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Un homme de 18 ans a été agressé mardi 21 novembre dans le quartier de Recouvrance à Brest. Un suspect a été interpellé par la police et sera jugé vendredi 24 novembre.
Mardi 21 novembre 2023, un homme de 18 ans a été agressé vers 22h30 au niveau de l‘arrêt de tram Mac Orlan, rue Saint-Exupéry, dans le quartier de Recouvrance à Brest. Un individu, armé d’un couteau, lui a dérobé sa sacoche, le blessant au passage à un doigt. Il a pris la fuite avec la trottinette de la victime. Un passant a été témoin de la scène.
@Valeurs. Les chefs de la gendarmerie ne communiquent rien, même à leurs adjoints. Sur les prénoms des suspects, les gendarmes ont tout bloqué entre eux. “C’est vraiment inquiétant cet aveuglement. C’est reculer pour mieux sauter. Tôt ou tard, ils devront donner les infos”, confie une source gendarmerie. “En même temps, ça veut dire que ce sont des Maghrébins, traduit une source policière. S’ils s’appelaient Patrick, Roger ou David, on le saurait déjà.” #Drome
Extrait de la tribune d’Eric Zemmour publiée par le JDD :
“(…) À l’instar des chefs d’État des pays arabes qui craignent la désapprobation de leur « rue » lorsqu’ils normalisent leurs relations avec Israël, Emmanuel Macron a peur, lui aussi, de sa « rue arabe » (…)Macron sait qu’il est à la tête de deux peuples. Deux peuples qui n’arrivent plus à vivre ensemble. Deux peuples, dont l’un doit fuir sans cesse les agressions d’une fraction de plus en plus violente de l’autre, pas seulement les attentats perpétrés aux cris de « Allah Akbar », mais ce véritable djihad du quotidien que subissent les Français : insultes, coups, vols, viols, attaques au couteau, trafic de drogue, meurtres.
Cinq jours après la mort de Nahel, jeune Franco-Algérien de 17 ans, tué à Nanterre par un policier fin juin, la France avait déjà été mise sens dessus dessous, saccagée nuit après nuit. Dans une partie de la population, les accusations fusaient : contre les violences policières, les flics racistes, les cités abandonnées, les discriminations, les injustices... Cinq jours après la mort de Thomas, jeune villageois de 16 ans poignardé à la fin d’une soirée dimanche à Crépol, dans la Drôme, l’émotion est vive, mais sa mère ne crie pas vengeance juchée sur la plateforme d’un camion, et le pays n’est pas défiguré par des casseurs. Pour lui, pas de minute de silence observée à l’Assemblée nationale.
Après quinze jours de procès dans le cadre de l’affaire Arrow Baga à Marseille, l’heure du réquisitoire a sonné. Le lundi 20 novembre, le procureur de la République, Marion Luna, réclamait jusqu’à dix ans de prison pour les quinze membres du gang nigérian. Dix ans pour neuf prévenus jugés pour viols collectifs sur des prostituées, de quatre à neuf ans pour six individus présumés coupables de proxénétisme ou d’aide au séjour irrégulier, et une interdiction définitive du territoire français pour douze des quinze personnes impliquées dans l’affaire.
Avec ses 370.000 abonnés YouTube, Bassem est une voix qui compte dans la jungle d’Internet. L’influenceur est notamment connu pour ses prises de parole à contre-courant dans lesquelles il n’hésite pas à dénoncer les malfaisances de sa propre communauté. Mardi 21 novembre, il a réagi au meurtre de Thomas à Crépol et témoigné son soutien aux victimes. « Salam aleykoum, les gens, déclare le bloggeur, face caméra. C’est terrible, ce qui est arrivé au petit Thomas. Que dieu veille sur son âme ! J’ai un message à faire passer à sa famille, à sa mère et son père. Je suis anéanti et meurtri avec vous. Je suis peut-être de la même origine et de la même religion que ces gens-là, mais je suis meurtri pour vous. Et par respect pour votre fils, par respect à tout ce peuple blanc qui est respectueux et qui ne casse pas les couilles, cette fois-ci, on ne va pas s’excuser. On ne va pas s’excuser parce qu’on a honte de s’excuser. On dirait des ex-toxiques [toxicos, NDLR] qui disent "je ne recommencerai plus". C’est tout le temps la même rengaine… »
Ainsi donc, ce mercredi, c'est à Romans-sur-Isère qu'aura lieu une marche blanche organisée par la famille de Thomas, assassiné à Crépol. C'est dans ce chef-lieu de canton situé à 17 kilomètres des lieux du drame que Thomas allait au lycée et jouait au rugby, et c'est peut-être - selon toute vraisemblance - de là, aussi, que venaient certains, au moins, de ses agresseurs. Une petite ville de 33.000 habitants qui, comme bien d'autres en France, se gangrène, rongée par les violences, l'insécurité et l'immigration.
La liste s’allonge ! Des jeunes gens sont poignardés et des bobos outrés, sur un plateau de télévision que je ne citerai pas mais où travaille Laurent Ruquier, ne voient qu’une chose : « Ça fait le lit de l’extrême droite ». On sent l’émotion, la douleur qui étreint ces parangons de la compassion. « Ils ont le cœur dur et la tripe sensible » écrivait Bernanos à leur endroit.