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immigration - Page 1221

  • L'Etat islamique choisit la Bosnie pour installer son premier cap d'entraînement en Europe

    BoQue fait l'UE? que fait François Hollande?

    Se souvient-on seulement que la Bosnie est à 900 kms et 10h de voiture de la France et qu'elle a une frontière quasi-commune avec la Hongrie (via la Croatie), membre de l'espace Schengen?

    "L’ennemi est dans nos murs. Selon le Daily Mirror, l’Etat islamique possède désormais son premier bastion sur le sol européen, en Bosnie plus précisément. Toujours selon le quotidien britannique, le groupe djihadiste acquière en ce moment, et de manière secrète, des propriétés dans un village situé à 100 km de Sarajevo. But de l’opération immobilière : établir un camp d’entrainement en Occident.

    Le village en question, qui porte le nom d’Osve, est idéalement placé puisqu’il est proche de la mer Adriatique et, par conséquent de la mer Méditerranée. De plus, la Bosnie est à un carrefour qui convient parfaitement aux djihadistes : proche de la Serbie et donc de la Turquie, pays par lesquel circulent les terroristes.

    Difficile d’accès, le village n’est pas marqué sur les cartes GPS. 12 combattants de l’EI y ont déjà été formés avant de rejoindre la Syrie, 5 d’entre eux auraient été tués. "Nous entendons régulièrement des coups de feu provenant des bois, à chaque fois pendant des périodes prolongées. Cela arrive chaque semaine", a déclaré un villageois au journal.

    L’un des propriétaires des habitations d’Osve serait un dénommé Harun Mehicevic, sympathisant de l’EI vivant sur le territoire australien. Jasin Rizivic, Osman Kekic et Izet Hadzic, tous proches du groupe djihadiste, feraient également partie des acquéreurs (suite).

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Incendie de Berre-l'Etang : les drôles de coïncidences d'un "acte malveillant"

    Le 14 juillet 2015, deux événements se sont télescopés, l'incendie d'un site d'hydrocarbures à Berre-l'Etang et le discours présidentiel. Ils ont pourtant un point commun "l'acte malveillant" à Berre-l'Etang et le "nouvel ennemi" n'ont pas été clairement définis par les autorités. L'actualité géopolitique et l'histoire nous donnent des clefs de compréhension pour comprendre cet incendie.

    Des coïncidences troublantes

    Le 14 juillet, à 3 heures du matin, deux cuves d'hydrocarbures sur le site de Lyondellbasell à Berre-l'Etang prennent feu. Toute la journée du 14 juillet, les autorités évoquent un "acte malveillant". Les éléments de langage ne feront jamais allusion à "un attentat", alors que cette hypothèse n'est pas à exclure. Cet incendie se situe dans la continuité de l'attaque du site gazier d'Air Products à Saint-Quentin Fallavier du 26 juin. Les sites d'hydrocarbures français constituent désormais des cibles pour les terroristes islamistes, comme l'ont été la raffinerie de Baïji en Irak, en avril 2015 ou le site d'exploitation de gaz à In Amenas en Algérie, en janvier 2013. La région marseillaise représente le tiers des capacités de raffinage français, les deux cuves de Berre-l'Etang éloignées de 500 mètres ont été touchées simultanément. On sait qu'un troisième dispositif de mise à feu rudimentaire a été trouvé sur une cuve. Les doubles ou triples attentats sont pourtant la marque de fabrique de l'Etat islamique et d'Al Qaeda. L'incendie se déroule le matin du 14 juillet, jour de la fête nationale. Or les terroristes cherchent des dates symboliques, religieuses ou nationales, pour commettre un attentat et créer un effet de sidération sur l'opinion publique.

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  • Droit du sol, un sujet résolument tabou ?

    Pourquoi ne pas enfin donner la parole au peuple de France et lui demander qui sont véritablement ses compatriotes ?

    Un projet de loi relatif aux droits des étrangers entre en discussion à l’Assemblée. Sous le signe de la canicule, les débats devraient être très chauds, tant le sujet est sensible, même – et probablement surtout – pour des Français incomplètement avertis des enjeux véritables.

    L’Élysée présentait ce projet en 2014 en l’éclairant d’une pompeuse et solennelle déclaration : « L’immigration peut être une opportunité pour la France, si elle est maîtrisée, si l’accueil des talents est encouragé et si l’intégration est favorisée. »

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  • Marine Le Pen appelle à s'opposer à un projet de loi "criminel" sur l'immigration

    La présidente du Front national Marine Le Pen s'est insurgée lundi contre le projet de loi sur le droit des étrangers, dont l'examen va débuter lundi à l'Assemblée nationale, qu'elle qualifie de "loi criminelle".

    Mme Le Pen y voit le deuxième volet d'une "folle dérive immigrationniste", qui va selon elle inciter "les étrangers à rester durablement et à s'installer en France, notamment par une nouvelle carte de séjour pluriannuelle".
    "Sur le volet de l'immigration clandestine, l'angélisme prévaut, qui aura pour conséquences d'un côté la multiplication des drames en Méditerranée et de l'autre, la saturation de notre système d'accueil et tous ses problèmes en matière de sécurité et de santé", critique aussi la patronne du parti d'extrême droite.
    "Le Front national, lui, veut faire tendre vers zéro le nombre d'entrées légales chaque année en France, alors qu'il se maintient à 200.000 depuis les années Sarkozy", précise le communiqué.
    Dans son programme, le FN défend l'idée de ramener à 10.000 le nombre d'entrées légales annuelles.
    Mme Le Pen propose aussi dans ce communiqué un "rétablissement de nos frontières nationales, la reconduite systématique des clandestins chez eux et la suppression de toutes les incitations sociales à l'immigration illégale".
    Pour Marine Le Pen, "en suivant aveuglément les injonctions de Bruxelles, le PS de François Hollande tout comme l'UMP (désormais Les Républicains) de Nicolas Sarkozy méprisent les droits des Français et ne pensent qu'à ceux des étrangers".
    Les députés examinent à partir de lundi le projet de loi "droit des étrangers", dont la mesure phare est la création d'un titre de séjour pluriannuel pour éviter aux étrangers en règle des passages répétés et anxiogènes en préfecture.

    Source : Afp via yahoo :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuFZupkVVAWvUaOtAb.shtml

  • La Hongrie érige une barrière pour empêcher les immigrés clandestins de passer

     

    La Hongrie a commencé le 13 juillet à construire une barrière tout le long de sa frontière avec la Serbie pour empêcher les immigrés clandestins de la franchir. Pour le journal Le Monde, “c’est un mur de plus, une barrière plus précisément, qui s’érige entre l’Europe et le reste du monde” (sic).

    Les travaux de la nouvelle clôture ont commencé près de Morahalom, à 180 km au sud-est de la capitale hongroise, Budapest. Des dizaines de milliers de clandestins venus du Proche-Orient et d’Afrique empruntent la route des Balkans – Grèce, Macédoine, Serbie – pour tenter de passer ensuite en Hongrie, membre de l’UE et qui fait partie de l’Espace Schengen.


    La Hongrie commence à ériger une barrière anti… par lemondefr

     

    http://fr.novopress.info/

  • La guerre est déclarée ! 17 gendarmeries et commissariats attaqués en juillet. En toute impunité

    Dinan, samedi, une bande de 30 jeunes (vous aurez compris de qui il s’agit, même au cœur de la Bretagne) a pris d’assaut la gendarmerie transformée en camp retranché. Rien que dans les 15 premiers jours de juillet, ce sont 17 commissariats et gendarmeries qui ont subi les attaques de sauvageons. À coups de mortiers, de cocktails Molotov, de fusils à plomb, de pierres. Rien qu’aux Ulis, le commissariat a été assailli trois fois. À Neuilly-Plaisance, cent jeunes ont assiégé le local de la police municipale.

    Ainsi, en France, gendarmes et policiers sont régulièrement insultés, pris à partie, agressés par des jeunes, souvent très jeunes, sans réaction et en toute impunité puisqu’ils savent qu’en cas d’interpellations, la justice s’empressera de les remettre dans la rue. Même nos valeureux pompiers qui ont choisi de mettre leur vie en danger pour en sauver d’autres sont l’objet d’attaques commandos, souvent même d’embuscades. Il arrive fréquemment dans nos cités que des jeunes incendient qui une poubelle, qui la voiture d’un voisin, appellent le « 18 » pour caillasser, dès leur arrivée, les soldats du feu. Aux États-Unis, de tels actes sont considérés comme criminels et conduisent leurs auteurs tout droit en prison pour quelques années de réflexion, histoire de leur apprendre qu’on ne s’attaque pas impunément à ceux dont la devise est « sauver ou périr ». Il leur faut du cran pour respecter leur autre devise, « courage et dévouement », car ils savent qu’appelés dans ces cités, ils auront à faire face à la haine brutale de ces jeunes Français de papier que la justice excuse sous prétexte que l’État ne leur a offert ni travail, ni éducation.

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  • Richard Robert, le premier « Djihadiste » français : pourquoi nous publierons son témoignage

    L’événement eut un grand retentissement médiatique il y a douze ans, des deux côtés de la méditerranée. En 2003, Richard Robert, 31 ans,  alias « l’émir aux yeux bleus »,  était jugé par la Cour Criminelle de Rabat (Maroc).  Les chefs d’accusation étaient très sévères : « atteinte à la sûreté de l’Etat » et «appartenance à une bande criminelle terroriste »,  en l’espèce était visée ici sa participation  à l’organisation de camps d’entraînement djihadistes dans le Nord du Royaume pour lancer une campagne visant à déstabiliser la monarchie et instaurer un Etat islamiste. Le contexte était on ne peut plus défavorable. Le 16 mai de cette année-là,  des attentats suicide  à Casablanca avaient fait 43 morts et une centaine de blessés. L’avocat général avait demandé la peine de mort.  Bien qu’exonéré personnellement de tout crime de sang, et acquitté de ce chef,  Richard Robert fut condamné à la réclusion criminelle à perpétuité.

    Né en 1972 dans le département  de la  Loire près de Saint-Etienne, issu d’une famille française ordinaire, honnête, simple et laborieuse, Richard Robert s’était converti à l’islam à l’âge de 18 ans en fréquentant des ressortissants Turcs. Après un séjour  à Istanbul, au cours duquel il se radicalise, puis un « voyage initiatique »  en Afghanistan, où les islamistes sont à l’époque soutenus par les pays occidentaux contre les soviétiques, et où il apprendra le maniement des armes et des explosifs, il s’installe à Tanger (Maroc) au milieu des années 90,  s’y marie et y vit de petits boulots. Il  y  fréquentera  assidument prédicateurs et mosquées salafistes qui continueront à l’endoctriner jusqu’au dénouement fatal  de cette dérive.

    Au bout de trois années de détention, au terme d’un cheminement intérieur et  avec un courage qui n’échappera à personne, Richard Robert abjure publiquement  l’islam, et annonce sa reconversion à la foi catholique. Considéré dès lors comme renégat par les islamistes détenus dans les prisons marocaines, cela lui  vaudra de nombreuses menaces de mort et contraindra l’administration pénitentiaire  marocaine  à le changer de prison.

    J’ignorais tout de cette histoire jusqu’à ce que je sois contacté, en tant qu’élu de la région Rhône-Alpes, par le père et la mère  de Richard Robert. Je pense que, dans leur détresse, ils ne voyaient pas le caractère paradoxal de leur démarche : s’adresser à une personnalité politique qui combat sans équivoque la montée de l’islamisme en France ! S’adresser à un élu du Front National, de surcroît combattu par le Système, et sans aucune influence, bien sûr, sur la machine judiciaire ! J’ai cependant été ému par la détresse de cette famille modeste et simple pour qui le monde s’est écroulé à la suite de la condamnation de leur  fils, et qui à l’époque craignait sérieusement pour sa vie.

    Grâce aux efforts de son opiniâtre défenseur Maître Courcelle-Labrousse, et sans doute du Ministère des Affaires Etrangères, nous pûmes obtenir la possibilité pour Richard Robert de purger sa peine en France, comme le prévoit   la convention franco-marocaine du 10 août 1981 sur le transfèrement des personnes condamnées des deux pays. Nous obtiendrons finalement gain  de cause en 2012 avec le retour du Français  dans une  geôle de son pays natal, d’abord à Fleury-Mérogis, puis à la Maison Centrale d’Yzeure, près de Moulins. Il restait à homologuer sa peine en France. En l’absence de crime de sang l’impliquant personnellement, les faits pour lesquels il avait été condamné n’étaient passibles, en droit français et à l’époque où ils ont été commis, « que » de dix années d’emprisonnement.

    Cela laissait à l’intéressé la possibilité de refaire sa vie. Les tribunaux français, et tout récemment la Cour de Cassation, ne l’ont pas entendu ainsi, lui appliquant l’état du droit français actuel, beaucoup plus sévère, soit une peine de 30 années de prison, rarement prononcées par nos propres juridictions pour des faits commis en France, même à l’encontre des assassins les plus endurcis. Il ne m’appartient pas de commenter ces décisions. Mais il m’est permis de faire connaître le témoignage de ce condamné.

    Car le cas de Richard Robert est exemplaire à plus d’un titre : celui du dévoiement de certains jeunes idéalistes dans la société française, une société qui a largement perdu ses racines, sa culture, ses valeurs spirituelles. Une société qui ne propose plus à sa jeunesse d’idéal commun. Une société dont les principaux moteurs sont le fric, le sexe, la réussite matérielle individuelle…et encore ! Car les jeunes Français savent bien qu’ils sont pour la plupart contraints de  réévaluer au plus juste la réussite matérielle qu’ils escomptaient, compte tenu de l’absence de perspectives économiques, et des entraves que rencontre dans la France d’aujourd’hui toute initiative entrepreneuriale.

    Voilà l’un des terreaux sur lesquels prospère l’engagement le plus radical, et pas seulement chez les jeunes déracinés issus de la folle politique d’immigration massive, mais bien chez des Français « de souche » !

    Richard Robert accepte son destin avec patience, et même avec une résignation exemplaire. Il ne demande rien. Ou plutôt, une seule chose : il voudrait du moins que sa jeunesse perdue et sa vie brisée ne soient pas totalement inutiles. Il voudrait témoigner, pour éviter que d’autres suivent le même chemin de perdition. Il connaît les doctrines, les méthodes, les pratiques, les filières, des recruteurs du Djihad. Il veut mettre en garde ceux qui seraient tentés de les suivre. Il le souhaite ardemment, serait-ce au péril de sa vie, car il n’est pas certain aujourd’hui que les prisons françaises soient beaucoup plus sûres que les prisons marocaines.

    Je suis de ceux qui pensent que chacun a droit à une deuxième chance. Et je souhaiterais que Richard Robert, qui a déjà accompli une durée de peine qui correspond chez nous à celle que subissent les pires criminels,  puisse un jour, pas trop lointain, se voir donner la possibilité de travailler librement pour le bien de la société, et non pour sa destruction. Mais même ceux qui ne partagent pas cette opinion, trouveront intérêt aux mises en garde de Richard Robert.

    Ce système terroriste, ce fanatisme à prétention religieuse étonnent à chaque fois les commentateurs. Ils ne veulent y voir que des cas individuels, des fous, des criminels sans doctrine. Richard Robert a vécu cela de l’intérieur. Il nous l’explique. Il commente, il dissuade, il avertit, il réfute les appels des fanatiques. C’est pourquoi nous publierons prochainement sur ce site les avertissements que cet homme emmuré nous fait parvenir du fond de sa cellule. C’est nous qui serions fous de ne pas les entendre.

    http://gollnisch.com/2015/07/19/richard-robert-le-premier-djihadiste-francais-pourquoi-nous-publierons-son-temoignage/

  • "On prend les armes et on va les niquer ! Allah Akbar ! Allah Akbar !"


    Images
    C'est ce qu'ont crié de jeunes déséquilibrés à l'encontre de policiers venus les importuner, le 9 juillet à Reims.

    Ils ont lancé des pavés, des gravats et même des haltères.

    Michel Janva

  • Le Val-de-Marne, « terre d’import-export du djihad »

    Les islamistes ne se cachent même plus pour y effectuer des quêtes illégales sur la voie publique !

    Le Val-de-Marne, porte sud-est de Paris, « incubateur » du djihad ? Selon le FN-94, « terre d’import-export du djihad, il fait partie du Top 5 français » avec 130 suspects fichés. Et les islamistes ne se cachent même plus pour y effectuer des quêtes illégales sur la voie publique !

    Même si 130 connus, c’est peu – 0,01 % des Val-de-Marnais -, c’est tout de même inquiétant.

    Passons sur un Coulibaly qui, bien que n’habitant pas le « 9-4 », s’y promenait souvent près du bois de Vincennes. N’a-t-il pas choisi, en janvier, l’Hyper Casher de la porte de… Vincennes à Paris pour sa prise d’otages ?

    Mais il n’était pas le premier à fouler le sol val-de-marnais : une enquête de la chaîne privée Val-de-Marne TV note que la DGSI (Direction générale de la sécurité intérieure) avait interpellé en novembre 2013 à Cachan et Thiais quatre hommes d’une filière vers la Syrie…

    En octobre 2014, un autre Val-de-Marnais, Salim Benghalem, 34 ans, était classé « djihadiste wanted » par les États-Unis.

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  • Les résidents étrangers doivent près de 120 millions d'euros aux hôpitaux de Paris

    Les hôpitaux de Paris ont toutes les peines du monde à se faire payer par leurs patients résidant à l'étranger et venus se faire soigner en France. Leur dette cumulée envers l'Assistance publique - Hôpitaux de Paris s'élevait à près 120 millions d'euros, fin 2014, selon un document interne de l'AP-HP dont le contenu a été révélé par l'AFP, jeudi 16 juillet.
    Au 15 novembre 2014, l'AP-HP décomptait 118,6 millions d'euros de sommes non recouvrées auprès de patients, français ou non, résidant à l'étranger, ou de leurs assureurs. Un montant qui équivaut à plus du double du déficit de l'AP-HP pour ses activités de soins en 2014, soit 49 millions d'euros.
    Faire payer les patients par avance
    Parmi les pays les plus redevables, l'Algérie arrive en tête, avec 31,6 millions d'euros, suivie du Maroc (11 millions), des Etats-Unis (5,7 millions), de la Belgique (4,9 millions), de la Tunisie (4,7 millions) et de l'Italie (4,1 millions).
    De 2010 à 2014, le nombre de séjours liés à l'accueil de patients domiciliés à l'étranger a crû de 9,8%. Pour lutter contre les impayés, les hôpitaux de Paris feront payer à l'avance les patients pour les interventions programmées, à partir de septembre. Depuis 2013, l'AP-HP applique des majorations de 30% sur la plupart de ses tarifs pour les patients résidant à l'étranger, en dehors des urgences.
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