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immigration - Page 1218

  • Allemagne : succès de la manifestation anti-immigration Pegida

    20 000 manifestants se sont rassemblés lundi soir à Dresde, en Allemagne, à l'appel des Patriotes européens contre l'islamisation de l'Occident (Pegida) pour protester contre la politique d'asile du gouvernement.

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    Face à eux, 13 000 contre-manifestants sont venus clamer «Bienvenue aux migrants». Ces amis de la tolérance ont grièvement blessé un sympathisant de Pegida.

    Michel Janva

  • Élisabeth Lévy : « Au-delà de l’émotion, il faut penser la crise des migrants »

    Le dernier Causeur est dans les kiosques. Pour la journaliste Élisabeth Lévy, certains Européens redoutent « une nouvelle vague migratoire qui leur sera imposée alors qu’ils ne parviennent pas à intégrer les précédentes. »

     

    LE FIGARO. - Le nouveau numéro de Causeur est consacré à la crise des migrants. En sous-titre, vous affirmez : « La compassion n’est pas une politique. L’égoïsme non plus ». Certes, il faut sans soute dominer l’émotion, mais encore faut-il l’avoir tout d’abord ressentie, cette émotion…

    Elisabeth LEVY. - Pour commencer, il ne peut pas y avoir de devoir d’émotion. Or après la publication de la photo du petit Aylan Kurdi, non seulement nous avons été sommés de manifester notre émotion, et de la manifester bruyamment, mais toute tentative de réflexion, de mise en perspective, d’analyse a été tenue pour une preuve d’inhumanité, une sorte de trahison de l’espèce. Bien entendu, cela n’a duré que quelques jours, mais pendant lesquels le chantage compassionnel a atteint un niveau qu’on n’avait pas connu depuis longtemps. On aurait voulu que l’image de cet enfant nous interdise de penser. Je crois au contraire qu’elle nous ordonne de le faire. Raison pour laquelle je suis heureuse de publier le dialogue de très haut vol à ce sujet entre Renaud Camus et Alain Finkielkraut.

    Vous n’avez pas répondu. Prétendrez-vous n’avoir rien éprouvé en la voyant ?

    Bien sûr que j’ai été bouleversée, et alors ? Que faire de cette émotion, que suggère-t-elle ? Souffrir pour cet enfant est à la portée de n’importe qui, c’est le degré zéro de l’empathie humaine, c’est la preuve qu’on fait partie de la famille humaine. Penser avec lui, c’est autre chose. Or, alors que cette image raconte une situation infiniment complexe, on s’est empressé de lui faire dire des choses simples et même simplistes. Le seul choix, après Aylan, c’était l’accueil illimité pour éviter d’autres Aylan. On ne discute pas avec la mort d’un enfant, on ne pèse pas le pour et le contre, on ne marchande pas. L’ennui, c’est que toute cette émotion, aussi légitime soit-elle, ne suffit pas à définir une politique. Et bien entendu, il ne suffit pas non plus de l’écarter pour avoir une politique. Ceux qui prônent l’hospitalité zéro au nom du principe « le malheur Français d’abord » ne sont pas plus convaincants que les tenants de l’hospitalité intégrale. Du reste je ne crois pas que nous soyons malheureux au point de ne jamais pouvoir aider plus malheureux que nous… [....]

    La suite dans Le Figaro.vox

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Elisabeth-Levy-Au-dela-de-l

  • Les élections à Vienne (Autriche) : une leçon pour la politique française ?

    Les sondages laissaient planer le doute. Durant plusieurs semaines, les instituts autrichiens maintenaient le suspense : le parti patriote et anti-immigration autrichien, le FPÖ, mené par Heinz-Christian Strache, allait-il arriver en tête à l’élection régionale et municipale de la ville-Etat de Vienne ? Le sensationalisme médiatique aidant, cette probable victoire « populiste » dans la capitale autrichienne était devenue une hypothèse convenue.

    Alors, quand les résultats sont tombés dimanche soir, la surprise fut de mise. Le SPÖ (les sociaux-démocrates autrichiens) arriva largement en tête avec 39% des suffrages, 9 points devant le FPÖ de HC Strache.

    Les grands médias ont célébré en Autriche cette victoire des sociaux-démocrates, repris docilement par les médias français (le journal Le Monde a ainsi pu titrer sur son site Internet le soir de l’élection : « La gauche résiste à l’extrême droite à Vienne). De leur côté, les sympathisants n’ont pas pu cacher leur déception, les prédictions omniprésentes dans les journaux télévisés ayant créé un espoir de victoire.

    Si l’on s’écarte de la vision médiatique autrichienne de ces résultats (qui manque de hauteur, car trop proche des événements) et des commentaires de la grande presse française, qui s’est souvent contentée de reprendre les articles de la presse autrichienne sans prise de recul aucune, une analyse à froid montre que le gagnant dans cette élection n’est pas celui que l’on a présenté.

    Tout d’abord, un rappel des résultats s’impose. Le SPÖ a obtenu 39,6% des suffrages, soit 4,75 points de moins qu’à l’élection régionale de 2010. En seconde position, le FPÖ rassemble 30,8% des voix, soit 5 pointsde plus qu’au scrutin précédent. En troisième position, les écologistes Die Grünen obtiennent presque 12% des suffrages, résultat stable par rapport à l’élection précédente (une très légère baisse par rapport à 2010). Quant à eux, les conservateurs de l’ÖVP s’effondrent, passant de 15% à 9% des voix. Enfin, le jeune parti libéral NEOS (qui n’existait pas encore en 2010) obtient 6% des suffrages.

    En termes de progression par rapport à l’élection précédente, les patriotes du FPÖ sont donc les seuls à améliorer leur score par rapport à l’élection régionale précédente. Si l’on regarde brièvement les résultats des élections européennes à Vienne l’an passé, l’évolution est encore plus nette. Les sociaux-démocrates obtenaient 27% des voix, le FPÖ 18%, Les Verts 20% et l’ÖVP 16%. L’importance donnée à la première place dès le premier tour dans le cadre de l’élection régionalo-municipale de dimanche dernier explique en grande partie la bipolarisation de ce scrutin : de quatre grands partis aux élections européennes, seulement deux ont su tirer leur épingle du jeu. Que le SPÖ à gauche ait rassemblé les voix des Verts ne crée pas de surprise. Mais à droite, le FPÖ opère une véritable razzia sur les voix des conservateurs. Phénomène étonnant, vu de France.

    La disparition de la droite classique ?

    La vie politique autrichienne donne un aperçu tout à fait intéressant d’une évolution possible des forces politiques de droite. L’ÖVP, conservateur, comparable à notre parti Les Républicains, se retrouve pris entre deux feux : d’un côté, un nouveau parti jeune, ouvertement libéral, pro-Union européenne, et libertaire en termes de sujets de société, le parti NEOS, et, de l’autre, un parti patriote, social-libéral, anti-immigration et critique vis-à-vis de la construction européenne, le FPÖ. Durant cette élection municipale, la défaite des conservateurs au profit des patriotes est d’autant plus forte qu’elle se déroule à Vienne, réputée ville rouge. L’ÖVP disparaît presque du paysage politique dans cette élection, ce qui pourrait présager un avenir très sombre pour la droite classique (la droite républicaine, dirait-on en France).

    La situation autrichienne montre sous un autre jour les contradictions internes à la droite en Europe. La coexistence dans un même parti de forces radicalement opposées finit par ne donner satisfaction à personne, et chacun à terme prend sa liberté et part dans sa direction propre. Les plus libéraux-libertaires de l’ÖVP s’en sont allés du côté du dynamique parti NEOS, et les patriotes et souverainistes se tournent vers le FPÖ.

    Si loin, si proche

    Deux différences majeures semblent opposer France et Autriche en matière politique, qui n’ont qu’une même origine : le mode de scrutin en Autriche est toujours à un tour, et laisse une place majeure à la proportionnelle, tout à l’inverse de la France. La conséquence est double (et là résident les deux différences) : il n’y a traditionnellement pas de bipolarisme politique, et les coalitions gouvernementales sont la règle. On a souvent pris le contre-exemple de l’Autriche pour expliquer qu’en France aucune place n’existait pour le Front national, troisième voie impossible, en raison du mode de scrutin majoritaire à deux tours. La deuxième différence (les coalitions) n’empêche pas non plus une convergence austro-française : dans les deux pays, la collusion entre les partis traditionnels de la droite et de la gauche est un sentiment populaire répandu.

    On remarque, par ailleurs, empiriquement que le mode de scrutin n’influe que peu sur le vote. Ou plutôt l’obstacle que représente un mode de scrutin est davantage un frein pour de bons scores mais, une fois le frein usé, les résultats des patriotes sont en roue libre et peuvent grimper, grimper, jusqu’à évincer la droite classique. C’est précisément ce qui s’est produit dimanche à Vienne. Au gré d’une élection qui conjoncturellement favorisait le bipolarisme, le FPÖ a su mettre KO le parti conservateur.

    De même en France, le scrutin majoritaire pourrait bien se retourner finalement contre la droite classique, une fois que le Front national aura atteint un seuil de non-retour, et que Les Républicains auront fini de montrer au grand jour leurs contradictions internes, comme le retrait du président des Jeunes de la Droite populaire, Pierre Gentillet, semble le présager.

    Vincent Lefebvre, 15/10/2015

    http://www.polemia.com/les-elections-a-vienne-autriche-une-lecon-pour-la-politique-francaise/

  • « Toutes les Françaises sont des putes » : la motivation raciste du viol d’Evry non retenue

    « T’es blanche, tu manges du porc, on va te violer. Toutes les Françaises sont des putes ». Les juges ne retiennent pas la motivation raciste dans l’affaire du viol d’Evry… Ces sombres petites fientes étrangères méritent une balle dans la tête, pourtant ils ressortiront un jour de prison sans même avoir à répondre de leur haine des Français.

    En mars 2014, une jeune fille blanche de dix huit ans sort du RER. Sous la menace d’un couteau elle est entraînée par trois Turcs et un Marocain dans un terrain vague. Et pendant deux heures elle est violée à plusieurs reprises. Torturée. Battue jusqu’au sang.

    Durant l’instruction, les mis en cause avaient avancé des motivations racistes. Lors de sa garde à vue, le plus âgé avait ainsi lancé : « Quand je sortirai, je niquerai la France. » Un autre avait demandé ses origines à la victime. Et un troisième déclaré s’en être pris à cette jeune fille parce qu’elle était française et qu’il n’aime pas les Françaises. Des éléments que les autorités policière et judiciaire locales avaient refusé de confirmer à l’époque.

    L’information avait été relayée sur Internet et les réseaux sociaux, accusant les médias et les politiques de cacher la vérité sur un fait divers tragique survenu dans la ville du Premier ministre, Manuel Valls.

    «J’ai été amené à gérer les choses avec le maire de Courcouronnes (Stéphane Beaudet, Les Républicains). Il y avait eu des consignes de diète médiatique, à la demande des parents. Ce n’était pas pour l’image de la ville», assure Francis Chouat (PS), le maire d’Evry. Au final, la dimension raciste n’a pas été retenue.

    « Les juges ont choisi de retenir les qualifications les plus graves de viols et d’actes de tortures et barbarie, qui font encourir la peine la plus forte. Y ajouter l’injure raciale ne change rien à la peine encourue, confie une source proche du dossier. Mais ces propos ont été évoqués et seront abordés lors du procès. » Le Parisien via FDS

    http://www.contre-info.com/

  • Grand Remplacement : pas de statistiques ethniques, juste les prénoms les plus populaires

    Avec la carte interactive de BFMTV, découvrez les prénoms les plus populaires département par département. Mais attention, PADAMALGAM ! Si certains d’entre eux comptent 5 à 6 prénoms d’origine arabe parmi les 10 premiers, ce n’est pas, je répète, ce n’est pas dû à la forte concentration de populations étrangères ou d’origine étrangère. Le Grand Remplacement n’est pas, je répète, n’est pas à l’œuvre.

    En Seine-Saint-Denis, Mohamed est le prénom le plus populaire chez les garçons, Rayan et Yanis arrivent en 3e et quatrième position. Chez les filles, Lina est seconde, Yasmine et Léa (d’origine hébraïque) en quatrième et cinquième position. Si ce département est le plus touché par la vague des prénoms d’origine arabe, ceux-ci sont de plus en plus présents partout en France, régulièrement dans les 10 premiers et souvent dans les 20 premiers.
    Notez bien que ces données datent de 2012 et que ces tendances lourdes se confirment depuis…

    http://fr.novopress.info/

  • Scandale de l’abattoir d’Alès : ce qu’on ne vous dit pas

    Belle performance que celle de l’ensemble des commentateurs et des médias qui ont réussi à ne pas parler ni même évoquer l’abattage halal, principale activité de l’abattoir d’Alès.

    C’est bien une des tares de notre époque de miser sur l’émotionnel pour éviter toute analyse de fond. En effet, si l’émotion est légitime devant ces images insoutenables, il me semble bon de réaliser une analyse des causes.

    Cette affaire révèle, en effet, un triple scandale :

    1°) L’introduction du halal dans un abattoir ne peut que se généraliser à l’ensemble de ses activités pour des raisons de logistique industrielle, banalisant ainsi la souffrance animale et l’inobservance des règles d’hygiène, inhérentes à ce mode opératoire. C’est ce que dénonce sans relâche Vigilance Halal. La pratique quotidienne de l’abattage halal accordé par dérogation, mais devenu la règle, a fatalement des conséquences sur l’état d’esprit des employés des abattoirs, qui prennent de mauvaises habitudes, y compris pour d’autres espèces non concernées par le halal. Ce ne sont pas les plus blâmables.

    Lire la suite 

  • En Suisse, la poussée de la droite populiste se confirme

    La projection nationale vient de tomber pour les élections fédérales suisses. Comme les sondages le prévoyaient, la droite fait une poussée au Parlement dimanche 18 octobre. Au Conseil national, l’équivalent de l’Assemblée Nationale en France, le parti d’extrême-droite Union démocratique du centre (UDC), déjà la première formation politique du pays, gagne 11 sièges par rapport à 2007, sur les 200 que compte au total cet organe législatif. A ce stade l’UDC représente 28 % du Parlement.

     

    L’autre grand gagnant des élections est le parti libéral-radical (PLR), qui gagne trois sièges. Même si le parti socialiste suisse reste la deuxième force politique au Conseil national, l’institution penche désormais un peu plus à droite. Pour le président du PS suisse Christian Levrat la législature sera sans aucun doute « un peu plus serrée ».

    Les Verts et les Verts Libéraux subissent de leur côté une défaite cuisante en perdant respectivement 5 et 6 sièges au Conseil national. La coprésidente des Verts suisses, Adèle Thorens Goumaz, se dit « inquiète car c’est le prochain Parlement qui devra voter la stratégie énergétique du pays... ».

    Vu sur Le Monde.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?En-Suisse-la-poussee-de-la-droite

  • La Hongrie ferme sa frontière avec la Croatie, les clandestins visent la Slovénie

    La Hongrie à une nouvelle fois fermée sa frontière avec la Croatie face a l’afflux de clandestins ; seuls les postes de douane officiels resteront ouverts. Les clandestins devront désormais pousser jusqu’en Slovénie pour traverser illégalement la frontière avec l’UE, ce pays ayant annoncé qu’il laisserait passer tout le monde tant que l’Allemagne et l’Autriche les accueilleront.

    http://fr.novopress.info/

  • Victoire de la droite anti-immigration en Suisse

    Ins_wahlaufruf_web_frDéjà premier parti du pays avec 54 députés sur 200, l’UDCde Christoph Blocher,décroche, selon les projections de dimanche soir, 11 sièges de plus au Conseil National, l’équivalent de l’Assemblée Nationale. 

    Cette progression de la droite souverainiste et populiste, s’explique par la crainte d’une poussée migratoire, du fait notamment du contexte international et de la question des réfugiés. Or l’immigration, la préservation de l’identité suisse, c’est le terreau sur lequel l’Union Démocratique du Centre a fondé sa marche. « Rester libre », le slogan de la campagne, a, ces dernières semaines, cédé la place à la lutte contre « le chaos migratoire » que Christoph Blocher a annoncé à chacun de ses meetings électoraux à succès.

    L’autre grand rassemblement de droite, le Parti Libéral Radical, améliore sa représentation de 3 sièges, à 33 députés. L’UDC et le PLR pourraient se rapprocher pour imprimer leur marque dans les prochaines années. En face, le Parti Socialiste Suisse limiterait la casse en perdant seulement 2 de ses 46 députés. Les Verts perdraient 10 de leurs 16 sièges, tandis que les Verts libéraux en perdraient 6 sur 12.

    Michel Janva