démocrates-chrétiens, – dans des régimes démocratiques, même imparfaits, c'est toujours l'opinion qui porte au pouvoir telle ou telle force politique. C'est aussi l'opinion, bonne ou mauvaise conseillère, qui fait évoluer les partis du système, et, s'ils n'évoluent pas c'est enfin l'opinion qui fait gonfler les voiles, plus ou moins éphémères, de partis concurrents, même factices.

    Ce qui s'est passé en France depuis 30 ans a été freiné, manœuvré par la rivalité Chirac-Mitterrand, les deux joueurs ayant fait l'un comme l'autre bon marché de l'intérêt du pays, et de l'opinion profonde du peuple, pour ne s'intéresser qu'à leur petit billard politicien.

    Ce temps n'est plus. Le billard post-mitterandien du disciple Hollande ne lui arrive pas à la cheville. Celui des post-chiraquiens n'intéresse plus qu'eux-mêmes et les petits marquis des médias.

    Il paraît donc temps, en France et dans toute l'Europe, que les citoyens reprennent les mandats usurpés par la classe politique et captés par les technocrates, redéfinissent ce qu'ils attendent des institutions européennes, et construisent à nouveau, enfin, l'Histoire du continent.

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/page/2/

  • A Calais, l’extrême gauche tente d’organiser les assauts des immigrés

    Des militants, français et britanniques, anarchistes et d’extrême-gauche ont été repérés à faire de la manipulation de migrants pour organiser des tentatives d’intrusions massives dans le tunnel sous la Manche et provoquer des affrontements violents avec les forces de sécurité.

    Selon Gilles Debove, du syndicat de police Unité SGP Police-FO, certains de ces anarchistes ou militants d’extrême-gauche appartiennent au groupe No Borders.

    Il a déclaré au journal britannique Telegraph que ces anarcho-communistes cherchent à manipuler les migrants au nom de leur combat pour imposer un pays sans frontières et sans police.

    « Parmi ces militants, il y a quelques Britanniques », a-t-il ajouté. « Pour l’instant, ils ont été autorisés à agir en toute impunité. Il est temps qu’il y ait un retour à l’état de droit: ils doivent être identifiés et arrêtés. »

    « Ils cherchent aussi à attiser la haine des migrants contre la police », a-t-il averti.

    http://www.medias-presse.info/a-calais-lextreme-gauche-tente-dorganiser-les-assauts-des-immigres/36461