Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

immigration - Page 1218

  • Nice: un imam porte plainte contre Marion Maréchal-Le Pen

    Un imam n’aime pas se faire traiter d’islamiste par le FN, s’affirmant au contraire à la pointe du combat contre l’islam radical. Pourtant, il a reçu dans sa mosquée des Frères musulmans. Bévue du FN ou Taqiya ?

    Qualifié « d’islamiste » dans un tract électoral du FN, l’imam Abdelkader Sadouni du quartier populaire des Moulins de Nice n’a pas apprécié
    « C’est très grave, estime Abdelkader Sadouni, car ce terme renvoie à tous les courants terroristes du Moyen-Orient. On n’a pas le droit d’utiliser ce terme contre une personne qui, au contraire, est à l’avant-garde, depuis plus de dix ans, du combat contre le radicalisme. Si des gens comme moi sont attaqués, vers qui vont-ils se retourner ? »
    Il a donc déposé une plainte en diffamation contre Marion Maréchal Le Pen et compte lance une action devant le juge des référés pour faire suspendre la diffusion du tract.

    Le candidat tête de liste FN dans les Alpes-Maritimes Olivier Bettati, de son côté, affirme que le religieux a « invité dans sa mosquée, en conférence, M. Hani Ramadan, petit-fils du fondateur des Frères musulmans, qui a publié en 2002 une tribune dans Le Monde justifiant la lapidation des femmes ». L’imam reconnaît avoir invité Hani Ramadan, frère de Tariq Ramadan, mais réaffirme ses prises de position contre la lapidation.

    Les équipes frontistes sont-elles allées un peu vite en besogne en pointant du doigt cet imam ou ce dernier pratique-il la Taqiya, ce mensonge ou double langage licite dans l’islam pour protéger sa foi ?

    http://fr.novopress.info/

  • Le président du Bundestag se rebiffe contre le traité transatlantique

    Source : Boulevard Voltaire

    Norbert Lammert menace de dire NON au traité et fait les gros titres de toute la presse outre-Rhin.

    Lorsque nous n’entendons plus parler du traité transatlantique en France (TAFTA), sauf par la présidente du FN et par Jean-Luc Mélenchon, pas très relayés par les médias, il faut bien le dire, en Allemagne, il en va tout autrement. C’est la nouvelle du jour ! Le président du Bundestag, Norbert Lammert, menace de dire NON au traité et fait les gros titres de toute la presse outre-Rhin. Tout cela parce qu’une délégation de parlementaires allemands avait récemment exigé, à l’ambassade américaine de Berlin, de consulter les documents des négociations. Ce qui leur a été refusé !
    Pour le lecteur français, je souligne que Norbert Lammert est le numéro deux de l’État allemand.

    Depuis plus de deux ans, l’Union européenne et les États-Unis d’Amérique négocient presque en catimini le nouveau traité transatlantique. La Commission européenne met à disposition beaucoup de documents, mais les détails sont réservés uniquement à quelques privilégiés. Norbert Lammert, le président du Bundestag, a désormais soumis sa décision à plus de transparence dans les négociations. « Il est hors de question que le Bundestag ratifie un contrat commercial entre l’Union européenne et les États-Unis, pour lequel il n’aura pu accompagner ou influencer les options », a déclaré le politicien CDU.

    Lammert serait tombé d’accord avec Juncker pour que les documents de négociation, en particulier leurs résultats, soient soumis à tous les États membres, à leurs gouvernements, mais aussi à leurs Parlements. « Et je serai intransigeant », a lancé le président du Bundestag. La France semble absente de ces revendications justifiées. Avec le ministre des Finances, Sigmar Gabriel (SPD), Norbert Lammert estime que l’actuel accès limité, au sein des ambassades américaines, est indiscutable, aussi bien au gouvernement qu’au Parlement.

    Les négociations sur le traité transatlantique ont commencé en juillet 2013. Cette création d’une zone de libre-échange doit servir au développement économique entre les deux côtés de l’Atlantique, qui verrait l’abolition des douanes et autres obstacles au commerce. Des esprits critiques craignent néanmoins une érosion des droits sociaux, environnementaux, des consommateurs et, par-delà, un affaiblissement des institutions démocratiques. 250.000 personnes avaient manifesté à Berlin le 10 octobre dernier contre ce traité controversé.

    Dernièrement, c’est la chancelière Angela Merkel qui avait promu le traité auprès du syndicat IG Metall. Notons que, sur cette question, comme sur celle de l’immigration massive, Merkel est en total décalage avec son peuple qui vient de se réveiller devant la folie migratoire de leur dirigeante. Elle semble de plus en plus isolée, qui menace aujourd’hui de faire capoter l’union entre la CDU et la CSU.

    Hildegard von Hessen am Rhein

    http://fr.novopress.info/

  • Conférence de Scipion de Salm sur « La grande invasion en cours de l’Europe » à Dijon.

    conference-dijon-scipion-de-salm-06112015-e1446224367754.jpg

  • Le glas de Schengen

    EUROPE (Présent 8473)

    « Jamais je n’aurais imaginé assister à un tel spectacle », a soupiré Jean-Claude Junker, président de la Commission européenne. Ce « spectacle » ce sont ces murs qui se construisent, ces barbelés qui se hérissent où vont l’être, ce sont ces invectives entre pays voisins, frères hier, les accusations des uns, les menaces des autres : bienvenue dans l’espace Schengen.

    8473-Une

    Avant, des douaniers bon enfant gardaient les frontières des États européens, aujourd’hui, ce sont des policiers, des militaires en tenue de combat. Et devant ce « spectacle », celui des « réfugiés », hommes, femmes et enfants qui piétinent dans la boue et le froid, meurent parfois, la Commission européenne confesse son impuissance, dépassée, submergée, essayant régulièrement, mais en vain de reprendre le contrôle de la situation. Elle admoneste ses membres, menaçant de représailles financières ceux qui résistent comme ils peuvent à l’invasion. Laquelle va s’amplifier dans les semaines qui viennent, on prévoit, au bas mot, 100 000 Syriens de plus en route vers l’Europe, à cause des frappes russes.

    À l’évidence, la « libre circulation des personnes » a vécu, l’espace Schengen est une coquille qui se vide chaque jour davantage. La question est de savoir si l’on va organiser le repli en bon ordre ou si on va jusqu’au bout de ce processus de décomposition qui s’achèvera dans le chaos et la ruine. Car tout cela coûte très cher, Bruxelles a autorisé les pays membres à déroger au pacte de stabilité pour faire face aux dépenses occasionnées par l’accueil des « réfugiés ». En France, un amendement discret au budget 2016 a prévu 100 millions d’euros à cette fin.

    Quel est le premier gouvernement qui aura le courage de dénoncer les accords de Schengen avant qu’ils ne se désagrègent d’eux-mêmes complètement dans la confusion et la panique ? Si Angela Merkel, par son inconscience, sa « générosité » dont ni son pays ni l’Europe n’ont les moyens, est à l’origine de la crise actuelle, le mal vient de plus loin.
    À l’origine, en 1985, ces accords visent seulement à étendre à la France et l’Allemagne la libre circulation qui existe déjà entre les pays du Benelux.

    Cinq pays, homogènes économiquement et socialement, c’était raisonnable. Puis, les unes après les autres, la plupart des nations de l’Union s’y sont agrégées. À la chute de l’empire soviétique, les États libérés de sa tutelle ont peu à peu été intégrés à cet espace, mais ils n’avaient pas le choix : c’était une condition pour adhérer à l’Union. Bruxelles les a donc admis à tour de bras croyant, naïvement, que l’Europe « libérée » des frontières allait être plus prospère.

    Mais la faute la plus grave, ce fut le traité d’Amsterdam en 1997 qui a étendu aux étrangers, « quelle que soit leur nationalité », la libre circulation. Jusque-là chaque pays conservait les « migrants » qu’il accueillait, depuis ils peuvent aller où ils veulent. Ils se bousculent aujourd’hui pour se rendre en Allemagne. Alors que sonne le glas de Schengen, il faut que soient restaurées les frontières anciennes pour éviter les barbelés sauvages et les murs fragiles édifiés à la hâte.

    Guy Rouvrais

    http://fr.novopress.info/

  • Connaître, comprendre et déconstruire les éléments de langage de l’immigrationnisme

    Plaidoyer pour le bon sens et l’intelligence.

    ♦ Un contributeur a fait parvenir à Polémia un article émis par Nord Actu.fr, un site d’information régional indépendant du Nord Pas-de-Calais. Cet article analyse d’une façon claire et pédagogique les éléments de langage de l’immigrationnisme empêchant la vraie réflexion sur « la crise migratoire ».

    Il s’inscrit dans la ligne et la volonté de Polémia : décrypter l’actualité et le vocabulaire qui s’y attache.

    Polémia

    La crise migratoire que nous subissons depuis des mois s’enlise et s’embourbe ; chaque jour qui passe des milliers de clandestins continuent à arriver, rendant la situation chaque jour plus compliquée, et les solutions semblent s’éloigner toujours plus loin. Celles-ci semblent abstraites, difficiles, voire impossibles, tant d’une part la propagande et la désinformation sont fortes (« intellectuels », artistes, politiques, « experts », universitaires, télévisions, radios, journaux, etc.) pour défendre le modèle immigrationniste, tant d’autre part les solutions possibles sont peu voire pas défendues par les grandes voix reconnues par le système (fausse opposition parlementaire, etc.).

    Cette propagande s’appuie sur des évidences qu’elle a décrétées, des raisonnements inconséquents, une morale plus que douteuse, mais arrive à désarmer ses adversaires qui peinent alors à défendre un point de vue différent voire opposé.

    Or l’ensemble des éléments de langage constituant cette propagande doivent être dénoncés pour leur absurdité, afin de redonner les armes intellectuelles à la lutte contre l’immigration et retrouver notre instinct de survie, trop souvent mis à mal par un moralisme d’arrière-cuisine. Une fois les bases du débat rediscutées et le bon sens revenu, il sera possible de parler sereinement des politiques à mener, loin du terrorisme intellectuel.

    Logement, emploi, dette publique

    Le premier argument de bon sens face à ceux qui nous expliquent que nous devons les accueillir et que nous en avons les moyens est de rappeler l’ensemble des problèmes de logement et d’emploi rencontrés en France et qui rendent cet accueil concrètement impossible : comment faire venir des millions de gens alors même que des milliers de familles françaises attendent un logement et que nous avons de plus en plus de SDF ? Comment les accueillir alors que nous avons des milliers de milliards d’euros de dette et que nous avons une population à aider ? Comment les faire travailler alors que les chiffres du chômage sont faramineux, et que les emplois non pourvus sont dû à des salaires trop bas (loi de l’offre et de la demande) ? Les accueillir en masse est donc criminel puisqu’ils seront en Europe des chômeurs, dans des bidonvilles, aux crochets de la société. A moins d’exproprier les Français pour les loger…

    « Il faut être généreux »

    Nous entendons régulièrement cette formule: la générosité est un acte personnel, lors duquel quelqu’un fait le choix d’un sacrifice pour donner à son prochain, et aucunement un acte d’Etat, l’Etat étant juste une structure dont se dote une population pour garantir sa sécurité. Ceux qui prônent la générosité la proposent avec l’argent des autres, des contribuables français, qui jusqu’à preuve du contraire font ce qu’ils veulent avec leur argent, n’ont peut-être pas la même conception de la générosité que des gauchistes internationalistes, et ont le droit d’attendre de l’Etat qu’il fasse le travail pour lequel il est payé. Si l’Etat commence à ne plus faire cela et à financer l’idéologie, au détriment de ses administrés, il encaisse alors l’argent mais ne procure plus le service attendu : cela s’appelle du vol.

    « Ce sont les valeurs de l’UE »

    Quelles valeurs ? Il est intéressant de remarquer que celles-ci ne sont jamais citées, comme si elles étaient évidentes, alors qu’elles sont surtout inexistantes. Cet argument rappelle des incantations religieuses, utilisées mécaniquement sans réflexion critique. De plus, on nous assène des « valeurs » à respecter, mais pourquoi alors oublie-t-on volontairement les racines culturelles de l’Europe, qui elles ont donné une véritable morale et de véritables valeurs à l’Europe?

    Ceux qui invoquent ces valeurs peuvent-ils décrire ce qu’est pour eux l’Europe, étant donné qu’ils ne considèrent ni sa dimension culturelle, historique, géographique, spirituelle ? Eux qui passent leur temps à insulter le monde occidental en général invoquent les « valeurs » de ce monde-là? Tout cela est un non-sens. Leur Europe semble pour eux se résumer à la Commission européenne, sorte de super-Etat, de super-structure bénéficiant d’un pouvoir de propagande gigantesque au service de la destruction de l’Europe réelle : les valeurs qu’ils évoquent sont au service d’une invasion et d’une destruction. Depuis quand les valeurs d’une civilisation sont-elles au service d’une autre ? Elles servent, normalement, précisément à structurer cette civilisation et à la rendre pérenne, à faire face aux menaces qui pèsent sur elle.

    « Il faut agir avec humanité »

    Dans la bouche des promoteurs de l’immigration, agir avec humanité consiste à les accueillir massivement. L’homme, puisque c’est l’homme en général dont il est question, n’a-t-il pas de racines, d’origines, de peuple, de terre ? Encourager l’immigration n’est-ce pas encourager le déracinement, alors que ces populations aimeraient peut-être une aide sur place, afin de ne pas briser des familles et détruire un peuple ? Les autochtones en Europe n’aimeraient-ils pas qu’on les laisse vivre en paix, selon leurs coutumes, sur leur territoire,  entre eux ? Importer le chaos, mélanger des populations qui ne souhaitent pas cohabiter, créer les ferments d’une guerre civile et d’une explosion ethnique et sociale c’est « agir avec humanité » ? Encourager des gens à partir de chez eux, à risquer leurs vies en mer, voire à mourir, transformant ainsi la Méditerranée en cimetière, c’est « agir avec humanité » ? Endetter des générations entières pendant des décennies en accueillant des gens que l’on n’a pas les moyens d’accueillir c’est être juste et humain ? Semer le chaos dans des pays, poussant des populations vers l’exode, c’est humain ?

    Comme nous pouvons le voir, leur pseudo-morale est surtout l’occasion de passer pour des gens bien à peu de frais (ce n’est pas eux qui payeront ni qui subiront les conséquences de l’invasion) mais elle est immorale car irresponsable. Agir moralement et humainement, c’est être ferme, responsable, c’est garantir la paix sociale.

    « Ce sont des réfugiés qui fuient la guerre »

    Certains d’entre eux fuient la guerre, d’autres non, car ils ne viennent pas de pays en guerre. Parmi ceux qui fuient la guerre, certains obtiendront le statut de réfugiés, les autres non, on ne peut donc pas parler de réfugiés pour l’ensemble.

    De plus, qui a cautionné ou financé ces guerres (Libye, Syrie, Irak, etc.) ? Les nations occidentales n’ont-elles pas semé le chaos ? Ne refusent-elles pas de discuter avec les forces politiques en place pour faire revenir l’ordre politique régional (Syrie, Iran, Russie) afin de lutter contre un ennemi commun (Etat islamique) ? De plus, un réfugié qui fuit la guerre ne traverse pas tout un continent, il se réfugie en général dans une ville ou pays voisin. Or aucun pays du Golf ne les accueille, ils viennent tous en Europe : n’y a-t-il pas autre chose que la guerre dans cette arrivée massive ?

    « L’Europe doit prendre sa part de responsabilité »

    En acceptant de les accueillir en masse, en refusant de reconduire les bateaux vers les ports d’origine, l’Europe encourage l’arrivée de nouveaux immigrés illégaux, et  fait surtout le jeu des passeurs qui savent qu’ils peuvent compter sur cette « générosité » des Etats européens pour faire vendre du rêve à des populations qu’ils font passer en les détroussant. Le jour où l’Europe dit : « nous n’accueillons plus personne », les réseaux de passeurs s’effondrent.

    « L’immigration est une chance pour la France »

    Si c’est une chance, pourquoi se limiter à 300 000 ou 500 000 et ne pas accueillir 5 millions de personnes ?

    « Arrêter les arguments démagogiques », « avoir un débat serein »

    Pour les immigrationnistes, est démagogue celui qui n’est pas d’accord avec eux, alors même que ce sont eux qui cherchent à plaire à certaines communautés, à certains lobbies et associations. Qu’y a-t-il de démagogique pour un Etat à prendre ses responsabilités face à une menace réelle qui risque de peser économiquement, socialement, sanitairement, etc. sur une société ?

    Pour eux, être démagogue consiste à être responsable.

    De même, nous entendons régulièrement qu’il faut « un débat serein, loin des propositions démagogiques et extrémistes » : avoir pour eux un débat serein consiste donc à réunir autour d’une table tous ceux qui sont d’accord avec eux et à mettre de côté ceux qui ont de vraies propositions responsables et fermes.

    « Il faut faire de la pédagogie »

    Endoctriner le peuple et tuer tout bon sens et tout instinct de survie, voilà ce qui pour notre élite est de la « pédagogie ». On parle de faire de la pédagogie uniquement lorsqu’il s’agit de défendre le modèle immigrationniste ; on ne voit en effet personne dire « il faut expliquer et faire de la pédagogie sur les dangers de l’immigration ».

    « L’Europe a toujours été une terre d’immigration »

    Et l’Europe s’est toujours défendue contre les invasions… Mais, pour quelles raisons valables quelque chose qui a toujours eu lieu devrait se répéter pour l’éternité ? N’est-ce pas le mythe du progressisme et de la gauche en particulier que de « faire du passé table rase » ?

    De plus, ce mythe de l’Europe perpétuellement sujette aux migrations est faux : il y a eu avant que l’homme ne se sédentarise des mouvements, néanmoins il s’est depuis enraciné, sédentarisé, permettant de créer des civilisations. La nôtre est le fruit de cette sédentarisation : un peuple au fil des années trouve un équilibre politique sur lequel s’appuyer (lois, culture, institutions), or l’accueil de gens en masse perturbe la réalité de ce peuple, donc fragilise cet équilibre (ces personnes n’étant pas issues de cette longue histoire) en instillant un désordre culturel.

    Il faut être conscient que durant la période comprise entre la fin de l’empire romain et les années 1960, la constitution du peuple français n’a pas changé (Eugène Dupaquier).

    De plus, on parlait alors d’invasions, il est intéressant de voir les immigrationnistes mettre sur un pied d’égalité les invasions d’antan et l’immigration d’aujourd’hui, peut-être un lapsus…

    Il faut aussi considérer que lorsque nous avons accueilli du monde comme à la fin du XIXe siècle, nous accueillions alors des gens extrêmement proches géographiquement, culturellement, spirituellement, et nous avions un réel besoin de ces gens qui étaient des travailleurs (l’immigration de travail est aujourd’hui minoritaire, la majeure partie est une immigration de peuplement). A partir du moment où nous n’avons pas besoin d’immigration et que l’accueil de certaines populations pose des problèmes il n’y a aucune raison d’ouvrir grandes ses portes. C’est là la grande escroquerie des immigrationnistes que d’avoir transformé en question morale l’immigration alors qu’elle était une question simplement politique.

    « Vous voulez mettre des barbelés aux frontières »

    Nous voyons bien là le raccourci historique scandaleusement facile, permettant au passage de passer pour le gentil en traitant les autres de méchants extrémistes. Il ne s’agit pas de mettre des barbelés aux frontières mais tout simplement faire en sorte que l’Etat arrête d’encourager cela, qu’il maîtrise ses frontières comme n’importe quel pays du monde, bref qu’il fasse tout simplement son travail d’Etat pour lequel il est payé, ni plus ni moins : appliquer la loi, renvoyer les clandestins, maîtriser ses frontières, en un mot être pragmatique. C’est une exigence démocratique : faire le contraire s’appelle une tyrannie.

    Echec du multiculturalisme partout et tout le temps

    Enfin, il est temps de rappeler que le multiculturalisme est partout un échec : partout où l’on a essayé de mélanger les gens cela a fini en tensions entre communautés, en guerres ethniques, en territoires fragmentés : Afrique du Sud, Liban, Etats-Unis, Kosovo, Palestine, Algérie, et la liste est longue.

    Promouvoir le multiculturalisme c’est promouvoir le désordre social, comme cela avait été théorisé il y a 2500 ans par Aristote : « Parmi ceux qui ont, jusqu’à présent, accepté des étrangers pour fonder une cité avec eux ou pour les agréger à la cité, la plupart ont connu des séditions ».

    Quelques citations :

    Houari Boumediene, président  algérien: « Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère Sud pour aller dans l’hémisphère Nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire. »

    Recep Erdogan : 1996, cite le poète Ziya Gökalp lors d’un meeting : « Les minarets seront nos baïonnettes, les coupoles nos casques, les mosquées seront nos casernes et les croyants seront nos soldats. »

    Recep Erdogan : « Nous vous conquerrons par vos valeurs démocratiques et nous vous dominerons par nos valeurs musulmanes ». « On ne peut pas être musulman et laïque à la fois ».

    Abdullah Gül président turc : « On changera définitivement le système laïc. La république vit ses derniers temps »

    Benoit XVI : « Les États ont le droit de réglementer les flux migratoires et de défendre leurs frontières en garantissant toujours le respect dû à la dignité de chaque personne humaine». «Les immigrés ont le devoir de s’intégrer dans le pays d’accueil, en respectant ses lois et l’identité nationale.» « les migrations internes ou internationales, (…) ont produit un brassage de personnes et de peuples sans précédent, avec des problématiques nouvelles non seulement d’un point de vue humain, mais également éthique, religieux et spirituel.» ; «Les migrants doivent se confronter à de nouveaux styles de vie et à des difficultés d’intégration ».

    Jean Jacques Rousseau : « Défiez-vous de ces cosmopolites qui vont chercher au loin dans leurs livres des devoirs qu’ils dédaignent de remplir autour d’eux. Tel philosophe aime les Tartares, pour être dispensé d’aimer ses voisins ».

    Alain Finkielkraut : « L’antiracisme est le communisme du XXIe siècle. C’est l’idéologie de notre temps »

    Colonel Kadhafi : «Nous devrions arrêter cette immigration illégale. Sinon, l’Europe deviendra noire, elle sera suffoquée par des gens de religions différentes, elle changera (…) Si on n’aide pas la Libye, l’Europe, demain, avec l’avancée de millions d’immigrés, pourrait devenir l’Afrique».

    SAR Hassan II, roi du Maroc :« Les immigrés seront de mauvais français, ils ne seront jamais integrés ».

    Rédaction de Nord Actu, 28/10/2015

    Source : Nord Actu

    http://www.polemia.com/connaitre-comprendre-et-deconstruire-les-elements-de-langage-de-limmigrationnisme-2/

  • Contre le chaos migratoire, pour l'indépendance des Nations : le combat de Viktor Orbán est le nôtre

  • Etre ou ne pas être… Notre jeunesse sensible à l’appel du djihad

    J’écoutais sur radio ND un débat avec une maman dont la fille, « contre toute attente », avait rejoint le djihad en Syrie. Cette maman traumatisée aurait même écrit un livre où elle raconte son désarroi et son incompréhension devant un phénomène qui tend à se multiplier. Elle conclut en affirmant que cette mésaventure peut toucher tous les milieux, toutes les familles quelques soient leurs religions.

     

    Mon attention, dans cet échange radiophonique fut attirée par l’évolution qu’elle décrivit du comportement de sa fille qui changeait à ses yeux. Au début elle vivait comme tous les jeunes, elle sortait avec les copines, avait un petit copain, elle parlait mode et se préoccupait de son apparence comme toutes les adolescentes, puis elle ralentit le maquillage, s’habilla plus sobrement, se détacha des objets et décorations kitch de sa chambre, elle menait une vie plus intérieure, elle semblait ailleurs.

    J’ai le pénible devoir de dire à cette dame que si sa fille s’était convertie en profondeur au catholicisme, il est probable que l’on aurait observé les mêmes évolutions dans son comportement. Sans faire ici de prosélytisme, nous devons admettre que notre société matérialiste et consumériste ne laisse pas beaucoup d’espace spirituel à nos enfants, pas plus que d’occasions de s’engager pour une cause qui dépasse le seul intérêt, la seule jouissance de notre enveloppe charnelle égotique.

    Quand, cette malheureuse maman dit que sa fille n’avait pas de problèmes, ne veut elle pas dire que sa fille s’épanouissait dans la superficialité de son existence ?

    Notre société occidentale apostâtes et fière de l’être avec sa longue théorie d’intellectuels autoritaires, athées, arrogants et laïcistes, a fermé tout espace d’élévation du cœur et de la conscience et a permis de transformer des êtres humains hier encore dotés d’esprit, en consommateurs passifs, ce qui fait le bonheur des dirigeants de notre société libérale.

    Mais l’aspiration profonde de chaque humain est quand même la quête des réponses ultimes sur l’existence, l’essence, la vie après la mort, le sens réel de notre vie ici bas. Cette aspiration est enfouie en chacun de nous, il suffit d’un révélateur conjoncturel pour la réveiller. Le grand Myrcéa Eliade ne parlait il pas de l’ « homo religiosus » ?

    Si cette maman, et je ne la juge pas, a pensé que si sa fille, adolescente, vivait normalement par ce que superficiellement, c’est surement là qu’elle s’est trompée. [....]

    Olivier Dejouy

    La suite sur Le Réveil Français

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Etre-ou-ne-pas-etre-Notre-jeunesse

  • Face aux migrants, l’Europe se hérisse de murs

    L’espace Schengen de libre circulation est mis en péril par la décision de l’Autriche d’ériger une barrière à sa frontière avec la Slovénie. D’autres pourraient l’imiter, tandis que les relations se tendent entre Berlin et Vienne.

     

    Des soldats hongrois érigent une clôture entre la Hongrie et la Croatie. Crédits photo : © Laszlo Balogh / Reuters/REUTERS

    Faute d’être capables de les canaliser et de s’entendre pour les prendre en charge, les Européens se ferment aux réfugiés. L’Autriche vient d’annoncer son intention d’édifier une barrière le long de sa frontière avec la Slovénie, pour « assurer une entrée ordonnée et contrôlée » des arrivants, a expliqué la ministre de l’Intérieur, Johanna Mikl-Leitner. Si le projet est mis à exécution, il s’agira de la première frontière érigée entre deux pays membres de Schengen - le début de la fin pour l’espace de libre circulation intra-européen.

    Alors que la crise s’aggrave, tous les pays des Balkans tentent d’exfiltrer au plus vite les réfugiés vers le pays voisin. Du coup, les tensions s’exacerbent entre les États. L’Autriche se retourne contre la Slovénie, dont les dirigeants se disent dépassés, et annonce son projet de barrière pour freiner les arrivées, de l’ordre d’un millier par jour. Le premier ministre slovène, Milo Cerar, déclare à son tour être prêt à édifier une barrière avec la Croatie, si nécessaire.

    Faire baisser la pression à Calais

    Mises à l’épreuve par la pression migratoire, les relations entre l’Allemagne et l’Autriche, partenaires traditionnellement solidaires, se détériorent. Le ministre de l’Intérieur allemand a taxé le pays voisin de « comportements incorrects ». Le dirigeant de la Bavière, Horst Seehofer, a mis en demeure la chancelière Angela Merkel de revoir sa politique à l’égard des réfugiés et accusé Vienne de pousser les arrivants à passer en Allemagne. [....]

    La suite sur Le Figaro.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Face-aux-migrants-l-Europe-se

  • Clôture anti-immigration sauvage: après la Hongrie, l’Autriche ! à qui le tour ?

    L’espace Schengen a vécu. C’est désormais au sein même de l’Union européenne que les clôtures, destinées à canaliser le flux migratoire s’érigent. L’Autriche a en effet annoncé sa décision d’ériger une barrière anti-immigration sauvage le long de sa frontière avec la Slovénie.

    L’Autriche va édifier une barrière le long de sa frontière avec la Slovénie, également membre de l’Union européenne, afin de contrôler le flux de migrants, a annoncé mercredi la ministre de l’Intérieur, Johanna Mikl-Leitner.
    « Il s’agit d’assurer une entrée ordonnée, contrôlée dans notre pays, et non pas de fermer la frontière », a expliqué la ministre à la télévision Oe1.

    Ces dernières semaines des groupes de migrants se sont montrés plus impatients, agressifs et émotifs.et « il s’agit de prendre toutes les précautions ».

    La Slovénie elle-même étudie la possibilité d’ériger une telle clôture le long de sa frontière avec la Croatie. Les syndicats de police allemands ont aussi demandé l’érection d’une barrière anti-« migrants » entre leur pays et l’Autriche. Reste que l’efficacité opérationnelle de tels dispositifs est limitée, dépendante des effectifs consacrés à leur surveillance et n’est utile in fine que si tous les pays s’y mettent, pour éviter l’effet « ligne Maginot ».

    Traiter le problème à la source en décourageant l’immigration sauvage constituerait une option plus efficace, mais nous en sommes encore loin.
    Quand donc choisirons-nous de renvoyer systématiquement les naufragés secourus en Méditerranée à leur point de départ ? quand procéderons-nous à des expulsions massives et spectaculaires de déboutés au droit d’asile ?

    http://fr.novopress.info/

  • Contre le chaos migratoire, pour l'indépendance des Nations : le combat de Viktor Orbán est le nôtre